Le modèle pyramidal décodé
L’organisation structurelle de nos institutions dites
représentatives et entreprises est principalement basée sur
l’architecture pyramidale, de nature patriarcale, même si l’avènement de
la
technologie en réseau pour tous conduit à en revisiter depuis
quelques années la pertinence, du moins en apparence tant ses gènes
constitutifs sont profondément ancrés dans les mentalités de
celles et ceux qui les président ou les servent.
En fait, ce modèle civilisationnel correspond depuis plusieurs millénaires à un détournement de son sens sacré originel, qui a façonné dans l’esprit collectif une conception dénaturée de la relation de l’être humain à la vie, explicative de son fonctionnement à contre-sens. Elle se décline dans un fonctionnement bipolaire * du monde, à travers la " bande des quatre ", les systèmes politico-religieux, économique-financier, militaire et médiatique, désormais sur un terrain géopolitique mondialisé *². Elle a débouché sur trois symptômes délétères dont nous payons chèrement le tribut aux forces prédatrices asservissantes qui dominent la troisième dimension - notre terrain de jeu terrestre -, qui se nomment patriarcat (la " père-version "), misogynie, élitisme. Leurs coûts pour le bon fonctionnement de nos structures d'appartenance commencent à devenir conséquents en cette fin de cyclicité civilisationnelle tant ils conservent l'humanité dans un état de peur permanent et de désolation, soit les émotions délétères non épurées. Toute autre vérité civilisationnelle *³ étant totalement déconsidérée et écartée par les " bien-pensants " aux commandes, le modèle ne peut que conduire au cycle entropique de la " Fin des temps " *⁴ ...
* Cf. La dualité décodée.
*² Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.
*³ Cf. Vérité civilisationnelle.
*⁴ Cf. Prophétie du changement & Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?
En fait, ce modèle civilisationnel correspond depuis plusieurs millénaires à un détournement de son sens sacré originel, qui a façonné dans l’esprit collectif une conception dénaturée de la relation de l’être humain à la vie, explicative de son fonctionnement à contre-sens. Elle se décline dans un fonctionnement bipolaire * du monde, à travers la " bande des quatre ", les systèmes politico-religieux, économique-financier, militaire et médiatique, désormais sur un terrain géopolitique mondialisé *². Elle a débouché sur trois symptômes délétères dont nous payons chèrement le tribut aux forces prédatrices asservissantes qui dominent la troisième dimension - notre terrain de jeu terrestre -, qui se nomment patriarcat (la " père-version "), misogynie, élitisme. Leurs coûts pour le bon fonctionnement de nos structures d'appartenance commencent à devenir conséquents en cette fin de cyclicité civilisationnelle tant ils conservent l'humanité dans un état de peur permanent et de désolation, soit les émotions délétères non épurées. Toute autre vérité civilisationnelle *³ étant totalement déconsidérée et écartée par les " bien-pensants " aux commandes, le modèle ne peut que conduire au cycle entropique de la " Fin des temps " *⁴ ...
* Cf. La dualité décodée.
*² Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.
*³ Cf. Vérité civilisationnelle.
*⁴ Cf. Prophétie du changement & Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?
L'établissement de la domination du patriarcat
Les cultures de l’âge de Bronze -
période dite de la protohistoire caractérisée par un usage important de
la métallurgie du bronze - se sont trouvées à la croisée
de deux influences, conformément à la loi des polarités. Elles
découlaient des survivants de la catastrophe climatique - le déluge -
survenue dans la nouvelle ère civilisationnelle démarrée entre
12.000 et 10.000 av. J.-C. de notre calendrier latin. Issus d'une
civilisation précédente nommée Atlante (le peuple " bleu ") hautement
évoluée spirituellement mais qui avait fini par choir de sa
corruption matérialiste, ils s'étaient divisés pour initier deux
pratiques civilisationnelles :
- Les " peuples du cercle ", représentatifs de la polarité magnétique féminine (constructeurs de mégalithes, religion chamanique de la Déesse Mère), et majoritaires dans l'hémisphère Nord. Leur ADN était principalement de nature " sémite " (sans rapport avec le peuple Hébreu antique ou la communauté juive contemporaine), c'est-à-dire nourri de la conscience christique des forces évolutives, le Kiristos (indépendamment de l'histoire pour grande partie dévoyée de Jeshua/Jésus) ;
- les " peuples du triangle ", représentatifs de la polarité électrique masculine (constructeurs de pyramides, hiérarchiques, développant l’agriculture et faisant des sacrifices), et majoritaires dans l'hémisphère Sud *. Leur ADN était principalement de nature " aryen/arihmanien ", c'est-à-dire nourri de manière prédominante de la conscience des forces de l'Ombre.
C'est la seconde qui va progressivement s'imposer - la " père version " -, par la force du bronze puis du fer - le métal -, et marquer au fer rouge sang l'histoire des grandes civilisations post-égyptiennes qui s'établissent alors (Sumer, Babylone, Assyrie).
Selon l'état des recherches réalisé *², les sociétés matricarcales dites " gynocentrique " ou " gylanique " constitutives de la "Civilisation de la Déesse Mère " étaient pacifiques et favorisaient la mise en commun des biens. Elles caractérisent les cultures préhistoriques européennes du paléolithique et plus tard du néolithique (la " vieille Europe ", de 7.000 à 3.500 av J.-C.). Celles-ci connaissaient une société dont la structure était totalement différente de celle apparue à partir des invasions indo-aryennes depuis 4.300 av. J.-C. Elles étaient basées sur la coopération et le don, symbolisés par la figure de la Déesse. Cette société ancienne était aussi la civilisation des mégalithes, très présente en Irlande, à Malte, en Sardaigne, en Grande-Bretagne, en Scandinavie, en France, en Espagne, en Italie… A la fin du Néolithique, on retrouve ces influences positives autour de la Méditerranée, avec les civilisations minoenne (civilisation crétoise) et mycénienne (civilisation égéenne), même si d'aucuns les considèrent comme purement fantasmagoriques, destinées à leurrer les chercheurs de vérité. Mais peu à peu, avec l’agriculture et la métallurgie martiale, des influences " sombres " commencèrent à s’étendre et à former des " empires " de tailles différentes, comme Sumer, Akkad, l’Égypte pré-dynastique, la civilisation de l’Indus, et les tribus hébraïques (les " douze tribus " bibliques).
C'est pourquoi cette civilisation matriarcale correspond à l’idée d’un " Âge d’Or ", celui d’une époque préhistorique où la Déesse-mère était révérée, et où les qualités comme le service des autres, la compassion et la non-violence étaient extrêmement importantes. Cette société préhistorique formait un modèle de société basé sur le partenariat qui s’opposait directement au modèle " dominateur ", basé sur la hiérarchie (hieros, " sacré ", et –archie, " pouvoir "). Le premier modèle est représenté par le symbole féminin du " calice " (la matrice utérine, de polarité magnétique), tandis que le second se caractérise par le symbole masculin de " l’épée " (le phallus engendreur, de polarité électrique).
De nombreux indices suggèrent en effet que la société préhistorique n’était pas violente. Il y a une absence de représentations de violence, cruauté ou armes dans l’art néolithique. On ne trouve pas d’images d’un Dieu vengeur, avec la foudre, l’épée, ou la lance, mais il y a au contraire des représentations de la nature, et de riches formes géométriques. On retrouve la trace de cet art dans la civilisation minoenne. Il n’y avait pas de séparation entre le profane et le sacré. Comme les historiens des religions l’indiquent, dans la préhistoire et, dans une large mesure, dans les temps historiques, la religion hors dogme (création patriarcale) était la vie, et la vie était la religion, celle d'une relation sacrée à l'univers, à la nature.
* Cf. Symbolisme des figures.
*² Cf. Riane Eisler, " The Chalice and the Blade – Our History, Our Future " (1987) ; l'archéologue et préhistorienne Marija Gumbatas, " Dieux et déesses de l’Europe préhistorique " (The Goddesses and Gods of Old Europe, 1974), " Le langage de la déesse " (1989), " La Civilisation de la déesse " (The Civilisation of the Goddess, 1991).
Cf. en complément Le féminin séquestré.
- Les " peuples du cercle ", représentatifs de la polarité magnétique féminine (constructeurs de mégalithes, religion chamanique de la Déesse Mère), et majoritaires dans l'hémisphère Nord. Leur ADN était principalement de nature " sémite " (sans rapport avec le peuple Hébreu antique ou la communauté juive contemporaine), c'est-à-dire nourri de la conscience christique des forces évolutives, le Kiristos (indépendamment de l'histoire pour grande partie dévoyée de Jeshua/Jésus) ;
- les " peuples du triangle ", représentatifs de la polarité électrique masculine (constructeurs de pyramides, hiérarchiques, développant l’agriculture et faisant des sacrifices), et majoritaires dans l'hémisphère Sud *. Leur ADN était principalement de nature " aryen/arihmanien ", c'est-à-dire nourri de manière prédominante de la conscience des forces de l'Ombre.
C'est la seconde qui va progressivement s'imposer - la " père version " -, par la force du bronze puis du fer - le métal -, et marquer au fer rouge sang l'histoire des grandes civilisations post-égyptiennes qui s'établissent alors (Sumer, Babylone, Assyrie).
Selon l'état des recherches réalisé *², les sociétés matricarcales dites " gynocentrique " ou " gylanique " constitutives de la "Civilisation de la Déesse Mère " étaient pacifiques et favorisaient la mise en commun des biens. Elles caractérisent les cultures préhistoriques européennes du paléolithique et plus tard du néolithique (la " vieille Europe ", de 7.000 à 3.500 av J.-C.). Celles-ci connaissaient une société dont la structure était totalement différente de celle apparue à partir des invasions indo-aryennes depuis 4.300 av. J.-C. Elles étaient basées sur la coopération et le don, symbolisés par la figure de la Déesse. Cette société ancienne était aussi la civilisation des mégalithes, très présente en Irlande, à Malte, en Sardaigne, en Grande-Bretagne, en Scandinavie, en France, en Espagne, en Italie… A la fin du Néolithique, on retrouve ces influences positives autour de la Méditerranée, avec les civilisations minoenne (civilisation crétoise) et mycénienne (civilisation égéenne), même si d'aucuns les considèrent comme purement fantasmagoriques, destinées à leurrer les chercheurs de vérité. Mais peu à peu, avec l’agriculture et la métallurgie martiale, des influences " sombres " commencèrent à s’étendre et à former des " empires " de tailles différentes, comme Sumer, Akkad, l’Égypte pré-dynastique, la civilisation de l’Indus, et les tribus hébraïques (les " douze tribus " bibliques).
C'est pourquoi cette civilisation matriarcale correspond à l’idée d’un " Âge d’Or ", celui d’une époque préhistorique où la Déesse-mère était révérée, et où les qualités comme le service des autres, la compassion et la non-violence étaient extrêmement importantes. Cette société préhistorique formait un modèle de société basé sur le partenariat qui s’opposait directement au modèle " dominateur ", basé sur la hiérarchie (hieros, " sacré ", et –archie, " pouvoir "). Le premier modèle est représenté par le symbole féminin du " calice " (la matrice utérine, de polarité magnétique), tandis que le second se caractérise par le symbole masculin de " l’épée " (le phallus engendreur, de polarité électrique).
De nombreux indices suggèrent en effet que la société préhistorique n’était pas violente. Il y a une absence de représentations de violence, cruauté ou armes dans l’art néolithique. On ne trouve pas d’images d’un Dieu vengeur, avec la foudre, l’épée, ou la lance, mais il y a au contraire des représentations de la nature, et de riches formes géométriques. On retrouve la trace de cet art dans la civilisation minoenne. Il n’y avait pas de séparation entre le profane et le sacré. Comme les historiens des religions l’indiquent, dans la préhistoire et, dans une large mesure, dans les temps historiques, la religion hors dogme (création patriarcale) était la vie, et la vie était la religion, celle d'une relation sacrée à l'univers, à la nature.
* Cf. Symbolisme des figures.
*² Cf. Riane Eisler, " The Chalice and the Blade – Our History, Our Future " (1987) ; l'archéologue et préhistorienne Marija Gumbatas, " Dieux et déesses de l’Europe préhistorique " (The Goddesses and Gods of Old Europe, 1974), " Le langage de la déesse " (1989), " La Civilisation de la déesse " (The Civilisation of the Goddess, 1991).
Cf. en complément Le féminin séquestré.
Du Matriarcat
Il est défini comme un régime
d’organisation sociale dans lequel la femme joue un rôle politique
prépondérant, ou comme un fonctionnement familial dans lequel la
mère a une influence, une autorité prépondérante. Ce terme a été
construit à la fin du XIX° siècle comme pendant symétrique au modèle du "
patriarcat ", qui exprime un système social dominé par
l'autorité masculine, symbolisée par la figure du père. Toutefois,
dans la mesure où la composante linguistique -arcat (de archein,
commander) est un vestige du patriarcat, et qu'une
société moins patriarcale serait également moins hiérarchique,
plusieurs chercheurs préfèrent rejeter ce terme ou le remplacer par des
termes plus neutres, comme matristique, gynocentrique ou
gylanique.
Aussi, par opposition au patriarcat (patrilinéaire), le matriarcat (matrilinéaire) est avant tout un système de parenté " matri-centré ", c'est-à-dire une conception de la famille dans laquelle les femmes incarnent la reproduction dans une dimension temporelle circulaire et cyclique et non linéaire. Ce terme usuel en anthropologie désigne une certaine organisation de la famille. Composé du latin mater et du grec arkhè, il signifie littéralement " l’ordre des mères " qui, bien sûr, peut connaître la même dérivée autoritaire et contraignante que son homologue masculin dans le fonctionnement de la Matrice terrestre. Sans fusion en soi de ces deux polarités électromagnétiques, l'être humain ne peut prétendre au changement de conscience salvateur.
Le renversement destructeur s’établit
à partir de 3.500 av. J.-C, qui voit des changements importants dans
les types d’habitations, la structure sociale,
économique, et religieuse. Les influences patristes commencent à
infiltrer la civilisation européenne de la Déesse, en se servant des
structures locales pour établir un système hiérarchique.
Elles découlent des sociétés agraires du Néolithique, avec pour
caractéristique un assujettissement de la population au sein d’un
territoire donné, à la fois par un pôle " souverain " d’un
dieu lieur et d'un pôle " législatif " organisant la vie collective
au sein de ce système clos, figé, un système fondamentalement contre la
fluidité et l'imprévisibilité de la vie. C'est le
remplacement progressif du nomadisme par le sédentarisme, la pensée
étant moins affectée par l’espace. Et lorsque l’espace est fermé, il
emprisonne à la fois le corps, au sein de frontières, et
l’être, au sein d’un durcissement de sa pensée, une perte des
facultés créatrices.
Ce système patriarcal prend de l’ampleur dans le sud de la Mésopotamie, qui voit se développer les arts, les techniques, l’écriture (premiers hiéroglyphes et écriture cunéiforme). En 3.000 av. J.-C., de nouvelles invasions accélèrent la transition vers le patrisme. Ces envahisseurs furent les Aryens en Inde (Brahmanes), les Hittites et les Mittani dans le croissant fertile, les Louvites en Anatolie, les Kourganes en Europe orientale, les Achéens puis Doriens en Grèce. Ce seraient aussi les Hébreux qui auraient eu une influence en Égypte lors du règne d’Akhenaton *. La rupture historique définitive semble bel et bien être intervenue avec le messianisme du judéo-christianisme, qui en soi reprend les aspects théologiques d’empires précédents comme l’Égypte, Sumer, Babylone *².
Ainsi pouvons-nous supposer l’existence en cohabitation de deux " types de société ", chacune correspondant à un " type d’orientation " psychologique : un type de société valorisant l’échange et dévalorisant les structures de pouvoir répressives, et un type de société valorisant la hiérarchie et l’exploitation, une exploitation dont la forme aigüe pourrait être le capitalisme, plus exactement le libéralisme marchand. Il en aurait tout naturellement découlé les cultes féminins (chamaniques) liés à la nature qui perdurent dans les sociétés aborigènes notamment, et les cultes masculins toujours liés à la guerre qui prédominent toujours dans le prétendu monde des " Lumières " ...
* Cf. Le Judaïsme décodé.
*² Cf. Le modèle européen décodé (2) Un ADN impérial païen.
Ce système patriarcal prend de l’ampleur dans le sud de la Mésopotamie, qui voit se développer les arts, les techniques, l’écriture (premiers hiéroglyphes et écriture cunéiforme). En 3.000 av. J.-C., de nouvelles invasions accélèrent la transition vers le patrisme. Ces envahisseurs furent les Aryens en Inde (Brahmanes), les Hittites et les Mittani dans le croissant fertile, les Louvites en Anatolie, les Kourganes en Europe orientale, les Achéens puis Doriens en Grèce. Ce seraient aussi les Hébreux qui auraient eu une influence en Égypte lors du règne d’Akhenaton *. La rupture historique définitive semble bel et bien être intervenue avec le messianisme du judéo-christianisme, qui en soi reprend les aspects théologiques d’empires précédents comme l’Égypte, Sumer, Babylone *².
Ainsi pouvons-nous supposer l’existence en cohabitation de deux " types de société ", chacune correspondant à un " type d’orientation " psychologique : un type de société valorisant l’échange et dévalorisant les structures de pouvoir répressives, et un type de société valorisant la hiérarchie et l’exploitation, une exploitation dont la forme aigüe pourrait être le capitalisme, plus exactement le libéralisme marchand. Il en aurait tout naturellement découlé les cultes féminins (chamaniques) liés à la nature qui perdurent dans les sociétés aborigènes notamment, et les cultes masculins toujours liés à la guerre qui prédominent toujours dans le prétendu monde des " Lumières " ...
* Cf. Le Judaïsme décodé.
*² Cf. Le modèle européen décodé (2) Un ADN impérial païen.

La violence institutionnelle de l'impératif par la géographie
La violence institutionnelle est en
quelque sorte le socle de ce nouveau paradigme qui semble né au
Néolithique, qui est en fait et en dépit des apparences et
discours l’expression d’une orientation des masses vers
l’individualité plutôt que le collectif. Ce développement du narcissisme
est intimement lié à la subjectivation et à son ensemble de
mécanismes psychologiques tels que le déni (de Qui Je Suis vraiment,
soit l'Unité) et la projection comme le transfert à autrui de ce déni
(tel qu'étudié par le médecin-psychiatre suisse Carl
Gustav Jung).
Enfermant l'être humain dans le piège du temps linéaire ou chronologique, du travail asservissant d'exploitation de la matière et d'un divin inaccessible en l'état justifiant la codification de la morale par ses soi-disant représentants terrestres (les élites politico-religieuses), les êtres humains ne peuvent vivre en harmonie avec la nature, avec Ce Qui Est.
C'est ce que démontre le biophysicien états-unien James DeMeo, parlant de " patrisme " pour ces sociétés qui sont régies par des codes moraux et des impératifs comportementaux. Il les relie historiquement à un climat de sécheresse, extrêmement rude, où les ressources alimentaires sont venues à manquer. C'est ainsi que par une analyse systématique des données anthropologiques sur 1.170 cultures de niveaux de subsistance, les modèles géographiques globaux des institutions sociales de comportements patristes établis démontrent leurs effets cuirassés, violents, traumatisants, douloureux et répressifs, qui empêchent les liens harmonieux mère-enfant et homme-femme. C'est tout particulièrement le cas dans la ceinture désertique hyper-aride entourant l’Afrique du Nord, le Proche-Orient et l’Asie Centrale, appelée " Saharasie " (image). Elle possède la plus grande étendue territoriale des institutions sociales et des comportements patristes les plus extrêmes sur Terre. A l'inverse, les régions les plus éloignées de Saharasie, en Océanie et dans le Nouveau-Monde, possèdent les comportements les plus matristes, non cuirassés et doux qui soutiennent et protègent les liens mère-enfant et homme-femme. Nous pouvons d'autant mieux comprendre les conséquences des mouvements migratoires en cours, qui quoi que s'en défendent les institutions politiques, visent à mettre sous nasse le monde occidental afin d'éradiquer la prédominance du gène sémite dans ces populations *. Quant aux organisations militantes des droits humains, leur inculture conjuguée à leur idéalisme exacerbé car manipulé en font les relais attitrés du système prédateur manipulateur *².
* Cf. Préambule de compréhension & Le féminin séquestré.
*² Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante & Survivre à la Matrice asservissante.
La Grande Pyramide de Gizeh
La civilisation égyptienne antique était " obsédée " par la mort, le
paysage urbain évoquant une immense nécropole qui aurait été créée
selon le mythe (réel ?) de toutes pièces par la reine Isis
pour faire revenir l’âme de son époux Osiris et enfanter Horus, sa
réincarnation, en secret *. Comme toujours, la fausse lumière
luciférienne propose à l'être humain la clé de compréhension des
règles du Jeu du Vivant. Mais sans épuration en lui de la matière
viciée *², il ne peut recevoir la guidance de l'Esprit universel pour la
comprendre, et demeure ignorant par-delà son
intelligence apparente, celle du savoir, non de la Connaissance ...
* Cf. Le féminin séquestré.
*² Cf. Le chemin alchimique.
* Cf. Le féminin séquestré.
*² Cf. Le chemin alchimique.

Construite sous le règne d'un souverain du nom de Zurad pendant une
durée de cent ans, de - 10.490 à - 10.390 avant J.-C. d'après le
mystique états-unien Edgar Cayce, pour d'autres aux alentours
de - 3.500 ans à une époque où les cercles de pierres et autres
monuments " cyclopéens " étaient les seules constructions existantes
(peu vraisemblable), appelée par les Anciens Al
Ahram, soit " la Lumière ", ou Akhouït, " la Lumineuse ", ou encore Bit-Râ-Hem,
soit " Hathor, lumière du roi Horus ", elle représente encore une
énigme pour le monde
scientifique et sa cohorte d'historiens, d'archéologues, de
paléontologues, ... Diverses théories s'affrontent ainsi sur sa
datation, les méthodes de construction employées, son utilisation et
ses constructeurs, l'hypothèse que ces connaissances qui
favorisèrent l'émergence d'une telle civilisation et ses sites sacrés
(comme tant d'autres à travers la planète Terre) provenaient des "
étoiles " ou, plus précisément, de peuples extraterrestres de
différentes provenances *. Et c'est ce que raconte sans conteste nombre
de légendes de différents peuples civilisationnels (les
aborigènes de l'Australie, les tribus africaines, les Babyloniens,
les Amérindiens du Sud).
Ce qui est scientifiquement certain, c'est que nous sommes actuellement dans l’impossibilité totale de reproduire cette œuvre, dont la masse totale est d'environ 6,3 millions de tonnes et son volume total de 2.592.000 m3. La marge d’erreur constatée de cet ouvrage, soit 6,3 mm sur ses 5,26 ha, n’est même pas atteinte avec notre technologie actuelle la plus pointue en termes de marge d’erreur, soit la lentille télescopique. Elle a été édifiée à partir de la coudée sacrée, unité de mesure d’alors, se composant de 25 pouces. L’addition des diagonales de la base de la construction s’établit à 25.826,4 pouces, soit à peu près le nombre d’années correspondant à la " Grande Année ", durée de la lente oscillation de l’axe de la Terre pour effectuer un tour complet. Sa pente donne la valeur du nombre dit d’or " Pi " (π soit 3,141…), rapport entre la longueur de la circonférence et la longueur du diamètre d’un cercle. Elle est par ses proportions et son alignement au centre exact de la masse terrestre, son axe est/ouest étant placé sur le plus long parallèle continental, alors que le plus long méridien continental passe également par elle. " Simple hasard ", les chances de trouver cet emplacement étant d'une sur ... trois milliards ! Aucun des couloirs d’accès aux différentes pièces de son intérieur n’est horizontal, aucun point de construction des salles n’est similaire, les galeries ont des tailles et des formes les plus diverses, contrairement à la construction extérieure parfaitement symétrique.
Comme les Mayas, les Chinois, les Japonais, les Incas, toutes les cultures ayant ce type de constructions ont indiqué à chaque fois dans les documents retrouvés qu’elles avaient été construites non par elles, mais par les " Dieux du Soleil ", sous-entendu des races extra-dimensionnelles (galactiques) à la réalité tridimensionnelle terrestre. Leur forme était utilisée au cours du développement de ces civilisations comme temples religieux et initiatiques, points de relais avec le supposé ou prétendu "Royaume céleste ", mais aussi comme centrales d'énergies, captant notamment les énergies du soleil, à travers, entre autres, les panneaux miroirs qui les recouvraient. Elles sont les témoins du grand dessein cosmique unificateur, en tout cas pour sa dimension astrale (la voûte étoilée), nul(le) ne pouvant en l'état des méthodes scientifiques connaître la version supérieure au champ astral, celui-ci étant limité à la quatrième dimension circonscrite à l'espace-temps limité, celui de la vitesse de la lumière (le temps linéaire, chronologique).
Élucubrations mystiques de peuples anciens, qui n’avaient pas été atteint par la salvatrice ère de la raison dite moderne ? Il n’est qu’à se rappeler la fameuse expression de Jean-François Champollion (1790/1832), ce fameux égyptologue français qui fut le premier à déchiffrer les hiéroglyphes, disant que plus on remontait dans l’histoire antique de l’Égypte, plus on avait à faire à une civilisation supérieurement développée, au contraire d’une humanité présente qui, à l’inverse des idées habituellement admises, ne cesse de décliner par l'état de sa corruption endémique et la psychopathie de ses " élites " dirigeantes *².
* Dans une déclaration choc, le chef du Département Archéologique de l’Université du Caire, le Dr Ala Shaheen, n'a pas hésité à dire à un auditoire qu’il pourrait y avoir une théorie selon laquelle des " visiteurs " extraterrestres ont aidé les anciens Égyptiens à construire les plus anciennes pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh. Interrogé par un délégué de la Pologne lui ayant posé la question sur la possibilité que la pyramide puisse contenir de la technologie extraterrestre ou même un OVNI, le Dr Shaheen est resté vague et a répondu " Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui n’est pas de ce monde ".
*² Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.
Cf. en complément le livre " Voyages de Mr Du Mont en France, en Italie, en Allemagne, à Malthe (NDLR : écriture de l'époque) et en Turquie " de l'historiographe de l'Empereur Charles VI Jean Dumont (1667-1727) paru en 1699 (Édition : La Haye : É. Foulque), et son extrait de la lettre des pyramides d’Égypte.
Ce qui est scientifiquement certain, c'est que nous sommes actuellement dans l’impossibilité totale de reproduire cette œuvre, dont la masse totale est d'environ 6,3 millions de tonnes et son volume total de 2.592.000 m3. La marge d’erreur constatée de cet ouvrage, soit 6,3 mm sur ses 5,26 ha, n’est même pas atteinte avec notre technologie actuelle la plus pointue en termes de marge d’erreur, soit la lentille télescopique. Elle a été édifiée à partir de la coudée sacrée, unité de mesure d’alors, se composant de 25 pouces. L’addition des diagonales de la base de la construction s’établit à 25.826,4 pouces, soit à peu près le nombre d’années correspondant à la " Grande Année ", durée de la lente oscillation de l’axe de la Terre pour effectuer un tour complet. Sa pente donne la valeur du nombre dit d’or " Pi " (π soit 3,141…), rapport entre la longueur de la circonférence et la longueur du diamètre d’un cercle. Elle est par ses proportions et son alignement au centre exact de la masse terrestre, son axe est/ouest étant placé sur le plus long parallèle continental, alors que le plus long méridien continental passe également par elle. " Simple hasard ", les chances de trouver cet emplacement étant d'une sur ... trois milliards ! Aucun des couloirs d’accès aux différentes pièces de son intérieur n’est horizontal, aucun point de construction des salles n’est similaire, les galeries ont des tailles et des formes les plus diverses, contrairement à la construction extérieure parfaitement symétrique.
Comme les Mayas, les Chinois, les Japonais, les Incas, toutes les cultures ayant ce type de constructions ont indiqué à chaque fois dans les documents retrouvés qu’elles avaient été construites non par elles, mais par les " Dieux du Soleil ", sous-entendu des races extra-dimensionnelles (galactiques) à la réalité tridimensionnelle terrestre. Leur forme était utilisée au cours du développement de ces civilisations comme temples religieux et initiatiques, points de relais avec le supposé ou prétendu "Royaume céleste ", mais aussi comme centrales d'énergies, captant notamment les énergies du soleil, à travers, entre autres, les panneaux miroirs qui les recouvraient. Elles sont les témoins du grand dessein cosmique unificateur, en tout cas pour sa dimension astrale (la voûte étoilée), nul(le) ne pouvant en l'état des méthodes scientifiques connaître la version supérieure au champ astral, celui-ci étant limité à la quatrième dimension circonscrite à l'espace-temps limité, celui de la vitesse de la lumière (le temps linéaire, chronologique).
Élucubrations mystiques de peuples anciens, qui n’avaient pas été atteint par la salvatrice ère de la raison dite moderne ? Il n’est qu’à se rappeler la fameuse expression de Jean-François Champollion (1790/1832), ce fameux égyptologue français qui fut le premier à déchiffrer les hiéroglyphes, disant que plus on remontait dans l’histoire antique de l’Égypte, plus on avait à faire à une civilisation supérieurement développée, au contraire d’une humanité présente qui, à l’inverse des idées habituellement admises, ne cesse de décliner par l'état de sa corruption endémique et la psychopathie de ses " élites " dirigeantes *².
* Dans une déclaration choc, le chef du Département Archéologique de l’Université du Caire, le Dr Ala Shaheen, n'a pas hésité à dire à un auditoire qu’il pourrait y avoir une théorie selon laquelle des " visiteurs " extraterrestres ont aidé les anciens Égyptiens à construire les plus anciennes pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh. Interrogé par un délégué de la Pologne lui ayant posé la question sur la possibilité que la pyramide puisse contenir de la technologie extraterrestre ou même un OVNI, le Dr Shaheen est resté vague et a répondu " Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui n’est pas de ce monde ".
*² Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.
Cf. en complément le livre " Voyages de Mr Du Mont en France, en Italie, en Allemagne, à Malthe (NDLR : écriture de l'époque) et en Turquie " de l'historiographe de l'Empereur Charles VI Jean Dumont (1667-1727) paru en 1699 (Édition : La Haye : É. Foulque), et son extrait de la lettre des pyramides d’Égypte.
Nombres d'or, expression de la divine proportion
ll existe quatre nombres dits d'or
pour leur caractère sacré, celui d'une divine proportion exprimant une
convenance du tout et des parties entre elles dans les
ouvrages de goût. C'est sur sa base que nombre de " temples "
destinés à être le " corps de Dieu " ont été érigés, comme les
cathédrales chrétiennes d'Europe.
Le premier est Phi (Φ) vaut 1,618... ou pour les puristes (1+√5) / 2. On le désigne par la lettre grecque j (phi) en l’honneur du sculpteur grec Phidias (490/430 avant J. C.) qui décora le Parthénon d’Athènes. Il exprime une harmonie que beaucoup estiment parfaite, qualifiée aussi de divine proportion pour reprendre l’expression utilisée par le moine franciscain et mathématicien Fra Luca Pacioli (1445/1517) dans son livre De Divina Proportione.
Le second est Pi (π), connu comme symbole de l’alphabet grec, est la valeur numérique du rapport entre la longueur de la circonférence et la longueur du diamètre d’un cercle. Également nombre irrationnel, il est présent en mathématiques, géométrie, physique, chimie, statistique. Sa valeur est 3,141... Sa résonance est de nature spatio-temporelle, établissant un canal entre une entité énergétique (personne, objet, événement) avec elle-même ou avec une autre. Il se retrouve autant dans le ratio de tous les os de notre corps (et ceux des animaux) que dans les différents segments d’un éclair ou encore dans les craquelures d’un sol desséché. Autrement dit il permet l’hyper conduction, soit un transfert d’informations entre les différents champs de conscience caractéristiques de l’univers.
Le troisième est Gamma (Γ). Il est le nombre d’or de la gravité, utilisé notamment pour le calcul des courbes des ponts en structure métallique. Il est également de nature irrationnelle. On le doit à l’architecte florentin Filippo BruneIleschi (1377/1446) après son observation de la coupole du Panthéon. Il vaut 1,199...
Le quatrième est e du mathématicien suisse Leonhard Euler (1707/1783) ou du physicien écossais John Napier (1550/1617) - en français Neper. Il est un des plus grandes constantes des mathématiques. C’est une base du logarithme, cette fonction inverse de la fonction exponentielle, dont la valeur approximative est 2,718... Il est utilisé tout particulièrement pour l’étude de nombreux phénomènes naturels, comme la loi de la multiplication ou de la relation entre un et beaucoup. On le trouve en physique (représentation des courants présents dans les circuits électroniques, description des ondes électromagnétiques, de la décadence radioactive), en biologie (étude de la croissance des populations), en chimie, en informatique, en géologie et en sismologie, en astronomie et astrophysique, en mathématiques, en statistique.
Cf. Symbolisme mathématique.

Toutes les grandes traditions initiatiques - l'école grecque des
Mystères d’Éleusis et de Samothrace, l'école des mystères de l’Égypte
antique du temple de Dendérah près de Thèbes, les académies
chaldéenne et juive, les collèges de brahmanes hindous, les Mages de
Perse, les Gymnosophistes d’Éthiopie, les Mystères druidiques... -
enseignaient la résistance de l'être humain au sommeil,
celui de son esprit... Ils concernaient les trois états de
conscience de l’être humain sur terre. D’abord la conscience de la mort
(" l'âme hors "), du " trépas ", soit le troisième pas après la
naissance et la vie dans le corps de chair. Puis l’accès à la
conscience de sa résurrection. Enfin l'accès à celle de son ascension,
de son évolution, soit l'acceptation du divin en soi, sans
séparation, en comprenant et en ressentant qu'il n'y a pas de Dieu
au-dehors, que tous et tout ne font qu'UN. L'incompris devient ainsi l'"
Un compris".
Les sept sacrements de l’Église chrétienne sont tous basés sur les rites d'initiation de l'école égyptienne *, pourtant interdits par l’Église romaine et le pape de Rome depuis le Concile de Nicée de l'an 320...
* Ainsi le repas sacré de l'Eucharistie, la Cène, où le vin symbolisait l'esprit venu du Créateur, le pain le corps de l'incarnation physique, et l'eau ajoutée au vin l'âme, qui enregistrait les expériences d'incarnation de l'individu.
Quant à la Croix, elle symbolisait non la souffrance d'une mort terrible mais l'harmonisation du vertical et de l'horizontal, l'instant où nous parvenons à équilibrer le spirituel et le matériel en nous-mêmes. Clé de la manière dont l'Univers fonctionne, elle est devenue le symbole des additions et des multiplications, soit l'évolution de la vie, non la mort.
Les sept sacrements de l’Église chrétienne sont tous basés sur les rites d'initiation de l'école égyptienne *, pourtant interdits par l’Église romaine et le pape de Rome depuis le Concile de Nicée de l'an 320...
* Ainsi le repas sacré de l'Eucharistie, la Cène, où le vin symbolisait l'esprit venu du Créateur, le pain le corps de l'incarnation physique, et l'eau ajoutée au vin l'âme, qui enregistrait les expériences d'incarnation de l'individu.
Quant à la Croix, elle symbolisait non la souffrance d'une mort terrible mais l'harmonisation du vertical et de l'horizontal, l'instant où nous parvenons à équilibrer le spirituel et le matériel en nous-mêmes. Clé de la manière dont l'Univers fonctionne, elle est devenue le symbole des additions et des multiplications, soit l'évolution de la vie, non la mort.

Ces trois états de conscience étaient symbolisés par des figures
tout particulièrement animales, l’une vivant sous terre pour le
microcosme, l’autre volant à travers les airs pour le macrocosme,
la troisième étant le niveau moyen entre les deux. En Égypte, ce
sont le cobra, le vautour, l’œil droit d’Horus. Au Pérou, il s’agit du
serpent à sonnette, du condor et du puma. Chez les
Amérindiens, ce sont le serpent, l’aigle, le cochon sauvage.
La mythologie christique est basée à travers la passion de Jésus Christ sur la même règle, différant par le fait que le sublime joyau de la renaissance n’est accordé que par la soumission du fidèle et sous condition de jugement dernier de l’être humain à sa croyance en la trinité Père/Fils et Saint Esprit. Autrement dit, le catholicisme, religion se voulant par son appellation universelle (catholique vient du grec katholikos qui signifie " universel ") *, n'est, par son dogme de soumission générateur de culpabilité, qu'un gigantesque programme d'hypnose de la conscience utilisé à l'instar d'autres grandes religions institutionnelles par les Forces de l'Ombre sous couvert de fausse Lumière. Un programme luciférien !
* Cf. L’Église romaine décodée.
La mythologie christique est basée à travers la passion de Jésus Christ sur la même règle, différant par le fait que le sublime joyau de la renaissance n’est accordé que par la soumission du fidèle et sous condition de jugement dernier de l’être humain à sa croyance en la trinité Père/Fils et Saint Esprit. Autrement dit, le catholicisme, religion se voulant par son appellation universelle (catholique vient du grec katholikos qui signifie " universel ") *, n'est, par son dogme de soumission générateur de culpabilité, qu'un gigantesque programme d'hypnose de la conscience utilisé à l'instar d'autres grandes religions institutionnelles par les Forces de l'Ombre sous couvert de fausse Lumière. Un programme luciférien !
* Cf. L’Église romaine décodée.

La Pyramide est considérée comme le symbole de la réunion des forces
terrestres et spirituelles, les nombres 3, 4 et 7 jouant un rôle très
important dans la construction de ce bâtiment. Sa base
carrée est en référence au nombre 4, le Quaternaire, nombre de
l’équilibre des forces de la Nature (le Vivant) opposées deux à deux,
celles de la stabilité terrestre. Ainsi les quatre éléments
(terre, eau, air, feu), correspondant aux quatre évangélistes du
référentiel chrétien.
Elle pointe vers le ciel en triangle, symbolisant le Ternaire spirituel du nombre 3, soit le mouvement circulaire du monde de l’esprit (unité, division, réunion).
Le résultat fait donc 7 en son tout, référence à un nombre qui était pour les Égyptiens la communion entre la Terre et le Divin, celui de la transcendance et du sens, le Quaternaire matériel reposant sur le Ternaire spirituel. Ce nombre 7 se tient ainsi à l’horizon de l’éternité, dévoilant tout ce qui est lié à la Création, plus exactement à Ce Qui Est.
Le sommet inachevé de la pyramide lui confère avec sa base six faces : le nombre 6 symbolise l’imperfection chez les Égyptiens, celle de notre Terre aujourd’hui par son appartenance au champ de l'astral dominé par les Forces des Ténèbres et non de La Lumière. Le rajout d’un sommet débouchera sur 5 faces, chiffre qui symbolise l’initiation divine, celle de l'Amour de Ce Qui Est, lorsque les imperfections humaines auront été éliminées par l'épuration de la matière viciée, le venin archontique …
Pythagore affirmait que la loi de l'Univers était celle du nombre. En appréhendant avec discernement ce qui se passe dans le Ciel par les codes et les signes comme les mathématiques et les nombres, l’être humain appréhende sa propre condition ...
Cf. Symbolisme mathématique.
Elle pointe vers le ciel en triangle, symbolisant le Ternaire spirituel du nombre 3, soit le mouvement circulaire du monde de l’esprit (unité, division, réunion).
Le résultat fait donc 7 en son tout, référence à un nombre qui était pour les Égyptiens la communion entre la Terre et le Divin, celui de la transcendance et du sens, le Quaternaire matériel reposant sur le Ternaire spirituel. Ce nombre 7 se tient ainsi à l’horizon de l’éternité, dévoilant tout ce qui est lié à la Création, plus exactement à Ce Qui Est.
Le sommet inachevé de la pyramide lui confère avec sa base six faces : le nombre 6 symbolise l’imperfection chez les Égyptiens, celle de notre Terre aujourd’hui par son appartenance au champ de l'astral dominé par les Forces des Ténèbres et non de La Lumière. Le rajout d’un sommet débouchera sur 5 faces, chiffre qui symbolise l’initiation divine, celle de l'Amour de Ce Qui Est, lorsque les imperfections humaines auront été éliminées par l'épuration de la matière viciée, le venin archontique …
Pythagore affirmait que la loi de l'Univers était celle du nombre. En appréhendant avec discernement ce qui se passe dans le Ciel par les codes et les signes comme les mathématiques et les nombres, l’être humain appréhende sa propre condition ...
Cf. Symbolisme mathématique.

La célèbre pyramide conçue par le psychologue nommé Maslow éclaire
sur le parcours de conscience que l’être humain a à réaliser *, et dont
les étapes correspondent à différents centres
énergétiques qui sont en lui, associés à des organes spécifiques du
corps biologique se trouvant en correspondance avec l’architecture
physique de l’univers.
Les niveaux de conscience sont variables suivant les concepteurs de pyramides et leur appartenance civilisationnelle (Égyptiens, Incas, Mayas), allant de 7 à 13. Les sept premiers niveaux correspondent au système glandulaire, à savoir les glandes endocrines et exocrines du corps physique, dont les plus élevées sont au niveau de la tête et considérées comme encore embryonnaires dans leur potentialité (glande pinéale et glande pituitaire). Ils correspondent également aux sept mondes au sein desquels évoluent tous les êtres de l'Univers, tels qu’enseignés dans le Bouddhisme et dans la Kabbale (Mondes des Bouddhas, des devas ou dieux, des asuras ou demi-dieux, des humains, des démons, des êtres malheureux, et le Monde infernal ou Enfer).
Les six niveaux suivants correspondent à des centres énergétiques puissants du corps humain, comme le cœur, l’appareil génital, la gorge… Les hindouistes les nomment chakras *². Ils sont associés à une fonctionnalité (par exemple la voix pour la gorge) déterminante pour la réalisation dans toute sa puissance de l’être humain. Aussi leurs connaissance et développement s’avère déterminante.
Tout en haut de la pyramide, ce que Maslow nomme le besoin d’épanouissement, réside le centre de rattachement de l’être humain à l’univers, son appartenance universelle. Il est symbolisé par le Troisième Œil, cette pastille rouge portée dans la culture hindouiste, et que nombre de traditions ésotériques utilisent dans leur symbolique. Reste à savoir quel chemin privilégie l'ouverture du Troisième Œil par l'être humain, celui de l'évolution ou de l'involution ...
* Cf. Processus de transformation de conscience.
Les niveaux de conscience sont variables suivant les concepteurs de pyramides et leur appartenance civilisationnelle (Égyptiens, Incas, Mayas), allant de 7 à 13. Les sept premiers niveaux correspondent au système glandulaire, à savoir les glandes endocrines et exocrines du corps physique, dont les plus élevées sont au niveau de la tête et considérées comme encore embryonnaires dans leur potentialité (glande pinéale et glande pituitaire). Ils correspondent également aux sept mondes au sein desquels évoluent tous les êtres de l'Univers, tels qu’enseignés dans le Bouddhisme et dans la Kabbale (Mondes des Bouddhas, des devas ou dieux, des asuras ou demi-dieux, des humains, des démons, des êtres malheureux, et le Monde infernal ou Enfer).
Les six niveaux suivants correspondent à des centres énergétiques puissants du corps humain, comme le cœur, l’appareil génital, la gorge… Les hindouistes les nomment chakras *². Ils sont associés à une fonctionnalité (par exemple la voix pour la gorge) déterminante pour la réalisation dans toute sa puissance de l’être humain. Aussi leurs connaissance et développement s’avère déterminante.
Tout en haut de la pyramide, ce que Maslow nomme le besoin d’épanouissement, réside le centre de rattachement de l’être humain à l’univers, son appartenance universelle. Il est symbolisé par le Troisième Œil, cette pastille rouge portée dans la culture hindouiste, et que nombre de traditions ésotériques utilisent dans leur symbolique. Reste à savoir quel chemin privilégie l'ouverture du Troisième Œil par l'être humain, celui de l'évolution ou de l'involution ...
* Cf. Processus de transformation de conscience.

Le sarcophage ouvert dans la Chambre du Roi de la Grande Pyramide,
dite de la Lumière blanche, n’est pas le symbole d’un tombeau. Il n’a
pas en effet de couvercle, à la différence de ceux trouvés
dans la Vallée des Rois, qui abritent les hypogées de nombreux
pharaons du Nouvel Empire et de leur famille. Le champ magnétique
terrestre y est à zéro, aucune onde de radiation électromagnétique
ne pouvant franchir ses murs à l'instar d'une cage de Faraday, et
les proportions de cette chambre, bloc unique de granite de quartz rose,
sont syntonisées sur le corps humain sur la base de
fréquences électriques élevées.
Cette élévation de la fréquence corporelle par le détachement du magnétisme terrestre signifie une époque à venir, où la mort n’existe plus. Soit l’Immortalité - l'" éther-nité " -, non pas celle propre à la vie terrestre qui n’est qu’un passage, mais celle qui représente la " vraie " Vie, lumineuse à jamais une fois l’ouverture de conscience réalisée. Mais si la Grande Pyramide est un tremplin vers la réincarnation de l'initié décidé à servir La Lumière, elle constitue également celui que l'initié servant les Forces de l'Ombre privilégie pour tenter de s'assurer sa continuité à la tête des pyramides asservissantes terrestres !
Ce passage dans cette chambre, aboutissement d’un long périple initiatique commencé dans les entrailles de la Pyramide (dans une fosse à serpents) pour apprendre à s'affranchir progressivement de toutes les peurs constitutives de l'ego-mental, servait aux initiés (+ et -) d’alors d’endroit de projection de leur conscience une fois débarrassés des affres de la dualité. Elle permettait également les soins de régénération de leur organisme, nécessaires après avoir surmonté leurs peurs cachées ou inconscientes dans la Chambre inférieure, dite de la Lumière noire ou " le puits ", et d'être ensuite passés par la Chambre de la Reine, dite d’équilibre de tous les aspects de la personnalité, psychologiques, émotionnels et physiques *. Le corps pouvait alors se libérer de la Terre et d’Osiris par l’intervention de l’âme solaire de Râ - l'Esprit -, et redevenir universel.
* L'expérience était censée effacer les voies neurales négatives du cerveau.
Cette élévation de la fréquence corporelle par le détachement du magnétisme terrestre signifie une époque à venir, où la mort n’existe plus. Soit l’Immortalité - l'" éther-nité " -, non pas celle propre à la vie terrestre qui n’est qu’un passage, mais celle qui représente la " vraie " Vie, lumineuse à jamais une fois l’ouverture de conscience réalisée. Mais si la Grande Pyramide est un tremplin vers la réincarnation de l'initié décidé à servir La Lumière, elle constitue également celui que l'initié servant les Forces de l'Ombre privilégie pour tenter de s'assurer sa continuité à la tête des pyramides asservissantes terrestres !
Ce passage dans cette chambre, aboutissement d’un long périple initiatique commencé dans les entrailles de la Pyramide (dans une fosse à serpents) pour apprendre à s'affranchir progressivement de toutes les peurs constitutives de l'ego-mental, servait aux initiés (+ et -) d’alors d’endroit de projection de leur conscience une fois débarrassés des affres de la dualité. Elle permettait également les soins de régénération de leur organisme, nécessaires après avoir surmonté leurs peurs cachées ou inconscientes dans la Chambre inférieure, dite de la Lumière noire ou " le puits ", et d'être ensuite passés par la Chambre de la Reine, dite d’équilibre de tous les aspects de la personnalité, psychologiques, émotionnels et physiques *. Le corps pouvait alors se libérer de la Terre et d’Osiris par l’intervention de l’âme solaire de Râ - l'Esprit -, et redevenir universel.
* L'expérience était censée effacer les voies neurales négatives du cerveau.

Le voyage funéraire des pharaons
Dans la Grande Pyramide s’effectuait
le rite de l’élévation de l’âme des premiers pharaons pour (tenter)
accéder à l'Esprit universel. Ce rituel nommé le
KRST (mise en terre) avait initialement pour objectif de
transcender l’âme du roi défunt afin qu’elle puisse refaire le voyage
stellaire d’Horus - Heru - (Cf. image
ci-dessous) en tant que Neb-Heru et Neb-Benu. Autrement dit, son principal objectif consistait à transcender
l'âme d'Osiris, le Masculin sacré, de façon à ce qu'elle se retrouve dans le corps de son fils posthume Horus une fois les noces chymiques réalisées, soit la réintégration du Féminin
sacré en soi (Isis). Le roi défunt devait à la fois retrouver
le corps d’Osiris dans le ciel en passant par les stades de
transformation en soleil nocturne et en soleil diurne. Au fil du
temps, le fonctionnement initial de la " grande Mer " (pyramide) fut
délaissé et elle fut utilisée comme plate-forme initiatique pour
transcender des initiés triés au préalable. C'est bel et bien
au cœur de la Grande pyramide que la Reine Isis donna naissance à
Horus, personnification de l’Étoile du Matin, autrement dit symbole de
la résurrection d'Osiris son époux assassiné par son frère
noir Seth. De la compréhension de ce mythe initiatique découle celle
de la fable de l’Église romaine avec sa trinité Père Fils et St Esprit
et le martyr inventé du Christ Jésus, le Saint Esprit
s'étant substitué au Féminin sacré (Isis) pour consacrer le triomphe
de la " père-version " que continue d'honorer à travers le monde la
multitude de fidèles croyants illusionnés.
Le voyage du roi défunt au pays des morts (le Duat) * suivait une route précise, extrêmement coordonnée. Il s'effectuait obligatoirement par la traversée du Nil du sud vers le nord. Dans l'antiquité, le parcours démarrait par l'antique nécropole des rois qui était Khentamentiu, l'ancienne Abydos, localité étroitement liée à Osiris. La traversée du fleuve sacré s'effectuait souvent à la rame à l'aller, en suivant le courant, du côté occidental du Nil. L'occident figurait la mort car c'est dans cette direction que se trouvait l'A'amenpteh corrompue détruite (l'Atlantide). Le sarcophage était accompagné de prêtres et de prêtresses ainsi que des pleureuses dont la mission était de reproduire les lamentations d’Isis *² et Nephtys. Le point culminant de la procession se situait entre Memphis et Gizeh. La moitié du voyage du roi défunt s’effectuait sur l’Urenes, le Nil souterrain. Les prêtres initiés connaissaient très bien son accès. Après une lente traversée le long du Nil secret, le corps était convoyé jusqu’aux tunnels de Restau (ou Ro-setau), sous le plateau de Gizeh. Le corps du pharaon était ensuite déposé dans la Grande pyramide, dans le sarcophage de " la chambre du roi " afin de subir un rituel de résurrection semblable à celui qu'Osiris avait reçu initialement au même endroit.
Le chemin à suivre pour retrouver le corps d’Osiris dans le ciel était manifestement en relation avec les quatre conduits de la Grande Pyramide reliés à la chambre dite " du roi " (chambre d’Osiris) et celle de " la reine " (chambre où Isis donna naissance à Heru). Ces conduits semblent pointer vers certaines étoiles, tel que l'indique la traduction d'un texte sacré dit des Sarcophages : " Qu'il puisse traverser le firmament ! Qu'il puisse parcourir les Cieux ! Qu'il puisse voyager en paix sur les bonnes routes sur lesquelles voyagent les Bienheureux ! […] Dispose Sah (Orion) et Meshtiu (la Grande Ourse) en tant qu'étoiles du pays ! Eloigne-les du grand côté droit vers l'escalier du bassin du papyrus à l'endroit de naviguer vers le Sud, dans le lac des récompenses et dans le fleuve des offrandes, à l'endroit où se trouve Osiris ! […] C'est ledit Osiris N, efficace et justifié, qui a abordé avec lui à l'endroit où se trouve Osiris […] ".
* Il est évoqué dans " Scoop ", film américain réalisé par Woody Allen sorti en 2006 (Cf. photo).
*² Également Hathor ou Hut-Heru, soit la " demeure " à entendre comme matrice ou utérus d'Horus.

Technologie de " résurrection "
Elle était basée sur un pilier nommé "
Djed " (Cf. image), positionné à un endroit adéquat dans la cage de
Faraday qu'est la chambre du roi dans la grande pyramide.
Celui-ci était en effet un condensateur électromagnétique d'énergie
libre * lorsqu'il était placé sur une ligne tellurique spécifique, comme
par exemple le site de Gizeh. Le Djed avait
pour fonction d'assurer la " résurrection dans la stabilité et la durée ". Autrement dit, il avait
comme fonction de condenser, canaliser, inverser les
polarités de cette énergie électromagnétique pour produire des
ouvertures entre les dimensions de l'univers, les fameuses portes du
temps. En quelque sorte, il assurait une vie de longue durée,
d'où son nom " djed " qui précisément signifie stabilité et durée.
Son édification a été utilisée dans des rituels très anciens, et
renouvelle l'acte d'Horus signalé dans les textes de Thot à
Edfu.
* Cette énergie fine, subtile et infinie, est produite par la rotation du globe terrestre, et non par la grille magnétique terrestre en forme de fleur de vie qui n'est que la résultante d'une manipulation technologique de cette énergie libre. Elle a eu pour effet de la concentrer en un maillage-prison électromagnétique, qui piège les âmes humaines dans des cycles de réincarnation au service du corpus prédateur de 4ème densité (Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante). Explication complète de son fonctionnement dans Fonctionnement de l'architecture du Vivant - Les ondes scalaires.

La pyramide de Khéops par le soleil s'y reflétant est un générateur
électrique utilisé pour ouvrir les portes de l'espace-temps. A l'instar
d'une centrale psychotronique, elle a pour objectif
d'influencer le cortex d’un individu par l'émission de simples
ondes. Les autres pyramides dans le monde serv(ai)ent de relais aux
ondes émises par certaines constellations du champ astral,
telles Orion ou Andromède, ou par des étoiles comme Sirius ou
Aldébaran, et relayées à partir de celles du plateau de Gizeh. Si toute
l’humanité s’apprêtait à rentrer dans une phase d’influx
célestes, les prêtres égyptiens pouvaient ainsi émettre une onde
pour en atténuer les effets. Ainsi les pyramides et d’autres édifices
furent et sont des méta machines, véritables outils de
réajustement et de " protection " de l’humanité pour le système
prédateur dans sa globalité, au service de leurs mandants dévoyés, les
gardien(ne)s de l'expérimentation de la matière terrestre
placée sous la responsabilité des Forces de l'Ombre et des Ténèbres
dans le grand Jeu du Vivant *.
La civilisation égyptienne a représenté un nouvel élan de
l'évolution de la civilisation humaine en cours de déploiement par les
survivants de l'Atlantide, la cinquième. A la différence de la
civilisation orientale qui de son côté enseignait que la matière
n'était que mâyâ, illusion, elle a initié le travail de la
matière, la façon de la couper, la sculpter et l'imprégner
d'intentions sacrées, jusqu'à rendre chaque particule de l'univers
spirituelle. Elle a ouvert de ce fait toute l'approche initiatique d'une
société bâtisseuse, prémices des millénaires qui vont
suivre caractéristiques de la prégnance occidentale dans le
fonctionnement matérialiste terrestre. Cette conception de l’œuvre - le
bâti - issue de la matière, comme la construction des églises
et cathédrales du Moyen-Age et l'art de la Renaissance en Occident
chrétien, va engendrer l'approche alchimique et le soufisme ainsi que le
développement de confréries initiatiques de
maîtres-bâtisseurs à l'initiative des Templiers, les Francs-Métiers,
qui par la suite déboucheront sur la Franc-maçonnerie spéculative.
Malheureusement, pas pour le meilleur de l'évolution de la
conscience humaine *² en cette fin de cyclicité placée sous la
férule du transhumanisme *³, sauf pour celles et ceux ayant découvert et compris le
fonctionnement des polarités lucifériennes, et décidé(e)s à s'en extraire par le retour à leur Unité originelle ...
* Le Jeu de la Vie & Compréhension structurelle de la Matrice asservissante.
*² La nouvelle religion universelle.*³ Conscience du XXI° siècle.
Le sens de l'évolution humaine par les Rois Mages
Ces trois Rois venus d'Orient, un
blanc, un jaune, un noir *, suivent une étoile les guidant à l'endroit
d'un enfant naissant, le Christos ou
Kiristos (cristal). Un cristal pur laisse passer la lumière
sans résistance. Il fait le lien entre le monde invisible, subtil,
celui de l'Esprit, et le monde de la matière, celui de la
trinité corps/âme/esprit. Il représente la matière alignée,
immobile, qui reçoit la lumière de l'étoile céleste. Il enseigne le lien
entre la vie et la mort, l'" éther-nité "
(l'immortalité).
* Les trois Rois Mages sont typiquement issus d'une symbolique patriarcale basée sur le ternaire et non le quaternaire représentatif de la nature (Cf. Symbolisme des neuf premiers nombres). Est exclue la quatrième couleur, celle du peuple Rouge associé à l'élément terre, qui se retrouve en fait représenté par Balthazar, alors que le peuple Noir est associé à l'élément eau. On retrouve la couleur rouge manquante dans le processus de transmutation alchimique : quand le vin blanc, élément masculin, est versé dans une coupe, soit un calice d’or (jaune), élément féminin, il prend la couleur rouge (Cf. Le chemin alchimique).
Melchior

Il est le représentant du peuple " blanc ", soit le Feu du haut, la Lumière. Il apporte l'or, signifiant en hébreu - aour -
Lumière.
Gaspard

Représentant du peuple " jaune ", il
relie le souffle du haut (soit l'élément air), l'Esprit, avec le corps
mortel du bas, par l'encens (" en sens ").
Balthazar

Représentant
du peuple " noir ", il possède l'énergie de la terre, celle des forces
d'en bas. Il apporte la myrrhe, encens servant à
embaumer les morts.
Le détournement profane du sens de la Pyramide
Si le principe d'enseignement dispensé au sein de la grande pyramide
reposait initialement sur des fondements justes, il a cependant été
progressivement détourné par la prêtrise " païenne " au
profit exclusif de l'élite royale régnante, se trouvant sous
l'emprise psychique d'une nature extraterrestre involutive, la prédation
archontique de 4ème dimension régnant sur la galaxie solaire
de la planète Terre *. Il s'agissait pour elle de s'assurer d'une
réincarnation dans la matière, cette dimension limitée en 3-D *²
autorisant jouissance matérialiste de l'avoir, du pouvoir et du
paraître à titre éternel. Il ne s'agissait pas de permettre à l'âme
de s'en extraire afin de continuer par son épuration son ascension dans
d'autres dimensions supérieures gouvernées par les
Forces de la Lumière, intermédiaires avec La Source, le Tout, l'UN,
mais tout au contraire de la conduire à rester par le cycle karmique de
la réincarnation au sein de la matrice d'appartenance
corrompue.
La manipulation des esprits a ainsi créé l'illusion de la recherche de l'immortalité - l'" éther-nité " - par l'élévation de la conscience à travers le rituel initiatique sous contrôle de la prêtrise dévoyée, celle-ci n'ayant pour objectif que de recycler l'âme dans la dimension terrestre, et continuer à servir par-là même aux dieux asservisseurs leur nourriture psycho-émotionnelle ... Ainsi le soi-disant divin céleste, celui du " haut ", n'était ni plus ni moins que limité à la dimension en 4-D, soit le bas astral rempli de ses fausses icônes divines (dieux, déesses, saints, anges, archanges...), priées depuis avec ferveur à travers le monde et ses fausses religions par des milliards de croyants et fidèles illusionnés, et de ce fait constitutives d'égrégores involutifs puissants. C'est ce que nous retrouvons par ailleurs aux XX° et XXI° siècle avec tous les gogos " thérapeutes gurus " du mouvement New Age (voyants, médiums, " channels ", mages, énergéticiens ...), qui, eux-mêmes manipulés et illusionnés *⁴, croient aider souvent de manière sincère les êtres humains dans leur relation au divin céleste, alors qu'ils ne font que les maintenir dans une nasse morbide par la prédation archontique effectuée par leur canal psychique intermédiaire. La seule voie d'échappatoire réside dans la construction de son temple intérieur, le Soi supérieur ou supra-mental, nécessitant pour ce faire le changement profond et drastique de ses croyances et conditionnements afin d'ouvrir les portes des dimensions supérieures, au-delà du plafond de verre de la matrice asservissante.
* La nouvelle religion universelle.
*² La falsification de la réalité en 3-D.
*³ L'état de cohérence, voie de sa liberté.
*⁴ Contrôle mental & Prédation spirituelle et voie de sortie.
La manipulation des esprits a ainsi créé l'illusion de la recherche de l'immortalité - l'" éther-nité " - par l'élévation de la conscience à travers le rituel initiatique sous contrôle de la prêtrise dévoyée, celle-ci n'ayant pour objectif que de recycler l'âme dans la dimension terrestre, et continuer à servir par-là même aux dieux asservisseurs leur nourriture psycho-émotionnelle ... Ainsi le soi-disant divin céleste, celui du " haut ", n'était ni plus ni moins que limité à la dimension en 4-D, soit le bas astral rempli de ses fausses icônes divines (dieux, déesses, saints, anges, archanges...), priées depuis avec ferveur à travers le monde et ses fausses religions par des milliards de croyants et fidèles illusionnés, et de ce fait constitutives d'égrégores involutifs puissants. C'est ce que nous retrouvons par ailleurs aux XX° et XXI° siècle avec tous les gogos " thérapeutes gurus " du mouvement New Age (voyants, médiums, " channels ", mages, énergéticiens ...), qui, eux-mêmes manipulés et illusionnés *⁴, croient aider souvent de manière sincère les êtres humains dans leur relation au divin céleste, alors qu'ils ne font que les maintenir dans une nasse morbide par la prédation archontique effectuée par leur canal psychique intermédiaire. La seule voie d'échappatoire réside dans la construction de son temple intérieur, le Soi supérieur ou supra-mental, nécessitant pour ce faire le changement profond et drastique de ses croyances et conditionnements afin d'ouvrir les portes des dimensions supérieures, au-delà du plafond de verre de la matrice asservissante.
* La nouvelle religion universelle.
*² La falsification de la réalité en 3-D.
*³ L'état de cohérence, voie de sa liberté.
*⁴ Contrôle mental & Prédation spirituelle et voie de sortie.

De chef spirituel à chef temporel
Dans l'histoire traficotée enseignée
par la Bible *, Abraham et Moïse mandatés par Dieu sont les chefs
spirituels comme politiques de leur peuple. Une fois celui-ci
installé en Terre promise, le roi devient par essence politique, la
transition ayant eu lieu. Il fait des compromis, et par définition il
est compromis. En se présentant à la cour du souverain
d'Israël Achab alors régnant, et qui persécute ceux qui sont restés
fidèles au Dieu de Moïse sous l'influence de Jézabel son épouse *², le
prophète Élie exprime sévèrement sa colère contre les
dirigeants éloignés des idéaux spirituels. Ce n'est que le début, ou
plutôt la continuité d'une longue liste de tyrans psychopathes, souvent
maquillés sous des atours avenants ...
* Cf. Le Judaïsme décodé.
*² Jézabel vénérait Ba'al, le grand esprit de Saturne associé à Satan.

La seule raison d’être du pouvoir au sens profane, c’est le contrôle
de quelque chose d’important pour d’autres personnes au moyen de la
structure d'appartenance, appelée judicieusement et
hypocritement "personne morale ", première étape du conditionnement
des esprits … Cette personne morale, la Nation, l’institution,
l’entreprise… rassemble et fédère. Pour ce faire, et quoi qu’ils
soient –homme ou femme d’État, dirigeant d’entreprise, homme
d’affaires et entrepreneur, financier, artiste, orateur, prédicateur
philosophe ou religieux, … -, les hommes et les femmes
vraiment puissants utilisent invariablement le principe masculin
électrique de la volonté mentale, le pouvoir du " Je ". C'est à cette
capacité de suggestion hypnotique source de fascination pour
les autres qu'ils doivent matériellement leur force. Au lieu de
vivre sur les impressions créées dans leur esprit par celui d'autres,
ils dominent leur propre esprit par leur volonté
inébranlable, déterminée, ce qui leur permet d'obtenir la
représentation mentale de ce qu'ils désirent. Leur égo-mental * ne fait
que dire " Je suis différent de toi ", " Je suis
meilleur, plus méritant, plus fort, plus combatif, plus imaginatif que toi et les autres " et, d’une manière ou d’une autre, grâce à mon jugement, " Je saurai si je suis inférieur ou
supérieur à l’autre ".
De la même façon, poussés la plupart du temps par leur ambition personnelle, leur soif insatiable de conquêtes *² et leur besoin d'imposer, ils dominent l'esprit des autres individus, implantant leurs pensées dans l'esprit des foules et obligeant celles-ci à entretenir des idées conformes à leurs désirs et à leurs volontés, parlant plus volontiers d’éduquer (ainsi l’Éducation Nationale) que d’instruire. C'est pour cette raison que les foules se laissent mener comme des troupeaux, ne manifestant jamais une pensée originale et ne se servant même pas de leur propre pouvoir d'activité mentale, faute d’en avoir conscience.
* Cf. Décryptage de l'égo.
*² Cette dynamique de croissance du moi individuel au moi collectif a donné naissance à des tribus, puis des villages, des villes, des royaumes (nations) et des empires. Si ceci impressionne l'esprit faible car illusionné, ces conquérants célébrés ne sont que des " cons (qu') errants " dans la Matrice viciée de la prédation de l’Âme. Tel nous l'enseigne la langue des oiseaux ...
De la même façon, poussés la plupart du temps par leur ambition personnelle, leur soif insatiable de conquêtes *² et leur besoin d'imposer, ils dominent l'esprit des autres individus, implantant leurs pensées dans l'esprit des foules et obligeant celles-ci à entretenir des idées conformes à leurs désirs et à leurs volontés, parlant plus volontiers d’éduquer (ainsi l’Éducation Nationale) que d’instruire. C'est pour cette raison que les foules se laissent mener comme des troupeaux, ne manifestant jamais une pensée originale et ne se servant même pas de leur propre pouvoir d'activité mentale, faute d’en avoir conscience.
* Cf. Décryptage de l'égo.
*² Cette dynamique de croissance du moi individuel au moi collectif a donné naissance à des tribus, puis des villages, des villes, des royaumes (nations) et des empires. Si ceci impressionne l'esprit faible car illusionné, ces conquérants célébrés ne sont que des " cons (qu') errants " dans la Matrice viciée de la prédation de l’Âme. Tel nous l'enseigne la langue des oiseaux ...

Au-delà des qualités caractérielles magnétiques de la personne qui
se voit dotée de cet attribut nommé pouvoir, total ou partiel, son
efficacité est liée à deux choses.
D’abord à la durée de vie de la structure qu’elle représente, infiniment plus longue en principe que celle des individus qui la composent, ce qui relativise hors apparences entretenues les relations affectives tissées. La structure n’existe donc que par celles et ceux (les courtisans) qui y adhèrent, volontairement ou par nécessité, leur assurant par ce rôle protecteur survie et subsistance.
Ensuite aux ressources organisationnelles que le dirigeant met en œuvre et dont il dispose, ainsi qu’à sa bonne compréhension de la nature humaine, afin d’orienter par tout artifice ou astuce tous les " chacun pour soi " vers la réalisation de l’objectif défini, quantifié et qualifié. En effet, le pouvoir est d’essence relationnelle, tout le reste n’étant qu’artifices (titre, diplôme, position…) destinés soit à flatter l’égo de leur détenteur, soit à susciter la crainte pour obtenir ce que l’on attend ou espère. L’inévitable réciprocité que sous-tend toute relation humaine, aussi déséquilibrée puisse-t-elle paraître, enlève de ce seul fait tout caractère absolu au pouvoir. Il n’est que relatif, lié à une inévitable négociation et à l’obtention d’un compromis, explicite comme implicite, entre les parties concernées aux intérêts multiples et par là-même contradictoires pour obtenir l’énergie, le travail et la production attendus pour le besoin de survie de la structure. C’est bien sûr l’intelligence relationnelle comme situationnelle, propre au contexte donné, qui fait la différence.
Entre l’idéal inaccessible frustrant et la schizophrénie, ceci permet au détenteur du pouvoir de préserver son équilibre personnel, et de ne pas s’épuiser sur la vaine recherche d’un soi-disant intérêt général qui n’est que la projection, la plupart du temps de très bonne foi, de ce que chaque groupe et chacun considèrent devoir être. Rêver d’un idéal d’intentionnalité bien conscientisé par chacun des acteurs au service de l’intérêt commun conduit à une impasse anthropologique, qui plus est culpabilisante pour les personnes qui ne pourraient que se mettre alors en posture défensive. L’exercice du pouvoir n’est ainsi rien d’autre que la régulation des intérêts de chacun, avec toute la panoplie des moyens que chacun se donnera, pour le meilleur comme pour le pire.
Cependant, pour lui donner toute la parure de légitimité revêtue, un substrat " surnaturel " s’avère indispensable.
D’abord à la durée de vie de la structure qu’elle représente, infiniment plus longue en principe que celle des individus qui la composent, ce qui relativise hors apparences entretenues les relations affectives tissées. La structure n’existe donc que par celles et ceux (les courtisans) qui y adhèrent, volontairement ou par nécessité, leur assurant par ce rôle protecteur survie et subsistance.
Ensuite aux ressources organisationnelles que le dirigeant met en œuvre et dont il dispose, ainsi qu’à sa bonne compréhension de la nature humaine, afin d’orienter par tout artifice ou astuce tous les " chacun pour soi " vers la réalisation de l’objectif défini, quantifié et qualifié. En effet, le pouvoir est d’essence relationnelle, tout le reste n’étant qu’artifices (titre, diplôme, position…) destinés soit à flatter l’égo de leur détenteur, soit à susciter la crainte pour obtenir ce que l’on attend ou espère. L’inévitable réciprocité que sous-tend toute relation humaine, aussi déséquilibrée puisse-t-elle paraître, enlève de ce seul fait tout caractère absolu au pouvoir. Il n’est que relatif, lié à une inévitable négociation et à l’obtention d’un compromis, explicite comme implicite, entre les parties concernées aux intérêts multiples et par là-même contradictoires pour obtenir l’énergie, le travail et la production attendus pour le besoin de survie de la structure. C’est bien sûr l’intelligence relationnelle comme situationnelle, propre au contexte donné, qui fait la différence.
Entre l’idéal inaccessible frustrant et la schizophrénie, ceci permet au détenteur du pouvoir de préserver son équilibre personnel, et de ne pas s’épuiser sur la vaine recherche d’un soi-disant intérêt général qui n’est que la projection, la plupart du temps de très bonne foi, de ce que chaque groupe et chacun considèrent devoir être. Rêver d’un idéal d’intentionnalité bien conscientisé par chacun des acteurs au service de l’intérêt commun conduit à une impasse anthropologique, qui plus est culpabilisante pour les personnes qui ne pourraient que se mettre alors en posture défensive. L’exercice du pouvoir n’est ainsi rien d’autre que la régulation des intérêts de chacun, avec toute la panoplie des moyens que chacun se donnera, pour le meilleur comme pour le pire.
Cependant, pour lui donner toute la parure de légitimité revêtue, un substrat " surnaturel " s’avère indispensable.
De la langue de bois
Cette pratique est fondée sur le vide
du sens, à partir d'" expressions toutes faites " juxtaposées, souvent
dites avec sincérité par leurs auteurs... Le manque de
discernement et de réflexion quant à la pertinence de leur contenu
par les récepteurs auxquels elles s'adressent expliquent leur succès.
Les moyens de détection de la langue de bois sont la non
compréhension des phrases assénées, l'emploi de mots peu courants ou
d'expressions à la mode, la sophistication des tournures, et
l'ambiguïté du discours.
Tout pouvoir sur autrui, qu'il soit de nature laïque ou sacerdotale,
est de ce fait religieux, c'est-à-dire sacralisé pour avoir substance.
Le mot Religion, du latin religio, exprime
trois choses : la piété (au sens respect des règles qui sont les piliers d'une religion), l'attention à (religens opposé à negligens,
soit négliger),
et le fait de relier ensemble, par exemple des idées. C'est un
corpus de doctrines, un ensemble de croyances cohérentes et
consistantes, avec les préceptes et les interdits qui en découlent. Il
peut s'appliquer à l'administration du pouvoir temporel, politique,
comme à un pouvoir sacerdotal (une religion au sens traditionnel), comme
à la science dans ses différents domaines. Si les
personnes religieuses au sens sacerdotal attribuent aux phénomènes
la volonté de quelque Être posé comme principe (Dieu), et agissent par
la vertu des sacrifices, de la dévotion ou de
l’invocation, d'autres comme les personnes scientifiques croient aux
Lois de la Nature et à la relation de cause à effet sans aucune
interférence arbitraire. Sortie de son appartenance et de sa
dépendance à l'une ou l'autre, une troisième voie se présente, celle
des " philosophes rois ", consistant en la connaissance et l'emploi des
forces naturelles comme avantage technique contre un
autre ensemble. Autrement dit, elle se veut la science et l’art de
provoquer du changement en conformité avec sa propre volonté. Elle
permet de se réapproprier son véritable pouvoir au sein de la
Nature et de l'Univers. Reste à savoir ce que nous désirons en faire
et de quelle façon nous l'utilisons...
La sacralisation du rêve
En démocratie, les idéaux proclamés
par tout gouvernant à " ses " sujets reposent sur le concept abstrait de
Liberté, citoyenne comme de marché. Cette assise de
programme collectif a pourtant pour objectif la domination. En
effet, plus la liberté est censée garantie par les idéalités dont on la
pare, plus l’emprise prend appui sur ce concept vaporeux de
liberté. C’est ainsi que l’idée abstraite de liberté se change en
levier de la rédemption pseudo démocratique des individus. Et, la
plupart du temps, il n'y a nulle hypocrisie consciente
d’elle-même qui exprime ce culte d'idéalité, l’homme aimant
sincèrement s’en auto-glorifier. Il ne remarque nullement qu'il se
vassalise en retour à la force déployée pour la permettre, la
défendre, la maintenir. C'est la notion de servitude volontaire
explicitée par l'écrivain et poète Étienne de La Boétie
(1530/1563).
L’homme croit aisément ce qu’il désire. Il s’agit d’une clé universelle de l'art de la politique, permettant de mettre sous hypnose les êtres humains à l’écoute des songes et rêves racontés par ses tribuns experts. Tel Napoléon s'écriant à ses troupes "Du haut de ces pyramides, quarante siècles vous contemplent " , les foules ignorantes ne sont que les instruments du rêve de gloire et de son éternité dans la mémoire collective du conquérant. Les grandes théologies du Livre sacré l'ont parfaitement compris pour entretenir le mythe d'une terre promise tout en affichant pourtant des incompatibilités radicales entre elles, sans que cette absurdité dérange leurs fidèles croyants, ceux-ci pensant avec force de conviction que le dogme de leur religion prévaut sur ceux des autres. Cette absurdité contre-existentielle est le terreau de tous les conflits géopolitiques, alors que ces mêmes croyants ne font que psalmodier les versets de leur religion soit-disant d'amour.
Élaboration d'une croyance collective
Coincé entre les guerres saintes et les guerres politiques, l'homme
s’est fait balader à fond jusqu’à ce qu’il tombe dans la der des ders,
la guerre économique. Notre vécu d'humanité depuis des
millénaires * de culture d'oppression n’est que séparation, guerre,
affrontement, et tout ça sous couvert de l’étendard de la vérité, de la
foi, de la croyance en des dieux ou un être "surnaturel
" qui allaient forcément intervenir en notre faveur. Sous la férule
de discours bienfaisants, l'homme a abandonné son pouvoir dans les mains
de celui ou ceux qui dis(ai)ent savoir… la vérité,
aussi insignifiante et éphémère soit-elle. Il s'est emprisonné dans
le système dévoyé car manipulé des forces de la " séparativité ".
* La Tradition enseigne que l'apparition de la tyrannie, de l'esclavage, de l'exploitation et des massacres a démarré lorsque les forces du matérialisme émergentes conduirent à l'assassinat des grands maîtres de sagesse qu'étaient Zarathoustra et Krishna. Les dieux inférieurs se substituaient aux dieux célestes qui disparaissaient de la conscience humaine émergente. C'est ainsi que le Dieu d'Abraham, Jéhovah, devint également un dieu de la guerre, Yahvé (Cf. Le Judaïsme décodé).
* La Tradition enseigne que l'apparition de la tyrannie, de l'esclavage, de l'exploitation et des massacres a démarré lorsque les forces du matérialisme émergentes conduirent à l'assassinat des grands maîtres de sagesse qu'étaient Zarathoustra et Krishna. Les dieux inférieurs se substituaient aux dieux célestes qui disparaissaient de la conscience humaine émergente. C'est ainsi que le Dieu d'Abraham, Jéhovah, devint également un dieu de la guerre, Yahvé (Cf. Le Judaïsme décodé).
Si nous sommes parvenus à ce stade de fonctionnement pyramidal,
c’est que les " anciens puissants ", y compris cachés sous les oripeaux
de la démocratie*, n’avaient aucun intérêt à transférer au
plus grand nombre la compréhension du pouvoir d’harmonie entre
jouissance terrestre et jouissance céleste par leur libération de la
matière viciée. Pour garder la maîtrise du pouvoir à leur seule
exclusive afin de nourrir les dieux archontiques asservisseurs par
les affres psycho-émotionnelles causées, ils détournèrent le sens
premier de la structure pyramidale – la reliance éclairée de
la Terre au Ciel - au profit de la structuration du fonctionnement
collectif selon leurs dogmes, lois et règles. En fait, la construction
de la lumière d’une minorité tout en haut sur les
ténèbres d’une majorité, fondées sur la peur, le châtiment,
l'asservissement, le pouvoir, la domination et le contrôle.
* Déjà sous la démocratie athénienne une loi avait été prise pour interdire à Socrate l’utilisation de ses méthodes de questionnement et de raisonnement pour influencer la jeunesse de la ville. Déclaré coupable, il fut condamné à mort. Mort pour avoir défendu la vie intérieure...
* Déjà sous la démocratie athénienne une loi avait été prise pour interdire à Socrate l’utilisation de ses méthodes de questionnement et de raisonnement pour influencer la jeunesse de la ville. Déclaré coupable, il fut condamné à mort. Mort pour avoir défendu la vie intérieure...
C’est ainsi qu’ils conçurent en occident, par l’alliance du pouvoir
temporel et des trois grandes religions du Livre manipulées, une société
humaine de type paternaliste, élitiste et misogyne,
dont nous vivons toujours et encore les délétères stigmates *. Il
n’est qu’à voir la mise en scène actuelle des barbus de tout … poil sur
l’échiquier international, dont la foi aveugle découle de
cette structure d'asservissement des êtres humains qu'est la
religion. Elle permet la mise en place des croyances et convictions
fermes que nul ne peut remettre en question, les imposant en ayant
recours à la peur, à l'endoctrinement, à l'isolement psychologique
sinon au génocide des incroyants. Ce système propre aux drogués du
pouvoir absolu, de la haine et de la brutalité, la plupart du
temps dissimulés derrière de beaux oripeaux, valorise la moralité,
les règles et les dogmes, propres à l’univers masculin - l'épée -, au
détriment de l'expérience personnelle du monde de
l'esprit, de nature féminine - le calice -. Sachant que l'être
humain a pour habitude de rechercher la morale à l’extérieur de lui-même
et de se référer à de nombreuses instances affirmant
détenir LA vérité, la morale basée sur les règles édictées par le
dogme proféré est devenue un puissant outil de contrôle permettant de
manipuler une foule déresponsabilisée depuis son plus jeune
âge.
Ainsi déresponsabilisé, l’homme a choisi pour faire respecter cette même morale d'obéir à des lois, qui lui donnent un cadre bien défini en la compartimentant de manière simpliste et réductrice. Et l’application de ces mêmes lois a abouti bien sûr aux pires aberrations et aux pires crimes. La loi est la justice de la tête, celle d’un mental accusant, jugeant, condamnant et contrôlant, au détriment de la justice du cœur, celle provenant de l'Esprit universel. Dès sa naissance, tout concourt pour que l'être humain soit modelé, conditionné et formaté par la force brutale de coercition, ce qui le conduit à être un être perturbé, qui déambule, en recherche désespérée d’un moyen de satisfaire ses pulsions primaires *². Il se perd dans l'éternel chassé-croisé entre les principes masculin et féminin opposés, tantôt réprimés par la culpabilité moralisée de la relation à la sexualité, tantôt exacerbés par l'hédonisme des sens. Il en découle un monde confus et décadent, une société complètement avilie et corrompue, où la pulsion primaire primordiale de l’humanité – la procréation – a été dévalorisée, fétichisée, pervertie et exploitée au point qu’elle en a perdu toute sa beauté *³. Or comment peut-on être complet si nous ne sommes pas en paix avec notre opposé ?
* D'après la World Christian Encyclopedia, ouvrage de référence publié par Oxford University, il existe aujourd'hui plus de 10.000 religions dans le monde, dont 150 ayant au moins 1 million de fidèles, et environ 50.000 églises et confessions se faisant concurrence (38.830 dans le christianisme uniquement). L'histoire est jonchée de cadavres de celles et ceux qui ont ou osent exprimer leur désaccord avec les autorités religieuses et la scolastique de leur système doctrinal, comme dans le catholicisme (Cf. Cathares, Vaudois ...), y compris en son sein (Cf. ordre des Franciscains). Le père Giordano Bruno fut notamment emprisonné en 1592 et torturé pendant sept ans par l'Inquisition romaine, avant d'être brûlé vif. Son crime fut d'affirmer dans son traité qu'il existe d’innombrables soleils, d’innombrables terres tournant autour de ces soleils, d'une façon similaire à celle dont sept planètes tournent autour de notre soleil, hors la Terre ... Au prétexte de " lutter contre le diable " dans sa guerre sacrée pour Dieu contre les hérétiques, l'Inquisition ne manqua de régler leur sort par la terreur à tous les détenteurs d'un savoir jugé contraire à son dogme castrateur et à ses croyances artificielles. Il en est de même pour la folie des fondamentalistes islamiques au nom d'Allah.
Cf. L’Église romaine décodée.
*² Cf. Le contrôle du robot biologique.
*³ Cf. Conscience de la matrice sexuelle et voie de sortie.
Ainsi déresponsabilisé, l’homme a choisi pour faire respecter cette même morale d'obéir à des lois, qui lui donnent un cadre bien défini en la compartimentant de manière simpliste et réductrice. Et l’application de ces mêmes lois a abouti bien sûr aux pires aberrations et aux pires crimes. La loi est la justice de la tête, celle d’un mental accusant, jugeant, condamnant et contrôlant, au détriment de la justice du cœur, celle provenant de l'Esprit universel. Dès sa naissance, tout concourt pour que l'être humain soit modelé, conditionné et formaté par la force brutale de coercition, ce qui le conduit à être un être perturbé, qui déambule, en recherche désespérée d’un moyen de satisfaire ses pulsions primaires *². Il se perd dans l'éternel chassé-croisé entre les principes masculin et féminin opposés, tantôt réprimés par la culpabilité moralisée de la relation à la sexualité, tantôt exacerbés par l'hédonisme des sens. Il en découle un monde confus et décadent, une société complètement avilie et corrompue, où la pulsion primaire primordiale de l’humanité – la procréation – a été dévalorisée, fétichisée, pervertie et exploitée au point qu’elle en a perdu toute sa beauté *³. Or comment peut-on être complet si nous ne sommes pas en paix avec notre opposé ?
* D'après la World Christian Encyclopedia, ouvrage de référence publié par Oxford University, il existe aujourd'hui plus de 10.000 religions dans le monde, dont 150 ayant au moins 1 million de fidèles, et environ 50.000 églises et confessions se faisant concurrence (38.830 dans le christianisme uniquement). L'histoire est jonchée de cadavres de celles et ceux qui ont ou osent exprimer leur désaccord avec les autorités religieuses et la scolastique de leur système doctrinal, comme dans le catholicisme (Cf. Cathares, Vaudois ...), y compris en son sein (Cf. ordre des Franciscains). Le père Giordano Bruno fut notamment emprisonné en 1592 et torturé pendant sept ans par l'Inquisition romaine, avant d'être brûlé vif. Son crime fut d'affirmer dans son traité qu'il existe d’innombrables soleils, d’innombrables terres tournant autour de ces soleils, d'une façon similaire à celle dont sept planètes tournent autour de notre soleil, hors la Terre ... Au prétexte de " lutter contre le diable " dans sa guerre sacrée pour Dieu contre les hérétiques, l'Inquisition ne manqua de régler leur sort par la terreur à tous les détenteurs d'un savoir jugé contraire à son dogme castrateur et à ses croyances artificielles. Il en est de même pour la folie des fondamentalistes islamiques au nom d'Allah.
Cf. L’Église romaine décodée.
*² Cf. Le contrôle du robot biologique.
*³ Cf. Conscience de la matrice sexuelle et voie de sortie.

La Trinité misogyne
La symbolique chrétienne (celle du
christianisme dévoyé) a récupéré la trinité sacrée de l’Égypte qui
servait initialement de culte au dieu Soleil alors
pratiqué, qui voyait la renaissance du dieu Soleil à travers le Fils dans sa manifestation terrestre.
La figure du Père
était Osiris/Asar, la déesse Mère, son pendant féminin, étant
Isis/Aset, et le fils Horus/Heru. Cette symbolique signifiant la quête
de l'" éther-nité " par la fusion en soi des polarités
masculine et féminine (les noces chymiques), avait déjà été dévoyée par le culte voué à Ba'al/Nimrod à Babylone
(l'antique Sumer en Mésopotamie), le Père, et son pendant sulfureux Sémiramis/Ishtar pratiquant l'inceste avec le
fils, Tammuz *. C'est ce culte " satanique " - celui des forces de
l'Ombre - que reprendront les différents cultes se succédant, jusqu'à
l'établissement de celui défini par
l’Église romaine avec sa trinité de la " père-version " -
Père/Fils/Saint Esprit -, le Féminin sacré disparaissant définitivement
au profit de l'évanescent Saint Esprit figuré par une colombe. Il
demeure toutefois dans la figure de la Vierge Marie, la mère du Fils
Jésus engendrée de manière " miraculeuse ". Ou comment induire dans la
psyché la culpabilité de la sexualité copulatoire, afin
de maintenir le troupeau des croyants sous la férule perverse de
leurs gardes-chiourme soi-disant sacrés car chastes ...
* Cf. Photo du symbole solaire de Nemrod/Sémiramis/Tammuz au-dessus du trône de Saint-Pierre au Vatican.
Cf. Le modèle européen décodé(1).
De son côté, la voie initiatrice individuelle s'oppose au système
religieux fondé sur des dogmes se voulant intangibles, quoi qu’évolutifs
au fil du temps de ses intérêts *, et à un pouvoir
temporel oppressant. Elle permet de regarder les choses
objectivement, en écartant les préjugés, et de se demander le pourquoi
de ces gouvernements, autorités et chefs qui asservissent plus que
libèrent, le pourquoi de ces hiérarchies politiques et religieuses
et de leurs traditions fondées avant tout pour garantir leurs
privilèges. Elle nourrit le cheminement spirituel de l'être humain
dont l'expérience se réalise autrement qu'à travers une religion qui
va défendre sa vérité, l'imposant comme supérieure, et devenant ainsi
un système de pouvoir gérant par le contrôle mental
opéré un savoir, ce qui ne peut que susciter contestation,
fanatisme, troubles sociaux et guerres. Elle veut que ce qui est juste
dans le cœur ne peut être que moral. Le cœur est ce qui
relie tous les êtres humains. La morale n’a pas à être défendue,
mais juste à être vécue. Elle est en nous, en chacun de nous et non dans
les livres ou les institutions. Lorsque plusieurs
personnes sont authentiquement dans le cœur, aucun conflit ne peut
survenir entre elles. Ceci est une règle absolue, universelle et
incontournable. C'est toute la raison d'être du processus "
alchimique " *² de transformation de son Moi égoïste vicié et
superficiel, une fois le niveau de saturation des plaisirs, des désirs
et des illusions atteint, en Soi réalisé. Le noyau du Moi peut
alors apparaitre, le Soi, soit l'âme unifiée accueillant l'Esprit
universel qui s'y substitue pour guider l'être humain dans sa relation
éclairée au Vivant, autrement dit sur son vrai chemin
d'évolution.
* A la mort de Charlemagne en 814, l'Église
chrétienne étendit son pouvoir
et sa fortune, voulant être la seule à détenir les clés du " royaume
" tant céleste que terrestre. Elle prétendit alors qu'un individu
n'avait qu'une seule vie, et supprima les enseignements
initiaux sur la réincarnation. Elle privilégia un seul dieu en
effaçant les connaissances sur les racines astronomiques de la
conscience humaine. En 869, au huitième concile œcuménique de
Constantinople, elle ferma définitivement la porte du monde des
esprits en abolissant l'ancienne distinction entre l'aspect végétal de
l'âme et la dimension animale de l'esprit, les déclarant
identiques. Le monde des esprits, qu'on approchait autrefois au
moment de la messe, devint une abstraction vide de sens, et l'être
humain résumé à l'aspect binaire corps/esprit contraire au
ternaire divin. Ainsi l'expérience personnelle du monde des esprits
fut remplacée par le dogme, qui devait être approuvé par les autorités
compétentes.
*² Cf. Le chemin alchimique.


De façon perverse, le fonctionnement pyramidal place dans
l’inconscient collectif l’archétype masculin Père – temporel comme divin
- tout en haut, inatteignable car sacralisé hors de l’individu.
L’archétype féminin Mère quant à lui se voit relégué en bas, soit
l’infériorité *. C’est la base du conflit, de la scission, avec la
croyance induite que la Terre, d’essence féminine, et le Ciel,
d’essence masculine, se combattent et ne peuvent fusionner en cette
vie.
Il y a un monde terrestre de nature matérielle, par définition sale et grossier comparativement au monde du haut, lumineux mais réservé à l’après-vie sous réserve de faire partie des élus. En bas c’est la mort, en haut la promesse du Paradis. C’est " Maman est en bas et Papa est en haut ", tant dans l’échelle sociale que dans la valorisation ou non du genre sexué. Cela aboutit à un insidieux formatage de la pensée, qui exclut toute possibilité d’union de la Terre et du Ciel, du féminin et du masculin, de la matière et du spirituel. Seule certitude, l’humain appartenant au bas est intrinsèquement mauvais, et il le doit à la nature féminine terrestre. Aucune confiance ne pouvant alors prévaloir dans l’humain et l’humanité, il y a nécessité d’une coercition par les dogmes et les lois afin de préserver le fonctionnement du collectif, et seuls quelques hommes se proclamant adoubés par le céleste peuvent y prétendre. Le compromis pouvoir temporel et institutionnel religieux peut s’établir, et le vilain détour de sens est acté.
* Monothéismes comme polythéismes n'ont jamais accepté que la femme occupe un rang égal au mâle dans leurs sociétés. L'accuser des perversions masculines est un meilleur rempart contre l'aspiration à ses droits légitimes. Les démocraties ont été bien lentes elles aussi à reconnaître l'importance qui leur était due, et si pour beaucoup il y a encore du travail, la réalité est que cette parité est un vœu " pieu ", l'adoubement des femmes demeurant à l'initiative d'institutions dirigées par le patriarcat manipulateur, les élues étant amenées à servir le système établi, non le changer par delà leurs déclarations illusionnées. Qui plus est, combien de femmes se retrouvent en phase avec les règles d'exercice de la Matrice pyramidale sans renier leur féminin intérieur ?
Cf. Le modèle européen décodé (1).
Il y a un monde terrestre de nature matérielle, par définition sale et grossier comparativement au monde du haut, lumineux mais réservé à l’après-vie sous réserve de faire partie des élus. En bas c’est la mort, en haut la promesse du Paradis. C’est " Maman est en bas et Papa est en haut ", tant dans l’échelle sociale que dans la valorisation ou non du genre sexué. Cela aboutit à un insidieux formatage de la pensée, qui exclut toute possibilité d’union de la Terre et du Ciel, du féminin et du masculin, de la matière et du spirituel. Seule certitude, l’humain appartenant au bas est intrinsèquement mauvais, et il le doit à la nature féminine terrestre. Aucune confiance ne pouvant alors prévaloir dans l’humain et l’humanité, il y a nécessité d’une coercition par les dogmes et les lois afin de préserver le fonctionnement du collectif, et seuls quelques hommes se proclamant adoubés par le céleste peuvent y prétendre. Le compromis pouvoir temporel et institutionnel religieux peut s’établir, et le vilain détour de sens est acté.
* Monothéismes comme polythéismes n'ont jamais accepté que la femme occupe un rang égal au mâle dans leurs sociétés. L'accuser des perversions masculines est un meilleur rempart contre l'aspiration à ses droits légitimes. Les démocraties ont été bien lentes elles aussi à reconnaître l'importance qui leur était due, et si pour beaucoup il y a encore du travail, la réalité est que cette parité est un vœu " pieu ", l'adoubement des femmes demeurant à l'initiative d'institutions dirigées par le patriarcat manipulateur, les élues étant amenées à servir le système établi, non le changer par delà leurs déclarations illusionnées. Qui plus est, combien de femmes se retrouvent en phase avec les règles d'exercice de la Matrice pyramidale sans renier leur féminin intérieur ?
Cf. Le modèle européen décodé (1).
Comment s'étonner lorsque nous regardons le comportement instinctif
de nombre d'êtres humains et des animaux du triste parallèle entre des
mâles observant en priorité les femelles possédant les
bons attributs de mères porteuses et des femelles recherchant un
soutien de famille fort ? Des réminiscences de ce comportement existent
toujours aujourd’hui avec les hommes qui ont tendance à
exposer richesse et pouvoir pour attirer les femmes, alors que les
femmes mettent en valeur leur beauté pour attirer les hommes. Ce ne sont
que les relents putrides instillés dans la psyché par
des millénaires de " père-version " !
Mise sous tutelle

La politique n'est rien d'autre qu'un " jeu " entre trois pouvoirs :
la classe possédante, les hiérarchies sacerdotales, le pouvoir passif
des masses, celui-ci étant une force d’inertie
considérable. Les deux castes dirigeantes, titans de la matière,
disposent du pouvoir temporel sur chaque secteur clé de la vie et du
pouvoir spirituel. Par eux, elles contrôlent les masses
entretenues dans l'ignorance, qui leur sert de réservoir énergétique
en alimentant les égrégores sacerdotaux et en fournissant la richesse
matérielle des classes possédantes. Ces deux mondes
forment symboliquement un arc-en-ciel qui, avec ses lumières
factices de promesse de félicité éternelle, voit errer les masses
essayant de joindre les deux bouts (au sens propre comme figuré),
tandis que là où se termine l’illusion l’élite se rassemble dans des
structures hiérarchiques cloisonnées pour accomplir ses " rituels " qui
ne doivent jamais être révélés au monde extérieur.
Elle fonctionne dans son propre espace, possède ses propres règles
et dépend de l’ignorance des masses. En effet, dans la culture populaire
et l’inconscient collectif, il en est comme le nuage de
Tchernobyl : " Il s’arrête à la frontière ", donc il ne peut exister
chez nous ... Le contraste entre les deux mondes est tel qu'il
donne par le plafond de verre institué un sentiment de
division presque insurmontable entre eux. La subtilité réside dans
l'inversion de ce qui est déclaré et affiché. Et le renversement
d’objets sacrés ou sacralisés est typique de la " magie noire "
et des rituels dits " sataniques " * ...
* Si le russe Grigori Raspoutine (1869?/1916) est souvent évoqué en la matière, la référence du genre est l'écrivain occultiste anglais Edward Alexander Crowley (1875/1947), à la vie sulfureuse, et connu pour ses écrits sur l'occultisme (" The Book of the Law ", " Thelema "). Il fut un membre influent de plusieurs organisations occultes. Citons également l'occultiste Eliphas Lévi (Alphonse Constant), qui dans son " Doctrine et Rituel " paru en 1861, évoque " Le Bouc de Mendes ", autrement connu sous le vocable de Baphomet - le Baphomet dévoyé - qui serait l’abréviation de "Templi omnium hominum pacis abbas " (lu à l’envers).
* Si le russe Grigori Raspoutine (1869?/1916) est souvent évoqué en la matière, la référence du genre est l'écrivain occultiste anglais Edward Alexander Crowley (1875/1947), à la vie sulfureuse, et connu pour ses écrits sur l'occultisme (" The Book of the Law ", " Thelema "). Il fut un membre influent de plusieurs organisations occultes. Citons également l'occultiste Eliphas Lévi (Alphonse Constant), qui dans son " Doctrine et Rituel " paru en 1861, évoque " Le Bouc de Mendes ", autrement connu sous le vocable de Baphomet - le Baphomet dévoyé - qui serait l’abréviation de "Templi omnium hominum pacis abbas " (lu à l’envers).
La sphère du politique, de l'idéal à la décadence
Pour le philosophe grec Platon rapportant dans son ouvrage Timée
les explications du pythagoricien Timée de Locres quant à la conception
du monde par le
démiurge *, la scission entre le monde immortel - le cercle originel
- et le monde mortel car enchaîné à la fatalité de la décadence - le
cercle de la Matrice terrestre - est due à un changement
qualitatif, soit un degré de perfection inférieur. Autrement dit, le
sensible est à un degré moindre de perfection que l'intelligible. C'est
pourquoi la connaissance du sensible ne peut être que
l'opinion (doxa), laquelle ne peut atteindre que le
vraisemblable, à cause du caractère changeant de son objet : la matière.
L'intelligible l'emporte toujours qualitativement sur la
matérialité.
C'est pourquoi la vision de la hiérarchie qui semble admise dans la société antique grecque voit le travail manuel comme une activité de bas étage, indigne d'un homme libre. Platon et Aristote considèrent ainsi la fabrication (poïésis) d'un objet quelconque, et même la création d'une œuvre d'art comme une occupation de second ordre, le sage ne devant s'adonner qu'à la praxis et à la théôria, c'est-à-dire, d'une part, à la pratique des affaires politiques, au commandement des hommes, et, d'autre part, à l'étude de la philosophie. Dans le mythe du Phèdre, Platon classe les genres de vie selon leur valeur, en neuf échelons : le laboureur et l'artisan occupent le septième échelon, juste au-dessus du démagogue et du tyran, qui sont, aux yeux du philosophe, les pires fléaux et les plus méprisables des hommes.
Il est à entendre de tout ceci que le politique sage par la philosophie (science de la sagesse) a pour mission le perfectionnement de(s) l'âme(s), la sienne comme celle de ses semblables ! Et si tel n'est pas le cas, la cité (l'espace commun) ne peut être juste, bonne et droite, car elle n'est pas dirigée par des rois philosophes, l'aristocratie (aristocratia). Il en découle quatre espèces de régimes politiques défectueux : la timocratie, l'oligarchie, la démocratie et enfin la tyrannie.
Les hommes qui composent la timocratie (ou timarchie) tentent d'échapper à la loi, ils aiment la richesse, sont avares de leurs biens et sont prodigues des possessions des autres.
Dans l'oligarchie, la valeur dominante n'est plus l'honneur et la victoire, mais l'argent. L'homme oligarchique est guidé par la convoitise et la pusillanimité.
Si la démocratie a comme fondement la liberté d'expression et la liberté de vivre selon son bon plaisir, elle cache des vices, car sa constitution est un mélange incohérent de divers types d'institutions et de lois empruntées aux autres régimes. Comme l'égalité démocratique est différente de l'égalité géométrique, elle n'est pas conforme à la justice en soi. Il en découle que les vertueux et les méritants sont comparables à ceux privés de vertu et de mérite, et cette injustice engendre une mauvaise éducation et de mauvais dirigeants politiques. Comme l'homme démocratique est privé d'une réelle éducation, et de ce fait est vide de discours vrais, il privilégie l'opinion en cherchant à a tant d'importance dans la démocratie, et c'est pourquoi les hommes politiques n'ont pas d'autres choix pour se faire respecter que d'être en accord avec les tendances de la masse, c'est-à-dire de devenir des démagogues. C'est pourquoi l'âme de l'homme démocratique est uniquement guidée par le plaisir, et qu'il refuse d'avoir un maître, le désir étant son unique maître. En conséquence, tout ce qui contraint la satisfaction des désirs est vécu telle une frustration par le citoyen, lequel devient facilement irritable et irrespectueux des lois. La permissivité excessive devient la maladie de la cité qui mène la démocratie à sa perte ... D'où son basculement inévitable dans la tyrannie !
* Cf. Le cheminement de l’Âme.
Depuis quelques siècles, ce schéma traditionnel jusqu'alors en
vigueur a fortement évolué. Si l’Église romaine * a tenté coûte que
coûte de contrôler et de limiter l'expérience spirituelle, et de
maintenir sa prégnance par la force - guerres de religion, sainte
Inquisition - et la conquête du monde par le biais de la Compagnie de
Jésus (l'Ordre des Jésuites), son déclin s'est accéléré
avec la laïcité des Lumières et la traduction au milieu du XIX°
siècle en langues européennes des textes sacrés des religions
orientales. Elle est ainsi apparue comme de moins en moins à même de
répondre aux besoins spirituels des personnes.
* Cf. L’Église romaine décodée.
* Cf. L’Église romaine décodée.

Le Grand Inquisiteur - Récit contenu dans le roman Les Frères Karamazov de l’écrivain russe Fiodor Dostoïevski (1821-1881)
Dans son dialogue avec Jésus,
l'inquisiteur fonde sa position autour de ce qu'il considère comme les
trois questions majeures de l'humanité, que Satan a posées à
Jésus lors de la Tentation du Christ dans le désert et qui sont
décrites dans l'Évangile. "Il y a trois forces, les seules qui puissent subjuguer à jamais la conscience de ces faibles
révoltés, ce sont : le miracle, le mystère, l'autorité ! Tu les as repoussées toutes trois..."
Selon lui, Jésus, en repoussant ces tentations au nom de la liberté, refuse certes une solution de facilité, mais dans le même temps montre qu'il surestime les capacités de la nature humaine. Or à ses yeux, la vérité décevante mais réaliste est que la grande majorité de l’humanité est tout à fait incapable de vivre ces principes de liberté et d'amour. Il y a une réelle incompatibilité entre la nature et la condition humaine. Aussi ne craint-il pas d'affirmer que Jésus, en les poussant vers une impasse pratique, a condamné la très grande majorité des hommes à se retrouver en situation de souffrance sinon de folie, soit loin de la rédemption promise.
Ce qui lui semble déterminant, c'est plutôt la volonté d'entreprendre quelque chose de pratique et de positif pour l’humanité afin de ne pas la voir souffrir. Lui et ses semblables ne craignent pas de céder aux tentations évoquées ci-dessus, et grâce à elles de prendre le pouvoir, car la promesse de liberté représente une trop lourde charge pour les fragiles épaules de cette créature faible qu'est l'homme. Il faut donc que quelques-uns se sacrifient, et acceptent de porter le fardeau et de gérer l'humanité en utilisant les leviers pratiques et éternels de la manipulation. Ainsi l'usage du mystère, du miracle et de l'autorité est la caractéristique de cette société de l'efficacité qu'est l’Église..., bien mieux que la science avec son "merveilleux" technique vidé de toute substance. L'inquisiteur va même jusqu'à reconnaître que l’Église est avec le démon depuis longtemps déjà, son action consistant à manipuler et à berner les humains.
L’inquisiteur assure Jésus de ses bonnes intentions, lui disant qu'on pourra le considérer comme un véritable martyr, qui se sera sacrifié en passant sa vie à œuvrer et à choisir au nom de l’humanité. Le genre humain quant à lui vit et meurt dans l’ignorance, inconscient certes mais en étant heureux et non coupable puisque la faute incombe à la minorité de bergers manipulateurs. Il lui dit être réaliste : "Ils ne sauront jamais répartir [le pain] entre eux ! ". La majorité des hommes préfèrent le bonheur même si c'est au prix de l'aliénation à ceux qui les nourrissent. L'image du pain symbolise le dualisme de la liberté et de la responsabilité. Choisir entre bien et mal, prendre des décisions et assumer les conséquences de l'action sont trop difficiles et douloureux !
De leur côté, les élites aristocratiques qui maintenaient le peuple
dans un enracinement traditionnel ont également changé, les assauts
révolutionnaires au nom des " Lumières ", subtil concept
marketing précurseur, ayant constitué progressivement une nouvelle
aristocratie planétaire, de nature marchande et libérale. Le nouveau
pouvoir est devenu la " finance acoquinée ", avec des
institutions internationales * tendant à imposer leur loi tant à la
religion (Cf. scandale de la Banque du Vatican) qu'aux élites politiques
et dirigeantes, la plupart corruptibles quoi qu'elles
s'en défendent la main haute sur le cœur. Le mécanisme utilisé a
consisté à créer de l'argent à partir de rien, aucune loi dictant que
l’argent ne pouvait être créé à partir de rien, et plus
aucune obligation n'imposant une contrepartie d'émission de monnaie
en réserve sonnante et trébuchante comme le métal or ou argent *². Puis
il s'est agi de le faire circuler en le prêtant. Ce
prêt étant une dette, plus on fait d’emprunts, plus il y a dettes,
plus l’argent circule, moins cet argent a de la valeur et plus la vie
coûte cher. Tout cela a fait apparaître l’inflation,
renchérissant le coût de la vie et affaiblissant les masses. Qui
plus est, les intérêts demandés par la banque font qu'il n’existe pas
assez d’argent permettant de couvrir tous ces intérêts qui
excèdent toujours l’argent mis en circulation. Comme ce n’est pas
obligatoirement de l’argent qui appartient à une banque qui est mis en
circulation lorsqu’un emprunt est demandé, le système
s’effondrerait directement si tout le monde reprenait l’argent des
banques. De plus, elles s’octroient le droit de saisir les biens lorsque
les intérêts ne peuvent être remboursés, alors même
qu'ils proviennent d’un argent qu'elles n'ont elles-même jamais eu
en leur possession... Cela s'appelle " l’esclavagisme moderne ".
* Une étude publiée en 2011, menée par des chercheurs de l’Institut fédéral suisse de technologie à Zurich en Suisse, portant sur les relations entre les 37 millions d’entreprises et investisseurs du monde entier, a montré que 147 méga-corporations étroitement liées contrôlent 40 pour cent de l’ensemble de l’économie mondiale. La plupart sont des institutions financières, le top 20 incluant Barclays Bank, JP Morgan Chase & Cie et le groupe Goldman Sachs. Si nous rajoutons les organisations non élues qui n’ont pas de compte à rendre et qui contrôlent les finances de presque tous les pays de la planète (Banque mondiale, FMI, banques centrales comme la Réserve fédérale des USA, Banque des règlements internationaux - BRI -), soit le contrôle de la création et de la circulation de l’argent dans le monde entier, nous constatons l'étroitesse du noyau financier coercitif.
*² Cette technique n'est ni plus ni moins qu'une pratique de " magie noire ", soit l’art occulte de créer de l’argent à partir de rien grâce aux pouvoirs des taux usuraires et des intérêts cumulés. Elle fut entre autres initiée dans l’échange de certificats de crédit-papier contre des dépôts en or et en argent, ce qui permettait aux voyageurs d’emporter leur argent sous une forme facilement remplaçable s’ils perdaient les certificats ou s’ils leur étaient dérobés.
* Une étude publiée en 2011, menée par des chercheurs de l’Institut fédéral suisse de technologie à Zurich en Suisse, portant sur les relations entre les 37 millions d’entreprises et investisseurs du monde entier, a montré que 147 méga-corporations étroitement liées contrôlent 40 pour cent de l’ensemble de l’économie mondiale. La plupart sont des institutions financières, le top 20 incluant Barclays Bank, JP Morgan Chase & Cie et le groupe Goldman Sachs. Si nous rajoutons les organisations non élues qui n’ont pas de compte à rendre et qui contrôlent les finances de presque tous les pays de la planète (Banque mondiale, FMI, banques centrales comme la Réserve fédérale des USA, Banque des règlements internationaux - BRI -), soit le contrôle de la création et de la circulation de l’argent dans le monde entier, nous constatons l'étroitesse du noyau financier coercitif.
*² Cette technique n'est ni plus ni moins qu'une pratique de " magie noire ", soit l’art occulte de créer de l’argent à partir de rien grâce aux pouvoirs des taux usuraires et des intérêts cumulés. Elle fut entre autres initiée dans l’échange de certificats de crédit-papier contre des dépôts en or et en argent, ce qui permettait aux voyageurs d’emporter leur argent sous une forme facilement remplaçable s’ils perdaient les certificats ou s’ils leur étaient dérobés.
Le pouvoir est ainsi devenu l’otage de la finance, les États-nations
perdant de leur force souveraine, les gouvernements étant asservis à la
dette, et les politiciens accros aux énormes
contributions financières nécessaires à leurs campagnes. L’argent
est tout naturellement devenu l’enjeu de la politique pour le maintien
sous tutelle des consciences, orchestré en sous-main par
de très grands groupes de pression comme le Council on Foreign Relations
ou CFR (think tank américain fondé en 1921, composé d'environ 5.000
membres issus du milieu des affaires, de
l'économie et de la politique, ayant pour but d'analyser la
politique étrangère des États-Unis et la situation politique mondiale),
la Commission Trilatérale (organisation privée créée
en 1973, regroupant 300 à 400 personnalités parmi les plus
remarquées et influentes – hommes d’affaires, hommes politiques,
décideurs, intellectuels – de l’Europe occidentale, de l’Amérique du
Nord et de l'Asie du Pacifique, dont le but est de promouvoir et
construire une coopération politique et économique entre ces trois zones
clés du monde), le Club de Rome (groupe de
réflexion réunissant des scientifiques, des économistes, des
fonctionnaires nationaux et internationaux, ainsi que des industriels de
52 pays, préoccupés des problèmes complexes auxquels doivent
faire face toutes les sociétés, tant industrialisées qu'en
développement), et le groupe ou Club de Bilderberg
(assemblement annuel et informel inauguré en 1954 d'environ 130
membres, essentiellement américains et européens, dont la plupart
sont des personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique
et des médias).
Ces groupes ont pour caractéristiques de se présenter comme des think tanks, instances de réflexion, de rencontres et d'échanges autour des questions internationales où se retrouvent les personnalités majeures de la politique, des affaires, de la banque, de la défense, des médias et de l'aristocratie. Ils sont en lien avec les organismes à caractère mondial comme les Nations Unies, l'Union européenne, le Fonds monétaire international, l'Organisation du commerce international. Ils constituent un réseau, dit de La Table Ronde, comme les chevaliers légendaires du Roi Arthur recherchant le Graal, fondé par l'homme d'affaires colonialiste et politique britannique Cecil John Rhodes (1853/1902) dans l'esprit alors d'une " domination mondiale à la britannique ", et qui les essaima tout au long du XX° siècle ...
Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.
Ces groupes ont pour caractéristiques de se présenter comme des think tanks, instances de réflexion, de rencontres et d'échanges autour des questions internationales où se retrouvent les personnalités majeures de la politique, des affaires, de la banque, de la défense, des médias et de l'aristocratie. Ils sont en lien avec les organismes à caractère mondial comme les Nations Unies, l'Union européenne, le Fonds monétaire international, l'Organisation du commerce international. Ils constituent un réseau, dit de La Table Ronde, comme les chevaliers légendaires du Roi Arthur recherchant le Graal, fondé par l'homme d'affaires colonialiste et politique britannique Cecil John Rhodes (1853/1902) dans l'esprit alors d'une " domination mondiale à la britannique ", et qui les essaima tout au long du XX° siècle ...
Cf. Le modèle européen décodé (2) L'idéologie mondialiste.
De l'oligarchie
Du grec ancien oligarkhía, dérivé de olígos, " peu nombreux ", et d'árkhô,
" commander ", l'oligarchie est une forme de gouvernement
institutionnel ou de fait, où le pouvoir est réservé à un petit
groupe de personnes qui forment une classe dominante. Elle est
constituée de l'élite intellectuelle (soit l'aristocratie au
sens étymologique), des plus riches (ploutocratie), des
scientifiques et techniciens de pointe (technocratie), des Anciens
(gérontocratie), de ceux qui bénéficient de la force ou de tout autre
pouvoir de fait. Il s'agit en fait de l'accaparement d'un pouvoir ou
d'une autorité par une minorité, au service d'un intérêt qui est loin
d'être collectif comme vertueux.
Le " modèle " le plus commenté d'oligarchie de fait dans un pays démocratique est celui des États-Unis, qui voit l'endogamie suivante à la manœuvre :
. Wall Street, les méga-banques et leur agent protecteur de la Réserve fédérale, organisme fédéral ;
. Le complexe militaro-industriel, dépensant des milliards de l’argent des contribuables pour des guerres fondées sur des mensonges ;
. Le lobby des armes, s'attachant à préserver une culture de la mort sous couvert d'un droit constitutionnel à l'auto-protection ;
. Les " néo-conservateurs ", porteurs d'une idéologie d’hégémonie mondiale nationaliste et de conflit militaire avec la Russie et la Chine ;
. Les entreprises ou corporations de taille mondiale, adeptes de la délocalisation et de l'optimisation fiscale ;
. L’agro-business et ses conséquences mortifères pour le sol, l’eau, les océans, la nourriture (OGM, herbicides, pesticides, engrais chimiques), et les abeilles qui pollinisent les cultures ;
. Les industries extractives autour des énergies fossiles, utilisant les mines, la fracturation hydraulique et la déforestation en détruisant l’environnement et l’approvisionnement en eau ;
. Les médias (presse écrite, audiovisuel) sous dépendance d'intérêts industriels, et l'industrie cinématographique (Hollywood), vaste usine de programmation mentale consumériste.
... Toute ressemblance avec d'autres démocraties, notamment européennes, serait bien sûr purement fortuite.
Les puissances du capitalisme financier ont ainsi réussi une
opération de grande envergure, la création d'un système mondial de
contrôle financier dans des mains privées, capable de dominer le
système politique de chaque pays et l’économie du monde dans son
ensemble. Ce système est contrôlé de manière " féodale" par les banques
centrales du monde qui agissent de concert, dans le cadre
d'accords non démocratiques obtenus dans de fréquentes réunions
privées et des conférences. Le sommet du système est la Banque des
Règlements Internationaux (BRI) à Bâle, en Suisse, banque privée
possédée et contrôlée par les banques centrales du monde qui sont
elles-mêmes des sociétés privées. Il en découle que ce système mis en
place gère la dette à laquelle chacun d’entre nous comme
citoyen et les gouvernements nationaux sont contraints et
redevables, donc asservis. Ce système transfère systématiquement les
richesses du monde de nos mains entre ses mains sans que quiconque
au plus haut niveau n'y trouve à redire, les relations nocives ayant
progressivement corrompu la politique *, les autorités de régulation,
le monde universitaire et les médias dans l'ensemble
sous contrôle... Mais bien sûr, tout ceci n'est que mensonge,
affabulation et délire complotiste, soit la ligne de défense préférée de
ses zélateurs !
* Déjà impliqué dans neuf autres pays, le laboratoire pharmaceutique suisse Novartis est en février 2018 à l’origine d’un scandale qui a éclaboussé une bonne partie de l’opposition actuelle d'alors, le parquet anticorruption grec qui enquête depuis 2016 soupçonnant une dizaine de dirigeants politiques grecs d’avoir accepté des pots-de-vin pour aider le laboratoire à commercialiser des médicaments aux vertus curatives discutables, et à gonfler ses prix. La branche grecque de Novartis a dit " continuer à coopérer " avec les autorités, sans davantage de commentaires. En novembre 2016, le département de la justice américain a condamné ce même groupe Suisse à une amende de 390 millions de dollars (environ 314 millions de francs) pour avoir incité des chaînes de pharmacies à recommander ses médicaments plutôt que d’autres.
* Déjà impliqué dans neuf autres pays, le laboratoire pharmaceutique suisse Novartis est en février 2018 à l’origine d’un scandale qui a éclaboussé une bonne partie de l’opposition actuelle d'alors, le parquet anticorruption grec qui enquête depuis 2016 soupçonnant une dizaine de dirigeants politiques grecs d’avoir accepté des pots-de-vin pour aider le laboratoire à commercialiser des médicaments aux vertus curatives discutables, et à gonfler ses prix. La branche grecque de Novartis a dit " continuer à coopérer " avec les autorités, sans davantage de commentaires. En novembre 2016, le département de la justice américain a condamné ce même groupe Suisse à une amende de 390 millions de dollars (environ 314 millions de francs) pour avoir incité des chaînes de pharmacies à recommander ses médicaments plutôt que d’autres.
Naissance d'un empire
Figure des plus controversées de l'histoire des îles britanniques, le très puritain aux mœurs rigides Oliver Cromwell
(1599/1658) devient chef de guerre à la faveur du conflit religieux entre le roi Charles 1er et ses sujets. Les
guerres
civiles font rage pendant près d’une décennie (1642/1651), se
terminant par un régicide de la famille royale et de centaines de
membres de l’ancienne noblesse anglaise. Il se révèle un
dictateur patenté, quoiqu'à l'origine de la première et unique expérience républicaine en Angleterre, sous l'habile masque de " lord protecteur ". Si certains
voient en lui un héros de la liberté, d'autres en font un tyran
régicide et dictateur quasi génocidaire par ses mesures prises
contre les catholiques irlandais. Par sa politique maritime, il assure
la domination de l'Angleterre sur les mers et en fait un
havre sûr pour le système bancaire. C’est ainsi que fut créée la
City de Londres* en tant que capitale bancaire de l’Europe et que furent
posés les fondements de l’Empire britannique.
* Notons que c’est vers le milieu du XVII° siècle que l’emblème de la City, un écu soutenu par deux lions, fut remplacé par un écu soutenu par deux … dragons.
Enfin, la non libération spirituelle des masses entretenue
volontairement depuis des millénaires les maintient dans les peurs et la
survie. En cristallisant leur regard sur les problèmes et
les crises de toute nature voire en les organisant, les " sauveurs
institutionnels " continuent à apporter leurs solutions sécuritaires
qui ne font qu'entretenir le servage, la culture
éducationnelle étant au passage vidée de toute substance libératrice
au contraire d'un commerce des armes toujours plus florissant.
Ainsi, petit à petit, se dessine les contours d'une gouvernance mondiale qui pourrait imposer sa volonté à chaque État-nation, à partir d'une banque universelle pour le contrôle de la finance, d'une devise globale sous forme unique électronique, d'une armée planétaire pour imposer sa volonté, et, cerise sur l'indigeste gâteau, d'un micro puçage des populations de type Big Brother. Sans oublier l'instauration d'une religion universelle à dominante scientiste, le transhumanisme *, prochaine étape vers l'uniformisation des consciences. En fait, aucune solution ne peut être trouvée en l'état, les personnes désespérées et impuissantes se résignant à accepter les illusionnistes et leurs promesses de protection et de sécurité. L’humanité se trouve bel et bien à un point crucial, devant regarder avec lucidité ce mode de fonctionnement attentatoire à sa dignité existentielle. Vaincre par son extraction de la Matrice entropique ou se laisser définitivement asservir en demeurant dans la cyclicité mortifère des âmes *², tel est le choix que chacun est appelé à faire en son cœur et en sa conscience.
* Cf. La nouvelle religion universelle & Prophétie du changement.
*² Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ? & Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.
Ainsi, petit à petit, se dessine les contours d'une gouvernance mondiale qui pourrait imposer sa volonté à chaque État-nation, à partir d'une banque universelle pour le contrôle de la finance, d'une devise globale sous forme unique électronique, d'une armée planétaire pour imposer sa volonté, et, cerise sur l'indigeste gâteau, d'un micro puçage des populations de type Big Brother. Sans oublier l'instauration d'une religion universelle à dominante scientiste, le transhumanisme *, prochaine étape vers l'uniformisation des consciences. En fait, aucune solution ne peut être trouvée en l'état, les personnes désespérées et impuissantes se résignant à accepter les illusionnistes et leurs promesses de protection et de sécurité. L’humanité se trouve bel et bien à un point crucial, devant regarder avec lucidité ce mode de fonctionnement attentatoire à sa dignité existentielle. Vaincre par son extraction de la Matrice entropique ou se laisser définitivement asservir en demeurant dans la cyclicité mortifère des âmes *², tel est le choix que chacun est appelé à faire en son cœur et en sa conscience.
* Cf. La nouvelle religion universelle & Prophétie du changement.
*² Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ? & Fin de cycle (2) La guidance éclairée de sa vie.
De la manipulation des croyances et des peurs
Il n'existe aucune limite à
l'habileté d'un(e) hypnotiseur désireux d'implanter en nous quelque
chose qui sert ses intérêts dès lors que nous ignorons comment
fonctionnent les choses quand d'autres le savent. Il nous est alors
donné que ce que le(s) manipulateur(s) veut nous laisser voir. La
manipulation des croyances et des peurs gît au cœur de tout
système de domination pour emprisonner les personnes dans une
coquille énergétique limitée à la seule perception des cinq sens
physiques, qui constituent les degrés électriques et vibratoires du
processus de filtration où l'information est reconstruite par le
cerveau pour correspondre à la croyance. Aussi la recherche du contrôle
du mental * qui les alimente est l'objectif par le biais
des croyances instillées, peu importe leur nature - politique,
religieuse, philosophique, économique... -. Adhérer à une croyance
empêche d'embrasser la totalité de la scène. Il ne reste alors
qu'à favoriser le jeu croyance contre croyance pour diviser et
régner - l'autre qui ne pense comme soi est forcément une menace -, et
éviter par tous moyens l'éveil de conscience des individus
sujets.
* La connaissance de la chimie neuronale permet de comprendre la rigidité de la perception et des pensées basée sur le contenu d'information des neurones et de la toile qu'ils tissent par les synapses (Cf. Travaux du psychiatre états-unien David Shainberg). Cette toile débouche sur des séquences figées et répétitives, traduisant des opinions fermées, un sens rigide de la réalité, et des vues immuables sur les choses. A l'inverse, ces opinions et croyances ancrées densifient les réseaux de neurones figés, bloquant quasiment de façon irrémédiable une connexion à un champ de perception ouvert. Du petit lait pour l'abrutissement des masses...
De la tyrannie
Pour Platon, des excès de la démocratie nait la tyrannie (turannis),
servitude la plus étendue et la plus brutale se développant à partir de
la liberté
portée à son point le plus extrême. Il résulte tout d'abord du
désordre de la démocratie une division interne en trois groupes : le
premier groupe est composé d'une classe de paresseux valorisée
par la société qui domine le débat démocratique ; le deuxième groupe
est constitué de riches qui s'accaparent les biens des plus démunis, en
redistribuant une faible part de sa richesse au
troisième groupe, de manière à ce que ce dernier ne puisse
rassembler ses forces pour se révolter ; ce troisième groupe est celui
du peuple laborieux et modeste qui ne s'occupe pas des affaires
publiques. La désaffection par le peuple des réunions de l'assemblé
démocratique empêche ce groupe de profiter de la force latente imputable
au grand nombre de citoyens qui le compose.
Les conspirations entre les trois
groupes renforcent le sentiment d'anarchie, si bien que le peuple
appelle de ses vœux l'homme providentiel qui saura unir et
protéger la cité. L'homme en question fait d'abord preuve de charme
et de douceur, afin de mieux gagner les faveurs du peuple : " Au début,
durant les premiers jours [...] il n'est que sourire et
amabilité envers tous ceux qu'il rencontre [...] ". Afin d'imposer
son importance en tant que chef, de se débarrasser de ceux qui refusent
son commandement et d'appauvrir les contribuables pour
affaiblir leurs envies de conspirations, il provoque des guerres.
Celui qui apparaît comme étant le protecteur n'est en fait que le futur
tyran, autrement dit " l'homme le plus mauvais ". Une
fois la foule sous son emprise, la soif de pouvoir transforme le
protecteur en tyran. Il promet le partage, mais se sert des tribunaux
pour exiler et tuer, il divise la cité en montant le peuple
contre les riches et use de la violence. La désapprobation, liée au
comportement odieux du tyran, oblige ce dernier à supprimer les
dernières personnes de valeur qui osent encore critiquer ses
actions. La cité est donc privée des hommes qui constituaient ses
qualités. Dès lors, les ennemis du tyran, en complotant pour le faire
périr, offrent au despote un prétexte qui légitime une
garde personnelle, ce que le peuple lui accorde, au regard du péril
encouru par leur chef. Cette garde, composée de miliciens et
d'affranchis, est d'autant plus nombreuse que le mépris du peuple
croît. C'est dans les trésors sacrés de la cité puis dans les
richesses des citoyens que le tyran trouve les moyens de subsister. Mais
le peuple en vient à se fâcher d'avoir à nourrir le tyran et
sa suite, si bien que le tyran fait violence au peuple. Le tyran est
un impie, son âme étant sans modération et folle de désir. La cité,
tout comme l'âme du tyran, est esclave, pauvre, craintive,
plaintive, troublée et assaillie par les remords, par les désirs,
par les passions érotiques, et elle est forcément la plus malheureuse.
Toute ressemblances avec ... serait purement fortuite !
Constitution d'un égrégore
On appelle égrégore l’ensemble des énergies cumulées de plusieurs
individus vers un but ou une croyance défini par eux, soit les
formes-pensées ou familles de pensées collectives. La construction
d’un égrégore découle d'une activité combinant aussi bien des objets
matériels que des objets subtils, tout aussi réels dans la mesure où
toute personne sensible peut les capter et ressentir. Par
la répétition d’un désir, d’un sentiment et/ou d’une pensée partagés
par un groupe de personnes à l'unisson, une entité de nature
énergétique, artificielle, finit par avoir une vie autonome et
auto-conservatrice *. Ainsi, pour qu’un égrégore se crée, le groupe
de personnes doit avoir une volonté unifiée, un objectif commun, un même
but, qui peut aller du plus futile au plus élevé. Par
exemple, une famille, un club sportif, une entreprise, une
association humanitaire ou un parti politique sont associés à des
égrégores particuliers, dynamisés et vivifiés par des rites, voire des
sacrifices dans le cadre de dérives sectaires à caractère "
satanique " afin d'acquérir une puissance d’action qualifiée d'occulte.
L'égrégore vit sur le plan physique par l’intermédiaire de
l’être humain et sur le plan astral par la projection de ceux qui y
adhèrent lorsque leur Moi n'est pas suffisamment développé (non
individuation), constituant une résonance vibratoire émise par
la psyché d’un groupe de personnes. Sa vitalité dépend du nombre de
personnes y participant, de l’énergie apportée par chacun ainsi que du
temps passé à l’activer.
La notion d’égrégore se rapproche de celle d’inconscient collectif, de conscience collective, de champ morphogénétique ou de champs de conscience opérant entre eux. Il est la caractéristique majeure de la programmation des consciences au sein de la Matrice astrale régie par les Forces de l'Ombre, la plupart des êtres humains en étant par leurs contributions inconscientes les victimes ...
* Cf. Le processus création décodé.
Cf. Pierre Mabille, médecin français, compagnon de route du surréalisme, dans son ouvrage " Égrégores ou la vie des civilisations " (1938) ; Alain Brêthes, " Les Égrégores forces psychiques des groupes humains ".
La notion d’égrégore se rapproche de celle d’inconscient collectif, de conscience collective, de champ morphogénétique ou de champs de conscience opérant entre eux. Il est la caractéristique majeure de la programmation des consciences au sein de la Matrice astrale régie par les Forces de l'Ombre, la plupart des êtres humains en étant par leurs contributions inconscientes les victimes ...
* Cf. Le processus création décodé.
Cf. Pierre Mabille, médecin français, compagnon de route du surréalisme, dans son ouvrage " Égrégores ou la vie des civilisations " (1938) ; Alain Brêthes, " Les Égrégores forces psychiques des groupes humains ".
Le premier niveau d'un égrégore est de nature instinctive, basée sur
l’instinct de conservation, de protection, voire de reproduction. C'est
le cas des égrégores familiaux.
Le deuxième niveau est de nature émotionnelle, comme les égrégores d'entreprise, humanitaires et religieux. Leur survie repose sur le détournement de l’énergie dévotionnelle de leurs membres, conduisant à " rabaisser " l'individu et à le rendre passif par l'hypnose réalisée. Sa puissance dépendant de la somme d’énergie des membres qui l’ont produit, il est naturel qu'un égrégore religieux dispose d’une puissance d’action occulte considérable (l’Église romaine catholique focalise la ferveur d’un milliard deux cents millions de fidèles ; l’Islam réunit un milliard six cents millions de musulmans), procurant aux fidèles un intense sentiment de sécurité, de fusion avec la communauté des croyants, ainsi que de puissance, pouvant vivre ainsi plusieurs millénaires.
Le troisième niveau est de nature psychique ou intellectuel, principalement de type idéologique et magique. C'est par exemple le cas de confréries religieuses, telles l'Ordre des Jésuites ou l'Opus Dei au sein de l’Église catholique romaine, ou de groupes fermés à rite initiatique comme les Chevaliers de Malte et les Francs-Maçons.
Tous ces égrégores situés sur le plan psychique sont d’une très haute fréquence, capables de produire des effets puissants. Sur un plan institutionnel (politique, médiatique, économique, culturel), ils sont établis au moyen de programmes et de techniques de conditionnement social basé sur les normes, les coutumes ou encore l’idéologie d’une société, et établi d‘après ses structures sociales : le nationalisme, l'éducation, l'emploi, le divertissement, la culture populaire, la religion, la spiritualité et la famille. Ils se nourrissent de la naïveté de leurs adhérents et fidèles, illusionnés par leurs sens viciés non épurés.
La puissance d'une entité produite par la dévotion, le fanatisme, l’enthousiasme, conduit aux grandes idéologies politiques comme religieuses et sectaires. Si le parallèle entre l'hystérie procurée par les dieux des stades en short et celle découlant des discours de tribuns politiques galvanisés est osé, il pointe la fragilité de l'être humain dominé par ses affects et peurs à la recherche d'une illusoire sécurité extérieure, le conduisant à entretenir des pensées de haine, de colère, de désirs et envies, de séparativité, de jalousie ... Moins une âme est développée, et plus elle se trouve assujettie aux lois du groupe. Plus une âme est individualisée, consciente d'elle-même, et plus elle se détache progressivement des égrégores humains impulsés par la prédation astrale de 4ème dimension qui la gouverne.
Le deuxième niveau est de nature émotionnelle, comme les égrégores d'entreprise, humanitaires et religieux. Leur survie repose sur le détournement de l’énergie dévotionnelle de leurs membres, conduisant à " rabaisser " l'individu et à le rendre passif par l'hypnose réalisée. Sa puissance dépendant de la somme d’énergie des membres qui l’ont produit, il est naturel qu'un égrégore religieux dispose d’une puissance d’action occulte considérable (l’Église romaine catholique focalise la ferveur d’un milliard deux cents millions de fidèles ; l’Islam réunit un milliard six cents millions de musulmans), procurant aux fidèles un intense sentiment de sécurité, de fusion avec la communauté des croyants, ainsi que de puissance, pouvant vivre ainsi plusieurs millénaires.
Le troisième niveau est de nature psychique ou intellectuel, principalement de type idéologique et magique. C'est par exemple le cas de confréries religieuses, telles l'Ordre des Jésuites ou l'Opus Dei au sein de l’Église catholique romaine, ou de groupes fermés à rite initiatique comme les Chevaliers de Malte et les Francs-Maçons.
Tous ces égrégores situés sur le plan psychique sont d’une très haute fréquence, capables de produire des effets puissants. Sur un plan institutionnel (politique, médiatique, économique, culturel), ils sont établis au moyen de programmes et de techniques de conditionnement social basé sur les normes, les coutumes ou encore l’idéologie d’une société, et établi d‘après ses structures sociales : le nationalisme, l'éducation, l'emploi, le divertissement, la culture populaire, la religion, la spiritualité et la famille. Ils se nourrissent de la naïveté de leurs adhérents et fidèles, illusionnés par leurs sens viciés non épurés.
La puissance d'une entité produite par la dévotion, le fanatisme, l’enthousiasme, conduit aux grandes idéologies politiques comme religieuses et sectaires. Si le parallèle entre l'hystérie procurée par les dieux des stades en short et celle découlant des discours de tribuns politiques galvanisés est osé, il pointe la fragilité de l'être humain dominé par ses affects et peurs à la recherche d'une illusoire sécurité extérieure, le conduisant à entretenir des pensées de haine, de colère, de désirs et envies, de séparativité, de jalousie ... Moins une âme est développée, et plus elle se trouve assujettie aux lois du groupe. Plus une âme est individualisée, consciente d'elle-même, et plus elle se détache progressivement des égrégores humains impulsés par la prédation astrale de 4ème dimension qui la gouverne.
De l'emprise mentale
Souvent confinée aux sectes, elle est
en fait l'apanage de toute organisation et mouvement d'opinion, liée à
l'adhésion intellectuelle comme sentimentale des
protagonistes qui s'y rattachent. Il en est ainsi de toute
institution et association philosophique, politique, religieuse,
économique, scientifique, sociale, sportive, jusqu'à l'artiste culturel
(musique, cinéma, littérature...). Elle se traduit par un dialogue
de sourds et des œillères, les éléments pouvant remettre en question
l'adhésion " corps et âme " étant filtrés pour s'établir en
croyances, sinon en monopole cognitif lorsque la croyance est
puissante. Elle débouche alors sur un paradigme, ensemble de croyances,
valeurs et techniques partagées par les membres d'une
communauté qui donnent cohérence à un système de pensée, quelle
qu'en soit la justesse. En effet, la définition même des limites de ce
qui est considéré comme la réalité conduit inévitablement à
l'erreur, compte-tenu de son impossibilité à maîtriser toutes les
subtilités et tous les paradoxes du champ d'application qu'elle couvre.
La communauté de croyance constitue un facteur de
socialisation et par-là même d'isolement au monde extérieur de ses
membres. S'établit de cette façon le concept de " foule psychologique ",
qui manipule chacun de ses membres tout en étant
manipulable par ceux qui tirent les ficelles. Comble du paradoxe,
certains groupes basés sur l'enseignement des voies de la liberté à
leurs membres les rendent plus dépendants à l'emprise du
maître enseignant qu'ils ne les libèrent *...
Constitution d'un rituel
C’est à travers les rituels et ses invocations que l’énergie des
membres est transférée vers l’égrégore pour le nourrir et lui donner
puissance. Leur caractère " magique " répond à deux
finalités, soit positive - on parle alors de magie blanche -, soit
négative - on parle alors de magie noire -. Sur le plan instinctif, les
égrégores sont nourris par des rituels peu structurés,
comme les cérémonies familiales (cadeaux, repas et libations ...).
Sur le plan émotionnel, le rituel le plus efficace est celui de la messe
liturgique (on parle de " grand-messe " dans les
entreprises et de meeting dans les partis politiques). Il s’agit
pour les dirigeants instigateurs d’augmenter le pouvoir de l’égrégore
par le recours à des formules, prières, invocations,
visualisation d’images, chaînes d’union…, dans le cadre d'un rituel
très structuré, peu exigeant pour les participants qui fournissent
l’énergie par leurs ventre et cœur, mais très exigeant pour
les officiants qui la canalisent avant de la transmettre à qui de
droit, la prédation astrale, soit de manière consciente par les hauts
dignitaires (ainsi les cardinaux et évêques, ou les grands
officiers - commandeurs et grands maîtres dans les sociétés
initiatiques secrètes - *), soit de manière inconsciente par les
officiers subalternes relais...
* Cf. La nouvelle religion universelle.
* Cf. La nouvelle religion universelle.

Le rite de sang a toujours été considéré comme la solution la plus
efficace pour accroître l’intensité du rituel et le transfert
énergétique humain recherché. En effet, le sang est le liquide
physiologique qui concentre l’énergie de la tête, puissance
psychique, l’énergie du cœur, et la force du bassin par l'énergie
sexuelle et l'énergie du ventre (des tripes). Siège des passions et
des désirs, signe distinctif de la conscience animale, les soldats
guerriers ont de tout temps été galvanisés lorsqu'il coule sur le champ
de bataille. Le sang rouge est polarisé par le fer de
Mars, et c'est sous l'impulsion du dieu nordique du tonnerre et de
la guerre Thor, au chariot tiré par deux boucs* et tenant un marteau
menaçant, que le fer dans notre sang vient nous marteler
les tempes !
* En grec, bouc se dit tragos. Il symbolise une cérémonie qui mêle exaltation frénétique et répulsion, qui mélange sacré et barbare, afin d'affirmer par la dimension tragique la force vitale par-delà la mort.
Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.
* En grec, bouc se dit tragos. Il symbolise une cérémonie qui mêle exaltation frénétique et répulsion, qui mélange sacré et barbare, afin d'affirmer par la dimension tragique la force vitale par-delà la mort.
Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.
Le char
Dans le monde profané, ceux qui
montent sur le " char " sont les triomphateurs de la matière viciée qui,
par les moyens brutaux de la guerre ou sournois de la
politique, ont su réduire à néant ou neutraliser leurs adversaires.
C'est seulement dans la mesure où la force matérielle reste à leur
disposition qu'ils se maintiennent en cette situation,
disposés à écraser sans pitié les imprudents, les jaloux, les
envieux, les revanchards. Mais que la force de l'Ombre les abandonne ou
se relâche pour un plus grand libéralisme (passage à un
nécessaire nouveau cycle ou sous-cycle), c'est la chute. Ils sont
précipités de manière violente, déchus ou abattus, ou voient placer
devant leurs pas ce qui les fera glisser à leur tour dans la
boue saumâtre de la prédation jamais rassasiée.
L'actualité fourmille d'exemples, comme la tragédie du World Trade Center
à New-York du 11 septembre 2001, où l'on retrouve tous les éléments
propres au rituel : sacrifice de personnes
(2.000 morts), participation émotionnelle et dévotionnelle au niveau
planétaire, symboles puissants tels le Pentagone et les deux tours (les
twins). Qui plus est, ce sacrifice rituel
joué à grande échelle constitue une diversion de l'attention,
masquant son objectif qui ne sera compris que plus tard *. Les rites de
sang sont pratiqués ouvertement et régulièrement par le
judaïsme et l’islam, comme l’abattage rituel casher ou hallal et
l’aïd (" fête " du mouton) en sont des exemples connus, les masses non-
familiarisées n’y voyant qu’une banale tradition…
* Cf. Prédation manipulatoire.
* Cf. Prédation manipulatoire.

La Transsubstantiation
La conciliation du spirituel "
céleste " et du mental intellectuel " terrestre " se retrouve dans
l'eucharistie chrétienne, où les substances que sont le pain et le
vin sont transformées par les officiants * en leur essence propre, y
compris eux-mêmes. C'est la spiritualisation de la matière par l'esprit
au moyen de la force cosmique, en réalité astrale. Cet
artifice à caractère hautement sacré crée chez les fidèles un effet
d'hypnose tenace, tant le transfert (projection mentale et émotionnelle)
à la passion christique et les souffrances endurées
pour sauver l'humanité de ses péchés est puissant, et de ce fait
culpabilisant... Elle constitue un mets de choix pour la force de
prédation archontique.
* La question se pose de la compatibilité de ce pouvoir octroyé à des prêtres n'ayant pas atteint l'état de pureté adéquat. Les différents scandales émaillant l’Église catholique ne cessent désormais de rappeler le dévoiement de ce pouvoir, les fidèles illusionnés continuant à nier, à considérer qu'il ne s'agit que le résultat de quelques moutons noirs, et à rappeler béatement que la sainteté n'est pas de ce bas monde. Bel exemple de syndrome de Stockholm ...
Sur le plan psychique, le rituel est particulier, très structuré,
parfaitement codifié, intégrant de puissants symboles et la combinaison
des champs d'énergie vibratoires que sont les couleurs et
les sons. Tous les participants sont suivant sa nature sélectionnés,
formés, initiés et placés sous une emprise de nature " occulte ",
pouvant déboucher lorsque le but poursuivi est impur (la
plupart du temps) sur un grand voyage " magique " caractérisé par un
aller-retour entre des forces opposées : la vie et la mort, le désir et
la souffrance, le masculin et le féminin, la
lumière et les ténèbres ... La manifestation orgasmique qui en
découle, mentale et/ou physique (sexuelle), doit en principe conduire à
l’illumination recherchée.
Toutefois, malgré l’utilisation de rituels adaptés, les égrégores ont du mal à s’octroyer toute l’énergie dont ils ont besoin pour survivre, les individus autonomes devenant de plus en plus voraces de sa persistance. C'est pourquoi, lorsque la structure (église, entreprise, association, confrérie, club, cercle, secte) n'est plus en extension, l'énergie non canalisée et non nourrie finit par se retourner à son détriment, accentuant son déclin sinon sa mort.
Toutefois, malgré l’utilisation de rituels adaptés, les égrégores ont du mal à s’octroyer toute l’énergie dont ils ont besoin pour survivre, les individus autonomes devenant de plus en plus voraces de sa persistance. C'est pourquoi, lorsque la structure (église, entreprise, association, confrérie, club, cercle, secte) n'est plus en extension, l'énergie non canalisée et non nourrie finit par se retourner à son détriment, accentuant son déclin sinon sa mort.
" La façon la plus digne
d'honorer Dieu est de n'offrir aucun sacrifice à ce Dieu que nous
proclamons le premier de tous, de n'allumer pour lui aucun feu sur
l'autel et de ne lui appliquer le nom d'aucune chose sensible. Un
par lui-même et séparé de tout, il n'a besoin de rien, ni de personne.
Pour s'adresser à lui, il ne faut employer que le pur
langage qui ne s'exprime point par les lèvres ; et, pour obtenir de
participer aux biens que peut nous départir celui qui est ce qu'il y a
de plus beau, allons à lui par l'entremise de ce que
nous avons de plus beau : par l'intelligence qui n'a besoin d'aucun
organe pour se manifester. "
Apollonius de Tyane - Philosophe néo pythagoricien, prédicateur et thaumaturge du Iᵉʳ siècle de l'ère chrétienne (15/100 ap. J.-C.)
La force de cohésion des égrégores à partir de leurs rituels fait
appel au cerveau reptilien de ses membres, reposant d'une part sur la
discipline, l'union et la stricte observance des rituels
par les membres constitutifs, d'autre part sur la peur inconsciente
des représailles qu’ils suscitent. La plupart des individus y sont liés,
directement ou indirectement, participant
inconsciemment à toutes sortes de rituels : médiatiques (JT),
politiques (élections), économiques (travail, consommation), sociaux,
familiaux, scolaires, administratifs... Si l’égrégore donne sa
coloration, son esprit, son ambiance à toute assemblée humaine, et
procure une énergie certaine à l'individu fonction de la qualité de son
intégration, toute médaille a son revers. Ce qui relie
est aussi ce qui enchaîne *. Autrement dit, ce qui peut être une
aide indéniable dans un chemin de vie spécifique en collectivité est
également une entrave pour tous ceux qui veulent s’en écarter
aux fins de s'autoréaliser.
* Cf. Bernard de Clairvaux (1090-1153), grand prédicateur de la 2ème croisade (1147-1149) : " le baptême ou la mort ", "conversion ou extermination".
* Cf. Bernard de Clairvaux (1090-1153), grand prédicateur de la 2ème croisade (1147-1149) : " le baptême ou la mort ", "conversion ou extermination".

Puissance d'un symbole
Nombre de symboles à forte puissance
rituélique ont été puisés dans les civilisations de l'Antiquité, tout
particulièrement de Babylone et de son culte du soleil
noir (Ba'al/Nimrod) et de la déesse dévoyée (Sémiramis/Ishtar) découlant de celui de l’Égypte antique (Osiris et Isis)
et son dévoiement par la prêtrise
païenne. C'est le cas de l'obélisque, qui représente et signifie
littéralement le phallus du dieu solaire. Les sociétés secrètes
initiatiques comme la Franc-Maçonnerie et ses représentants édiles
les ont multipliés dans les grandes cités (Rome, Londres, Paris, New
York, Washington), et l’Église catholique romaine n'a pas rechigné pas à
le positionner au centre de la place Saint-Pierre
comme d'autres (piazza del Popolo, Navona ...). Il va sans dire
qu'ils constituent des relais indispensables au contrôle des consciences
au sein du treillis électromagnétique de la matrice
astrale, concourant à de puissantes énergies négatives *.
* Cf. Compréhension structurelle de la Matrice asservissante & Fonctionnement de l'architecture du Vivant.
Le signe de la corne est attesté dès
l’Antiquité grecque. Né d’une relation adultère entre la reine de Crète
Pasiphaé et le taureau crétois, le Minotaure
(l'archonte prédateur) était un être cornu. C'est ainsi que sur un
plan mythologique le peuple rappelait cette trahison à son roi Minos en
lui adressant le geste en question, associé depuis à
l’idée d’infidélité. Elle n'est rien d'autre que la trahison de
Satan, l'Ange déchu, de son origine divine. Ce geste demeure largement employé en Italie,
notamment en Italie méridionale et en Sicile, où le mot cornuto (" cornu ") signifie " cocu ".
Le Symbole de la Main cornue
La main ci-contre à gauche est un
signe qui représente le dieu de la Nature cornu Pan (ou Cernunnos chez
les celtes). Le pouce est positionné sous les deux autres
doigts. Ce signe est dit la Mano Cornuto, censé protéger
les personnes du mauvais œil (version " politiquement correcte "). Très
répandu dans l'univers musical (rock, pop, rap), il est
nommé signe du Rock. Nous le retrouvons également utilisé par
nombres de représentants politiques et religieux.
La main à droite est un signe d'approbation de personnes faisant parties d'un groupe occulte type sataniste. Quand cette main est pointée sur quelqu'un, elle est censée lui envoyer une malédiction par l'onde de forme émise *. Ce signe dit " cornu " représente le côté obscur de la force, à ne pas confondre avec l'image de gauche. Il peut être interprété comme le signe I love You, mais dans ce cas le pouce ne touche pas les autres doigts. Cest le symbole que les muets utilisent, et le symbole satanique est souvent confondu avec lui.
* Cf. Contrôle mental & Fonctionnement de l'architecture du Vivant.

Le signe sataniste
Ce signe ou signal est l'un des
gestes des mains les plus courants ou utilisés, se réalisant en
connectant l'index et le pouce de la main, formant un cercle et en
laissant les trois autres doigts détendus en l'air, peu importe si
c'est la main gauche ou droite. Pour le plus grand nombre ce signe veut
dire '' OK '', même si sa signification diffère selon
les pays et cultures. Dans sa nature occulte, ce signe veut dire "
666 ", un nombre présenté dans la Bible comme maléfique *, celui de la
"Bête", comme il peut signifier l'extase physique dans la
culture hindouiste tantrique. Repris à grande échelle par les people
et artistes du divertissement, il permet d'infuser sa vibration
négative dans les esprits ('' Mind Control ").
* Symbolisme des nombres.
Exemple de rituel " sataniste " (magie noire)
Les attentats dits " sous fausse
bannière " *, comme les attentats en France de Charlie Hebdo ou du 11
septembre aux États-Unis même si leur interprétation
contraire à la doxa institutionnelle est qualifiée de
complotiste/conspirationniste par les relais établis, constituent de
gigantesques rituels sataniques à caractère national comme international
selon le biais de lecture cognitive choisi (je me contente de la
version officielle donnée ou j'exerce mon discernement pour voir de
l'autre côté du voile). Dans ce cas de figure, ils ont deux
objectifs : extraire l’énergie émotionnelle des participants
(victimes, témoins, téléspectateurs ...), et ouvrir certaines portes
inter dimensionnelles (franchissement de la barrière de
l'espace-temps limité de la 3ème dimension) dans le but de faire
rentrer dans notre continuum d’espace-temps certaines entités sans âmes
*².
Ces rituels utilisent un mélange de technologies - énergie libre, système électromagnétique ... - dont la maîtrise est déterminante par les maîtres-artificiers l'utilisant, qu'ils combinent avec des rituels de magie noire qui vont les accentuer. Ceux-ci ont été mis au point par l'occultiste britannique Edward Alexander Crowley, dit Aleister Crowley (1875/1947 - photo 1) dans son ouvrage " la Loi de Théléma ".
Ainsi, concernant le 11 septembre 2001, le premier avion à percuter la tour jumelle est selon la version officielle le Vol AA 11 qui, en magie noire selon Crowley, est le chiffre (11) utilisé pour démarrer un rituel. Le second vol à percuter les tours jumelles est le vol UA175, qui lui signifie l’invocation. Au moment où l’avion percute les tours jumelles, Georges Bush le président états-unien était dans une école en train de lire " Ma Biquette " (My pet Goat en anglais), un livre pour enfant avec une chèvre sur la couverture. Celle-ci représente le Diable, le démiurge (Lucifer dans sa polarité +, Satan dans sa polarité -). La chèvre représente donc symboliquement l’invocation du diable. De même, les enfants dans l’école étaient en train de lire des mots tels hit, plane, must, steel ... annonciateurs d'une guerre de conquête et de génocide avec à la clef plusieurs millions de morts (Afghanistan, Irak, Syrie...), puisque l'avion (plane) doit (must) frapper (hit) le métal (steel) ... En d’autres termes, dans cette école de Floride, les enfants étaient en train de prononcer les phrases d’un rituel de consentement. Le monde entier était tout simplement en train de se faire programmer à la version officielle du 11/9.
Qui plus est, l’école était située à quelques kilomètres du lieu où Mohammed Atta, le soi-disant " pirate de l’air ", était en train de prendre des cours de pilotage (selon la version officielle) dans une école de pilotage tenue par…. la CIA. Quasiment au même moment, le Pentagone à Washington (le pentagramme est avec sa forme en tête de chèvre le symbole du démiurge) était percuté par le vol AA77, le chiffre 77 étant le chiffre de la ... chèvre. Il correspond également au nombre de dieux de l’enfer dans la bible satanique. Quant au vol UA 93 il porte le numéro 93, numéro sacré dans la magie de Crowley car il permet de conclure un rituel satanique. A un autre niveau, la tour 7 (la 3ème tour qui s’est effondrée à New York - image 5), était appelée la tour des frères Salomon. Or le temple de Salomon joue un rôle important dans la Franc-Maçonnerie luciférienne sinon sataniste, qui au-delà des deux piliers du temple nommés Jakin et Boaz (image 3), en contient un troisième dissimulé pour assurer son fonctionnement énergétique à partir de son damier mortifère (image 4), tout comme le dispositif des trois pyramides Khéops, Khéphren et Mykérinos se trouvant sur la nécropole de Gizeh (image 6) *³.
En résumé, la connaissance de la
magie occulte permet à l'initié de comprendre que le jour du 11
septembre - tout comme Charlie Hebdo en France
*⁴ - correspondent à un rituel satanique de très grande ampleur, qui visait à ouvrir les barrières de
l'espace-temps symbolisées par les deux tours jumelles de New-York - les Twins
- pour accueillir des entités à caractère entropique destinées à faire
baisser la vibration de la planète
Terre en agissant sur le subconscient des individus (peurs, colères,
tristesses) par les symboles glissés. Elles permettent ainsi
l'extraction de l’énergie nécessaire au système prédateur de la
4ème dimension, tout en empêchant aux êtres humains de s'éveiller en
conscience par la reconnexion à leur âme et au champ de l'Esprit
supérieur divin. Ceux-ci demeurent alors prisonniers
(illusionnés et leurrés) de la Matrice asservissante. Nous pouvons
comprendre comment cet effet produit sur des milliards d’individus
contribue à faire baisser la vibration de la planète … C'est
toute la raison d'être des rituels à grande échelle (cérémonie
d’ouverture des JO et autres évènements sportifs planétaires), qui même
s'ils n'ont pas le même caractère dramatique, célèbrent la
mort, non le Vivant.
Bien évidemment, aucun média
officiel n'est habilité à en parler, sauf à traiter de complotiste ou
conspirationniste celle ou celui s'attachant à proposer
une autre approche de la vérité ...
*⁴ Les
évènements ont commencé le 7 janvier, considéré comme une fête
satanique associée au sacrifice humain (jour dit de " Winebald ").
La fusillade a eu le lieu dans le 11ème arrondissement de Paris (chiffre
11 correspondant au début d’un rituel). Le numéro de
Charlie Hebdo visée est le numéro 1177, soit la combinaison début de
rituel et invocation de la chèvre. De même, le dessin en première page
du numéro de Charlie Hebdo est signée Luz (photo 3),
qui signifie la lumière, le porteur de lumière étant Lucifer (Satan -
le démiurge, la chèvre - dans sa polarité négative) ...
Ainsi, dans ce monde de survie où la Terre est un enfer, la " magie
noire " du sang, dénaturé de son sens originel, est utilisée en le
faisant couler par les barbares sacrifices humains et
animaux *. Ceci participe de la vibration émotionnelle nécessaire à
la puissance des lieux de culte dédiés à la célébration de la violence
(ainsi les stades ou arènes) comme de la rédemption
(temples, églises). Avec la diabolisation des cultes animistes,
l’énergie de l’unité est volontairement omise, réservée à l’au-delà. La
dualité entretenue entre esprit et matière conduit
insidieusement à la victimisation d’un côté, à la valorisation de
l’agressivité et de l’élimination de l’autre. Quant à la notion de
pardon prêchée dans un tel cadre, elle n’a pu engendrer que
culpabilité et agressivité, car non comprise dans son sens profond
d’unité.
La sacralisation de l’intimité du corps combinée à la dissimulation de son naturel besoin de jouissance, non au sens pulsionnel mais au sens de célébration des noces chymiques, aboutissent de leur côté à un puritanisme malsain car castrateur, incitation perverse à rechercher par divers moyens la façon de combler ses besoins obscurs et secrets non transcendés (prostitution, pornographie, tourisme et esclavage sexuel...) *². Cet asservissement par des constructions sociales destructrices aux aspects sordides bien que tentants du désir, entretient le côté sombre, exploiteur et destructeur de l'être humain. S'il n’y a rien de plus basique et instinctif que l’attraction charnelle, notre monde moderne a rendu ces relations complexes, les emprisonnant dans des règles et en en faisant une exploitation qui les dénaturent et les rabaissent en une obsession malsaine. La pulsion primaire primordiale de l’humanité – la procréation – a été ainsi dévalorisée, fétichisée, pervertie et exploitée au point qu’elle en a perdu toute sa beauté.
Cacher l’humain et ses spécificités revient qui plus est à gommer artificiellement les différences entre les personnes au nom d’un égalitarisme de façade, conduisant aux affres du politiquement correct. Enfin pour la science, alliée précieuse de cette dualité entretenue, " Dieu " n’existe pas comme dogme de départ, ce qui nettoie du champ de conscience la réalité d'unité dans cette vie, et permet la robotisation de l’être humain tant dans l’inconscient médical - le transhumanisme - que dans l’administration économique - le néolibéralisme -.
* Cf. en complément le chapitre " Dérive sanglante " de la publication Les psychopathes qui nous gouvernent.
*² Cf. Conscience et dépassement de la Matrice sexuelle.
La sacralisation de l’intimité du corps combinée à la dissimulation de son naturel besoin de jouissance, non au sens pulsionnel mais au sens de célébration des noces chymiques, aboutissent de leur côté à un puritanisme malsain car castrateur, incitation perverse à rechercher par divers moyens la façon de combler ses besoins obscurs et secrets non transcendés (prostitution, pornographie, tourisme et esclavage sexuel...) *². Cet asservissement par des constructions sociales destructrices aux aspects sordides bien que tentants du désir, entretient le côté sombre, exploiteur et destructeur de l'être humain. S'il n’y a rien de plus basique et instinctif que l’attraction charnelle, notre monde moderne a rendu ces relations complexes, les emprisonnant dans des règles et en en faisant une exploitation qui les dénaturent et les rabaissent en une obsession malsaine. La pulsion primaire primordiale de l’humanité – la procréation – a été ainsi dévalorisée, fétichisée, pervertie et exploitée au point qu’elle en a perdu toute sa beauté.
Cacher l’humain et ses spécificités revient qui plus est à gommer artificiellement les différences entre les personnes au nom d’un égalitarisme de façade, conduisant aux affres du politiquement correct. Enfin pour la science, alliée précieuse de cette dualité entretenue, " Dieu " n’existe pas comme dogme de départ, ce qui nettoie du champ de conscience la réalité d'unité dans cette vie, et permet la robotisation de l’être humain tant dans l’inconscient médical - le transhumanisme - que dans l’administration économique - le néolibéralisme -.
* Cf. en complément le chapitre " Dérive sanglante " de la publication Les psychopathes qui nous gouvernent.
*² Cf. Conscience et dépassement de la Matrice sexuelle.
De la pensée puritaine
Le qualificatif " puritain " concerne
aujourd'hui en Occident un mode de pensée d'individus qui envisagent
une société où tous les hommes sont égaux... mais pas
équivalents. Ils sont plutôt majoritairement d'extraction
anglo-saxonne, descendants en pensée de Lord Oliver Cromwell
(1599/1658), homme politique britannique qui, jadis, voulait une
République
pour les Anglais, mais seulement après avoir massacré les papistes
irlandais. Ils sont possédant
par vocation, conservateur
par réflexe, hiérarchique par nécessité, et paradoxalement libéral,
répugnant à toute idolâtrie de quelque créature que ce soit. Nous retrouvons en l'espèce le clivage
des luttes religieuses entre d'une part les Catholiques, Orthodoxes et
Luthériens, d'autre part les Calvinistes. Actuellement, aux États-Unis
ou en Afrique du Sud, tous
les citoyens sont égaux devant la loi, mais très souvent, au nom des
mêmes textes, les tribunaux condamnent systématiquement des noirs
tandis alors qu’ils trouvent des circonstances atténuantes
aux blancs ayant commis des crimes ou délits équivalents. Le
paradigme de cette pensée, en politique étrangère, est une solution " à
deux États ", comme en Palestine, égaux mais surtout pas
équivalents. De même, elle conduit à soutenir des fondamentalismes
religieux comme le wahhabisme (l'islam sunnite hanbalite, qui prône
le retour aux pratiques en vigueur dans la communauté musulmane du prophète Mahomet),
pourtant en contradiction avec les idéaux affichés
constitutionnellement par leur propre pays. Nous
retrouvons dans sa genèse la dichotomie du choix entre le " Nouvel
Israël " de l'enseignement dispensé par Jésus Christ et la " Loi de
Moïse ". Ce sont les Tables de la Loi d'essence masculine
qui ont prévalu sur les Évangiles. Le féminin sacré, celui de la
réconciliation, était ainsi écarté pour longtemps ...
La sacralisation des lieux comme des objets et des corps est un
artifice manipulatoire. Aucun lieu, aucun objet, aucun corps n'est
intrinsèquement sacré, si ce n'est la croyance que nous leur
donnons par peur du blasphème et de ses conséquences qui ont été
logés dans notre inconscient. Ce ne sont que des symboles, qu'il nous
appartient de respecter pour les croyances que d'autres y
portent sans être dupe. En les divinisant, nous jugeons le " reste "
comme indigne ou impur, et nous retombons dans la division artificielle
et illusoire. Comment l'unité de la création
pourrait-t-elle avec perversité transformer l'énergie d'amour en
colère, menace, excommunication, apostasie... ? Seul l'esprit humain
dénaturé a conçu ce détournement du sacré originel en
instrument de domination et de soumission. Le sacré réside en nous,
si nous savons nous tourner vers l'Esprit-Saint, autrement dit vers
l'Esprit universel, le supra-mental. Seul Lui nous ramène à
l'unité première, sans la culpabilité d'être impie ou souillure
indigne. Tout lieu, tout objet est sacré. Il suffit que nous le
décidions, en notre âme et conscience premières.
Constitution d'un réseau
La manipulation des individus et des événements passe par
l'élaboration d'un réseau conçu en poupées russes, soit des pyramides à
l'intérieur de pyramides, les plus petites cachées dans de plus
grandes, elles-mêmes enfouies dans des pyramides de taille
supérieure. Ces structures sont hiérarchisées en niveaux ou degrés,
chacun supérieur en sachant plus que le précédent. L'accès au niveau
supérieur est possible lorsque l'impétrant(e) est choisi à cette
fin, et non par l'affichage écran de fumée proclamé des mérites et
qualités. Le savoir est strictement compartimenté et divisé, se
traduisant par des informations au compte-gouttes rendant très
difficile la compréhension de l'objectif réel ultime. C'est au plus haut
niveau que s'orchestre la véritable action et la
compréhension de sa finalité. Il est alors très facile d'induire les
niveaux inférieurs en erreur, leur laissant l'illusion de la présumée
puissance de participation au projet commun. La foule
des " adeptes " assure le fonctionnement de la structure pyramidale
concernée depuis leur compartiment isolé sans jamais se rendre compte un
seul instant qu'ils contribuent à leur propre
privation de liberté, pour eux et leurs familles. Tant qu'ils et
elles obéissent, ils recevront du soutien, jusqu'au moment où leur "
sacrifice " rendu nécessaire pour différentes raisons,
politiques ou économiques, les écartera d'une façon ou d'une autre.
Cf. La nouvelle religion universelle.
Cf. La nouvelle religion universelle.

Pyramide occulte
Dans son ouvrage intitulé The Deadly Deception
(" La Tromperie mortelle " - 1988), l'auteur Jim Shaw, un ancien
franc-maçon, y décrit la structure
pyramidale de la Franc-Maçonnerie, fragmentée en compartiments en
apparence non communicants. À la base de la structure se trouvent les
trois premiers degrés, concernant la majorité des
Francs-Maçons qui ne s'élèveront pas au-delà, quelle que soit leur
obédience. Et même ceux qui atteignent le 33e degré (par exemple celui
du Rite Écossais Ancien et Accepté) n'en connaissent pas
tous les secrets, à moins d'appartenir à une lignée spécifique, en
l'occurrence hybride *. En fait, les niveaux supérieurs des sociétés
occultes ne constituent que les sommets de leurs
propres pyramides. Ceci entend qu'elles se retrouvent à l'intérieur
d'une pyramide plus grande, qui regroupe toutes les sociétés occultes,
celles-ci se chargeant d'orienter leurs initiés qui
appartiennent aux lignées hybrides vers les degrés qu'occupent les
décideurs suprêmes, nommés par le grand public Illuminati *².
Officiellement, ceux-ci n'existent pas. Et même à ce niveau, les
secrets et connaissances sont compartimentés. Il existe de ce fait à
travers le monde un vaste réseau de sociétés occultes, regroupant des
millions d'adhérents, qui estiment tous détenir des
secrets alors que, en réalité, seule une poignée sait ce qui se
passe vraiment, tenant les ficelles. Il en découle que les initiés des
degrés inférieurs sont bernés, s'attachant simplement à
former le portique de leurs temple et loge. Et lorsque quelques-uns
des symboles sont présentés aux soi-disant initiés, ils sont le plus
souvent détournés de leur véritable sens.
Jim Shaw indique qu'il existe trois sortes de Francs-Maçons : le premier assiste aux rencontres et écoute sans fournir l'effort de comprendre le sens profond du rituel ; le second observe le rituel, lit et mémorise les mots, sans comprendre pour autant leur véritable signification. Seul le troisième type, les rares qui connaissent la vérité et qui contrôlent la confrérie, savent sciemment à quoi servent les rites et les initiations.
* Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.
*² Cf. La nouvelle religion universelle.
De la domestication des consciences
Don Miguel Ruiz, auteur spirituel mexicain, explique dans ses
ouvrages le processus de domestication de l'être humain et du miroir de
fumée fabriqué à son encontre par l'égrégore société, quelle
que soit sa nature.
Cf. " Les quatre accords toltèques ", " L'art de vivre et de mourir des toltèques ", " La voix de la connaissance ", " Au-delà de la peur ", " La maîtrise de l'amour ".
Cf. " Les quatre accords toltèques ", " L'art de vivre et de mourir des toltèques ", " La voix de la connaissance ", " Au-delà de la peur ", " La maîtrise de l'amour ".
Processus
Les humains rêvent en permanence. Rêver est en effet la fonction
principale de notre esprit, qui fait cela vingt-quatre heures par jour.
L'esprit rêve lorsque le cerveau est éveillé tout comme
lorsque ce dernier dort. La différence est que, durant l'état de
veille, le cadre de référence matériel nous fait percevoir les choses de
façon linéaire, chronologique. Lorsque nous nous
endormons, nous n'avons plus ce cadre de référence, faisant que le
rêve a tendance à vagabonder, à changer constamment.
Avant notre naissance, les humains qui nous ont précédé ont créé un
grand rêve extérieur, que nous appelons benoîtement réalité. Ce n'est
pourtant qu'un rêve, celui de la société, celui de la
planète, en l'état de la nature du rêve. Il traduit le rêve
collectif qui résulte des milliards de rêves personnels plus petits et
qui, ensemble, forment le rêve global. Il se décline à
différents niveaux : famille, communauté, ville, pays, humanité. Le
rêve de la planète comprend toutes les règles de la société, ses
croyances, ses lois, ses religions, ses différentes cultures
et modes de vie, ses gouvernements, ses écoles, ses événements
sociaux, ses jours fériés...

Nous naissons chacun avec la capacité d'apprendre naturellement
comment rêver. Mais les humains qui nous entourent nous apprennent à le
faire, à la manière dont rêve à ce moment la société, à la
manière dont ils rêvent. Les premières années de l'existence sont
ainsi purement et simplement subies, le petit " Moi " - l'égo-mental -
n'ayant aucune puissance à opposer à l'environnement.
Notre attention est captée, pour que soit introduites les règles du "
jeu " en vigueur dans notre esprit, dans notre mental. C'est le rôle
dévolu à la sphère parentale, puis éducative, et, si
possible, religieuse. Le travail porte principalement sinon
exclusivement sur notre capacité d'attention, celle consistant à être
sélectif et à se concentrer exclusivement sur ce que l'on veut ou
doit percevoir. Nous sommes en fait capables de percevoir des
millions de choses simultanément, mais en utilisant de façon ciblée
notre attention, nous pouvons maintenir ce que nous voulons au
premier plan de notre conscience. Ainsi notre attention porte sur
des informations injectées de manière répétitive et cadrée dans nos
esprits. C'est ainsi que nous apprenons tout ce que nous
savons. Il s'agit d'un processus dit éducatif. Est-il pour autant
instructif de notre relation la plus large avec l'univers ?
Dans cette instruction, tout ce qui est subi est à double tranchant.
Si l'enfant souffre d'un manque d'amour et de respect, cela laissera
vraisemblablement dans sa psychologie des codes profonds
de comportements. S'il est au contraire trop choyé, admiré par
principe, considéré trop tôt comme possédant sa propre autonomie et donc
sa propre autorité, il pourra tout autant adopter des codes
de comportement pervers. Cette période est décisive, " combat "
entre la dépendance et l'autonomie, entre l'intégrité du moi se
cherchant lui-même et les pressions multiples du non-moi auxquelles
l'enfant, puis l'adolescent, puis l'adulte doit s'identifier. Les
pressions sont parfois gratifiantes, comme le sentiment amoureux, ou
plus contraignantes, comme la place à trouver parmi les
autres, à travers une autonomie pécuniaire, à s'identifier par
rapport au milieu socioprofessionnel.
Nous programmons ainsi notre subconscient, vaste récepteur de
l'information que nous y déversons, et qui se transforme en mémoire dans
les cellules neuronales afférentes. Nous avons assimilé
toute une réalité, tout un rêve : comment se comporter en société,
que croire et ne pas croire, ce qui est acceptable et ce qui ne l'est
pas, ce qui est bon et ce qui est mauvais, ce qui est beau
et ce qui est laid, ce qui est juste et ce qui est faux. Cette
réalité assimilée correspond à ce qui prévaut dans le fonctionnement
global du monde au moment où nous l'enregistrons, avec bien sûr
les spécificités propres aux différents éducateurs qui se succèdent.
Nous apprenons également à capter l'attention des autres : parents,
professeurs, camarade, ce besoin d'attention devenant au fil du temps de
plus en plus fort et se perpétuant à l'âge adulte. Il
fait partie intégrante de nous-même. Le rêve de la planète a ainsi
capté notre attention et nous a enseigné ce que nous devions croire, à
commencer par la langue que nous parlons, code de
compréhension et de communication entre les êtres humains dont
chaque mot, chaque lettre, représente un point sur lequel " on " s'est
mis d'accord. Ainsi s'opère le transfert d'énergie d'un
système à une personne, et d'une personne à une autre. Nous n'avons
en fait jamais eu le choix, ni pour la langue, ni pour la religion, ni
pour les valeurs morales, ni pour la vision de l'homme.
Elles étaient toutes déjà là et, faisant partie du décor culturel,
elles s'appliquent, automatiquement. La vérité est que nous n'avons
jamais eu l'occasion de choisir ce que nous croyons ou non.
Nous n'avons pas choisi la plus infime des choses à laquelle nous
avons donné notre accord. C'est normal nous dit-on, puisque nous étions
des enfants, que nous ne savions pas ...
Aussi nous avons donné notre accord tacite à l'information qui nous a
été transmise sur le rêve en cours de la planète et de ceux qui le
transmettent. La croyance s'est installée, et du moment où
nous sommes en accord avec elle, nous avons la foi. Nous croyons
sans conditions. Bien programmée dans notre subconscient, notre foi est
si forte que le système de croyance contrôle tout le rêve
de notre vie. N'ayant pas choisi ces croyances, nous ne pouvons même
pas les remettre en cause, tellement nous sommes hypnotisés par leur
ancrage au plus profond de nous-même. Nous y sommes
soumis, avec notre plein accord.
Par cette domestication mentale nous avons appris comment vivre et
comment rêver. Jour après jour nous avons appris le nom des choses, leur
raison d'être, puis comment vivre de manière
acceptable. Nous avons appris à distinguer ce qu'est la femme de ce qu'est l'homme. Nous avons appris à juger, nous-même comme les autres. A l'image d'un animal dit domestique,
un chien ou un chat, nous avons été domestiqué par le jeu des punitions et des récompenses.
Chaque fois que nous avions enfreint les règles, nous avons été
puni, comme mauvais élève. Chaque fois que nous les avions respectées,
nous avons été récompensé, comme bon élève. Nous avons tout
naturellement commencé à avoir peur d'être puni, de ne pas recevoir
de récompense. Celle-ci consistait à obtenir l'attention satisfaite de
nos parents ou d'autres personnes (fratrie, professeurs,
camarades). Nous avons donc eu besoin de capter l'attention des
autres pour obtenir cette récompense. Comme elle nous faisait du bien,
nous avons continué de faire ce que les autres attendaient
de nous pour l'obtenir. Ayant peur d'être puni et peur de ne pas
être récompensé, nous nous sommes mis à prétendre être qui nous n'étions
pas, juste pour faire plaisir aux autres, juste pour
paraître assez bien à leurs yeux. En nous efforçant de faire plaisir
à autrui, nous avons commencé à jouer des rôles, en prétendant être
autre que nous n'étions, par peur d'être rejeté. Cette
peur est ensuite devenue celle de ne pas être comme il faut, assez
bon. Au bout du compte nous sommes devenu quelqu'un d'autre que
nous-même, pâle copie des croyances de maman, de papa, de la
société, de la religion.
Et de manière analogue, notre tour venu, nous formons nos enfants ou
nos collaborateurs par le même système. C'est normal, puisque nous
pensons qu'il est le seul digne de foi. Puisqu'" on " nous
l'a dit...
Ce système de croyances n'est rien d'autre qu'un Livre de la Loi qui
dirige notre esprit. Tout ce qui se trouve dans ce Livre de la Loi est
notre vérité, sans l'ombre d'un doute, d'une
contestation. Tous nos jugements se fondent sur lui, même s'ils vont
à l'encontre de notre propre nature intérieure, de l'appel de notre
âme. Même des lois morales telles que les Dix
Commandements sont inscrites dans notre psychisme au cours du
processus de domestication. Un par un, tous les accords que nous
concluons s'ajoutent au Livre de la Loi, puis dirigent notre vie.
Une part de notre esprit juge toute chose et chacun. Ce Juge
intérieur utilise ce qu'il y a dans ce Livre de la Loi intégré à notre
inconscient pour juger tout ce que nous faisons et ne faisons
pas, tout ce que nous ressentons et ne ressentons pas. Tout est
soumis à la tyrannie de ce Juge. Chaque fois que nous faisons quelque
chose de contraire au Livre de la Loi, le Juge nous déclare
coupable. Nous devons alors être puni et avoir honte. Cela se
produit plusieurs fois par jour, jour après jour, durant toutes les
années de notre vie.
Une autre part de nous-même reçoit ces jugements. Elle s'appelle la
Victime. La Victime subit la réprimande, la culpabilité et la honte.
C'est cette partie de nous qui dit "Pauvre de moi, je
ne suis pas assez bon, je ne suis pas assez intelligent, je ne suis pas assez beau, je ne mérite pas d'amour, pauvre de moi
". Le Juge est d'accord et dit qu'en effet nous ne le sommes pas.
Tout cela découle d'un système de croyances auquel nous n'avons
jamais choisi de croire. Ces croyances sont d'ailleurs si fortes que
même des années plus tard, lorsqu'on découvre de nouveaux
concepts et qu'on essaye de prendre ses propres décisions, on
réalise qu'elles contrôlent toujours notre vie.
♪ Another Brick In The Wall ♪*
We don't need no education
We don't need no thought control
No dark sarcasm in the classroom
Teacher, leave them kids alone
Hey, teacher, leave the kids alone
All in all it's just
another brick in the wall
All in all you're just
another brick in the wall
We don't need no education
We don't need no thought control
No dark sarcasm in the classroom
Teachers, leave them kids alone
Hey, teacher, leave us kids alone
All in all you're just
another brick in the wall
All in all you're just
another brick in the wall
* Pink Floyd, album " The Wall " (1979).
♪ Une autre brique dans le mur ♪
Nous n'avons besoin d'aucune instruction
Nous n'avons besoin d'aucun contrôle de la pensée
Pas de sombres sarcasmes dans la classe
Professeur laissez les enfants tranquilles
Hey professeur, laissez ces enfants tranquilles
Tout compte fait c'est simplement une autre brique dans le mur
Tout compte fait tu es simplement une autre brique dans le mur
Nous n'avons besoin d'aucune instruction
Nous n'avons besoin d'aucun contrôle de la pensée
Pas de sombres sarcasmes dans la classe
Professeur laissez ces enfants tranquilles
Hey professeur, laissez ces enfants tranquilles
Tout compte fait c'est simplement une autre brique dans le mur
Tout compte fait tu es simplement une autre brique dans le mur
Tout compte fait c'est simplement une autre brique dans le mur
Tout compte fait tu es simplement une autre brique dans le mur
Résultat
Contrevenir aux règles du Livre de la Loi rouvre nos plaies, et nous
conduit à produire du poison émotionnel par le sentiment de honte, de
culpabilité. Puisque tout ce qu'il y a dans le Livre de
la Loi doit être vrai, tout ce qui remet en question nos croyances
provoque un sentiment d'insécurité. Même si le Livre de la Loi est faux,
il nous donne un sentiment de sécurité.
Il faut beaucoup de courage pour remettre en question ses propres
croyances, car même si on ne les pas choisies, nous leur avons données
un accord. Tout comme les hiérarchies institutionnelles et
religieuses possèdent un livre de lois qui contrôle le rêve de la
société, notre système de croyances est le Livre de Lois qui dirige
notre rêve personnel. Toutes ces lois existent dans notre
tête, nous les croyons, et notre Juge intérieur fonde tout ce qu'il
dit sur elles. Le Juge décrète et la Victime subit la culpabilité et la
punition.
Pourtant la vraie justice consiste à ne payer qu'une seule fois pour
chaque erreur. La vraie injustice consiste à payer plus d'une fois pour
chacune. Combien de fois paie-t-on pour une seule
erreur ? En fait, des milliers, toute une vie. La raison est la
puissante mémoire logée dans notre subconscient. Combien de fois fait-on
payer la même erreur à son conjoint, à ses enfants ou à
ses parents ? Chaque fois qu'on s'en souvient, on les juge à
nouveau, on leur transmet tout le poison émotionnel que nous fait
ressentir cette injustice, puis on les fait à nouveau payer pour
leur erreur.
Le Juge intérieur a tort parce que le système de croyances, le Livre
de la Loi, est faux. Le rêve tout entier se fonde sur une loi fausse.
Quatre-vingt-quinze pour cent des croyances que nous
avons gravées dans notre mémoire ne sont que des mensonges, et nous
souffrons de croire ces mensonges. Mais dans le rêve de la planète, il
semble normal que les humains souffrent, qu'ils vivent
dans la peur et provoquent des drames émotionnels. Ce rêve n'est pas
agréable ; c'est un rêve de violence, de peur, de guerre, un rêve
d'injustice. Quant aux rêves personnels des humains, même
s'ils présentent quelques variations, de manière générale ce sont
des cauchemars. Aux quatre coins de la planète on voit de la souffrance
humaine, de la colère, un esprit de revanche, des
toxicomanies, de la violence dans la rue, une incroyable injustice.
Présente à des niveaux différents dans chaque pays, la peur contrôle
tout le rêve de la planète.
Dans tout conflit, l’ego qui a besoin de justifier ses actes se
substitue habilement à la raison du cœur, et bâtit une morale factice
qui couvre ses agissements et réduit à l’immoralité ceux des
autres. La personne s’identifiant alors à son ego est capable de
tout, convaincue de défendre LA cause juste, LA vérité universelle.
Aucune nation ne s’engage jamais dans une guerre sans être
convaincue qu’elle détient LA vérité. Lorsque nous sommes engagé
dans un conflit, nous ne faisons que nourrir ce que nous combattons. La
meilleure solution est de prendre du recul, de nous
retirer de toute implication pulsionnelle, et de changer notre point
de vue. Très souvent, les conflits nous amènent à nous enliser dans une
situation, à y enfoncer tellement le nez, que nous
perdons toute objectivité en nous y identifiant.
Si l'on compare le rêve de la société humaine avec la description de
l'enfer que les religions du monde entier ont promulguée, on constate
que les deux sont identiques. Les religions disent que
l'enfer est un lieu de punition, de peur, de douleur et de
souffrance, un lieu où le feu nous brûle. Le feu résulte des émotions
nées de la peur. Chaque fois que l'on ressent de la colère, de la
jalousie, de l'envie, ou de la haine, on sent un feu qui brûle en
soi. On vit dans un rêve d'enfer.
Si nous considérons l'enfer comme un état d'esprit, alors il est
présent partout autour de nous. Certains disent que si nous ne faisons
pas ce qu'ils nous commandent, nous irons en enfer. Pas de
chance : nous y sommes déjà, et ces personnes aussi ! Aucun être
humain ne peut condamner un autre à l'enfer, parce que nous y sommes
tous déjà. Les autres peuvent nous plonger dans un enfer plus
profond, c'est vrai. Mais seulement si nous y consentons. Chaque
être humain a son propre rêve personnel et, comme celui de la société,
il est généralement régi par la peur. On apprend à rêver
l'enfer dans sa propre existence, dans son rêve personnel. Si les
mêmes peurs se manifestent de façon différente chez chacun, nous
ressentons tous de la colère, de la jalousie, de la haine, de
l'envie, et d'autres émotions négatives. Notre rêve personnel peut
aussi devenir un cauchemar perpétuel dans lequel nous souffrons et
vivons dans un état de peur permanent.
Il n'est cependant pas indispensable de faire des cauchemars. Il est
possible d'avoir de beaux rêves. Toute l'humanité est à la recherche de
la vérité, de la justice et de la beauté. Nous sommes
constamment en quête de vérité parce que nous ne croyons qu'aux
mensonges gravés dans notre esprit. Nous recherchons la justice parce
qu'il n'y en a pas dans notre système de croyance. Nous
recherchons la beauté parce que, peu importe le degré de beauté
d'une personne, nous ne croyons pas qu'elle soit belle. Nous ne cessons
de chercher et chercher, alors que tout est déjà en nous.
Il n'y a aucune vérité à trouver. Où que nous nous regardions, tout
ce que nous voyons est la vérité, mais les accords que nous en avons
conclus et les croyances que nous entretenons nous privent
des yeux pour la voir.
Nous ne croyons pas la vérité parce que nous sommes aveugles, en
raison des fausses croyances encombrant notre esprit. Nous avons besoin
d'avoir raison et de donner tort aux autres. Nous avons
confiance en nos croyances et celles-ci nous condamnent à souffrir.
Nous vivons tout simplement au beau milieu d'un brouillard qui n'est pas
réel, qui n'est qu'un rêve, un rêve de vie personnel
de ce que nous croyons, de tous les concepts concernant qui nous
sommes, tous les accords que nous avons passés avec autrui, avec
nous-même, et même avec Celui que nous nommons Dieu. Nous ne
pouvons voir qui nous sommes vraiment, ni même que nous ne sommes
pas libre.
C'est pour cela que les humains résistent à la vie. Être vivant est
leur plus grande peur. Ce n'est pas la mort, mais le risque d'être
vivant et d'exprimer qui l'on est vraiment qui suscite la
peur la plus importante. Être simplement soi-même, voilà ce que l'on
redoute le plus. Nous avons appris à vivre en nous efforçant de
satisfaire les besoins d'autrui, à vivre en fonction du point
de vue des autres, de peur de ne pas être accepté et de ne pas être
assez bien à leurs yeux. N'étant pas parfait, nous nous rejetons. Le
degré de rejet de soi dépend de l'efficacité avec laquelle
les adultes ont réussi à détruire notre intégrité. En effet, une
fois le processus de domestication achevé, il ne s'agit plus d'être
comme il faut aux yeux des autres ; désormais, nous ne sommes
pas comme il faut pour nous-même, faute de correspondre à notre
propre idée de la perfection. Nous sommes incapable de nous pardonner de
ne pas être tel que nous le souhaitons, ou plutôt tel que
nous croyons devoir être. Nous ne nous pardonnons pas de n'être pas
parfait.
Nous savons que nous ne sommes pas comme nous croyons devoir être,
aussi nous sentons-nous faux, frustré, malhonnête. Nous essayons de nous
dissimuler, en prétendant être qui nous ne sommes pas.
Résultat : nous manquons d'authenticité et nous portons des masques
sociaux pour éviter que les autres le remarquent. Nous avons une telle
peur qu'on découvre que nous ne sommes pas qui nous
prétendons être. Naturellement, nous jugeons aussi les autres
d'après notre idée de la perfection, et bien entendu ceux-ci déçoivent
toujours nos attentes. Nous allons jusqu'à nous déshonorer,
simplement pour plaire à autrui. Parfois certains abîment même leur
corps pour être acceptés par les autres. On voit des adolescents prendre
de la drogue pour ne pas être rejetés par leurs
camarades. Ils ne sont pas conscients que leur vrai problème est de
ne pas s'accepter. Ils se rejettent eux-mêmes faute d'être ce qu'ils
prétendent être. Ils souhaiteraient être comme ceci ou
comme cela mais, puisque ce n'est pas le cas, ils se culpabilisent
et ont honte.
Les humains se punissent indéfiniment, à défaut d'être ce qu'ils
croient devoir être. Ils se maltraitent constamment, et se servent aussi
des autres pour se faire du mal. Mais personne ne nous
maltraite plus que nous-même, car ce sont le Juge, la Victime et le
système de croyances qui nous poussent à agir ainsi. Bien sûr, des gens
diront que leur mari ou leur femme, leur père ou leur
mère, leur ont infligé des mauvais traitements. Ils ne font que
s'auto-maltraiter encore plus. La manière dont on se juge est la plus
sévère qui soit. Lorsqu'on commet une erreur en présence
d'autrui, on essaye de la cacher ou de la nier. Mais dès qu'on se
retrouve seul, le Juge devient si puissant, la culpabilité si forte, que
l'on se sent stupide, mauvais ou dénué de valeur.
Au cours de toute notre existence, personne ne nous a jamais davantage maltraité que nous-même. Les limites que nous mettons à nos propres mauvais traitements envers nous-même sont exactement celles que nous tolérons de la part d'autrui. Si quelqu'un nous maltraite un peu plus que nous-même, nous le fuirions. Mais s'il le fait un peu moins que nous-même, nous continuerions probablement cette relation et tolérerions cette situation indéfiniment.
Si nous nous maltraitons terriblement, nous pouvons même supporter quelqu'un qui nous bat, qui nous humilie et nous traite comme moins que rien. Pourquoi ? Parce que, dans notre système de croyance, nous nous disons : "Je le mérite. Cette personne me fait une faveur d'être avec moi. Je ne suis pas digne d'amour et de respect. Je ne suis pas assez bon(ne). "
On a besoin d'être accepté et aimé par autrui, mais on est incapable de s'accepter et de s'aimer soi-même. Plus on a d'amour-propre, moins on se maltraite. Se maltraiter provient d'un rejet de soi, celui-ci résultant d'une image de la perfection à laquelle il est impossible de se conformer. L'idée qu'on se fait de la perfection est la raison du rejet de soi-même ; c'est à cause d'elle qu'on ne s'accepte pas tel qu'on est, ni les autres tels qu'ils sont.
Au cours de toute notre existence, personne ne nous a jamais davantage maltraité que nous-même. Les limites que nous mettons à nos propres mauvais traitements envers nous-même sont exactement celles que nous tolérons de la part d'autrui. Si quelqu'un nous maltraite un peu plus que nous-même, nous le fuirions. Mais s'il le fait un peu moins que nous-même, nous continuerions probablement cette relation et tolérerions cette situation indéfiniment.
Si nous nous maltraitons terriblement, nous pouvons même supporter quelqu'un qui nous bat, qui nous humilie et nous traite comme moins que rien. Pourquoi ? Parce que, dans notre système de croyance, nous nous disons : "Je le mérite. Cette personne me fait une faveur d'être avec moi. Je ne suis pas digne d'amour et de respect. Je ne suis pas assez bon(ne). "
On a besoin d'être accepté et aimé par autrui, mais on est incapable de s'accepter et de s'aimer soi-même. Plus on a d'amour-propre, moins on se maltraite. Se maltraiter provient d'un rejet de soi, celui-ci résultant d'une image de la perfection à laquelle il est impossible de se conformer. L'idée qu'on se fait de la perfection est la raison du rejet de soi-même ; c'est à cause d'elle qu'on ne s'accepte pas tel qu'on est, ni les autres tels qu'ils sont.
Si nous sommes capables de voir que tous nos accords dirigent notre
existence, et si nous n'aimons pas le rêve de notre vie, alors il nous
faut changer ces accords pour se dégager de la
dépendance et du dénigrement de soi, et de substituer à l’ego
manipulé la réponse du cœur. Nous prenons du recul en plaçant notre
regard à l’extérieur, en s’élevant pour survoler et contempler la
situation vue de la hauteur. Elle s’intègre alors au mouvement
global de la vie et devient une situation parmi tant d’autres. En
devenant le spectateur, nous reconnaissons que nous ne sommes ni
l’acteur, ni la situation, et que toute réaction de notre part ne
fait qu’alimenter le conflit. Sans renier, refouler ou sous-estimer nos
haines, colères et autres émotions, nous pouvons changer
notre point de vue, pour que tout bascule et s’éclaire sous un angle
différent. Le conflit aux apparences injustes et immorales n’est alors
plus une bataille personnelle que l’on entretient,
mais une situation extérieure que l’on observe et que l’on
peut transcender.
De la manipulation des consciences
Processus
Le but de tout être humain est l’évolution. Le but de toutes les "
élites " est qu'il demeure au niveau le plus bas pour qu’elles puissent
garder leur pouvoir de domination, tout particulièrement
sur les esclaves modernes du système marchand, et de rendre visibles
les formes de mystification qui occultent cette condition servile.
Aussi tout système de manipulation s'articule sur la
maîtrise du langage et fonctionne grâce à un système pyramidal
cloisonné, où seul celui qui est au sommet de la pyramide connaît tout
de l’organisation de celle-ci et du but poursuivi dont il est
l’instigateur ou le relais d'un autre système qui le contrôle en
arrière-plan. C’est ainsi que l’adage " diviser pour régner " prend tout
son sens, dans le but d'exploiter les ressources
énergétiques des individus par l'application subtile d'une
manipulation psychologique perverse : "Nul n'est plus esclave que celui qui croit à tort être libre.
" La démocratie libérale
n'est qu'un mythe rabâché à satiété par tous les illusionnés du
système, l’organisation dominante n’ayant rien de démocratique ni même
de libérale.

Pour qu’une poignée d’individus puisse diriger et contrôler les
masses, quelques structures et modes de fonctionnement associés doivent
être en place. Ces structures sont les mêmes, qu’il
s’agisse de manipuler un particulier, une famille, une tribu, une
ville, un pays, un continent ou une planète.
En premier lieu, cette structure se réfère à des normes établies :
définition du Bien et du Mal, du possible et de l’impossible, du sage et
du fou, de la mère et de la prostituée... La plupart
des gens respectent les normes sans sourciller en raison de l’esprit
grégaire qui prévaut depuis des milliers d’années.
En deuxième lieu, la vie est rendue impossible à ceux qui
transgressent les normes imposées, en les rendant hors la loi. C'est
tout particulièrement vrai pour tous ceux qui veulent être
différent, en exprimant par exemple un point de vue divergent. Le
troupeau étant conditionné à considérer les normes comme la réalité,
l'arrogance et l'ignorance qui en découlent permettront de
ridiculiser, ostraciser ou condamner. L’opinion collective exercée
se traduit par une pression incitant le transgresseur désigné à rentrer
dans le rang, tout en servant de mise en garde aux
brebis qui songeraient à leur tour à s’égarer. La crainte de
l’opinion forge une situation idéale pour que les masses se disciplinent
d’elles-mêmes et marchent droit. Chacun des moutons devient
ainsi le chien berger du troupeau, comme si les compagnons de
cellule d’un prisonnier qui tente de s’évader cherchaient à le retenir.
Si ces prisonniers inconscients apparaissent insensés, ils ne font
que refléter la façon dont la plupart des humains agissent les uns
envers les autres, en exigeant de tous qu’ils se conforment
aux normes auxquelles chacun obéit aveuglément. "Je n’agis que dans l’intérêt de mes enfants ", les entend-on souvent affirmer. Ils ne font en fait que ce pourquoi on les a programmés, à
croire comme tel, de même qu’à croire qu’eux seuls ont raison…
L'enfermement se fait de différentes manières, rien n'étant projeté
dans nos cerveaux par hasard, mais pour nous garder à un niveau où le
contrôle est total.

On y retrouve par exemple toute l’information scolaire de base
fournie par l’éducation nationale, fournie pour un formatage mental et
pour contrôler la limite de notre apprentissage en autonomie
de pensée. Ce conformisme social fait subrepticement glisser la
quête de l'éveil de la conscience vers un état statique
d’autosatisfaction des sens régis par la société de consommation et son
abrutissement technologique dédié au culte de la distraction.
Ce système éducatif est discriminatoire, imposant à une multitude
d’esprits et de sensibilités une seule pensée, une seule vérité, un
modèle dominant de forme athée. Il aboutit entre autres à ce
que nombre d'individus ayant suivi des études de sciences humaines
et sociales (sociologues, historiens, psychologues...), destinées à
améliorer la vie de nos concitoyens, mettent sans vergogne
leur savoir au service d'institutions ou d'intérêts destinés à les
manipuler ou les ruiner...
Il en est de même pour la quasi-totalité des médias dits grand public, quels que soient leurs supports, pour relayer dans leur "ligne" éditoriale même apparemment divergente le message tel que décidé par la nature de leur actionnariat, et répondre aux objectifs commerciaux de leurs annonceurs publicitaires.
Dans le domaine marchand, les grandes entreprises commerciales capitalisant sur les " marques " de leurs produits et services suivent de très près la science du cerveau, utilisant l’IRM ou l’électroencéphalogramme pour tester les réactions de consommateurs à de nouveaux produits, ou comprendre comment ils prennent une décision d’achat. Cela s’appelle le neuromarketing.
Nous pouvons également penser à l'instar du philosophe Michel Foucault (1926/1984) que les institutions disciplinaires et coercitives comme la prison, l'hôpital, l'armée, l'école et l'usine, participent de la volonté, plus ou moins consciente, d'induire des comportements normés, servant d'appui aux études sur le comportement (éthologie), comme notamment le fameux chien d'Ivan Pavlov. L'expérience nommée MK-Ultra* (ou MKUltra1), dévoilée en 1975, a de son côté établi l'existence d'une activité para-légale de la CIA aux États-Unis menée de 1950 aux années 1970, consistant à développer des techniques de manipulation mentale reposant sur des mécanismes de dissociation psychologique des sujets, que celle-ci soit induite volontairement ou déjà présente. Il est à souligner que plus de trente universités et institutions y ont participé, liées par le secret défense explicite comme suffisamment implicite, que l'on peut résumer en la phrase "Tout ce dont vous avez été témoin ici ne peut être révélé à quiconque ".
* Ce projet est également connu par d'autres appellations de sous-projets et/ou de projets parallèles liés : Artichoke, Bluebird, MK-Monarch, MK-Naomi, Mk-Search, MK-Often et MK-Chickwit. Une de ses applications de manipulation mentale dite "expérience de Milgram" a été portée à l'écran dans le film du réalisateur français Henri Verneuil " I comme Icare " (1979).
Cf. Contrôle mental.
Ensuite, les 3 religions monothéistes contribuent par le dogme
professé et la dévotion naïve des masses à nous éloigner de la
Connaissance, celle de notre réelle identité physique et spirituelle.
Ainsi le Christ, qui n’est ni un " maître " ni un personnage à notre
image, mais une puissance cosmique - le Kiristos - relayée dans l'enseignement terrestre par des avatars comme Jésus,
Bouddha, Krishna...
Enfin, la politique et son cadre nommé " démocratie " constitue une
soupape de sécurité, contribuant à alimenter un faux espoir pour les
masses aux fins de leur faire croire qu’elles ont un
quelconque contrôle sur leur devenir dans la diversité de l'offre
proposée.
Le processus d'enfermement consiste à créer des réalités dans
l'inconscient collectif, sans que les personnes puissent s'en rendre
compte, et à rendre factuelles et probables des
potentialités que pourtant aucun esprit éclairé ne souhaiterait voir
se matérialiser. Ce processus est basé sur la constante répétition pour
aboutir à un apparent paradoxe "Le plus vous
approchez et regardez, le moins vous voyez ", "Le plus vous essayez de comprendre et essayez d’expliquer l’action, le moins vous voyez l’image globale
", utilisé classiquement par
les illusionnistes et prestidigitateurs qui font toujours quelque
chose pour distraire le public alors que la vraie magie a lieu ailleurs.
La force de la maîtrise de l’audience des médias de
masse et de l'industrie du divertissement est de pouvoir duper à
grande échelle les masses par les maitres illusionnistes en les attirant
au plus près pour capter leur attention émotionnelle sur
un fait prétexte mis en scène. En donnant leur attention, les masses
offrent l'énergie qui donne toute puissance au médium qui par ailleurs
les étreint, les spectateurs hypnotisés par le
spectacle proposé oubliant la véritable magie, soit la
transformation de la société via les médias de masse pour qu’elle
reflète les besoins décidés. Ce processus malveillant de manipulation
mentale s'apparente à un acte de " magie noire "*. Voici pourquoi
les intérêts marchands, industriels et financiers, se sont emparés du
contrôle de la plupart de ces activités par le biais d'un
noyau très serré d'individus répartis entre des institutions
financières et des méga sociétés*².
* C'est par exemple l'entretien du " culte de l'Apocalypse ", qui conduit nombre de personnes à vivre dans l'attente d'un événement apocalyptique. La prophétie devient ainsi auto réalisatrice, tirant sa substance même des pensées de ceux qui croient, naïvement et inconsciemment, que cela est un possible capable de se produire. La confusion avec la Fin des Temps est totale et constante, entretenant les peurs, les logiques agressives et sécuritaires, et l'attente du retour de sauveurs comme Jésus pour les chrétiens, du mahdi pour les musulmans ou du mashia'h pour les Juifs.
*² Six sociétés de médias géants contrôlent plus de 90 pour cent des nouvelles et des divertissements diffusés en TV aux États-Unis.
* C'est par exemple l'entretien du " culte de l'Apocalypse ", qui conduit nombre de personnes à vivre dans l'attente d'un événement apocalyptique. La prophétie devient ainsi auto réalisatrice, tirant sa substance même des pensées de ceux qui croient, naïvement et inconsciemment, que cela est un possible capable de se produire. La confusion avec la Fin des Temps est totale et constante, entretenant les peurs, les logiques agressives et sécuritaires, et l'attente du retour de sauveurs comme Jésus pour les chrétiens, du mahdi pour les musulmans ou du mashia'h pour les Juifs.
*² Six sociétés de médias géants contrôlent plus de 90 pour cent des nouvelles et des divertissements diffusés en TV aux États-Unis.
Le pouvoir prospère sur l’irresponsabilité. Dans tout système
pyramidal cloisonné il existe une multitude de hiérarchies supérieures
les unes aux autres, avec comme dessein que le cloisonnement
procure l’irresponsabilité en bas et la garantie du secret en haut.
Les structures officielles ne sont que les vitrines de structures en
retrait, le vrai pouvoir restant toujours à l'abri de la
lumière, le décorum de la société n’étant qu’un trompe-l’œil. Ainsi,
au niveau le plus bas, se trouvent les " simples " exécutants, qui
doivent obéir aux instructions de leur responsable
hiérarchique et réaliser certains objectifs sans pour autant être
informés de l’intention véritable et de son éthique du représentant au
plus haut niveau. Suivant la taille de la structure, un
certain nombre de relais intermédiaires sont institués, avec un
cloisonnement quant à une partie de l'information relevant des objectifs
définis au plus haut niveau. C'est l'entité gouvernante,
interne ou externe, qui délègue aux strates hiérarchiques inférieurs
le soin d’accomplir les multiples tâches, afin que tout fonctionne pour
concrétiser le véritable but poursuivi. Chaque niveau
hiérarchique n’est donc au courant que d’une partie du puzzle. C’est
ainsi que l’employé qui travaille au plus bas de l'échelle pyramidale,
qui s’efforce de bien faire son travail en étant
persuadé que celui-ci apporte un bienfait au tout, peut sans le
savoir participer à un programme contraire aux buts affichés. Ceci
constitue une manipulation constitutive d'un plan d'illusion.
Ainsi le rapport entre les individus ne peut qu'être un rapport de
soumission/domination, binaire, dominant ou soumis. La logique
organisatrice est de ce fait rudimentaire. Appliquée à une
société néo-libérale comme la nôtre, cela génère des phénomènes de
distorsion très conséquents. Il n'y a en fait qu'un petit groupe, les
quelques dominants tout en haut, et un très gros groupe,
les complètement dominés tout en bas. A chaque niveau intermédiaire,
les individus sont à la fois dominants et dominés, ce qui génère une
belle schizophrénie et débouche sur les nombreuses
pathologies de l'identité constatées. Pourtant il existe une autre
forme d'organisation des rapports inter individuels dans un groupe ou
réseau social, construite en fonction des rapports de
complémentarité. Elle implique une structure et un fonctionnement de
nature systémique. C'est un univers à des années-lumière de
l'organisation des groupes de chimpanzés que nos élites se donnent
un mal fou à imiter. Il nécessite une logique élaborée, beaucoup
plus complexe que le binaire 0 ou 1, et surtout, une vision d'ensemble
constante, comme une toile de fond à chaque point du
système.
Aucune profession n’échappe au processus, même celle qui consiste à révéler la manipulation. En voici quelques exemples :
. L’employé de banque est persuadé qu’il aide ceux et celles à qui il consent des prêts.
. L’infirmière, le médecin et le laborantin sont intimement convaincus qu’ils apportent un bienfait à ceux qu’ils soignent.
. Le prêtre, le curé et la bonne sœur sont dignes de foi et font tout leur possible pour transmettre leur foi par le biais de divers rituels, pratiques et services rendus, tout particulièrement aux pauvres et indigents.
. Le ou la journaliste en charge du Journal Télévisé transmet ce qu’on lui permet de partager.
. L’ouvrier qui travaille dans une usine de décolletage ne sait pas à qui les pièces qu’il fabrique sont destinées.
. Le marchand de légumes ou le boulanger vend les produits qu’il pense être sains.
. Le gendarme accomplit sa tâche de surveillance collective.
Dès que nous agissons avec fougue et conviction, qui est souvent
l'apanage de la jeunesse, nous tendons vers la manipulation, servant
d'autant mieux le système qui s'y adonne. Nous essayons en
effet par différents moyens de convaincre et d’imposer nos " vérités
", la plupart du temps de bonne foi. Nous devenons alors manipulateur
en étayant nos vérités par des arguments ou preuves que
l’on considère justement comme véridiques, nos pensées modifiant
naturellement l’agencement des choses en relation avec notre point de
vue comme le veut le principe de l'observation en physique
quantique. Notre vérité fondamentale partagée avec d'autres peut
alors devenir une " croyance " pour ceux et celles qui, la recevant,
l’acceptent et alignent leur comportement en fonction des
révélations faites. Mais si nous devenons manipulateur de
conscience, nous sommes nous-même manipulé par nous-même puisque
obnubilé par cette idée de manipulation. Nous ne voyons tout ce qui se
passe que par ce " filtre ", obsédé par cette vision étroite (le
fameux Judas ou trou de porte...).
On ne peut en fait jamais transmettre une vérité, qui provient d’un
ressenti intérieur et intime résultant d’une expérience personnelle.
Nous ne pouvons transmettre que des croyances. Dès qu’une
vérité est partagée, elle devient croyance. Nous ne pouvons donc que
proposer des informations, même si nous les savons être des vérités,
sans vouloir les imposer par une multitude d’arguments.
Chacun expérimente le monde qu’il a cocréé par sa vision intérieure :
le monde devient ce qu’on croit qu’il est. C'est ainsi que celui qui
est totalement convaincu de la manipulation finit par en
voir les traces un peu partout. Il ne voit plus que cela, et pour
lui tout est corrompu, manipulé. Il passe sa vie à inciter les autres à
entrer en guerre contre ceci, cela, faisant le succès des
thèses conspirationnistes en tous genres. C’est ainsi qu’il
s’auto-manipule et, pensant faire le bien, manipule aussi les autres.
C’est ce principe qui est utilisé dans tous les mouvements
sectaires dirigés par un faux gourou qui se positionne en Maitre à
penser, et qui ainsi manipule les consciences.
Cf. Comportement de l'Inquisition
au Moyen Age lorsque les inquisiteurs voyaient le " Diable " partout et
utilisaient tous les arguments convaincants pour
déloger celui-ci de tout individu. Ils étaient persuadés qu’il était
logé en chacun sauf en eux naturellement, et pour cela utilisaient des
moyens violents, révélant ainsi que le seul Diable qui
existait était celui qui, les habitant, les amenait à torturer les
gens de bien. Ils permettaient ainsi au Diable qu’ils disaient combattre
de s’exprimer par leur comportement.
Les 10 stratégies de manipulation des masses
Le philosophe et linguiste
états-unien Noam Chomsky est devenu célèbre pour avoir travaillé sur la
manipulation de(s) masse(s) à travers sa violente critique de
La fabrication du consentement. Dix grandes stratégies de
la manipulation moderne ont depuis été théorisées, qu'illustrent
régulièrement les exemples fournis par l'actualité.
1. La stratégie de la distraction.
Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion est d’inspiration romaine et antique : panem et circenses, du pain et des jeux.
Elle consiste à détourner l’attention du peuple des problèmes importants et des mutations décidées par l’élite politique et économique, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes : le football, le sport en général, les Jeux olympiques, certaines émissions de télévision…
2. Créer des problèmes, puis offrir des solutions.
Cette méthode également appelée " problème-réaction-solution " consiste à créer une problématique sociale d’où naitra un ensemble de circonstances qui suscitera une réaction populaire demandeuse de mesures qu’on souhaite faire accepter. Ainsi le fait de laisser se développer une violence urbaine afin de mieux instaurer des lois sécuritaires au détriment de la liberté individuelle.
3. La stratégie de la dégradation.
En relation avec le point précédent, la stratégie de la dégradation permet de faire accepter l’inacceptable par l'application de mesures progressives, en " dégradé " et sur plusieurs années. Ainsi le chômage massif, la précarité, la flexibilité, les délocalisations, les bas salaires, la baisse des retraites et l'allongement de la durée du travail… autant de changements à l’avantage du néolibéralisme et de la mondialisation, qui auraient provoqué une révolution s’ils avaient été appliqués brutalement.
4. La stratégie du différé.
Présenter une décision impopulaire comme une difficulté nécessaire permet d'obtenir l’accord du public dans le présent pour une application future. Il est, en effet, toujours plus facile d’accepter un sacrifice s’il n’est pas immédiat. Cela laisse du temps pour s’habituer à l’idée du changement et l’accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.
5. L'infantilisation du public.
C'est l'approche privilégiée par la plupart des publicités destinées au grand public, qui utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, comme si le spectateur était un enfant à convaincre.
6. Faire appel à l’émotionnel plutôt qu’à la réflexion.
L'appel à l’émotionnel est une technique habituelle visant à court-circuiter l’analyse rationnelle et le sens critique des individus. L’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir un accès à l’inconscient afin d’y implanter certains désirs, idées, peurs, pulsions ou comportements.
7. Maintenir le public dans l’ignorance et la bêtise.
Le rôle est dévolu à l’Éducation Nationale, qui éduque plutôt qu'instruit, en évitant que le public concerné ne soit capable de comprendre les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. De même, 80 % des élèves des universités ou des grandes écoles sont issus des classes moyennes ou supérieures, et rien n’est réellement fait pour qu’il en soit autrement.
8. Encourager le public à se complaire dans la médiocrité.
C'est tout particulièrement le rôle dévolu à nombre de médias télévisuels ou de presse écrite, qui encourage le public à la bêtise, la vulgarité et l’inculture. Les plateformes de nombre de réseaux sociaux comme l'addiction aux supports mobiles participent de cette ligature de la pensée.
9. Remplacer la révolte par la culpabilité.
C'est de manière insidieuse le leitmotiv de la " philosophie " libérale que de faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur et de son infortune. Au lieu de remettre en question le système, le peuple se culpabilise et s’en prend à lui-même, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action, faisant au passage le bonheur de la pharmacopée.
10. Connaître les individus mieux qu’ils se connaissent eux-mêmes.
Les progrès fulgurants de la science et de la technologie ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles des élites. Grâce à la biologie, la neurobiologie, la psychologie… le " système " est parvenu à une connaissance avancée de l’être humain, accentuant ainsi le contrôle sur les individus.
Confusion spiritualiste
L’envers du monde que l’on appelle " l’au-delà " est souvent pris à
tort pour un royaume spirituel. Or il est faux de penser que le monde
astral et les dimensions dites éthériques (mentales,
causales...) seraient des domaines divins comme les spiritualistes
et religieux occidentaux le croient naïvement, où vivraient Dieu et les
anges. Cette erreur basée sur le découpage dual,
binaire, du monde provient de deux sources. D'une part d'une culture
religieuse assez rudimentaire sur les dimensions spirituelles,
indiquant de façon grossière l’idée que la partie invisible du
monde serait le but de la vie, avec une partie inférieure –
purgatoire et enfer – et une partie céleste où vivraient les âmes
bienheureuses. Ceci va totalement à l'encontre du principe ternaire -
la sainte Trinité - dont elles se prévalent pourtant. D'autre part
des enseignements sirupeux et idéalisés du " New Age " qui ne servent
qu’à nous bercer et à nous endormir. Médiums, " channels
", mystiques et clairvoyants, qui opèrent un contact avec l’aspect
de l’au-delà le plus accessible à leur état de conscience, rapportent
souvent de bonne foi des visions et messages qui ne
concernent cependant que l’envers accessible du plan terrestre
formel. Les enseignements métaphysiques et ésotériques authentiques ont
été manipulés depuis des âges pour servir les intérêts des
autorités en place, les inquisitions religieuses et laïques veillant
à ce qu’aucune information interdite ne filtre, la divulgation de la
vérité risquant de perturber l’ordre social. L’ordre
établi se protège.
Les dimensions invisibles sont immensément plus étendues et variées
que tout ce que nous pouvons imaginer, correspondant à la gamme des
trois intervalles/subdivisions de l'échelle de la création
cosmique : élémentaire, céleste (lui-même divisé en deux dans
l'arbre des séphiroth de la Cabale juive), supra céleste. Il existe des
frontières infranchissables en l'état actuel de notre
conscience, y compris pour la plupart de ceux ayant opéré un éveil
de conscience. Les récits des visionnaires et clairvoyants ne parlent
que des aspects de l’au-delà de notre monde, et en aucune
façon de la vie divine supérieure. Il s’agit certes d’une vie
subtile, mais qui demeure naturelle, en tout cas qui n’a pas de
caractère supérieur à la nôtre. Comme nous sommes tous dotés de ces
aspects subtils, certains d’entre nous ayant hérité ou développé ces
dons ont la faculté de ressentir l’éthérique, l’astral, le plan mental,
intuitif ou causal. Il n’y a rien de divin dans cette
expérience. C’est une expérience de clairvoyance supérieure, assez
rare au demeurant, limitée à l'état constaté de pureté de l'esprit.
Aussi une saine prudence à l’égard de ce qui vient de l’invisible
est particulièrement nécessaire, la force des égrégores constitués
fondée sur un besoin commun d’autoconservation pouvant
subjuguer et manipuler à bon compte les humains sensibles aux
impressions de nature subtile. C'est ce que la Tradition a toujours
enseigné dans son explication du combat entre les forces de la
Lumière et celles du démiurge, ce pur esprit désincarné qui rêva,
créa et organisa le monde en mêlant l'étincelle divine à la matière
préexistante.
L'Univers étant un hologramme, l’au-delà n’est en fait qu’un miroir, les " puissances éternelles ", champs électromagnétiques de très haute vibration, se trouvant sur d’autres dimensions, inviolables et pures, gardiennes de la Création, de l'Absolu. Ce monde divin est hors de portée des hiérarchies inférieures, aussi éthérées soient-elles. Cela signifie que ce monde que nous appelons de l’au-delà est le miroir de notre monde visible. "Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ", pour le meilleur et pour le pire. Il est rempli à son image de merveilles et d’horreurs, de bon et de moins bon. Il s'y trouve les mêmes prédateurs, sous forme d'égrégores malsains à puissante intensité énergétique, c'est-à-dire des agrégats psychiques et électromagnétiques qui concentrent la quintessence de ce que l’humanité a et produit en pensées, en désirs et en actions depuis des millions d’années. Leur " existence " ne dépend que du maintien dans le temps de cette même production vibratoire, ce qui explique leur besoin constant et obstiné de se nourrir de cette même énergie de basse intensité. Parce qu'elles leur sont indissociablement liées, les dynasties, castes et lignées génétiques qui régentent en clans, bandes et meutes le monde terrestre ne peuvent accepter de perdre leurs privilèges, pouvoirs, trônes, sceptres, tiares et or, et nourrissent ces égrégores en entretenant le servage des esprits et en maintenant l’humanité sur la vieille fréquence de leur système. Compte-tenu que la majorité des êtres humains errent dans le brouillard de l’ignorance et se fabriquent toutes sortes d’illusions en se cognant aux murs de l’espace-temps par l'émission de leurs désirs et pensées de toutes sortes qui s’assemblent par affinités, seuls ceux réellement " épurés " peuvent se protéger de leurs artifices et pollutions, sans les entretenir par leur naïve dévotion*.
* Ainsi le fidèle croyant, quelle que soit sa religion, qui pense gagner la faveur des " cieux " par la pratique régulière de son dogme tout en continuant à entretenir des croyances partisanes, binaires (j'aime/j'aime pas, je suis engagé sur un plan politique dans les idées d'un programme partisan, je me nourris de la nourriture médiatique servie, je consomme de manière addictive...).
L'Univers étant un hologramme, l’au-delà n’est en fait qu’un miroir, les " puissances éternelles ", champs électromagnétiques de très haute vibration, se trouvant sur d’autres dimensions, inviolables et pures, gardiennes de la Création, de l'Absolu. Ce monde divin est hors de portée des hiérarchies inférieures, aussi éthérées soient-elles. Cela signifie que ce monde que nous appelons de l’au-delà est le miroir de notre monde visible. "Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas ", pour le meilleur et pour le pire. Il est rempli à son image de merveilles et d’horreurs, de bon et de moins bon. Il s'y trouve les mêmes prédateurs, sous forme d'égrégores malsains à puissante intensité énergétique, c'est-à-dire des agrégats psychiques et électromagnétiques qui concentrent la quintessence de ce que l’humanité a et produit en pensées, en désirs et en actions depuis des millions d’années. Leur " existence " ne dépend que du maintien dans le temps de cette même production vibratoire, ce qui explique leur besoin constant et obstiné de se nourrir de cette même énergie de basse intensité. Parce qu'elles leur sont indissociablement liées, les dynasties, castes et lignées génétiques qui régentent en clans, bandes et meutes le monde terrestre ne peuvent accepter de perdre leurs privilèges, pouvoirs, trônes, sceptres, tiares et or, et nourrissent ces égrégores en entretenant le servage des esprits et en maintenant l’humanité sur la vieille fréquence de leur système. Compte-tenu que la majorité des êtres humains errent dans le brouillard de l’ignorance et se fabriquent toutes sortes d’illusions en se cognant aux murs de l’espace-temps par l'émission de leurs désirs et pensées de toutes sortes qui s’assemblent par affinités, seuls ceux réellement " épurés " peuvent se protéger de leurs artifices et pollutions, sans les entretenir par leur naïve dévotion*.
* Ainsi le fidèle croyant, quelle que soit sa religion, qui pense gagner la faveur des " cieux " par la pratique régulière de son dogme tout en continuant à entretenir des croyances partisanes, binaires (j'aime/j'aime pas, je suis engagé sur un plan politique dans les idées d'un programme partisan, je me nourris de la nourriture médiatique servie, je consomme de manière addictive...).
Antidote
Lorsque nous observons notre monde, les apparences nous abusent et
nous trompent car nous manquons de recul. Ce monde n'est rien d'autre
que la projection de nous-même. Notre implication
émotionnelle et sentimentale nous empêche de le voir tel qu’il est,
nos yeux regardant sans voir, nos oreilles écoutant sans entendre. Nous
refusons de voir ce qui n’est pas agréable et ce qui ne
cadre pas avec nos idéaux, nos croyances, nos fantasmes. Incapables
de nous organiser face à nos prédateurs visibles comme invisibles, nous
adressons dans notre candeur suppliques et prières sans
comprendre que nous nourrissons nos geôliers de notre impuissance et
de notre naïveté. Nous les acclamons ou croyons les destituer sans nous
rendre compte de la duperie orchestrée. En les plaçant
sur un trône, nous leur confions notre destin, notre santé, notre
psyché, notre vie. S'il y a une hiérarchie de responsabilité dans les
causes du chaos, tout le monde dans le fond y participe
sans même le savoir, et à ce titre est aussi responsable… Le
manipulé est-il moins responsable que le manipulateur ? Il existe une
multitude de formes et de comportements individuels et
collectifs, qui sur le long terme et en s’accumulant, comme les
dettes et les rancœurs non dites, mènent au pire. La recherche de
pouvoir pour son intérêt personnel et clanique est ce qui est le
plus destructeur sur notre monde ; le pouvoir de l'homme sur l'homme
est réellement ce qui le détruit.
Pour nous en sortir, seuls le discernement, la prise de recul afin
d’anticiper les tenants et aboutissants de la proposition qui nous est
assénée, et le choix en toute liberté selon notre intime
conviction, permettent de ne plus être manipulé. En étant notre
propre maître, nous devenons et sommes conscient. Lorsque nous devenons
conscient d’avoir été ou d'être manipulé, il s’agit
simplement d’agir pour ne plus l’être et de demeurer vigilant, en
étant conscient à chaque instant de ce que nous achetons, lisons,
écoutons, faisons, disons, transmettons. Parce que la liberté
vécue dans un état intérieur égoïste est par définition grandement
limitée, elle nous conduit à rester toujours des esclaves de cet
égoïsme. Nous ne pouvons nous défausser continuellement de la
responsabilité de notre héritage - matériel, social, psychologique
-, de l’environnement dans lequel nous avons grandi, de la qualité de
l’éducation reçue ou des traumatismes rencontrés.
Pour accéder à ce niveau de conscience, il s’agit ni plus ni moins
d’accepter le fait que nous ne savons rien, que le monde dans lequel
nous vivons est basé sur un mensonge, et que nous devons
tout réapprendre depuis le début en étudiant ce qui nous a été caché
ou présenté de manière édulcorée : physique quantique, énergies
gratuites, génétique, anciennes civilisations, source de
toutes les religions (Babyloniens et Sumériens), symbolique utilisée
par les religions et classes dominantes, champs d’énergies qui nous
entourent, OVNI et vie extraterrestre ... Il est en fait
assez simple de distinguer à quoi nous devons nous intéresser, cela
étant en général décrédibilisé et tourné en ridicule par les " experts "
représentatifs du système en place.
Cette assimilation de la connaissance conduit à la prise de
conscience spirituelle, nous détachant de la croyance. La programmation
mentale initialement instillée va se fissurer puis se dissoudre
suivant l'intensité du travail mené. Nous pouvons alors accéder à la
vraie information universelle, celle gravée dans les pierres de tous
les monuments sacrés du monde, celle que depuis les
millénaires les élites dominantes ont tenté de cacher ou de faire
disparaître, comme ces informations brûlées dans la bibliothèque
d’Alexandrie ou supprimées par les religions des versions
officielles de leurs livres de référence. Nous pouvons alors
comprendre le monde dans lequel nous vivons, qui nous sommes, pourquoi
nous sommes sur cette terre, quel est notre rôle, notre but, le
pourquoi de nos souffrances, comment, depuis quand, par qui, et
pourquoi nous avons été manipulé. Nous comprenons à ce stade que le vrai
changement, le seul qui importe, est le changement
intérieur. Nous ressentons une présence en nous, une énergie
immense, un pouvoir sans limite, un lien à tout ce qui nous entoure,
notre connexion au monde et à l’infini, à notre Source première.
Et tellement plus encore…
Confronté à une manipulation faisant partie intégrante de notre
expérience, comme travailler pour le compte d'une structure ou
institution à des fins non éthiques, il s’agit dans un premier temps
de prendre un temps de réflexion et de recul afin de pouvoir
remonter en quelque sorte au sommet de la pyramide. Nous pouvons
essayer d’en savoir un peu plus sur ses buts réels, en allant
voir en amont quels intérêts elle sert vraiment. Certes cette
découverte peut nous causer un sacré cas de conscience : continuer à
travailler pour cette structure en se sentant coupable de
participer à son programme, ou la quitter, ce qui libère certes
notre conscience mais nous préoccupe quant à notre avenir matériel. Il
est évident qu’il n'est pas toujours aisé de trouver
une entreprise dont l’éthique est irréprochable, mais cela est
toujours possible. Et si nous décidons de rester, il est judicieux
d'éviter de " fermer les yeux " et de continuer à faire comme si
de rien n'était. En étant conscient, nous préservons notre intégrité
psychique et permettons d'attirer dans notre vie des circonstances plus
favorables à notre épanouissement.
La sagesse vient en effet du lâcher prise. Il ne sert à rien de
lutter contre les manipulateurs puisqu'eux-mêmes sont manipulés, d'abord
par eux-mêmes. Tant que notre attention est portée sur la
lutte, le ou les conflits ne peuvent cesser. Cela est valable dans
tous les domaines. Notre résistance pacifique par notre discernement
permet d'éviter l'emprise psychique de l'institution sur
nous-même. Nous ne sommes pas dupe, sans pour autant entrer dans une
résistance mentale, émotionnelle et physique condamnée d'avance. En ne
donnant plus foi à certaines inepties économiques,
scientifiques, médicales, religieuses, monétaires ... nous nous
désengageons d'une caution à un système castrateur et destructeur, et
récupérons cette énergie pour notre propre force intérieure.
Et à l'extérieur, notre comportement de citoyen-consommateur éclairé
permet de nous désengager des manipulations attentatoires à notre
bien-être (alimentation par exemple). En ne donnant plus
prise à la chaîne d'intérêts mercantiles constituée, nous
contribuons à une écologie de la conscience qui, petit à petit, diminue
la pression constituée. A un certain niveau atteint de la
conscience collective, la chaîne finit par se rompre. C'est une loi
physique imparable.
Afin de sortir de cette structure pyramidale cloisonnée il s’agit
non pas de détruire la Pyramide mais de rétablir l’unité entre toutes
les hiérarchies la constituant. C'est le principe de
Synargie *, qui voit un des participants du premier niveau (employé,
citoyen) faire aussi partie du groupe de second niveau dont un
représentant va lui-même participer aux réunions de troisième
niveau (direction par exemple), et ainsi de suite jusqu’au sommet.
Chaque niveau connait ainsi tout ce qui se passe au-dessus et en dessous
de lui.
* Cf. Travaux de Joseph Alexandre Saint Yves d’Alveydre, érudit, poète et écrivain français (1842/1909).
Ce modèle, usité dans les temps anciens, a permis la structuration
d’entreprises familiales solides pendant de nombreuses générations.
Celui qui se trouvait à la place dirigeante était celui qui,
de nombreuses années auparavant, avait été lui-même créateur du
projet en tant qu’ouvrier ou artisan. Petit à petit, il avait réussi à
développer son entreprise jusqu’à en devenir Directeur.
Ainsi il connaissait tous les avantages et inconvénients de chaque
niveau hiérarchique et les problèmes en relevant.
Si certaines exceptions demeurent de nos jours, les hauts postes de
direction dans les entreprises ou administrations sont occupés par des
individus qui ont rarement travaillé à la base, en tout
cas suffisamment. Il en est de même dans la représentation
politique. La connaissance théorique du métier devient ainsi un
véritable handicap tout comme un facteur de suspicion et de clivage.
C'est alors la perpétuation d'un système de nature féodale, qui
bénéficie seulement à quelques seigneurs exploitants.
Comment s’étonner alors que le conflit Terre-Ciel soit autant
porteur de psychoses collectives puisque le féminin sacré, soit
l’intériorité fécondante, le ressenti émotionnel créateur, est
totalement nié ou non considéré par la toute-puissance du masculin
sacré, soit la raison structurante par la pyramide institutionnalisée
comme principe de gouvernance. Nous pouvons d'autant mieux
comprendre pourquoi la religion a retiré de son enseignement la
13ème constellation, celle dite du dragon ou serpentaire (constellation
de l'hémisphère nord traversée par le Soleil du 29 novembre
au 18 décembre), qui correspond aux 13 pleines lunes (principe
féminin) par année ou 13 mois lunaires. Le but est de déconnecter l'être
humain du monde naturel, de l’harmonie cosmologique
universelle, et de l'emprisonner dans un vaste mensonge *. Depuis le
déluge, les sauveurs religieux nommés Noé, Moïse, Abraham et consorts
se sont employés en l’état de la conscience d’alors pour
que l’écosystème soit préservé de la barbarie animalière
destructrice. Ils ont formaté par la puissance du verbe proclamé au nom
du Créateur tout puissant le champ dit de " conscience collective
". Compte-tenu de cette inconscience du plus grand nombre de la
toute-puissance de l'être humain uni dans ses polarités masculine et
féminine constitutives, toute leur descendance ne peut que
porter depuis sur les épaules les stigmates de la mystification et
supercherie originelles, celle du péché lié à la séparation due à la
soi-disant inconséquence féminine, celle d’une Ève
tentatrice ayant entraîné son Adam dans sa turpitude. À partir de là
les enfants ne font que perpétuer cet état de crasse, comparable à
l’état de leurs couches culottes. Ce système quoi qu’il
dise ne peut croire en l’avenir, les enfants ramassant tout le temps
la fange de leurs aînés et s’attachant à traiter sans y parvenir leurs
problématiques non résolues. Nous sommes en fait tous
encore ces nourrissons à ce stade fécal, derrière nos illusions
d’êtres prétendument évolués et civilisés. Heureusement sur le point de
le quitter, pour certain(e)s ... *²
* L'analyse sérieuse d'une planète dans son signe (astrologie dite tropicale) permet de comprendre comment elle agit sur un plan énergétique. C'est ce qui permet d'établir une corrélation avec l'être humain dans son fonctionnement psychologique et médical, ce que font nombre d'astrologues, médecins et psychologues sérieux. Cependant, si la base de départ est fausse, il est difficile d'aider de façon adéquate l'individu, qui doit se contenter de conseils à caractère plutôt ludique tels que présentés dans les rubriques divertissement des médias utilisateurs.
*² Cf. Prophétie du changement.
* L'analyse sérieuse d'une planète dans son signe (astrologie dite tropicale) permet de comprendre comment elle agit sur un plan énergétique. C'est ce qui permet d'établir une corrélation avec l'être humain dans son fonctionnement psychologique et médical, ce que font nombre d'astrologues, médecins et psychologues sérieux. Cependant, si la base de départ est fausse, il est difficile d'aider de façon adéquate l'individu, qui doit se contenter de conseils à caractère plutôt ludique tels que présentés dans les rubriques divertissement des médias utilisateurs.
*² Cf. Prophétie du changement.
Dérive psychique
La grande majorité de nos dirigeants
politiques et institutionnels est seule responsable du chaos dans lequel
notre société est en train de sombrer. Ces femmes et
ces hommes qui la composent usent du pouvoir pour régler leur propre
déficit affectif, se traduisant par un besoin accru de reconnaissance.
Quelque chose leur empêche de se comporter comme des
représentants éclairés de l'intérêt collectif, préférant être des
caciques qui ne pensent qu’à protéger leurs seuls intérêts et la haute
considération qu’ils ont d’eux-mêmes. Ce qui les empêche
d’y parvenir c’est la perversion *. Cette dernière puise ses
fondations dans la relation parents/enfant et les cinq blessures de
l’âme qui président à la structuration d’une telle psyché :
trahison, abandon, rejet, humiliation et injustice. Parvenus au
stade adulte et en situation de pouvoir, ils n’ont de cesse de mettre en
scène ces cinq blessures qu’ils font subir aux autres,
seul moyen de pleine jouissance…. Le prix à payer pour les citoyens
est lourd de conséquences : faillites économique, sociale, morale,
éthique et psychique. Changer de mode de gouvernance qui se
dotera de tous " les garde-fous " nécessaires s’impose comme seule
solution vitale à la survie et la renaissance de notre société… C'est le
seul moyen d’éviter la prédiction funeste faite par
Carl Gustav Jung, qui en 1940 déclarait : " Notre civilisation attend son déluge, mais ce ne sera pas un déluge physique qui l’atteindra, mais un déluge psychique. "
* Cf. Fonctionnement du corps biologique.
La connaissance est le pouvoir, l’ignorance est l’esclavage. Les Grecs anciens ne disaient-ils pas déjà que L'Homme est le bétail de Dieu
? *
L’homme moderne semble avoir reçu comme un implant d’indifférence,
d'apathie et de soumission, quoiqu’il endure. Il ne cherche ni l’origine
ni la finalité de sa propre existence, tout à ses
ambitions, sa rapacité, son orgueil qui l'éloignent de la voie de
son destin, de sa réalisation intérieure, de son bonheur. A moins de
bêler de joie en se faisant tondre par les bergers de ce
monde, ceux qui désirent une libération n’ont qu’une chose à faire,
tourner le dos radicalement au système dans les croyances distillées, en
rejetant toute identification avec l'état de sous
conscience du troupeau humain. Ceci vaut pour les nombreux
idéalistes et utopistes engagés qui, de ce fait, se sont identifiés à la
masse sans voir qu’ils se livrent ainsi inconsciemment à la
perpétuation du jeu en place. Cela vaut tout autant pour les "
apprentis spiritualistes ", à la recherche d'une voie mystique idéalisée
tout en continuant à se disperser dans des activités et des
distractions sans lendemain. Tous ne font que servir de pile
énergétique aux hiérarchies dominantes par leurs émotions et leurs
pensées non dépouillées des illusions manipulatoires. Il y a
nécessité de se réveiller du rêve de l’existence (existare
en latin signifie être dehors) et sortir de l’hypnose culturelle
établie. Prendre parti, c’est abdiquer. La seule alternative
est la sortie du jeu. En se voyant retirée par la pleine conscience
l'énergie consacrée à la survie du système, les égrégores en place
finiront par se dissoudre. La culture humaine avec sa
philosophie, sa religion et sa science, constitue un système de
lavage de cerveau, empêchant que les êtres humains découvrent que la
porte de leur cage est grande ouverte sur l'éternel universel.
Cette porte, c’est celle du cœur. C’est le désir de liberté absolue.
Celui qui la cherche sincèrement la trouve nécessairement.
* Cf. Alain Danielou, " Le Bétail des Dieux et Autres Contes Gangétiques " (Éditions du Rocher, Paris 1994).
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