Conscience et dépassement de la matrice sexuelle

Remarque préliminaire
Par convention
rédactionnelle, cette publication aborde la question de la "matrice
sexuelle" par une représentation classique du genre sexuel masculin
(polarité électrique +) et du genre sexuel féminin
(polarité magnétique -). Cette vision hétérosexuelle ne traduit
aucunement un jugement de quelque nature que ce soit sur le
choix d'une sexualité autre, le mécanisme de la prédation
psycho-émotionnelle demeurant identique, même s'il est naturellement
renforcé par les tabous et préjugés inscrits tant dans l'inconscient
collectif que l'ordre moral prévalant exprimé par ses relais
attitrés.
Les pièges de la Matrice prédatrice asservissante dans notre monde
de la 3ème dimension sont innombrables *. Ils constituent cependant des
clés initiatiques de première importance lorsque nous
éveillons notre conscience à leur réalité et, par le discernement et
la mise en pratique, nous nous engageons résolument dans notre chemin
de transformation intérieure *².
Il en est ainsi de la sexualité, moteur énergétique de notre
constitution biologique, qui constitue une aide précieuse au
développement de notre discernement quant au fonctionnement "pervers" du
monde de 3ème dimension.
*² Cf. Le chemin de l'Ascension.
L'échelle des dimensions de réalité et de conscience de l'humain
L’état de conscience est l’élément clé de toute
existence dans l'Univers, Ce Qui Est, qui n'est rien d'autre que le
produit de Son Esprit, soit un contenu ou substance de
nature purement psychique, autrement dit éthérique ! Il correspond
sur le plan de la science physique à la gravité, à même de créer le
monde des formes, illusoires par définition. Ceci entend que
TOUT - l'Univers - est une grande illusion, Son Esprit se déclinant
en 7 dimensions de densité, c'est-à-dire des niveaux de conscience à
chaque fois dégradés en partant du plus élevé jusqu'aux
plans inférieurs, là où l'énergie éthérique est densifiée par le
mécanisme des forces électromagnétiques et nucléaires. Les dimensions
sont ainsi à entendre comme le résultat de la Conscience
universelle telle que manifestée dans le secteur "imagination" de la
pensée humaine.
Le corps humain physique provient de la matière de 1ère densité (sodium, potassium, calcium, phosphore, carbone, vitamines, tous les sels minéraux et organiques…).
Son corps génétique (acide nucléique, acide ribonucléique, peptides, glucides, adénine, cytosine, guanine, thymine...) est issu de la 2ème densité. Les constituants de l'ADN de tout être vivant, qu'il soit végétal, animal ou humain, restent identiques.
Son vécu (incarnation physique) se fait dans la 3ème dimension de densité ou de réalité, la "3-D".
Sa conscience limitée au Moi personnalité - l'ego-mental - * se situe dans la 4ème dimension de densité, lui permettant de s'observer lorsqu'elle est éveillée. Nommée le champ de l'Astral, elle est placée sous la gouvernance de forces involutives, dites le corpus prédateur (le Non-Être), même si des Forces évolutives dites de Lumière les contre-balançent de par la Loi de la dualité *².
Son corps éthérique/spirituel sous gouverne de l’Âme *³ est relié à la 5ème dimension de densité (la matière noire, l'antimatière, le non-temps…). Elle représente le lieu géométrique de toutes les possibilités d'un moment donné, dont une seule se réalise dans le Temps, alors que toutes les autres demeurent irréalisées. C'est une sorte de plan que la ligne du Temps perce à l'endroit où se trouve la possibilité qui, de ce fait, se réalise.
Sa conscience supérieure ou supra-conscience - celle du Soi supérieur une fois l’Âme réunifiée - est reliée à la connaissance de la 6ème dimension de densité (l'énergie noire ou nucléaire faible, la Connaissance universelle…). Elle figure le Temps de l'Univers, comprenant par son volume non plus le possible mais l'accomplissement de toutes les possibilités de chaque moment par le cycle complet de toutes les lignes du Temps.
Il conserve toujours sa connexion à la 7ème dimension de densité, à l'Un, à la Source, la conscience ultime du Créateur et de la Création, Ce Qui Est, point situé en même temps dans l'Espace et dans le Temps.
Ligne du Temps, Éternité et Tout sont les termes du langage courant qui correspondent à la quatrième, à la cinquième et à la sixième dimension. Le terme Zéro correspond à la septième et dernière dimension. Ce n'est pas le néant. C'est le germe et la fin, l'Alpha et l'Oméga de tout ce qui existe.
* Cf. Décryptage de l'Ego.
*² Cf. La dualité décodée.
*³ Cf. Le cheminement de l’Âme.
Techniques de contrôle de l’esprit et conditionnement de croyances *
Pour saisir les vrais motifs du
corpus prédateur involutif qui gouverne l'humain de la 4ème dimension de
réalité, il est nécessaire de comprendre les bases du
contrôle de l’esprit humain. L’exploitation d’humains par le
contrôle de l’esprit peut être atteint de différentes manières :
1. En éloignant les individus de leur sphère d’influence normale.
2. En les privant de sommeil.
3. En leur infligeant de la douleur s’ils désobéissent, du plaisir s’ils obéissent.
4. En altérant leur biochimie.
5. Par des traumatismes infligés.
Ces méthodes sont notamment utilisées par des sociétés (sectes) à caractère occulte, souvent impliquées dans les pratiques de magie noire et de sorcellerie.
Pour effectuer un programme de contrôle de l’esprit réussi sur l’humanité, il est indispensable que les croyances de base sur Dieu, la Création et le champ du divin - Ce Qui Est -, soient détournées et assises sur un modèle contrefait. Là réside le pourquoi de la corruption initiale des grandes religions du Livre *², qui prévalent tout particulièrement dans le monde occidental et une partie de l'Orient. Ainsi le tabou de la sexualité, qui au prétexte de son caractère " impur " au-delà de l'acte de procréation, conduit par effet miroir à obscurcir et à anesthésier la faculté de discernement du fidèle croyant, soit son éveil spirituel, tout particulièrement masculin puisque dominé par sa polarité électrique. Celui-ci sera conduit à projeter sa frustration à l'extérieur, et par ricochet sur autrui, la femme émancipée devenant tout naturellement la pécheresse fantasmée et diabolisée. Cela ne l'interdira pas de s'autoriser quelques plaisirs compensatoires au désir réprimé sous différentes formes, souvent brutales (Cf. actualité concernant un célèbre prédicateur). Cette manipulation hypocrite n'est rien d'autre qu'un programme de contrôle mental à grande échelle, totalement déconnecté d'un soi-disant enseignement divin. Que penser alors de grandes institutions éducatives (universités par exemple), continuant à ouvrir leurs portes aux illuminés du faux Dieu ? Irresponsables ou complices ?
* Cf. Contrôle mental & Le contrôle du robot biologique.
*² Cf. Le Judaïsme décodé & L’Église romaine décodée.
Classique confusion
La conscience humaine de 3ème densité de réalité et les croyances
associées ont toujours confondu amour et sexualité. Or la sexualité n'a
strictement rien à voir avec l'amour, les deux ne
correspondant aucunement à l'acception humaine donnée.
Nature de l'amour
Dans sa raison d'être universelle, soit le mode " Service d'Autrui
", l'Amour n'est précisément et absolument pas un sentiment d'affection,
ni d'attachement envers un être ou créature vivant,
bien au contraire ! L'amour véritable, ou inconditionnel, restitue
sa pleine responsabilité et liberté d'être à l'autre, même s'il s'agit
de son compagnon, ses enfants, ses parents, ses amis, ou
ses animaux.
L'amour est cette énergie universelle - la force nucléaire faible - non réellement définissable par la conscience limitée de l'humain. Même s'il est parfois défini comme une force créatrice - par exemple artistique -, l'amour humain de 3ème densité reste néanmoins une distorsion de la loi de l'Unité. Il est le principe d'où découle l'expérience du jeu des polarités du bien et du mal *. Unité de conscience intégrée à la loi de l'UN, il ne peut être polarisé (" J'aime / Je n'aime pas ").
En physique quantique, l'amour est cette force qui traduit et polarise la fonction d'onde en spin dextrogyre ou lévogyre. Soit pour la transformer en photon, en lumière apparente - la fausse lumière matricielle de 3ème densité constitutive de l'illusion -, soit en une réalité détachée de cette dernière, dans laquelle baignent encore l'égrégore des consciences humaines ignorantes de cette vérité.
* Cf. La dualité décodée.
L'amour est cette énergie universelle - la force nucléaire faible - non réellement définissable par la conscience limitée de l'humain. Même s'il est parfois défini comme une force créatrice - par exemple artistique -, l'amour humain de 3ème densité reste néanmoins une distorsion de la loi de l'Unité. Il est le principe d'où découle l'expérience du jeu des polarités du bien et du mal *. Unité de conscience intégrée à la loi de l'UN, il ne peut être polarisé (" J'aime / Je n'aime pas ").
En physique quantique, l'amour est cette force qui traduit et polarise la fonction d'onde en spin dextrogyre ou lévogyre. Soit pour la transformer en photon, en lumière apparente - la fausse lumière matricielle de 3ème densité constitutive de l'illusion -, soit en une réalité détachée de cette dernière, dans laquelle baignent encore l'égrégore des consciences humaines ignorantes de cette vérité.
* Cf. La dualité décodée.
En renvoyant la plupart du temps à un profond sentiment de tendresse
envers une personne, cette conception spécifique de l'amour en mode "
Service de Soi " comprend un large éventail de
sentiments différents, allant du désir passionné à l'amour
romantique et à la tendre proximité sans sexualité de l'amour
platonique, jusqu'à la dévotion spirituelle de l'amour religieux. Ces
sentiments sous leurs diverses formes agissent comme un facteur
majeur dans les relations sociales, occupant de ce fait une place
centrale dans la psychologie humaine. Or ils sont tous
générateurs d'attachements, de dépendances et de culpabilité. Ce
qui, par leur principe même d'anneaux de pouvoir *, emprisonne l'humain
dans sa matrice asservissante, le conduisant à courir
derrière une chimère inatteignable.
* Cf. Libération émotionnelle.
* Cf. Libération émotionnelle.
Nature de la sexualité

Le serpent a toujours illustré l'énergie sexuelle spécifique au
fonctionnement du corps biologique *. C'est ce que figure la kundalini,
mot sanskrit signifiant " s'enrouler comme un
serpent ". Cette énergie du serpent à double polarité masculine et
féminine est également symbolisée par le Caducée, le célèbre bâton de
Mercure (Hermès grec) qui représente la médecine et la
guérison. C'est le symbole du dieu sumérien " Inkishzidda ". Ce
symbole est aussi celui de l'ADN, la spirale double de l' ADN.
Ce bâton symbolise l’axe du monde - axis mundi - comme la colonne vertébrale de l’être humain, homme comme femme, avec deux serpents entrelacés, intriqués en spirale, soit les deux polarités nécessaires à la manifestation de la vie (masculine/féminine, bien/mal, macrocosme/microcosme) lors de son passage du monde végétal au monde animal, entraînant la formation de la colonne vertébrale et du système nerveux central. C’est l’application du " 3 " fondu en 1 (le bâton) par les 2 serpents, soit le principe d’activation de la conscience de l’unité, la cohérence *².
Le serpent symbolise par ses anneaux l’ensemble des cycles de la manifestation universelle, nécessaires à l’être humain dans l’alternance naissance/mort pour retourner à son Unité première *³. La spirale décrit le cercle originel de la Création - Ce Qui Est - à travers le temps, le Noyau fondateur ayant commencé à décohérer sous cette forme. Quand le pouvoir du serpent (l'énergie) est stimulé, il grimpe le long de la colonne vertébrale, énergisant chaque chakra, jusqu’à émerger au crâne, symboliquement sous la forme d’une tête de serpent (les ailes représentent cette montée d'énergie) apportant l'illumination. Toutefois, il convient de préciser qu'il ne s'agit pas d'un feu, contrairement à la croyance fortement ancrée dans l’inconscient collectif. En fait, ce n’est que lorsque les polarités du féminin (notre ancrage à la Terre) et du masculin (notre connexion au Ciel) sont à égalité de pression que la Kundalini produit ses effets. C’est une explosion du cœur et non de la tête, constitutive de la prise de conscience de notre Particule d’Esprit divin qui sommeillait depuis si longtemps.
* Cf. Fonctionnement du corps biologique.
*² Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.
*³ Cf. Le cheminement de l’Âme.
Ce bâton symbolise l’axe du monde - axis mundi - comme la colonne vertébrale de l’être humain, homme comme femme, avec deux serpents entrelacés, intriqués en spirale, soit les deux polarités nécessaires à la manifestation de la vie (masculine/féminine, bien/mal, macrocosme/microcosme) lors de son passage du monde végétal au monde animal, entraînant la formation de la colonne vertébrale et du système nerveux central. C’est l’application du " 3 " fondu en 1 (le bâton) par les 2 serpents, soit le principe d’activation de la conscience de l’unité, la cohérence *².
Le serpent symbolise par ses anneaux l’ensemble des cycles de la manifestation universelle, nécessaires à l’être humain dans l’alternance naissance/mort pour retourner à son Unité première *³. La spirale décrit le cercle originel de la Création - Ce Qui Est - à travers le temps, le Noyau fondateur ayant commencé à décohérer sous cette forme. Quand le pouvoir du serpent (l'énergie) est stimulé, il grimpe le long de la colonne vertébrale, énergisant chaque chakra, jusqu’à émerger au crâne, symboliquement sous la forme d’une tête de serpent (les ailes représentent cette montée d'énergie) apportant l'illumination. Toutefois, il convient de préciser qu'il ne s'agit pas d'un feu, contrairement à la croyance fortement ancrée dans l’inconscient collectif. En fait, ce n’est que lorsque les polarités du féminin (notre ancrage à la Terre) et du masculin (notre connexion au Ciel) sont à égalité de pression que la Kundalini produit ses effets. C’est une explosion du cœur et non de la tête, constitutive de la prise de conscience de notre Particule d’Esprit divin qui sommeillait depuis si longtemps.
* Cf. Fonctionnement du corps biologique.
*² Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.
*³ Cf. Le cheminement de l’Âme.
C'est pourquoi les enseignements de la Tradition non dénaturée se
sont toujours attachés à la compréhension et à la maîtrise de la
puissance de l'énergie sexuelle, véritable clé de transmutation
intérieure et de libération lorsqu'elle est conscientisée, ce qui
bien entendu n'est jamais enseigné, ou de manière édulcorée et tronquée,
pour maintenir les esclaves prisonniers de leurs sens
désordonnés, et illusionnés par le schéma simpliste de l'homme
procréateur par sa semence et de la femme génitrice. Si ces deux rôles
sexués sont bien entendu indispensables à la création du
vivant, les circonscrire à ces fonctionnalités empêche tout
processus de libération des codes de conditionnement qui y sont liés.
A l'origine de l'humanité
Les travaux du spécialiste des
civilisations mésopotamiennes et des écrits des tablettes d'argile Anton
Parks permettent peu à peu de reconstituer l'histoire
secrète de la Terre, volontairement cachée à la connaissance de
l'humain sous domination et contrôle mental *. Contrairement à
l'enseignement académique dispensé, de moins en moins crédible au
regard des découvertes successives, elle voit à ses origines
lointaines une division dans l'ordonnancement du cosmos entre des "
races planificatrices de vie " (+) et des " races conquérantes "
(-). Cette division est conforme aux polarités positive et négative
qui permettent le fonctionnement du Vivant dans des dimensions de
réalité et de conscience inférieures à la dimension ou
matrice originelle, Ce Qui Est *². Le conflit fait ainsi rage entre
les races planificatrices au service de la paix universelle, nommées Kadištu (parmi lesquelles se trouvent différentes
lignées comme les Nungal ou les Urmah), et
d’autres races de nature agressive qui refusent cet ordre planificateur,
formant des sociétés hiérarchiques, pyramidales, au sommet
desquelles se trouvent les Gina'Abul et Kingu *³.
La Terre est dans l'Univers une planète sauvage, une réserve biologique où sont expérimentées d’innombrables formes de vies. Par la division inhérente à son fonctionnement, elle a une histoire émaillée de désaccords et de conflits. Une de ces races agressives est les Anunna, une race reptilienne dont la couleur sacrée est le vert. C'est elle qui aurait manipulé l'ADN et les chromosomes de l'espèce humaine qui faisait suite aux premiers homo-erectus il y a environ un million d'années, le néandertalien - soit l'Abel biblique -, avant son implantation terrestre, de peur de voir ses représentants trop éveillés et afin de la maintenir sous asservissement. Toutefois, conformément à la loi des polarités régissant l'univers, les " déesses-mères " reptiliennes appelées Amasutum y ont logé les clés de l'évolution, sous réserve de l'éveil de conscience ...
* Cf. Contrôle mental & Le modèle pyramidal décodé.
*² Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.
*³ Cf. Préambule de compréhension & Les acteurs de la Matrice falsifiée.
La Terre est dans l'Univers une planète sauvage, une réserve biologique où sont expérimentées d’innombrables formes de vies. Par la division inhérente à son fonctionnement, elle a une histoire émaillée de désaccords et de conflits. Une de ces races agressives est les Anunna, une race reptilienne dont la couleur sacrée est le vert. C'est elle qui aurait manipulé l'ADN et les chromosomes de l'espèce humaine qui faisait suite aux premiers homo-erectus il y a environ un million d'années, le néandertalien - soit l'Abel biblique -, avant son implantation terrestre, de peur de voir ses représentants trop éveillés et afin de la maintenir sous asservissement. Toutefois, conformément à la loi des polarités régissant l'univers, les " déesses-mères " reptiliennes appelées Amasutum y ont logé les clés de l'évolution, sous réserve de l'éveil de conscience ...
* Cf. Contrôle mental & Le modèle pyramidal décodé.
*² Cf. Évolution de civilisation (1) Le mécanisme de l'Univers.
*³ Cf. Préambule de compréhension & Les acteurs de la Matrice falsifiée.
La tentation de l'or et du sexe, ou la permission à son esclavage logée dans la psyché
La lecture d’un grand nombre de
représentations mythologiques - la Chute au Jardin d’Éden, le Déluge
avec l'Arche de Noé et ses paires d'animaux, anéantissement de
Sodome et Gomorrhe - conduit à constater que le sexe ou la sexualité
est une question cruciale. C'est ainsi que dans les légendes
sumériennes, les dieux sont perturbés par toutes les activités
sexuelles de l’humanité qui les empêchent de dormir, et ils décident
de détruire celle-ci. Quant à la religion chrétienne, elle a toujours
combattu le sexe, allant de l’idée de la castration
volontaire au célibat de ses officiants, en passant par le sexe à
des fins de procréation exclusivement. A l’époque contemporaine, nombre
d'individus rapportent des expériences sexuelles avec des
extraterrestres de tous types.
Ceci pose clairement la question de notre obéissance au plaisir personnel, ce qui nous a entraîné, lorsque les entités prédatrices ont ouvert la porte pour montrer l'éclat de la matière - l'or et le sexe - à nos sens physiques. Autrement dit, l'être humain leur a donné la permission de l'enlever. C'est bel et bien l'usage de son libre arbitre qui a consenti à sa capture, et depuis à son esclavage. Tel est le sens de l'ancienne légende de l’Ange déchu, Lucifer, autrement dit nous-même ! Nous avons bel et bien chuté en ouvrant la porte, le serpent nous ayant alors mordu pour un syndrome depuis à répétition, celui de sa mainmise sur la fréquence vibratoire de la planète Terre.
L'évolution progressive de l'espèce
humaine a vu ainsi l'Homo Neanderthalensis passer au stade supérieur dit
Homo Erectus pour devenir progressivement "l'homme
moderne", d'abord l'Homo Sapiens puis l'Homo Sapiens Sapiens. Cette
branche Homo est la famille "animale" (la signification sumérienne de
Adam est bétail), utilisée depuis les origines par la
famille reptilienne involutive qui s'est imposée pour contrôler et
dominer sur la Terre *. Autrement dit, il s'agit du Caïn biblique,
génétiquement coupé du divin, dont seuls 3 à 5% de l’ADN
moderne s’exprimeraient en protéines et seraient utiles, le reste
étant nommé par les scientifiques le Junk DNA, l'ADN poubelle...
L'initiation de l'humain à la sexualité selon les tablettes mésopotamiennes est du fait d'une race reptilienne évolutive, pacificatrice, rattachée à la divinité Enki. Il est ainsi figuré comme le serpent bénéfique - celui du Caducée de la médecine -, qui a permis aux humains de découvrir le secret de la procréation pour pouvoir, en se reproduisant, s'extirper lentement de leur asservissement des races reptiliennes (Anunna) involutives rattachées à la divinité Enlil, son frère *², fils du dieu sumérien Anu, le Yahvé/Jéhovah biblique (le faux Dieu universel). Il s’agissait bel et bien de conférer aux hommes la possibilité d’être indépendants, autonomes, et de ne plus avoir besoin du clonage génétique pour se "multiplier". De ce fait, certains prototypes du projet "humain (dit Adam)" s’émancipaient et pouvaient à terme échapper au contrôle absolu des entités prédatrices.
L'autre dimension à ce " don " de la procréation est celle de la sexualité, qui, dans certaines conditions, peut devenir sacrée et offrir l’accès à la connaissance, à une élévation de l’âme, à une véritable transcendance, et au final à la sortie de la matrice involutive sous domination de la force prédatrice reptilienne (archontique). Les gnostiques avaient saisi l’enjeu qui se cachait derrière ces notions tout comme les adeptes du tantrisme, hors sa manipulation New Age. C'est pourquoi les religions judéo-chrétiennes inféodées au corpus prédateur y ont toujours vu un danger mortel et un poison pour l’âme - celui de son éveil -, raison pour laquelle la sexualité a toujours été auréolée d’un tabou confinant à la culpabilité, et par-là même au maintien de la conscience dans les ténèbres...
* Cf. La nouvelle religion universelle.
*² Cf. Le Judaïsme décodé.
L'initiation de l'humain à la sexualité selon les tablettes mésopotamiennes est du fait d'une race reptilienne évolutive, pacificatrice, rattachée à la divinité Enki. Il est ainsi figuré comme le serpent bénéfique - celui du Caducée de la médecine -, qui a permis aux humains de découvrir le secret de la procréation pour pouvoir, en se reproduisant, s'extirper lentement de leur asservissement des races reptiliennes (Anunna) involutives rattachées à la divinité Enlil, son frère *², fils du dieu sumérien Anu, le Yahvé/Jéhovah biblique (le faux Dieu universel). Il s’agissait bel et bien de conférer aux hommes la possibilité d’être indépendants, autonomes, et de ne plus avoir besoin du clonage génétique pour se "multiplier". De ce fait, certains prototypes du projet "humain (dit Adam)" s’émancipaient et pouvaient à terme échapper au contrôle absolu des entités prédatrices.
L'autre dimension à ce " don " de la procréation est celle de la sexualité, qui, dans certaines conditions, peut devenir sacrée et offrir l’accès à la connaissance, à une élévation de l’âme, à une véritable transcendance, et au final à la sortie de la matrice involutive sous domination de la force prédatrice reptilienne (archontique). Les gnostiques avaient saisi l’enjeu qui se cachait derrière ces notions tout comme les adeptes du tantrisme, hors sa manipulation New Age. C'est pourquoi les religions judéo-chrétiennes inféodées au corpus prédateur y ont toujours vu un danger mortel et un poison pour l’âme - celui de son éveil -, raison pour laquelle la sexualité a toujours été auréolée d’un tabou confinant à la culpabilité, et par-là même au maintien de la conscience dans les ténèbres...
* Cf. La nouvelle religion universelle.
*² Cf. Le Judaïsme décodé.
Dénaturation de la sexualité
Selon l'enseignement du christianisme, c'est Jésus qui introduisit
dans les rapports humains ce qui était pratiquement inconnu avant lui. A
la loi hébraïque de la jungle "œil pour œil, dent pour
dent", il substitua le commandement nouveau : "Aimez-vous les uns
les autres." Cela produisit une révolution dans les relations entre
l'homme et la femme, l'Amour étant introduit dans la vie
sociale. La "marchandise" d'autrefois obtenait toutes proportions
gardées droit de cité. Était posé le principe du choix réciproque en
amour, entraînant la révélation du Roman, genre littéraire
mettant en exergue l'amour courtois. S'il atteignit son apogée au
Moyen Age, et en dépit tant du déclin qu'il a connu depuis lors que de
la tendance contemporaine au retour à des formes
régressives des rapports entre les sexes, il demeure l'idéal avoué
de notre société, celui consistant à cimenter l'union indissoluble de
deux êtres strictement polaires qui assurera leur
intégration au sein de l'Absolu.
C'est pourquoi la vision d'un tel roman hante les meilleurs esprits depuis des millénaires, que l'on retrouve dans l'amour platonique, base du roman unique, dans les mythes de l'Androgyne, d'Orphée et d'Eurydice, de Pygmalion et Galatée, de Daphnis et Chloé, d'Ulysse et Pénélope, de Tristan et Yseult, de Roméo et Juliette, de Rodrigue et Chimène, de Paul et Virginie... Entrés dans la lumière, tous deux ne font plus qu'un afin de faire jaillir l'Amour vrai, transfigurateur, vainqueur de la Mort. L'Amour est bel et bien l'Alpha et l'Oméga de la vie, le reste n'ayant qu'une signification secondaire.
C'est pourquoi la vision d'un tel roman hante les meilleurs esprits depuis des millénaires, que l'on retrouve dans l'amour platonique, base du roman unique, dans les mythes de l'Androgyne, d'Orphée et d'Eurydice, de Pygmalion et Galatée, de Daphnis et Chloé, d'Ulysse et Pénélope, de Tristan et Yseult, de Roméo et Juliette, de Rodrigue et Chimène, de Paul et Virginie... Entrés dans la lumière, tous deux ne font plus qu'un afin de faire jaillir l'Amour vrai, transfigurateur, vainqueur de la Mort. L'Amour est bel et bien l'Alpha et l'Oméga de la vie, le reste n'ayant qu'une signification secondaire.
"Les sexologues de la seconde moitié
du XXème siècle traiteront de la sexualité pervertie de l’homme comme si
elle était une donnée naturelle. Ils ne
s’intéresseront qu’au phallus, aux capotes anglaises, aux techniques
amoureuses des Hindous. Ils prodigueront aux ignorants et aux
impuissants des conseils sur la manière "d’accomplir" avec
"succès" l’acte sexuel. Ils enseigneront les "techniques de
l’amour", la manière de jouer avec les organes génitaux du partenaire,
de s’exciter réciproquement, ils diront ce qu’il faut faire et
ne pas faire, quelles positions adopter pendant l’étreinte sexuelle…
Les politiciens n’hésiteront pas à s’emparer de l’occasion pour
promettre aux "masses" la "liberté de l’amour" (…) Ainsi la
doctrine de la Vie jaillissante [l’évangile] aboutira au naufrage de
l’humanité tout entière et de toutes ses institutions, si elle est
prise en charge par l’homme atteint de la PESTE
ÉMOTIONNELLE. (…)"
Wilhelm Reich - Psychiatre autrichien (1897/1957), The Murder of Christ (Le Meurtre du Christ), 1953
Le référentiel patriarcal judéo-chrétien inséré par conditionnement
dans notre psyché a ainsi conduit à une profonde dénaturation de la
relation de l'être humain à la sexualité *. Elle se traduit
par de la culpabilité, source de refoulement, de frustration, de
soumission, et de compensation dominatrice par des déviances sexuelles
caractéristiques de perversions *² - type pédophilie, plus
exactement pédocriminalité -, et des manipulations psychologiques.
Il n'est pas étonnant que tant de prêtres, évêques et papes défroqués
aient succombé à leurs instincts sexuels au sein de
l’Église romaine, réprimés et dénaturés par l'obligation de
chasteté, ce que rappelle désormais de manière récurrente l'actualité.
Cette répression sexuelle instaurée par ces " patriarches au
service du malin " a gangrené les rapports humains. Ces derniers
sont encore prétextes aujourd'hui à des guerres sanglantes, restant
toujours perceptibles à différents niveaux d'abomination parmi
les religions extrémistes juives, chrétiennes, musulmanes,
hindouistes, bouddhistes confondues.
Conformément à la loi des polarités, l'autre pendant de la
dénaturation a été initié à partir de la seconde moitié du XX° siècle
également à grande échelle à travers la libération sexuelle, tout
particulièrement encouragée par l'industrie publicitaire et
médiatique, l'éducatif institutionnel et la législation, conduisant là
aussi à brouiller les repères nécessaires à une relation apaisée
et harmonieuse à soi-même comme à autrui.
* Cf. Le Judaïsme décodé, L’Église romaine décodée & Le mythe du péché, ou la mise sous tutelle de l'humain.
*² Cf. Fonctionnement du corps biologique.
L'évolution sociétale de la perception de la sexualité
Incontournable de la physiologie
humaine, la sexualité au même titre que la santé et son corollaire la
maladie se définissent depuis toujours dans le monde binaire
de la 3-D à partir d'un modèle de référence considéré comme étant
représentatif de la " normalité " vs son pendant, "l'anormalité". Ces
modèles référents, sous la férule des autorités
politico-religieuses qui les établissent, ne sont pas toujours
explicites, et changent suivant les époques, les cultures et les
sociétés.
C'est ainsi que dans les sociétés dites traditionnelles, le référent est parfois élaboré à partir d'une analyse simple de ce qui est observé. Par exemple, le baiser est contre nature puisque la bouche, avec les dents, est faite pour manger et pas pour la sexualité. La sodomie est dégoûtante puisque l'anus contient des excréments dégoûtants. De même, les activités oro-génitales sont condamnées à cause du goût et de l'odeur désagréable des organes génitaux.
Dans l'Antiquité grecque, la bisexualité faisait partie de la norme : les hommes entretenaient des relations homosexuelles comme une vie hétérosexuelle de famille. Dans l'Antiquité romaine, où la principale référence était la virilité (distincte de l'hétérosexualité), la société condamnait le fait d'être passif, c'est-à-dire être au service de l'autre. Ce rôle n'était concevable que pour une personne de rang inférieur, comme l'esclave. Ce faisant, toutes les activités sexuelles où l'homme est actif étaient considérées " normales ", que ce soit avec l'épouse, avec une maîtresse, avec l'esclave, homme ou femme. Les activités sexuelles contraires à la représentation culturelle romaine de la " nature " étaient la bestialité, la nécrophilie (attirance sexuelle pour les cadavres) et les unions avec les divinités.
Au XIX° siècle, le modèle de référence était l'" instinct sexuel " à même de permettre la reproduction, c'est-à-dire le coït vaginal. Tout ce qui n'allait pas en ce sens était considéré comme une perversion (sodomie, activités oro-génitales, activités sexuelles entre personnes de même sexe ou impubères ...).
Le début du XX° siècle voit le modèle psychanalytique s'établir, qui permettra de sortir les perversions sexuelles des systèmes moraux et classificateurs en vue jusqu'alors (Cf. livre de 1905 de Sigmund Freud " Les Trois essais sur la théorie sexuelle "). Le fondateur de la psychanalyse postule que la sexualité humaine est par nature opposée aux principes d'autoconservation de l'espèce, celle-là étant appelée à être " domptée " par les exigences de la vie en société. C'est ainsi qu'il parlera de " l'enfant pervers polymorphe ", dans la mesure où pour lui toute source de plaisir constitue(ra) un but. C'est l'évolution, notamment de la sublimation, qui lui permettra de convertir cette libido en pulsion épistémophilique (désir incessant d'accumuler du savoir) ou, par les ratés d'une fixation, conduira à une perversion stable.
À la fin du XX° siècle, à partir de la neurologie et d'un consensus entre experts psychiatriques, est élaborée une nouvelle référence, le DSM (The Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders ou " Manuel de Diagnostic et de Statistiques des Troubles mentaux "), classant les déviances sexuelles à la " norme " en perversions. Toutefois, les facteurs socio-culturels continuent d'influencer ce qui est considéré comme normal ou pathologique, aboutissant par exemple à ce que l'homosexualité ne soit plus considérée comme une maladie. De même, le phénomène culturel de la révolution sexuelle des sixties conduit à la suppression de plusieurs paraphilies (attirance ou pratique sexuelle qui diffère des actes traditionnellement considérés comme " normaux ") du référentiel DSM *.
Dans les années 2000, les recherches en neurosciences ont montré que chez l'être humain (tout comme chez le chimpanzé, le bonobo, l'orang outan et le dauphin), le comportement sexuel n'est plus un comportement de reproduction, mais un comportement érotique. En effet, il a été observé qu'au cours de l'évolution, l'importance et l'influence des hormones et des phéromones (substances chimiques qui transmettent des informations influençant la physiologie et les comportements) sur le comportement sexuel a diminué. Alors que chez les mammifères les plus simples, ce sont les phéromones qui sont à l'origine de l'hétérosexualité, l'importance des récompenses / renforcements est devenue majeure. Il en a découlé que chez l'être humain, le but du comportement sexuel n'est plus le coït vaginal mais la recherche des plaisirs érotiques, procurés par la stimulation du corps et des zones érogènes, peu important les caractéristiques du ou des partenaires. En fonction de ce modèle, où les récompenses sont le principal facteur du comportement sexuel, les problèmes et les pathologies de la sexualité ne se situent plus au niveau des activités (peu importe le moyen du plaisir érotique), mais au niveau du dysfonctionnement des processus de la récompense (hypo ou hypersexualité, dépendance sexuelle), au niveau de la relation entre les partenaires (agressions physiques ou psychologiques), et au niveau des croyances sociales particulières et infondées (contexte culturel induisant, par exemple, la culpabilité pour la perte de la virginité, la pratique de la sodomie ou de la masturbation).
Tous ces modèles de référence n'ont eu de cesse de changer, sans être toujours explicites ou décrits avec précision. Les mœurs sexuelles et la morale changeant au cours du temps, les connaissances concernant la sexualité humaine sont partielles, évoluant constamment. Au XXI° siècle, ce qui est considéré comme normal ou pathologique dépend encore, en partie, de l'état des connaissances et du contexte culturel.
C'est pourquoi le diagnostic de la pathologie sexuelle ne peut se faire qu'à partir de la connaissance de la sexualité et de sa raison d'être profonde : asservissement ou libération. Autrement dit, celle qui implique une menace pour soi-même ou autrui, celle qui permet le processus de transformation intérieure.
* Cf. Fonctionnement du corps biologique.

" Cointelpro ", ou la manipulation sexuelle du New Age
Le " Cointelpro " - Counter Intelligence Program - (counter au sens " contrer ", " aller à l'encontre ") est un programme de désinformation, de contre-intelligence et de contrôle mental initié par le FBI (Federal Bureau of Investigation) et la CIA (Central Intelligence Agency)
états-uniens. Il découle des techniques de manipulation de masse de
la conscience humaine *, visant entre autres à un extrême la création
des rituels pédo-sataniques, à l'autre extrême la
promotion du tantrisme, autrement dit la " kundalini-sexualité ",
foutaise grotesque du courant New Age " Amour et Lumière ".
Ces programmes de manipulation mentale ont pour objectif de faire croire que des techniques d'ouverture spirituelle sont possibles grâce au " partage " de l'énergie sexuelle, alors que c'est très précisément l'expérience du désir sexuel (ou charnel) qui a précipité les âmes humaines dans l'expérimentation du monde de la matière, bloquant leur ascension de conscience pour un retour à l'Unité !
Même si le tantrisme se revendique d'une pratique inspirée de la religion hindouiste remontant au V° siècle, qui allie le yoga et la méditation à la sexualité aux fins de maîtriser ce puissant courant d'énergie, il est une technique propre à ce monde de réalité limité, celui de la Matrice asservissante, et de ce fait dévoyé.
C'est ainsi qu'en suivant les principes de la méditation, le tantra pratiquant a " prétendument " pour objectif d'atteindre, en plein état de conscience, une sexualité " éveillée ", en d'autres termes réfrénée sous couvert de spiritualité. La prétendue dimension sacrée serait atteinte par la fusion entre le masculin et le féminin (représentée dans les temples hindous par Shakti et Shiva). En réalité, le tantrisme n'est bénéfique que pour les consciences prétendument sur le chemin de l'éveil, mais qui restent captives de l'illusion de la matrice cyber. Tel qu'il est enseigné par les gourous " amour et lumière ", il n'est qu'une subtile distorsion de la loi de l'Un puisqu'il entraîne frustration de par la répression des fonctions hormonales. Quoi qu'ils racontent, le plaisir physique ne peut atteindre tout le corps, restant limité uniquement aux parties génitales, le reste n'étant qu'une illusion spirituelle. Aussi rechercher une montée de kundalini en évitant l'orgasme, comme cela est parfois enseigné dans les séminaires tantriques pour soi-disant ouvrir la porte à toutes sortes de visions mystiques, paranormales et magiques, n'est qu'une très dangereuse mystification destinée à égarer l'être humain sur son véritable chemin d'éveil, la rencontre avec le prédateur enfoui en lui et la dissolution (ou transmutation) de ses mémoires référentes *².
* Cf. Contrôle mental & Prédation spirituelle et voie de sortie.
*² Cf. Le chemin alchimique & Comprendre et apprivoiser la prédation.

La face cachée du bien-être
Ils sont légion celles et surtout
ceux qui se sont lancés sur le juteux marché du bien-être censé répondre
aux affres de cette civilisation en souffrance, souvent
avec sincérité tant l'état " sauveur" de leur moi non individué *
masque leur dominante bourreau ou victime utilisée par leur prédateur
attitré pour les manipuler afin de recevoir sa nourriture
énergétique de survie. Utilisant tout particulièrement les réseaux
sociaux pour promouvoir leurs promesses de bonimenteurs, ou fabricants
de pastilles dédiées à cette thématique en vogue pour les
chaînes d'info en continu, il en découle pour ce domaine à la croisée de la santé et de la spiritualité
arnaques,
emprise psy sinon parfois domination sexuelle ... Sous couvert de
quête existentielle, la cible privilégiée est la femme, qu'elle soit
mère au foyer, femme active surchargée ou femme émancipée, à
la recherche du lâcher-prise et du recentrage intérieur salvateur la
plupart du temps après un échec professionnel, un deuil,
une rupture, un accident, une maladie.
De la déjà ancienne sophrologie aux injonctions à la " bienveillance " dans le cadre de la RSE (Responsabilité Sociale et Environnementale) en entreprise, des conférences sur le bien-être nutritionnel et le vivre-sain (intolérances alimentaires, bio, pratiques véganes) en passant par l'édition de manuels de développement personnel et le coaching tant individuel que collectif (pratiques yogiques), sans oublier les offres VIP pour bobos branchés (parcours holistiques inspirés des quatre éléments, séances privées de qi gong ou de reiki), le bien-être est désormais omniprésent des sphères chimériques du quotidien.
Ce programme de manipulation mentale est entre autres une orchestration de l'usine hollywoodienne - les " mages noirs "- dédiée au contrôle de la conscience *². Son ambassadrice attitrée est Gwyneth Paltrow, actrice glamour qui en 2008 a lancé Goop (signifiant " substance visqueuse " ...), une newsletter confidentielle pour CSP+ en quête de bonnes adresses et de recettes, transformée depuis en véritable empire digital par sa plateforme combinant e-commerce, ouvertures de pop-up stores, organisation de conférences payantes et collaborations avec des marques. On y trouve dans ce bric-à-brac " élitiste " des jeux de cartes provocateurs d'empathie, des pailles en métal agrémentées de cristaux purifiants visant à assainir l'eau et lutter contre les déchets plastiques, un spray infusé aux huiles essentielles supposé protéger des attaques psychiques, un luxueux fil dentaire enrichi en fibres de noix de coco, des haltères en marbre massif, un cache pour les yeux avec une face " sleep " et une face " fuck " ... à des tarifs conséquents. Si cette success story est unanimement encensée par ses adeptes illusionnées, le site du mieux-vivre accumule les controverses et les condamnations pour publicité mensongère comme des accessoires vaginaux supposés lutter contre les dérèglements hormonaux et la dépression nerveuse, ou les patchs corporels permettant de " réguler les fréquences énergétiques du corps " basés sur un soi-disant matériau utilisé par l'agence spatiale américaine NASA.
Nous pouvons ainsi comprendre d'autant mieux l'appétence des foutraques gourous du bien-être à profiter de ce mercantilisme luciférien avec ses cures de jeûne, d'hygiène et de digestion hors de prix, ses soins énergétiques opaques, ses régimes à partir de jus de légumes et ses retraites dédiées à la santé mentale, même si bien sûr il se trouve parmi l'abondante ivraie de vrais professionnels investis et sérieux. Ces refuges spirituels à un mode de vie éreintant illustrent la détresse émotionnelle de l'être humain profondément endormi à Qui Il Est, cherchant désespérément à l'extérieur la réponse qui gît pourtant enfouie en lui-même. Tant qu'il n'accepte pas de rencontrer l'ombre prédatrice qui le domine, le leurre et l'asservit - son autre face du miroir -, il demeure l'esclave vulnérable et consentant des professeurs enseignants relais de la prédation, qui, par les dérives insidieuses facilitées par l'effet de groupe et la fascination pour le " maître " (syndrome dit de Stockholm), exercent pour son compte la domination psychique, financière et parfois sexuelle nécessaire à sa survie dans les Ténèbres de la conscience, la 4ème dimension en mode "Service de Soi ".
* Cf. Fonctionnement du corps biologique.
*² Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice.

Sex-business spirituel
Cures sexuelles, yoga et retraites érotiques, séminaires de séduction, coaching orgasmique, méditation orgasmique entre midi et deux, lunes de miel intimes…
l'imagination n'a pas de limites pour les illuminés du soi-disant Age
d'Or. Les exigences de
productivité de la société des con-sommateurs du vide existentiel
les conduisent au toujours plus, la satisfaction sexuelle orgasmique
faisant partie du package de vie réussie. C'est ce à quoi
veulent répondre ces cursus accélérés mâtinés de spiritualité à la
mode, déculpabilisant puisque à caractère sacré et aux prétextes
libératoires de l'être humain ayant oublié d'être le superman
ou la superwoman glorifiés par la société du paraître exacerbé. Le
chemin est donc tout tracé pour les cures de godemichés en cristaux
supposés "débloquer" la capacité à l’orgasme vaginal et
autres divagations des foutraques halluciné(e)s de l'astral. Quelle
meilleure façon que de permettre au prédateur dissimulé derrière tous
ces sex-gourous de continuer à prendre le contrôle de la
vie de ses esclaves ahuris et de se repaître de leur psyché
dénaturée...
Perversité sexuelle
Toute la symbolique de la Matrice
cyber est manipulée de manière perverse *, le sens + d'un symbole
cachant son pendant - afin d'égarer par l'inconscient l'être
humain non initié. C'est ainsi le cas des émojis, terme japonais désignant les pictogrammes utilisés dans les messages électroniques et les pages web
de l'univers " 2.0 ". Si le mot emoji signifie
littéralement "image + lettre", sa ressemblance phonétique est
"émotion", d'où son incontestable succès dans les échanges
électroniques prisés par la nouvelle génération.
Ainsi le cœur, un des emoji le plus utilisé (en 6ème place en 2017 sur Facebook), signifie à quelqu'un que nous l'aimons, la nature de l'amour porté variant selon sa couleur. Si par exemple le cœur bleu (image 1) est le symbole de la journée mondiale de sensibilisation à l’autisme, ou une manière d'exprimer sa passion pour les sports nautiques, ou encore le symbole de la confiance, de la paix et de la loyauté, son autre sens généralement ignoré hors ses adeptes est une manière d'annoncer un penchant pour le BDSM - "Bondage, Discipline, Sado-Masochisme" - pratique sexuelle sadomasochiste relevant de la paraphilie *², qui consiste à ligoter son partenaire dans le cadre d'une relation de soumission/domination (photo 2). C'est ainsi qu'est subrepticement versée dans le subconscient de l'être humain "endormi" l'hypnose prédatrice le maintenant sur son chemin d'involution ...
* Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice.
*² Cf. Fonctionnement du corps biologique. Il est à noter que beaucoup de communautés paraphiles, en particulier fétichistes et BDSM, considèrent l'étrangeté de leurs pratiques sexuelles comme purement subjective et dépendante du contexte sociétal, et se basent sur des critères plus pragmatiques tels que le respect, le consentement mutuel et la gestion " éclairée " des risques pour juger une pratique.
L'amour à l'heure du transhumanisme
L'entrée dans l'ère du transhumanisme
* voit l'Intelligence Artificielle tisser sa toile de robotisation des
corps, âmes et esprits. Ainsi l'entreprise chinoise
Huawei Technologies, qui a conçu son nouveau smartphone
(photo 1) aux fins de fournir des interactions émotionnelles, ce qui
semble être le "must" pour la clientèle de ces outils. Tout
comme avec les poupées artificielles nouvelles versions (photo 2),
l'être humain pourrait ainsi devenir amoureux de son assistant
personnel, un peu comme dans le film Her de Pike Jonze
(2014)… Pas de contestation, de rébellion, pas d’avis divergent, pas
de saute d’humeur, l’assistant techno est un gentil esclave, ce que ne
sera jamais un humain.
Ce rapport de domination facile serait donc un fantasme pour certains, ce que les chercheurs et fabricants ont bien compris. Il est même prévu désormais pour les "déviants" comme les violeurs des robots sexuels humanoïdes, comme le robot Harmony (photo 3) de son concepteur Matt McMullen. Il présente l'intérêt de laisser un large choix au client, celui-ci pouvant choisir différents visages, corps et types de parties intimes… tout comme différentes "personnalités", puisque entièrement programmable. Ces robots pouvant ainsi être consentants ou non, cette réticence permet à leur propriétaire de transgresser l’interdit comme bon lui semble et de les "violer".
Cette "robolution" est révélatrice du pire de la nature humaine sous couvert de progrès technique. Ou comment conduire une société de consommation à son paroxysme pour des âmes perdues qui, incapables d’établir une vraie relation avec des humains, se réfugient dans la facilité de ce monde artificiel.
* Cf. Conscience du XXI° siècle.
Refoulement, frustration et inhibition
Le Surveillant général est une chanson de Michel Sardou parue sur l'album Danton
en 1972. Sardou l'a écrite seul, bien qu'elle ait été composée par
Jacques
Revaux. Elle évoque ses souvenirs de pensionnaire interne au lycée,
dénonçant le comportement excessif de certains surveillants qui abusent
de leur autorité sur les élèves. Elle montre la
répression qui était établie envers tout acte sensuel, ces tabous
pouvant entraîner l'inhibition sexuelle à l'âge adulte.
" En ce temps-là Monsieur le surveillant des classes secondaires Était un peu efféminé
En ce temps-là Je lisais " Le Grand Meaulnes " Et après les lumières
Je me faisais plaisir Je me faisais dormir
Je m'inventais un monde Rempli de femmes aux cheveux roux
J'ai dit de femmes pas de jeunes filles
Cette année-là Je n'oublierai jamais le regard de vipère Que m'avait lancé ce vieux rat
Cette année-là J'avais posé les yeux sur la croupe incendiaire De ma professeure de droit
Elle avait mis le feu en moi J'avais avalé la lumière J'aurais aimé la terre entière
Seulement les femmes pas les jeunes filles
Pauvre de moi Monsieur le surveillant des classes secondaires Passait ses nuits à espionner
Pauvre de moi Du couloir des secondes au dortoir des premières Comment les jeunes étaient couchés
Bien sur le dos les bras croisés Sur la couverture de laine Des fois qu'on aurait des idées
Pauvre taré pauvre Chimène
C'est pourtant là Que durant des années j'ai rêvé d'adultère Que je n'ai jamais consommé
Et chaque nuit Quand je tiens dans mes bras Une femme trop fière Qui se refuse à me donner
Un peu plus que le nécessaire Parce que j'hésite à la défaire De son carcan de préjugés
Parce que je n'ai pas la manière J'ai presque envie de lui confier
Qu'en ce temps-là J'avais un surveillant des classes secondaires Mais ça la ferait rigoler. "
Dépravation sexuelle
Mise en lumière médiatique
Roman Polansky, Dominique Strauss-Kahn, Jimmy Saville (1926/2011), Bill Cosby, David
Hamilton (1933/2016), Georges Tron, Denis Baupin, Kevin Spacey, Harvey Weinstein, Tariq Ramadan, Luc Besson, Benjamin Dessange, Aria dite Asia Argento
*, Leslie Moonves (CBS), Jean-Claude Arnault, Jeffrey Epstein (1953/2019) *², Placido Domingo, Gabriel Matzneff...
soit
quelques noms de "célébrité" - parmi d'autres - que l'actualité
récente a mis en avant pour leur présumée ou avérée pathologie de
prédation sexuelle, et ce à l'initiative de leurs "victimes"
accusatrices. La science médicale tentera de l'expliquer non sans
pertinence par des théories psychosociologiques (boucle rétroactive
entre désir, plaisir et loi ; destruction de la famille ;
fragilisation des liens sociaux ; histoire socio-familiale),
criminologiques (narcissisme, égocentrisme, absence de sens de
l'altérité ; alcoolisme ; maladie psychiatrique), psychanalytiques
(perversité psychotique), comportementales (comportement sexuel
déviant, préférences sexuelles), biologiques (hypothèses
neurobiologiques) et génétiques (anomalies génétiques dans les
chromosomes). Elle invoquera entre autres les traumas de la petite
enfance, la relation mal assumée à l'exercice du pouvoir et à la
notoriété, voire la faiblesse du discernement quant à ce qui
est perçu comme des provocations ou des suggestions des victimes...
La réalité est que bourreau comme victime le sont toujours avant tout
d'eux-mêmes. Ils ne sont que le relais du canal de
prédation établi, logé dans leur psyché. Par sa non-conscience, ils
sont totalement à sa merci. Prédation sexuelle, militaire, technologique
et économique sont les mamelles constitutives des
forces involutives qui établissent la Matrice asservissante de la
Conscience de l'humanité, et qui choisit ses relais terrestres pour leur
capacité par leur Soi non réalisé à lui servir sa
nourriture énergétique de survie. Si la maladie psychiatrique ou
l'anomalie génétique rendent difficiles voire impossibles pour
l'intéressé(e) cette compréhension, c'est bien le Moi non évolué,
nonobstant les aptitudes intellectuelles souvent brillantes des
intéressé(e)s, qui les rend vulnérables au jeu pervers de leur
prédateur.
* Asia Argento était devenue une importante porte-parole des femmes victimes de violences dans le milieu du cinéma après avoir raconté avoir été violée à 21 ans par le producteur Harvey Weinstein dans sa chambre d'hôtel pendant le Festival de Cannes en 1997, avant d'être accusée à son tour d'un rapport sexuel "forcé" sur un mineur, qu'elle a vivement récusé pour finalement l'admettre tout en relativisant sa responsabilité...
*² Retrouvé pendu dans sa cellule le 10 août 2019, ce serial sex-prédateur emporte avec lui une longue liste de personnalités au plus haut niveau de l'establishment, tout particulièrement états-unien, totalement dévoyés et complices de ses pratiques sexuelles sur mineur(e)s. "Born to Raise Hell" & "Welcome back to Hell" comme le disent les sages adages dans sa langue natale...

La corruption des esprits passe notamment par la dépravation
sexuelle. La sexualité constitue en effet l'énergie fondamentale de
l’être humain qui, comprise et maîtrisée dans ses deux polarités
constitutives masculine et féminine, lui permet de se réaliser en
tout épanouissement. C'est pourquoi sa corruption passe par un
enseignement religieux castrateur et culpabilisateur, tout
particulièrement celui des trois grandes religions du Livre (Bible
et Coran) *, et par une fantasmagorie thérapeutique freudienne perverse.
La clé mensongère de lecture subliminale délivrée depuis des millénaires aux êtres humains est qu'Adam, représentant l'homme, a délivré l'humanité de sa soumission au Créateur despote et castrateur grâce à l'accès au savoir, en l'occurrence l’Arbre de la Connaissance que Celui-ci lui interdisait. Il était de ce fait la solution pour se libérer et procurer ainsi l'Illumination, l'humain étant appelé à être le seul Dieu sur Terre. C'est ce qu'enseigne d'ailleurs à sa manière le courant du New Age, dans sa prédication incessante que nous ne sommes "qu'amour et lumière". Au passage, l'homme est bien entendu "victime" de l'étourderie de sa compagne, Eve, cette dernière ne sachant résister à la tentation du serpent. Autre "victime", cette fois-ci de sa libido...
Nous avons bel et bien là les éléments délétères du jeu de la prédation : un masculin héroïsé, un féminin déconsidéré, et un Divin céleste oppresseur. Par la fable martelée depuis plus de deux millénaires, il y avait de quoi pervertir la psyché humaine. Le plus hallucinant est de constater combien d'esprits supposés intellectuellement élevés y demeurent toujours et encore conditionnés.
* Cf. Le Judaïsme décodé & Le féminin séquestré.
La clé mensongère de lecture subliminale délivrée depuis des millénaires aux êtres humains est qu'Adam, représentant l'homme, a délivré l'humanité de sa soumission au Créateur despote et castrateur grâce à l'accès au savoir, en l'occurrence l’Arbre de la Connaissance que Celui-ci lui interdisait. Il était de ce fait la solution pour se libérer et procurer ainsi l'Illumination, l'humain étant appelé à être le seul Dieu sur Terre. C'est ce qu'enseigne d'ailleurs à sa manière le courant du New Age, dans sa prédication incessante que nous ne sommes "qu'amour et lumière". Au passage, l'homme est bien entendu "victime" de l'étourderie de sa compagne, Eve, cette dernière ne sachant résister à la tentation du serpent. Autre "victime", cette fois-ci de sa libido...
Nous avons bel et bien là les éléments délétères du jeu de la prédation : un masculin héroïsé, un féminin déconsidéré, et un Divin céleste oppresseur. Par la fable martelée depuis plus de deux millénaires, il y avait de quoi pervertir la psyché humaine. Le plus hallucinant est de constater combien d'esprits supposés intellectuellement élevés y demeurent toujours et encore conditionnés.
* Cf. Le Judaïsme décodé & Le féminin séquestré.
Le détournement de la pensée pythagoricienne
La
plupart de ce qui est dans la Bible hébraïque en termes de lois provient
des pythagoriciens, le philosophe et mathématicien grec
s'étant attaché à transmettre des connaissances vraiment anciennes.
C'est ainsi que dans le livre de Paul W. Ewald Plague Time: How Stealth
Infections Are Causing Cancers, Heart Disease, and Other Deadly Ailments ("Temps
de peste : Comment les infections furtives causent-elles des cancers,
des maladies cardiaques et d'autres affections mortelles") paru en
2001 *, l'auteur démontre que beaucoup des plus insidieuses maladies
chroniques parasitaires de longue durée sont ce qu'il
appelle des maladies sexuellement transmissibles : par le sexe, les
baisers, les contacts étroits, etc. C'est ce que l'enseignement de la
Tradition s'attachait à faire comprendre. La religion en
a détourné le sens initial par son extrême morale sexuelle à travers des règles ridicules, sources de culpabilité, de frustration et d'inhibition, au
détriment des raisons scientifiques initiales. Il en a découlé tout naturellement tous les excès du fondamentalisme.
* L'auteur entraîne les lecteurs dans les méandres de la biologie évolutive, démontrant comment ses théories peuvent aider à expliquer bon nombre des mystères entourant des maladies actuellement attribuées à une multitude de causes. S'il ne prouve jamais de manière définitive que les virus et les bactéries sont à l’origine de ces maladies, il présente suffisamment de preuves pour justifier une exploration plus approfondie de l'idée.
A cet enseignement vient se rajouter le fruit de l'hérésie juive
sabbatéenne *, qui a nourri le culte sexuel des dieux grecs Pan et
Priape (le bouc des saturnales romaines) enseigné et, parfois,
pratiqué dans nombre de sociétés secrètes. Il s’agit en l’occurrence
d’une "mauvaise" traduction d'Hérodote, qui a confondu le bélier
égyptien de Mendes (lieu du culte sacré) - soit l'âme
d'Osiris - avec un bouc, qui donnera lieu au dieu chèvre Pan mieux
connu comme étant le Baphomet. Il en a découlé une croyance et un culte
en la magie sexuelle et à la toute-puissance du mâle,
les femmes étant des Matrones ou Matres, soit des
divinités de la fécondité et de la fertilité associées à la figure
dévoyée de la Sémiramis incestueuse babylonienne et de ses
autres déclinaisons (ainsi la Vénus romaine). Elles sont de ce fait
considérées dans l'inconscient comme des "Lilith", la putain du temple
d’après le Talmud et la Kabbale du judaïsme. "Véritable"
première femme d’Adam d’après leur enseignement, Lilith fut répudiée
puis chassée du paradis par Yahvé, parce qu’insoumise à son époux et
sexuellement libérée. Ou comment induire dans les esprits
le poison mortifère du dénigrement du féminin sacré, qui constitue
aussi une manière d'asservir l'homme, l’amputant de ce même féminin
sacré présent en lui. Il en a découlé depuis toutes les
perversions sexuelles imaginables pratiquées par les rituels
"satanistes" : inceste, pédocriminalité, orgies… *² De quoi revisiter
l’enseignement également dénaturé de Sigmund Freud (1856-1939),
sa psychanalyse des refoulements omettant (volontairement ?) leurs
origines manipulées et, de ce fait, ne pouvant en aucune façon aider
l’être humain dans sa "guérison".
* Les "Sabbatéens" sont une secte juive dans l’Europe des XVII° et XVIII° siècles, tout particulièrement présente en Turquie, Pologne et Allemagne. Elle est secrète et fonctionne en autarcie, ses membres se mariant entre eux. Considérée comme pratiquant des rituels à caractère satanique, elle est excommuniée de Pologne par les rabbins orthodoxes officiants. Elle tire ses origines des juifs qui suivirent le faux-messie cabaliste Sabbataï Tsvi (1616/1676), le père spirituel des frankistes polonais, et se convertirent à l'islam avec lui. Aujourd'hui, ils pratiquent une religion à cheval entre l'islam et le judaïsme, et utilisent encore le Livre des Psaumes et le Zohar, ce dernier nourricier de la Kabbale juive.
*² Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.
* Les "Sabbatéens" sont une secte juive dans l’Europe des XVII° et XVIII° siècles, tout particulièrement présente en Turquie, Pologne et Allemagne. Elle est secrète et fonctionne en autarcie, ses membres se mariant entre eux. Considérée comme pratiquant des rituels à caractère satanique, elle est excommuniée de Pologne par les rabbins orthodoxes officiants. Elle tire ses origines des juifs qui suivirent le faux-messie cabaliste Sabbataï Tsvi (1616/1676), le père spirituel des frankistes polonais, et se convertirent à l'islam avec lui. Aujourd'hui, ils pratiquent une religion à cheval entre l'islam et le judaïsme, et utilisent encore le Livre des Psaumes et le Zohar, ce dernier nourricier de la Kabbale juive.
*² Cf. Les psychopathes qui nous gouvernent.
Freud le Sabbatéen
La carrière du célèbre psychanalyste
Sigmund Shlomo Freud illustre la façon dont un culte satanique jette son
sort pervers et morbide sur l'humanité. Célébré par
ses adeptes comme le pape révolutionnaire de la connaissance de la
psyché, dont beaucoup officient encore à l'heure actuelle, Sigmund Freud
(1856-1939) était un Sabbatéen, disciple de son
fondateur Sabbataï Tsev, adepte de la Kabbale mystique dite
Lourianique*. Après avoir rejoint le mouvement maçonnique B'nai Brith
*² en 1897, la carrière initialement avortée de Freud a
connu une ascension fulgurante, plusieurs membres de la loge lui
ayant fourni le cadre qui a fondé la " fraude " appelée psychanalyse,
même si celle-ci recèle par ailleurs d'incontestables
trésors. Selon l’auteur états-unien Eugène Michael Jones,
l'Association psychanalytique de Freud a été structurée comme une
société secrète (Cf. Libido dominandi, p. 122), c’est-à-dire
fondée sur le rituel initiatique " Illuminati ", forme de contrôle
mental. Il est de ce fait probable qu'elle poursuivait les mêmes buts
secrets que le B'nai Brith, à savoir subvertir, exploiter,
et asservir. Conscients ou non de cette filiation, les psychiatres
de l'école freudienne ont mis depuis des millions de personnes sous
contrôle, y compris les enfants, sans compter l’effet
chimique des calmants prescrits.
Freud a vendu ses croyances perverties au monde sous couvert de la science et de la médecine, étant salué par les médias et le système éducatif contrôlés par le système patriarcal aux commandes comme un grand prophète. Freud et ses soutiens ont convaincu le monde que le désir sexuel, autrement appelé libido, est la principale motivation de la vie humaine, et que le sexe est une panacée universelle. Ils ont enseigné que la répression des pulsions sexuelles est nuisible et qu’elle se traduit par des névroses. Ils ont enseigné que les hommes souffrent de l'angoisse de castration, et les femmes de l'envie du pénis. Comme initiation à l'inceste et à la pédophilie, il a enseigné que les enfants ont des désirs sexuels pour leur parent du sexe opposé, et ressentent de l'hostilité pour leur parent du même sexe. À l'extrême, son " complexe d’Œdipe " dit qu'un garçon veut inconsciemment tuer son père et violer sa mère.
Le philosophe austro-anglais Karl Popper (1902/1994) a déclaré que la psychanalyse freudienne était aussi peu scientifique que la lecture des lignes de la main, et que le complexe d'Œdipe freudien n'avait absolument aucun fondement scientifique. Quant au professeur de psychologie états-unien David Bakan (1921/2004), il a décrit dans son livre " Freud et la tradition mystique juive " la psychanalyse freudienne comme un dérivé de la Kabbale Lourianique et de son ouvrage de référence le Zohar. En fait, Freud était un détraqué, un " cacainoman " fou. Il a nié la dimension spirituelle de l'homme, sa soif du Divin qui est illustrée par des absolus spirituels tels que l'harmonie, l'amour, la vérité, la bonté et la beauté. Comme la Kabbale enseigne que Dieu n'a pas de caractéristiques, Freud a enseigné que Dieu n'est que la projection d'une figure paternelle imaginaire conçue dans le but de nous amener à refouler nos pulsions sexuelles. Quoi de mieux pour permettre au prédateur extra-dimensionnel d'actionner son vampirisme énergétique entre refoulement de culpabilité et recherche d'extase physique libératoire, les deux pendants de l'être humain illusionné.
* Elle est issue de l'enseignement essentiellement oral d'Isaac Louria (1534-1572), un maître de l'école kabbalistique de Safed en Galilée, et tout particulièrement de sa thèse du " tsimtsoum ", soit le retrait de Dieu.
*² L'Ordre indépendant du B'nai B'rith, " Les fils de l'Alliance ", est une loge juive aujourd'hui au service du Mossad et de la monarchie anglaise, dont le but est d'infiltrer les Nations pour la mise en place de leur " plan de Dieu ". Calquée sur les organisations maçonniques, elle a été fondée à New York en 1843.

A l'opposé de ce refoulement sexuel programmé par le système
prédateur et ses officiants politico-religieux terrestres, nul ne
s'étonnera alors que, dans ce monde dominé par les polarités
extrêmes, l'"hypersexualisation" touche désormais la société
entière, le sexe étant utilisé à des fins mercantiles depuis longtemps.
Amorcée dans les années soixante par la révolution dite
libertaire, relayée par l'industrie du divertissement, de la mode et
de la publicité, elle se caractérise désormais par la montée en
puissance de l'hypersexualisation de mineur(e)s, notamment
pré-pubertaires, dont le caractère potentiellement pédophile est
explicite. Présente dans de nombreux domaines de la publicité à la mode,
des produits de consommation et évènementiel comme les
concours de mini-miss, cette érotisation correspond à un plan
volontaire de désacralisation de l'enfance et d'encouragement de la
perversité adulte. Si la banalisation de la pornographie
n’épargne pas les enfants, notamment avec Internet, l’érotisation de
l’image corporelle des petites filles en enfants-femmes, avec
maquillage, poses provocatrices, vêtements "sexy", brouille de
part et d'autre les repères. Elle entraîne par ricochet une forte
pression sur les adultes, les femmes étant particulièrement visées et
exploitées par l’industrie de la beauté qui leur propose
les remèdes de perlimpinpin et autres régimes miracles pour demeurer
jeunes et sexy. Les images provocantes de femmes nues ou légèrement
vêtues, particulièrement abondantes dans la publicité,
conduisent les femmes à être des objets sexuels.
Qui plus est, publicité, télévision, presse-magazines, cinéma et nouveaux médias influençant significativement notre perception de la sexualité et des relations entre les sexes, ceci a pour résultat de banaliser la sexualité et de la ramener au rang de produit de consommation. Plus inquiétant encore, l’association entre le sexe et la violence est très fréquente dans ces productions. L’agression sexuelle, le harcèlement et la violence y sont souvent présentés comme des manifestations de la passion amoureuse.
Avec la marchandisation du corps de la femme, la sexualité est de plus en plus inspirée de la pornographie. Qu’il soit question de la mode ou des publicités, les femmes sont vues comme disposées, disponibles, et prêtes à être l’objet de fantasmes. L’image de la femme est présentée sous l’angle d’un fantasme masculin. Le lien entre la pornographie et la violence sexuelle est indéniable.
Notre société joue sur le paradoxe malsain de condamnation de la pédophilie et, en même temps, d'une programmation publicitaire et médiatique qui n’hésite pas à exposer le corps juvénile dans des postures lascives ou provocatrices relevant de la sexualité des adultes. Ces jeunes filles et garçons ne sont que le reflet d'une société, d'une culture et d'une civilisation profondément avilies, la pédophilie ayant toujours fait partie des mœurs des puissants, ce que l'écrivain et philosophe libertin Donatien Alphonse François de Sade (1740/1814) a rappelé dans sa "Philosophie dans le boudoir" avec les actes de jouissance et de volupté des empereurs romains Néron, Tibère, Héliogabale, en passant par le maréchal de Retz et tant d'autres encore... découlant des meurtres et immolations de débauche commis à leur encontre. Nul ne sera alors étonné que la domination tout aussi perverse sur les femmes y trouve son prolongement, célébrant leur mise en esclavage impulsée par leurs maîtres entropiques du champ astral.
Qui plus est, publicité, télévision, presse-magazines, cinéma et nouveaux médias influençant significativement notre perception de la sexualité et des relations entre les sexes, ceci a pour résultat de banaliser la sexualité et de la ramener au rang de produit de consommation. Plus inquiétant encore, l’association entre le sexe et la violence est très fréquente dans ces productions. L’agression sexuelle, le harcèlement et la violence y sont souvent présentés comme des manifestations de la passion amoureuse.
Avec la marchandisation du corps de la femme, la sexualité est de plus en plus inspirée de la pornographie. Qu’il soit question de la mode ou des publicités, les femmes sont vues comme disposées, disponibles, et prêtes à être l’objet de fantasmes. L’image de la femme est présentée sous l’angle d’un fantasme masculin. Le lien entre la pornographie et la violence sexuelle est indéniable.
Notre société joue sur le paradoxe malsain de condamnation de la pédophilie et, en même temps, d'une programmation publicitaire et médiatique qui n’hésite pas à exposer le corps juvénile dans des postures lascives ou provocatrices relevant de la sexualité des adultes. Ces jeunes filles et garçons ne sont que le reflet d'une société, d'une culture et d'une civilisation profondément avilies, la pédophilie ayant toujours fait partie des mœurs des puissants, ce que l'écrivain et philosophe libertin Donatien Alphonse François de Sade (1740/1814) a rappelé dans sa "Philosophie dans le boudoir" avec les actes de jouissance et de volupté des empereurs romains Néron, Tibère, Héliogabale, en passant par le maréchal de Retz et tant d'autres encore... découlant des meurtres et immolations de débauche commis à leur encontre. Nul ne sera alors étonné que la domination tout aussi perverse sur les femmes y trouve son prolongement, célébrant leur mise en esclavage impulsée par leurs maîtres entropiques du champ astral.
Des sugar babies aux sugar daddies
* Des études dans une école de commerce de bon standing ont un coût annuel entre 7.000 et 10.000 euros. Le loyer, les frais de bouche et tous les frais annexes sont estimés aux environs de 2.000 euros mensuels minimum. Ce dérèglement du libéralisme sociétal crée ainsi une discrimination par l'argent, qui ne permet pas aux étudiants méritants et motivés de faire les études qu'ils souhaitent, même par les bourses ou prêts bancaires .
Mise en scène " culturelle "
The Girlfriend Experience
(image 1) est une série télévisée dramatique américaine produite par
Steven Soderbergh et basée sur son film éponyme, qui voit
une étudiante en droit sur les conseils d'une amie rentrer petit à
petit dans le monde très particulier des escort girls pour financer ses
études. Il en est de même pour Mes chères
études (image 2), téléfilm français écrit et réalisé par Emmanuelle Bercot, et le film Jeune et jolie (image 3) de François Ozon sorti en 2013.
Le livre Les nouvelles courtisanes de Nadia Le Brun (image
4) dépeint également le phénomène la prostitution étudiante à laquelle
incite désormais des sites à grands renforts de
publicité, profitant d’un vide juridique (image 6).

Agence de marionnettes sexuelles
Une agence "élite" de mannequins est
une entreprise qui représente des modèles prêtant leur physique pour la
promotion des collections de l'industrie de la mode *.
C'est pourquoi elle est située dans une capitale majeure de la mode (New York, Milan, Paris, Londres ou Barcelone).
Elle tire ses revenus de commissions sur les contrats obtenus par
les mannequins affiliés à leur enseigne, et travaille pour ce faire en
lien direct avec les magazines de mode, les grandes
agences de publicité, et les maisons de haute couture en France et
de prêt à porter dans le monde. Afin de favoriser leur notoriété et de
satisfaire à leur réputation, elles font office de
découvreur de "physiques exceptionnels", s'attachant à former
(formater) les modèles considérés comme "bankable" (bouts d'essai,
portfolios, présentation de leurs travaux aux stylistes,
photographes et publicitaires) à partir d'une sélection sévère (environ 2 % des candidates sont embauchées).
Elle se
charge de leur trouver des contrats, de négocier les cachets, et de
faire de certain(e)s de leurs modèles de véritables stars.
Le décès en août 2019 du financier américain accusé de trafic sexuel, Jeffrey Epstein, retrouvé mort en prison, a mis en éclairage certains noms de personnalités accusées de complicité, parmi lesquelles un agent de mannequin français. Les langues qui jusqu'alors chuchotaient se déliant, la façade de la "belle" industrie se lézarde, révélant un envers du décor où se mélangent abus physiques comme psychiques (pression, chantage), prises de drogues, complicité des clubs (lieux de rencontres avec des hommes riches prêts à payer le prix fort) et exploitation (couverture pour satisfaire les "besoins particuliers" de personnalités), comparable à l'industrie cinématographique dévoyée et corrompue d’ Hollywood. Dans les deux cas, le constat est le même : un fort déséquilibre des pouvoirs entre les parties prenantes, et l’absence de protection qui ont trop longtemps affecté ces industries. Même si bien sûr l'ensemble des agences ne sont pas viciées à leur tête, nombre ont fait clairement preuve d'allégeance envers les clients, non avec les modèles dont elles étaient supposées représenter les intérêts.
* La première agence de mannequin, ou ce qui y ressemble, est apparue en 1923 à New York. L'agent de mannequins Eileen Ford (née Eileen Otte) est considérée comme à l'origine de l'agence de mannequin moderne.
Cf. Livre Model : The Ugly Business of Beautiful Women ("Mannequin, l’horrible commerce des belles femmes") du journaliste et éditeur Michael Gross (1995), spécialisé sur la classe supérieure américaine.
Corruption sexuelle dans l'exercice du pouvoir
"À mesure que la liberté
politique et économique diminue, la liberté sexuelle tend à augmenter
pour compenser. Et le dictateur - à moins qu'il n'ait besoin de
chair à canon et de familles pour coloniser des territoires vides ou
conquis - fera de son mieux pour encourager cette liberté." Cet extrait de Brave New World
("Le Meilleur des
Mondes") écrit en 1931 par l'écrivain et philosophe anglais Aldous
Huxley (1894/1963) est sans équivoque : le pouvoir corrompt. C'est ce
qu'expose Dacher
Keltner, professeur de psychologie à l'Université de Californie, Berkeley, dans la Harvard Business Review : "Bien
que les gens acquièrent généralement le pouvoir par le biais de traits
et
d'actions favorisant les intérêts des autres, tels que l'empathie,
la collaboration, la franchise, l'équité et le partage ; quand ils
commencent à se sentir puissants ou à jouir d'une position
privilégiée, ces qualités commencent à s'estomper. Les puissants
sont plus susceptibles que les autres de se livrer à un comportement
grossier, égoïste et contraire à l'éthique." Après avoir
mené une série d'expériences sur le phénomène de corruption du pouvoir, elle conclut :
"C'est juste par l'attribution aléatoire du pouvoir et de toutes sortes de méfaits qui en résultent, que les gens vont devenir impulsifs. Ils mangent plus de ressources que leur juste part. Ils prennent plus d'argent. Les gens deviennent plus immoraux. Ils pensent qu'un comportement contraire à l'éthique est acceptable s'ils s'y engagent. Les gens sont plus susceptibles de stéréotyper. Ils sont plus susceptibles d'arrêter de s'occuper des autres avec soin." Quant aux chercheurs universitaires Joris Lammers et Adam Galinsky dans leur essai Power and Hypocrisy, les dirigeants ont non seulement tendance à abuser de ce pouvoir, mais ils se sentent également autorisés à en abuser : "Les personnes avec un pouvoir qu'elles considèrent comme justifié enfreignent les règles non seulement parce qu'elles peuvent s'en sortir, mais aussi parce qu'elles se sentent intuitivement avoir le droit de faire ce qu'elles veulent."
Nous en retrouvons les effets délétères dans toutes les arènes et cénacles de son expression : politique, religion, sports, gouvernement, divertissement, entreprises, administrations et associations, forces armées, et même à l'opéra ou dans les musées, hauts lieux proclamés de la CULture. Tous sont marqués par des comportements de prédation, à différents stades d'intensité, que l'on peut qualifier de minables, sordides, décadents, lugubres, dépravés, immoraux et corrompus, tout particulièrement lorsqu'ils mettent en scène "l'élite" puissante que les médias portent aux nues à satiété (elles sont souvent directement ou indirectement leurs donneurs d'ordre), avant que de retourner, rarement piteusement, casaque lorsqu'ils sont révélés. Il n'est qu'à voir la couverture du suicide le 10 août 2019 du financier américain accusé de trafic sexuel, d'agression sexuelle, de viol et de traite de centaines de jeunes filles à des fins sexuelles, Jeffrey Epstein, retrouvé mort en prison, alors même que ses frasques en compagnie de célèbres personnalités étaient connues depuis longtemps et circulaient largement sur les réseaux sociaux. Mais bien sûr, ce n'était que des délires complotistes et conspirationnistes, tancés à longueur de colonnes par les éditorialistes en charge de la pensée correcte, qu'ils portent écharpe rouge, jactent avec l'accent du terroir et/ou se consacrent au zapping carriériste entre chaînes de radio et de télévision. Et cette "noble" profession de ne pas comprendre pourquoi elle est si peu considérée par le grand public...
Ce prédateur comme d'autres a exploité son réseau de trafic sexuel personnel, pour son propre plaisir comme pour le plaisir de ses complices aux commandes de la société, dans toutes les sphères qui en sont représentatives *. Par le noyau en réseau formé, ils fonctionnent selon leurs propres règles, "autorisés" en tirant parti d'un système de justice pénale qui se plie aux volontés des puissants à contourner des règles *² qui, enfreintes par le reste des citoyens, sont gravement sanctionnées. Ils (parfois elles) font partie des bas-fonds de la conscience - le cœur des ténèbres -, ceux actionnés par la prédation astrale aux commandes pour s'en délecter et s'en repaître, question de survie cosmique oblige ! Et comme l'or universel contenu dans l'âme juvénile est de valeur inestimable, nous pouvons comprendre pourquoi cette exploitation sexuelle concerne en priorité des enfants, des adolescent(e)s et jeunes filles et garçons *³. Elle est d'ailleurs devenue une activité rentable aux États-Unis, ce secteur du crime organisé en croissance continue étant devenu le troisième produit le plus lucratif après la drogue et les armes à feu.
* Une décision de la Cour d'appel du deuxième circuit autorisant la diffusion d'un document de 2 000 pages lié à l'affaire Epstein évoque des allégations d'abus sexuel impliquant "de nombreux politiciens américains éminents, de puissants dirigeants d'entreprise, des présidents étrangers, Premier ministre et autres dirigeants mondiaux."
*² Jeffrey Epstein, déjà dans le passé accusé d'avoir violé et agressé des jeunes filles, avait obtenu un accord de plaidoyer secret avec un procureur d'un Etat fédéral lui ayant permis de se soustraire à des incriminations fédérales, simplement autorisé à "travailler" à la maison six jours par semaine avant de retourner en prison pour dormir (cet accord de plaidoyer secret a depuis été jugé illégal par un juge fédéral).
*³ Selon un rapport d'enquête de 2016, "les garçons représentent environ 36% des enfants capturés dans l'industrie du sexe aux États-Unis (environ 60% sont des femmes et moins de 5% sont des hommes et des femmes transgenres)". Leurs "services" sont achetés principalement par des hommes ordinaires , de tous les horizons, selon le journaliste Tim Swarens, qui a passé plus d'un an à enquêter sur le commerce du sexe en Amérique.
Petit extrait d'un long bréviaire :
Louis Aragon (1897/1982) - Jean-Paul Sartre (1905/1980) - Simone de
Beauvoir (1908/1986) - Françoise Dolto (1908/1988) - Roland
Barthes (1915/1980) - Jean-Louis Bory (1919/1979) - Gilles Deleuze
(1925/1995) - Michel Polak (1930/2012) - Pierre Bergé (1930/2017) -
Roman Polanski (1933/-) - Gabriel Matzneff (1936/-) -
Philippe Sollers (1936/-) - André Glucksmann (1937/2015) - Jack Lang
(1939/-) - Bernard Kouchner (1939/-) - Serge July (1942/-) - Christian
Giudicelli (1942/-) - Patrice Chéreau (1944/2013) -
Daniel Cohn-Bendit (1945/-) - Guy Hocquenghem (1946/1988) - Frédéric
Mitterrand (1947/-) - Richard Descoings (1958/2012) - Emmanuel Pierrat
(1968/-)
Corporatisme culturel délétère
L'emprise et l'aliénation des Forces
involutives sur l'esprit humain ne se conjugue pas qu'au singulier, les
collectifs idéologisés étant tout particulièrement
prisés quel qu'en soit le domaine d'application (politique et
religieux tout particulièrement). C'est notamment le cas dans le domaine
culturel, plus exactement le bouillon de culture, qui voit
nombre d'artistes, cinéastes, compositeurs, musiciens, penseurs et
philosophes, écrivains et journalistes, éditeurs... dispenser en tant
qu'esprits cultivés la "bonne" parole au peuple ignorant
n'appartenant pas à leurs cénacles infatués de leur pseudo lumière.
Ces brillants esprits illusionnés se retrouvent tout particulièrement du
côté des "avant-gardistes" *, agissant toujours et
encore au nom de la défense de la liberté - "Il est interdit d’interdire" "Jouir sans entraves" "Vivre sans temps morts"
-, et fustigeant à coups d'indignation et de pétitions la "morale bourgeoise" rétrograde, conservatrice sinon
fasciste. Promoteurs béats de toutes les nouvelles transgressions de l'idéologie "trans", du transgenre au transhumanisme,
faisant fi des questions d'éthique, de morale et de décence qui ne vont pas en leur sens, ils
(se) distribuent avec complaisance palmes, prix de vertu et autres
hochets égotiques,
glorifiant les transgressions des tabous en tous genres (zoophilie,
avortement post-natal, euthanasie des vieux...) et condamnant sinon
excluant celles et ceux qui ne sont pas dans les clous (de
crucifixion) de leurs standards et normes de pensée. Coutumiers par
certain(e)s de leurs brebis noires de scandales et de dévoiements
abjects, qu'ils couvrent par la puissance de leurs réseaux et
complicités médiatiques, ils incarnent parfaitement les
mœurs et pratiques des élites et puissants, dont la pédocriminalité
n'est pas la moindre. Et lorsque le bouchon a été poussé trop loin
par un(e) des leurs, ils n'hésitent pas avec veulerie et lâcheté à
retourner casaque pour condamner l'impétrant(e) menaçant leur
impunité. Se croyant au panthéon de l'humanité, ils ne sont pour
nombre que de sombres délinquants pervertis, à l'âme boueuse et crottée
(lorsqu'ils en possèdent une), et dévoyés par
l'inflammation de leur moi narcissique, mélange de prédateur de leur prochain et de proie de leur double involutif qui les asservit.
* Sa qualification sur l'échiquier politique est celle de gauche progressiste, qui, entre autres sous prétexte de lutter et défendre les plus faibles, s'est ralliée au laisser-faire économique. Nourrie largement de bataillons de salariés de la fonction publique ou de grosses entreprises, et absente de secteurs à risque comme l’artisanat ou l’entrepreneuriat, son idéologie mélangeant angélisme et défense farouche de ses intérêts et petit confort initie le mouvement orchestré en cette fin de cyclicité décadente, qui promeut pédophilie, métissage, destruction de la famille, de la nation et de l’identité.
Tout ceci s'inscrit dans une suite
logique, celle issue d'une programmation prédatrice des corps et des
esprits. La quête essentielle n'est pas celle de la
conscience de Qui Nous Sommes vraiment, mais celle de la possession
matérialiste et des illusions du prêt à porter hédoniste. La société
modèle des maîtres artificiers babyloniens est celle où
l'on institue le mariage pour tous *, alors que le nombre des
divorces est en progression exponentielle, tout comme les familles monoparentales qui s'ajoutent à la monoparentalité choisie.
Elle est celle où de plus en plus de femmes veulent faire des bébés
toutes seules, sans présence du
référentiel paternel (le masculin sacré conscientisé, c'est-à-dire
indépendant du genre sexuel). Elle est une société où l'avortement a
remplacé en partie la contraception, dans de nombreux cas
par inconséquence et irresponsabilité. Une société où la PMA (procréation médicalement assistée)
donne naissance à des enfants sans
" père ", et de ce fait pour nombre à l'avenir perturbé si la raison
d'être de la polarité masculine n'est pas portée à leur conscience (là
encore indépendamment de la présence paternelle au sens
du genre sexuel). Où la GPA (gestation pour autrui)
est à la porte, faisant du commerce des ventres une autre alternative
cruelle à
la misère où un moyen de satisfaire le consumérisme. Une société où
le mal être est désormais si grand que les valeurs directrices qui
rassurent se trouvent dans la prise de tranquillisants et la
psychiatrisation ou "thérapeutisation" à outrance. Quant au
déséquilibre de la dualité, caractéristique du fonctionnement de la 3-D, il voit la montée continue des personnes " trans ", des
hommes qui s’identifient comme femmes et des femmes qui s’identifient comme hommes, reflet du chaos et de l’entropie.
Dernière étape de cet effondrement des valeurs, nous assistons désormais à la montée continue de la promotion dans la société occidentale d’une attitude hostile envers les qualités masculines traditionnelles, qui se traduit par nombre de programmes et mouvements féministes à caractère radical, faisant partie d’un plan machiavélique plus vaste qui consiste à créer une génération d’hommes faibles. C’est ce que nous voyons également avec le " mouvement gay ", qui est un programme que la CIA a conçu pour créer de l’antipathie, des disparités et cibler des individus dans le but d’infliger des souffrances supplémentaires, ou avec la multiplication des réseaux pédophiles/pédocriminels *². Il ne s’agit pas du tout de sexe, ni de plaisir amoureux. C’est une question de pouvoir. Autrement dit, c'est l’ultime chapitre du programme aliénigène qui asservit l'humanité, lié à cette fin de cyclicité civilisationnelle *³. Le corpus prédateur veut le butin humain, la " moisson " des âmes pour l'hybridation nécessaire à sa survie ! Ce n’est plus une question de sexe, mais de domination. Il veut des esclaves, la soumission totale.
En abandonnant progressivement tous les fondamentaux nécessaires au vécu harmonieux, la civilisation s'avance à grand pas vers le collapsus, cette brutale mais nécessaire fin de cycle permettant de nettoyer profondément le prurit de sa corruption endémique. Comme l'a dit l'historien britannique Arnold Joseph Toynbee (1889/1975) au siècle dernier, " Les civilisations meurent par suicide et non par meurtre "...
* Le mariage est un anneau de pouvoir passé avec les institutions, civiles comme religieuses. Ainsi couples hétéro ou homo sont non seulement amenés à s'affronter sur le terrain sociétal (dualité pour/contre), mais également incités à contracter le pacte de leur asservissement au système. Ils sont tous leurrés et de ce fait piégés au sein de la Matrice asservissante.
*² Il y a en fait un faible pourcentage d’homosexualité " normale ", naturelle. Elle est une variation normale comme d’autres variations dans les différents traits humains, due le plus souvent à des facteurs comme le karma ou une différence dans l’ordre des empreintes ou la distribution des hormones.
*³ Cf. Préambule de compréhension & Prophétie du changement.
Dernière étape de cet effondrement des valeurs, nous assistons désormais à la montée continue de la promotion dans la société occidentale d’une attitude hostile envers les qualités masculines traditionnelles, qui se traduit par nombre de programmes et mouvements féministes à caractère radical, faisant partie d’un plan machiavélique plus vaste qui consiste à créer une génération d’hommes faibles. C’est ce que nous voyons également avec le " mouvement gay ", qui est un programme que la CIA a conçu pour créer de l’antipathie, des disparités et cibler des individus dans le but d’infliger des souffrances supplémentaires, ou avec la multiplication des réseaux pédophiles/pédocriminels *². Il ne s’agit pas du tout de sexe, ni de plaisir amoureux. C’est une question de pouvoir. Autrement dit, c'est l’ultime chapitre du programme aliénigène qui asservit l'humanité, lié à cette fin de cyclicité civilisationnelle *³. Le corpus prédateur veut le butin humain, la " moisson " des âmes pour l'hybridation nécessaire à sa survie ! Ce n’est plus une question de sexe, mais de domination. Il veut des esclaves, la soumission totale.
En abandonnant progressivement tous les fondamentaux nécessaires au vécu harmonieux, la civilisation s'avance à grand pas vers le collapsus, cette brutale mais nécessaire fin de cycle permettant de nettoyer profondément le prurit de sa corruption endémique. Comme l'a dit l'historien britannique Arnold Joseph Toynbee (1889/1975) au siècle dernier, " Les civilisations meurent par suicide et non par meurtre "...
* Le mariage est un anneau de pouvoir passé avec les institutions, civiles comme religieuses. Ainsi couples hétéro ou homo sont non seulement amenés à s'affronter sur le terrain sociétal (dualité pour/contre), mais également incités à contracter le pacte de leur asservissement au système. Ils sont tous leurrés et de ce fait piégés au sein de la Matrice asservissante.
*² Il y a en fait un faible pourcentage d’homosexualité " normale ", naturelle. Elle est une variation normale comme d’autres variations dans les différents traits humains, due le plus souvent à des facteurs comme le karma ou une différence dans l’ordre des empreintes ou la distribution des hormones.
*³ Cf. Préambule de compréhension & Prophétie du changement.
Préférence sexuelle : de son empreinte ou imprégnation
La majorité des individus reçoivent
l’empreinte sexuelle de la mère dès la première semaine. Les bébés qui
ne la reçoivent pas, parce qu’ils sont abandonnés pour
adoption ou qu’il existe une circonstance exceptionnelle,
conserveront à jamais ce manque puisque rien n’a été programmé. L’enfant
ayant besoin de savoir que l’Univers est un lieu de créativité
et d’abondance, cette impression est constituée dans les six
premiers mois, période pendant laquelle les parents doivent répondre
instantanément, voire anticiper les besoins du nourrisson, même
celui de ne pas être seul.De manière générale, l’empreinte qui détermine la sexualité d’un individu découle de l'interaction agréable avec un modèle adulte à un moment ou pendant le temps où la fenêtre d’imprégnation correspondant est ouverte, soit généralement dans une fourchette entre 18 mois et 2,5 ans, et ce conjointement à la libération d’hormones et de substances chimiques dans le cerveau. L’enfant est en effet sensible aux substances de type phéromone pouvant activer la fenêtre d’imprégnation, les molécules chimiques produites par un organisme induisant un comportement spécifique chez un autre membre de la même espèce. Cette partie du processus est " programmée ", c'est-à-dire que les filles et les garçons sont programmés pour être attirés par un homme ou une femme *. Comme en cas d'interaction désagréable il en résulte une perturbation, cela signifie qu’on peut rendre une personne homosexuelle par ce biais. Dans tous les cas, c’est une chose interactive qui lance le processus, programme le circuit, etc..
* Si nous avons une expérience agréable avec un membre du sexe opposé pendant ce moment d’imprégnation, cela configurera notre attirance pour les membres du sexe opposé.

Le point G
Les sentiments - l’amour, la haine,
... - ne sont pas en nous. Ils sont provoqués intentionnellement de
l’extérieur par la manipulation de nos pensées. Nous croyons
pourtant que c’est nous qui en sommes la cause. Il en est ainsi pour
le sexe qui, comme l’argent, l’éducation, le religieux, la politique,
le divertissement sportif et musical, constitue l’outil
de manipulation et de contrôle principal du système prédateur
asservisseur. La progression exponentielle de la pornographie, par la
télévision, internet et les réseaux sociaux, est récente, ayant
démarré dans les sixties avec la révolution sexuelle libertaire. Les
plus jeunes sont naturellement touchés, et très tôt désormais dans les
écoles la question est abordée sous couvert de
pédagogie préventive. Le sexe doit tant occuper nos esprits que nous
devons le voir partout, en parler et y penser tout le temps.
Or, tout est faux. Cette quête du dit plaisir est " programmée " (mind control). Le " point G " est en réalité entre le compas et l’équerre, les outils de la corruption des consciences de Qui Nous Sommes vraiment. Si la reproduction est naturelle, aucun chien ne se masturbe pour autant devant Playboy magazine. Notre fonction d’esclave de la Matrice est de nous divertir pour éviter que nous nous réveillions, et de nous reproduire pour faire de nombreux petits singes, moutons, abeilles et marionnettes, parmi lesquels les élites sélectionnent les meilleurs pour créer fusées, bombes ou ordinateurs. La mise en avant de l’homosexualité est un programme bien rôdé depuis l’Antiquité et la manipulation du zodiaque, promouvant Jupiter et Ganymède comme le couple pédérastique divin *, et ce pour créer une opposition viscérale avec le camp d'en face, les gardiens du "sexuellement correct "... C’est désormais l’œuvre d’Hollywood, et sa baguette/braguette magique druidique Panoramix comme Panorama en 16/9ème, incrustant subtilement le 69 dans la psyché... Les " morts-vivants " peuvent ainsi consommer goulûment leur encyclopédie hypnotique du sexe.
* Cf. Le Judaïsme décodé.
Du centre énergétique sexuel
Le centre sexuel est actionné par le
plexus solaire, le centre de l'énergie du corps humain associé au
mental, à son expression *. C'est ce centre sexuel qui est
principalement drainé par les " Portails Organiques " (organic portals),
les humains sans âme *², parmi lesquels se trouvent nombre de
psychopathes et prédateurs sexuels. Autrement dit,
cela signifie que la force de vie énergétique des portails
organiques se recharge à partir de ce centre sexuel, centre supérieur de
l’énergie créatrice, leur centre émotionnel inexistant n’étant
pas bloqué comme pour les humains-âmes pour se reposer durant le
sommeil (l'énergie du centre sexuel est ainsi plus accessible aux autres
centres supérieurs appelés coeur, gorge et coronal). Il
en découle que chez un individu de la variété organique, ces centres
énergétiques dits supérieurs sont à même de voler cette énergie d'êtres
dotés d’une âme. C’est cela qui leur donne la capacité
d’imiter les êtres dotés d’une âme, car les êtres dotés d’une âme
perçoivent un miroir de leurs propres âmes quand ils attribuent des "
qualités d’âme " à ces êtres qui en sont dépourvus.
* Cf. Fonctionnement du corps biologique.
*² Cf. Les acteurs de la Matrice falsifiée.
De l'orgasme
La nature de l'orgasme, production
extatique du rapport sexuel, découle des propriétés intrinsèques de la
gravité, qui est le principe liant entre matière et
antimatière. Autrement dit, la gravitation lie tout ce qui est
physique avec tout ce qui est éthérique (métaphysique) au travers des
ondes instables de gravité, celles-ci permettant d'accéder à
d’autres dimensions de densités. C'est pourquoi nous disons bien
innocemment en cas d'orgasme atteindre le " 7ème ciel ", alors que la
dimension atteinte est toute autre !
Compte-tenu de la loi de polarité en vigueur, qui détermine le fonctionnement du Vivant, la gravité est un principe d'unification entre les deux flux énergétiques électromagnétiques : celui consistant à rassembler, celui consistant à disperser. Tout dépend de l'état de conscience du sujet, en l'occurrence l'être humain. Lorsque celui-ci polarise, c'est-à-dire adopte des pensées liées à ses croyances (politiques, religieuses, philosophiques, scientifiques,...), il rassemble, amasse, concentrant par ses pensées sa vision du monde, et créant une réalité forcément restreinte, partielle. Au contraire, lorsqu'il ouvre sa pensée à sa nature multidimensionnelle, il disperse sa vision du monde dans l'éther, lui permettant d'embrasser la Nature de manière large, illimitée ! Telle est alors sa nature, " Service de Soi " lorsqu'il rassemble, " Service d'Autrui " lorsqu'il disperse. " Donner " et être ouvert, c’est " disperser " de la gravité. " Prendre " ou être dans un système fermé, c’est " assembler " de la gravité.
Cette règle de fonctionnement physique appliqué à l'orgasme voit le corps humain épuisé à son issue. L'énergie s'en est allée, aussi bien dans le/la partenaire que dans l’éther. Et comme nous sommes sous contrôle des entités prédatrices de la 4ème dimension, autant dire que nous les avons bien nourries ! Et c'est pourquoi le sexe est tellement encouragé et répandu dans notre société... En nous y adonnant en toute inconscience, nous poursuivons notre emprisonnement, l’expérience orgasmique étant un leurre pour nous garder sous contrôle dans cette 3ème densité de réalité. Tout au contraire, en le comprenant, nous pouvons partager l'expérience de manière évolutive avec le/la partenaire (effet-miroir), ceci supposant le respect et la confiance mutuels. Nous cessons ainsi de nourrir inconsciemment la prédation !
Manipulation de l'amour érotique
Le philosophe italien Bruno Giordano * (1548/1600 - photo 1), connu
également comme astronome et pour avoir été condamné comme hérétique par
l’Église romaine aux flammes du bûcher au Campo dei
Fiori à Rome, a produit plusieurs thèses sur l’amour érotique et la
sexualité pouvant être traduites en pouvoir matériel et spirituel,
travaux " révolutionnaires " tant il prenait une position
critique envers les dogmes de l’église *². Ce n'est pas pour rien
que l’intelligentsia européenne l’a proclamé " plus grand martyr de la
science moderne ".
Il était convaincu que l’univers entier était retenu dans son ensemble par l’amour érotique, l’Amour dans toutes ses déclinaisons gouvernant le monde depuis la nature physique jusqu’aux ciels métaphysiques, depuis la sexualité jusqu’à l’amour sincère des mystiques. Il étendit ainsi le terme Éros (l’amour érotique) pour englober en dernière instance toutes les émotions humaines, le décrivant comme la force première qui lie, ou plutôt qui " enchaîne " de manière magique (" la magie " est à entendre comme "l'âme agit ") grâce à l’affect, aux humeurs. S'il conduit la personne aimée à être " enchaîné " à l’amant(e) par ces subtils fils semi-physiques, le contraire ne s’applique pas obligatoirement, l’amant(e) ne ressentant pas lui-même d’amour.
Ainsi l’utilisation de la " fureur " ou de " l’amour cosmique " permet de fusionner l’effet du lien énergétique réalisé par le sorcier à des " talismans ", qui, formant un pont entre les Intelligences interdimensionnelles et l’entité individuelle du sorcier, permet de produire des effets macrocosmiques - projection d'illusions - pouvant " brouiller " l’esprit de quelqu’un pour altérer ses décisions.
* Bruno, qui passa quelques années à la cour d’Elizabeth I d'Angleterre, a pu être le modèle du célèbre " Docteur Faustus " du dramaturge anglais Christopher Marlowe (1594/1593), car son nom initial était Philotheus Jordanus Brunus Nolanus … Christopher Marlowe a été assassiné en 1593 et Bruno a été arrêté par l’Inquisition puis brûlé vivant en 1600.
*² Cf. " De vinculis in genere " (Sur les forces de liaison en général), 1591.
Il était convaincu que l’univers entier était retenu dans son ensemble par l’amour érotique, l’Amour dans toutes ses déclinaisons gouvernant le monde depuis la nature physique jusqu’aux ciels métaphysiques, depuis la sexualité jusqu’à l’amour sincère des mystiques. Il étendit ainsi le terme Éros (l’amour érotique) pour englober en dernière instance toutes les émotions humaines, le décrivant comme la force première qui lie, ou plutôt qui " enchaîne " de manière magique (" la magie " est à entendre comme "l'âme agit ") grâce à l’affect, aux humeurs. S'il conduit la personne aimée à être " enchaîné " à l’amant(e) par ces subtils fils semi-physiques, le contraire ne s’applique pas obligatoirement, l’amant(e) ne ressentant pas lui-même d’amour.
Ainsi l’utilisation de la " fureur " ou de " l’amour cosmique " permet de fusionner l’effet du lien énergétique réalisé par le sorcier à des " talismans ", qui, formant un pont entre les Intelligences interdimensionnelles et l’entité individuelle du sorcier, permet de produire des effets macrocosmiques - projection d'illusions - pouvant " brouiller " l’esprit de quelqu’un pour altérer ses décisions.
* Bruno, qui passa quelques années à la cour d’Elizabeth I d'Angleterre, a pu être le modèle du célèbre " Docteur Faustus " du dramaturge anglais Christopher Marlowe (1594/1593), car son nom initial était Philotheus Jordanus Brunus Nolanus … Christopher Marlowe a été assassiné en 1593 et Bruno a été arrêté par l’Inquisition puis brûlé vivant en 1600.
*² Cf. " De vinculis in genere " (Sur les forces de liaison en général), 1591.
Cette définition de l’amour comme une " chaîne " lui permit même de
voir la haine comme une façon d’exprimer l’amour érotique, puisque celui
ou celle qui hait est juste " enchaîné(e) " à la
personne haïe par ses émotions, comme l’aimé est à l’amant.
Selon Bruno, " la capacité d’enchaîner " étant aussi la caractéristique principale de la magie, le magicien se comporte donc en escapologiste, soit quelqu'un pratiquant l’art de l’évasion lorsqu’il lie à lui sa " victime " par l’amour, ayant alors recours aux "êtres invisibles ou démons " (la force prédatrice archontique ou Intelligence interdimensionnelle que sont les anges, démons, dieux, djinns, " créatures ", ou quoi que ce soit d’autre) contactée par le sorcier/magicien en échange d’information ou de pouvoir opératif. Dans la mesure où plus que toute autre chose l’amour relie les gens, cela lui donne quelque chose de démoniaque lorsque c’est exploité par un partenaire au détriment de l’autre. C'est pourquoi les platoniciens appelaient l’amour le " Grand Démon ", daemon magnus, sa dénaturation étant le fruit de la puissance des pulsions non conscientisées.
C'est ainsi que, dans une société à dominante patriarcale, la plupart des femmes sont plus ou moins malheureuses dans leur vie familiale. Il en résulte que, par leur instinct maternel très puissant (l’instinct de procréation d’une femme est aussi puissant que l’instinct d’un homme de " s’en taper une "), nombre d'entre elles cherchent à tomber enceinte afin de " coincer " un garçon dans une relation génératrice de responsabilité ou d'obligation, ceci n'étant bien sûr pas conscientisé. C’est ainsi la formation d'un couple " parfait ", de cette dimension de réalité limitée s'entend, puisque c’est ce qui assure la continuité de l’espèce et qui va permettre à l'anneau de pouvoir constitué de générer les affres psycho-émotionnelles - les turbulences du couple -, le vampirisme énergétique dont raffole le système prédateur de 4ème dimension...
Cf. Travaux de l'historienne britannique Frances Amelia Yates (1899/1981), spécialiste de la pensée magique de la Renaissance.
Selon Bruno, " la capacité d’enchaîner " étant aussi la caractéristique principale de la magie, le magicien se comporte donc en escapologiste, soit quelqu'un pratiquant l’art de l’évasion lorsqu’il lie à lui sa " victime " par l’amour, ayant alors recours aux "êtres invisibles ou démons " (la force prédatrice archontique ou Intelligence interdimensionnelle que sont les anges, démons, dieux, djinns, " créatures ", ou quoi que ce soit d’autre) contactée par le sorcier/magicien en échange d’information ou de pouvoir opératif. Dans la mesure où plus que toute autre chose l’amour relie les gens, cela lui donne quelque chose de démoniaque lorsque c’est exploité par un partenaire au détriment de l’autre. C'est pourquoi les platoniciens appelaient l’amour le " Grand Démon ", daemon magnus, sa dénaturation étant le fruit de la puissance des pulsions non conscientisées.
C'est ainsi que, dans une société à dominante patriarcale, la plupart des femmes sont plus ou moins malheureuses dans leur vie familiale. Il en résulte que, par leur instinct maternel très puissant (l’instinct de procréation d’une femme est aussi puissant que l’instinct d’un homme de " s’en taper une "), nombre d'entre elles cherchent à tomber enceinte afin de " coincer " un garçon dans une relation génératrice de responsabilité ou d'obligation, ceci n'étant bien sûr pas conscientisé. C’est ainsi la formation d'un couple " parfait ", de cette dimension de réalité limitée s'entend, puisque c’est ce qui assure la continuité de l’espèce et qui va permettre à l'anneau de pouvoir constitué de générer les affres psycho-émotionnelles - les turbulences du couple -, le vampirisme énergétique dont raffole le système prédateur de 4ème dimension...
Cf. Travaux de l'historienne britannique Frances Amelia Yates (1899/1981), spécialiste de la pensée magique de la Renaissance.
Fonctionnement de la magie érotique
Une implication érotique/magique naît
entre deux a(i)mants, constitutive d'un tissu propre à l’affect, aux
émotions, et aux humeurs. Tissé à partir de subtils "
fils de l’affect ", il est ainsi d’autant plus liant (le mot
sanskrit tantra signifie " tissu " ou " filet "). Si le filet (rete) érotique peut s’exprimer sous forme de relation sexuelle
(dépendance sexuelle), dans la plupart des cas il est d’une nature psychologique, ce qui renforce son pouvoir de lier.
Chaque forme d’amour liant de sa propre manière, une personne, si elle le souhaite, peut contrôler celle qui est reliée à elle par l’amour puisque par cette chaîne l’aimé(e) est ravi(e), et veut donc être transféré(e) à l’amant(e).
En conséquence, le vrai magicien est l’amant(e), qui exploite l’énergie érotique de l’aimé(e) dans l’accumulation de son propre pouvoir. Il transforme l’amour en pouvoir, il est un manipulateur de l’amour érotique. Également appelé " chasseur d’âme ", il peut atteindre le cœur de l’aimé(e) par son sens de la vue, par son ouïe, par son esprit, et par son imagination, et ainsi l’enchaîner à lui. Il peut le/la regarder, lui sourire, tenir sa main, le/la noyer dans des compliments flatteurs, coucher avec lui/elle, ou l’influencer par son pouvoir d’imagination.
Dans l’enchaînement, il y a quatre mouvements : le premier est la pénétration ou l’insertion, le second l’attachement ou la chaîne, le troisième l’attraction, le quatrième la connexion, connue sous le nom de plaisir… De ce fait l’aimé(e) veut pénétrer complètement l’amant(e) par sa langue, sa bouche, ses yeux, etc. Autrement dit, non seulement l’aimé(e) se laisse enchainer, mais il/elle doit aussi éprouver le plus grand désir pour ce lien. Ce désir doit augmenter jusqu’au point de vouloir s’offrir Lui/Elle-même avec son être tout entier au manipulateur qu’il/elle aime et " disparaitre en lui/elle ". Cela donne à ce dernier le pouvoir absolu sur la personne enchainée.
Le manipulateur suscite toutes sortes d’illusions dans la conscience de sa victime d’amour et éveille ses émotions et désirs. Il ouvre le cœur de l’aimé(e) et peut prendre possession de la personne " blessée " de la sorte. Seigneur des émotions extérieures, il a des moyens à sa disposition pour établir toutes les chaines qu’il veut : l’espoir, la compassion, la peur, l’amour, la haine, l’indignation, la colère, la joie, la patience, le mépris pour la vie et la mort.
Pourtant l’enchaînement magique peut ne jamais s’établir sans la volonté manifeste de la personne enchantée. Au contraire, le manipulateur doit toujours éveiller l’idée chez sa victime que tout se passe uniquement dans ses intérêts. Cela crée l’illusion totale que la personne aimée est élue, qu’elle est un individu indépendant qui suit sa propre volonté.
Une méthode indirecte de gagner de l’influence, dans laquelle l’aimé(e) ne sait pas du tout qu’il/elle est manipulée, passe par l'utilisation de puissants êtres invisibles, démons et héros, évoqués par des incantations magiques (mantras) de manière à obtenir le résultat souhaité avec leur aide. Ceux-ci s'incrustent dans les rêves ou imposent certaines pensées à l’état de veille comme étant la vérité, difficilement décelables comme provenant de quelqu’un d’autre. Le/la bien-aimé(e) croit ainsi qu’il/elle agit dans ses propres intérêts et en suivant sa propre volonté, alors qu’il/elle est en fait dirigé(e) et contrôlé(e) par des flatteries magiques.
Le manipulateur lui-même ne cède à aucune inclination émotionnelle. C’est pour cela qu’une égocentricité * bien développée est une caractéristique nécessaire pour un bon manipulateur. Il ne permet qu’un seul amour : le narcissisme. Selon Bruno, seule une petite élite possède la capacité demandée, puisque la majorité des gens cèdent à des émotions incontrôlées.
Le manipulateur doit avoir son imagination totalement sous contrôle et lui tenir la bride afin de ne pas se transformer en outil des fantasmes. Le manipulateur ne s’intéresse pas à retourner l’amour érotique de l’aimé(e), mais plutôt à simuler une telle réciprocité. Pour que l’illusion réussisse, il ne doit cependant pas rester totalement froid. Il doit savoir par sa propre expérience les sentiments qu’il suscite chez l’aimé(e), mais ne doit jamais y céder lui-même.
* Cf. Décryptage de l'égo.
Le culte sulfureux de Victor Noir
Victor Noir (1848/1870 - image 1),
connu par les flâneurs curieux du cimetière du Père-Lachaise, incarne à
lui seul l'emprise de la magie érotique exercée par les
Forces des Ténèbres sur les esprits humains faibles, prisonniers de
leurs sens désordonnés et de leurs peurs enfouies destinées à les
maintenir prisonniers de la cyclicité astrale. De son vrai
nom Yves Salmon, il fut journaliste au sein du journal
anti-bonapartiste La Marseillaise, journal frondeur critiquant
l’empereur et prônant la république. Le prince Pierre Napoléon
Bonaparte,
cousin éloigné de l’empereur, n’ayant pas admis l’attaque
personnelle contre son parent de ce journal, s'était alors lancé dans
une violente diatribe à son encontre, ce qui conduisit le
rédacteur en chef du quotidien dépêcher deux amis chez lui afin
d’obtenir la rétractation de son article injurieux ou, à défaut, la
réparation par les armes. C’est ainsi que le 10 janvier 1870,
Victor Noir, après qu’il eut effectué un détour chez sa fiancée pour
lui montrer son élégante tenue noire, se présenta au domicile de Pierre
Bonaparte. Il s’en suivit une violente altercation au
cours de laquelle le prince Bonaparte tira cinq coups de revolver,
dont une qui atteint à la poitrine Victor Noir. Devenu le
symbole de la répression de
l’Empire face à la lutte pour la liberté, son culte morbide démarra,
d'autant que ses obsèques se déroulèrent dans un contexte politique, le
chef de gouvernement ayant refusé au peuple de Paris
qui le souhaitait qu’il soit inhumé au cimetière du Père-Lachaise.
Des dizaines de milliers de parisiens déferlèrent alors vers Neuilly
jusqu’à sa demeure pour lui rendre de manière hystérique un
hommage digne d’un souverain, à l'instar de la militante anarchiste
et figure majeure de la Commune de Paris, Louise Michel qui décida
devant la fosse ouverte de ne plus quitter la tenue noire de
deuil. C’est elle qui arborera la première le drapeau noir, le
popularisant au sein du mouvement anarchiste... Quinze ans plus tard,
les restes du martyr de la foi républicaine seront transférés
au Père-Lachaise dans un tombeau payé par une souscription
nationale. Mais lors de l’exhumation, le frère de la victime, Louis
Noir, profita qu’on le laisse seul se recueillir un instant pour
dévisser le couvercle du cercueil et s’emparer du crâne afin de le
dissimuler dans un panier de fruits. Un monument sera sculpté en 1891 en
sa mémoire, le figurant grandeur nature, allongé sur
une dalle, en habit de cérémonie tel qu’il aurait été découvert
blessé à mort (photo 3). La bouche est ouverte et le chapeau a roulé à
ses pieds. La chemise est déboutonnée et le pantalon moulant
dégrafé laisse deviner une flagrante érection. Il va devenir le
point d'orgue du culte sexuel orchestré depuis (photos 4 et 5), au même
titre que plus tard celui de son presque voisin l’écrivain
Oscar Wilde (sa tombe est recouverte de baisers de rouge à lèvres -
photo 6), de la pierre funéraire de Jim Morrison, le mythique soliste
des Doors, et bien sûr de la tombe du fondateur de la
philosophie spirite à la sauce astrale Allan Kardec (1804/1869). Il
est pratiqué par une gente essentiellement féminine, qui tourne autour
du monument afin au mieux de trouver l’angle le mieux
adapté et la meilleure lumière pour photographier la protubérance,
objet de beaucoup de convoitises, de bénédictions comme de vœux formulés
(ainsi la fécondité), au pire de pratiques plus
explicites sur l'endroit stratégique, expliquant la teinte dorée
brillante que présente notamment la marque suggestive de virilité de
Victor lustrée depuis des lustres... Ces effleurements et
frottements empressés seraient le fait de jeunes filles et de femmes
en mal d’amour ou de fécondité, car la légende dit qu'il devait se
marier le lendemain du drame, attribuant de ce fait les
pouvoirs secrets de sa tombe à cet amour...
Célébration mémorielle involutive
Quelle qu'en soit la vocation, le monument, qui plus est mortuaire * (statues
de saints et pierres cultuelles diverses), est
une forme figure du folklore urbain, constitutif d'un rite mémoriel
culturel et historique destiné à maintenir l'être humain illusionné dans
le piège de ses mémoires viciées. Il est la marque par
excellence du royaume des Morts-vivants, assurant la mutation du culte politique en culte sexuel, celui de la transformation de l’image du héros
national, martyr de la République, en sex-symbol du cimetière...
* Le climat érotique d'un cimetière est attisé par le ressenti des visiteurs (obsession, deuil, mélancolie, manque d’être...) à même d'élaborer des fantasmes au milieu de l’ombre et du mystère, de l’apparat funèbre et des apparences équivoques de la sculpture funéraire.
La théorie de la manipulabilité de l’amour offre de précieux aperçus
psychologiques de l’âme de l’aimé(e) et de son manipulateur. En
l'élargissant, il établit que " l’amour " manipulé est un
instrument puissant de contrôle pour la séduction des masses *. Sa
théorie contribue ainsi à beaucoup mieux comprendre l’attractivité
extatique que les dictateurs et les pontifes exercent sur les
gens qui les aiment. C’est ce qui rend son travail actuel, en dépit
de son contenu cynique ... Ainsi dans son livre Eros and Magic in the Renaissance
(1987), l'auteur historien roumain
Ioan P. Couliano (1950/1991 - photo 2) est d’avis que via les médias
de masse, l’Occident est déjà pris dans la toile d’un tel " filet
érotique " manipulable, concluant comme suit : " Et
puisque les relations entre les individus sont contrôlées par des
critères " érotiques " dans le sens le plus large de l’adjectif, la
société humaine à tous les niveaux n’est elle-même que de la
magie à l’œuvre. Sans même en être conscient, tous les êtres qui, en
raison de la façon dont le monde est construit, se trouvent dans un
lieu intersubjectif intermédiaire, participent à un
processus magique. Le manipulateur est le seul qui, ayant compris
l’ensemble de ce mécanisme, est d’abord un observateur des relations
intersubjectifs qui acquiert simultanément des connaissances
à partir desquelles il cherche ensuite à en profiter ". Reste à savoir qui pourrait être ce manipulateur ...
* Cf. Contrôle du robot biologique & Les psychopathes qui nous gouvernent.
* Cf. Contrôle du robot biologique & Les psychopathes qui nous gouvernent.
Du syndrome de Stockholm
L’expression " Syndrome de Stockholm "
est apparue au début des années 1970, pour décrire les étonnantes
réactions de quatre employés de banque pris en otage en
août 1973 à Stockholm envers leurs ravisseurs. Ils ont été gardés
pendant six jours par trois anciens détenus qui les menaçaient de mort
tout en leur témoignant de l’amabilité. À la surprise de
tous, ils se sont fortement opposés aux efforts du gouvernement pour
venir à leur secours, prenant énergiquement la défense de leurs
ravisseurs. Plusieurs mois après que les otages aient été
libérés par la police, ils éprouvaient encore des sentiments
chaleureux vis-à-vis des hommes qui avaient mis pourtant leur vie en
danger. Deux des femmes se sont par la suite fiancées à leurs
ravisseurs.
Ce syndrome caractérise une personne qui n’est pas consciente du jeu souterrain des forces entropiques à l’œuvre dans notre monde, en raison de sa propension à compartimenter les choses de manière à ne pas devoir regarder les connexions impliquées. Elle s'est en quelque sorte dissociée et identifiée à une interprétation rationaliste et matérialiste de la réalité. Autrement dit, le système de contrôle du " mage noir " - son double ténébreux - encourage cette façon de voir les choses pour se dissimuler.
La psychologue Dee L. R. Graham, professeur de psychologie à l'Université de Cincinnati, a émis la théorie que le Syndrome de Stockholm se produit à un niveau sociétal. Dans la mesure où notre culture est patriarcale, elle pense que toutes les femmes en souffrent à des degrés très divers *. C'est ainsi que lorsqu’il existe un mandat, imposé socialement, d’avoir de " bonnes pensées " et de voir le monde sous un éclairage positif, autrement nommé le politiquement correct, et ce même quand l’évidence témoigne du contraire, les gens en viennent à trouver nécessaire de se régler au plus près sur l’approbation ou la désapprobation des normes sociales. Il en résulte qu’ils sont motivés de manière à apprendre comment penser en normes sociales, faisant fi de leurs propres, singulières et sincères expériences. En tant que " victimes " du Syndrome de Stockholm, ils sont encouragés à développer des caractéristiques qui plaisent au système, qui incluent la dépendance, le manque d’initiative, la passivité, l’impossibilité d’agir, de décider, de penser. Ce sont des stratégies pour rester vivant, intégré, incluant le déni, l’empressement aux exigences du système, à ses souhaits et à ses expressions d’approbation. Tout est fait pour apprendre à développer un amour du système, à être immensément reconnaissant au système pour nous avoir donné la vie. Ainsi les individus sont conditionnés à se focaliser sur les gentillesses du système, et non sur ses actes de brutalité. La perception du système comme étant omnipotent nous garde psychologiquement attaché au Système de Contrôle, les fonctions de profonde anxiété nous empêchant de voir les options disponibles.
* Cf. Livre " Loving to Survive : Sexual Terror, Men’s Violence, and Women’s Lives ".
"Les
anciens dictateurs sont tombés parce qu’ils ne sont jamais parvenus à
donner à leurs sujets assez de pain, assez de
cirques, assez de miracles ni assez de mystères. Et ils ne
possédaient pas non plus un système réellement efficace de manipulation
du mental. Sous un dictateur scientifique, l’enseignement
fonctionnerait vraiment - avec pour résultat que la plupart des
hommes et des femmes en viendraient à aimer leur servitude et ne
rêveraient jamais de révolution. Il semble qu’il n’y ait aucune
raison valable pour qu’une dictature scientifique soit jamais
renversée."
Aldous Huxley, écrivain, romancier et philosophe britannique (1894/1963), Brave New World ("Le Meilleur des Mondes") - 1931
Prédation sexuelle
Si la société patriarcale induit depuis des millénaires l'emprise du
masculin sur le féminin par la domination et la soumission, avec toutes
ses manifestations des plus explicites aux plus
subtiles, sa nature première échappe aux analyses et constats
classiquement établis, décrivant cette relation bourreau-victime comme
inhérente au système institutionnel en vigueur. Aussi n'est-il
pas étonnant qu'en dépit des mesures législatives prises en matière
de parité comme de répression pénale et du combat acharné du
militantisme féminin, peu de réelles avancées soient à même de
changer l'ordre des choses. Partant du bon vieux principe hermétique
que ce qui est en bas est à l'image de ce qui est en haut, nous pouvons
trouver dans cet axiome les indices explicatifs du
dévoiement de la psyché humaine.
Toutefois, la pathologie qu'est la prédation sexuelle ne joue pas que dans un sens exclusif, l'homme envers la femme. Nombre de cas, et non des moindres, mis en avant par d'éminents psychiatres, montrent que des hommes souvent jeunes ont été violés par une femme plus âgée, ce qui a entraîné chez eux des comportements psychopathologiques, cette dernière pouvant alors conserver le contrôle s'ils ne se séparent pas. Seule différence, c'est que si ça avait été le fait d'un homme, il serait en prison...
Toutefois, la pathologie qu'est la prédation sexuelle ne joue pas que dans un sens exclusif, l'homme envers la femme. Nombre de cas, et non des moindres, mis en avant par d'éminents psychiatres, montrent que des hommes souvent jeunes ont été violés par une femme plus âgée, ce qui a entraîné chez eux des comportements psychopathologiques, cette dernière pouvant alors conserver le contrôle s'ils ne se séparent pas. Seule différence, c'est que si ça avait été le fait d'un homme, il serait en prison...
La littérature comme le cinéma racontent à leur manière comment au
travers des âges les individus ont été confrontés à toutes sortes
d’êtres étranges (Cf. La Bête - photo 1), le type le plus
commun cependant étant humanoïde de par une certaine ressemblance à
la forme physique humaine, bien que ses pouvoirs soient nettement
sur-humains. Ainsi le vampire (Cf. photos 2 et 3) et le
loup-garou (photo 4). Le schéma général de nombre de ces visites
extraordinaires est qu’une créature étrange, avec des yeux brillants et
envoûtants, vient pendant la nuit et, d’une certaine
manière, draine l’énergie, le sang, ou la force-vitale de la victime
qui est incapable de crier à l’aide parce qu’à la fois son corps et son
esprit sont paralysés. On retrouve couramment d’autres
effets, comme des lumières et des températures glaciales.
Contrairement à la croyance commune, l'imagination des auteurs à travers les personnages et créatures utilisés n'est pas une pure fantasmagorie. Elle se fonde sur ce qui est rapporté depuis la nuit des temps sur ces êtres étranges et leurs pouvoirs de disparaître, voler, contrôler la météo, diriger le comportement des animaux, se changer en animaux, passer à travers d’objets solides et générer une progéniture hybride en ayant des rapports sexuels avec leurs victimes *. Dans son étude classique Passport to Magonia datant de 1969 (en français " Chronique des apparitions extra-terrestres "), le scientifique français Jacques Vallée y présente beaucoup d’exemples de similitudes avec ses études et observations des fées et des entités OVNI. De son côté, le chercheur Jean Bastide, dans La mémoire des OVNI (1978), est allé plus loin, disant que les " contacts modernes établis avec les extraterrestres respectent précisément les mêmes règles que les contacts avec des êtres de forme plus ou moins humaine dans le passé ". Ces relations de nature extrahumaine sont nommées " abductions ", qu'elles soient alien, OVNI ou féériques *².
* L’engendrement d’une progéniture découlant de l’interaction d’êtres " mâles " avec des femmes humaines est le fait d'incubes, les succubes étant des créatures femelles qui ont des rapports sexuels avec les hommes.
*² Cf. Vérité civilisationnelle.
Contrairement à la croyance commune, l'imagination des auteurs à travers les personnages et créatures utilisés n'est pas une pure fantasmagorie. Elle se fonde sur ce qui est rapporté depuis la nuit des temps sur ces êtres étranges et leurs pouvoirs de disparaître, voler, contrôler la météo, diriger le comportement des animaux, se changer en animaux, passer à travers d’objets solides et générer une progéniture hybride en ayant des rapports sexuels avec leurs victimes *. Dans son étude classique Passport to Magonia datant de 1969 (en français " Chronique des apparitions extra-terrestres "), le scientifique français Jacques Vallée y présente beaucoup d’exemples de similitudes avec ses études et observations des fées et des entités OVNI. De son côté, le chercheur Jean Bastide, dans La mémoire des OVNI (1978), est allé plus loin, disant que les " contacts modernes établis avec les extraterrestres respectent précisément les mêmes règles que les contacts avec des êtres de forme plus ou moins humaine dans le passé ". Ces relations de nature extrahumaine sont nommées " abductions ", qu'elles soient alien, OVNI ou féériques *².
* L’engendrement d’une progéniture découlant de l’interaction d’êtres " mâles " avec des femmes humaines est le fait d'incubes, les succubes étant des créatures femelles qui ont des rapports sexuels avec les hommes.
*² Cf. Vérité civilisationnelle.
Interférences surnaturelles et paranormales dans les relations humaines ?
L'auteure thérapeute états-unienne
Eve Lorgen, spécialisée dans les abductions extraterrestres, a étudié
les traumatismes anormaux causés à des humains, découlant
de manipulations et d'orchestrations des relations affectives qui
seraient effectuées par des entités/êtres interdimensionnels. Qualifié
de " morsure d'amour " (Love bite), ce vampirisme
énergétique conduit selon elle à différents symptômes la plupart du
temps incompris quant à leur origine par les individus les subissant et
les thérapeutes :
. Obsession amoureuse et tourment émotionnel chez un des partenaires ;
. Revirement ou retournement psychique soudain laissant l'autre partenaire dans un total désarroi ;
. Événements surnaturels ou paranormaux, telles l'augmentation de la capacité psychique ou de la kundalini *, la force vitale du champ énergétique de l'universel (le prana des hindous) ;
. Épuisement physique et psychique ;
. Lien émotionnel télépathique avec le/la partenaire (vision à distance spontanée du partenaire ciblé, connexions empathiques télépathiques, télesthésie *² et visites " astrales ") ;
La prise de conscience de cette prédation interdimensionnelle est bien sûr salutaire : déculpabilisation et nettoyage intérieur du canal de prédation.
* Cf. L'état de cohérence, voie de sa liberté.
*² Perception du champ énergétique du partenaire à distance.
Ouvrages d'Eve Lorgen : The Love Bite &
The Dark Side of Cupid.
Il est cependant à noter que le scénario dit de "morsure d’amour" et de ses effets découle avant tout des émotions par hyperfréquences avec les interactions normales de la programmation sociale et de la psychopathologie, et non d'entités extraterrestres. C'est bien nous-même, par notre double ténébreux non conscientisé, qui sommes pleinement responsable de ces traumas.
The Dark Side of Cupid.
Il est cependant à noter que le scénario dit de "morsure d’amour" et de ses effets découle avant tout des émotions par hyperfréquences avec les interactions normales de la programmation sociale et de la psychopathologie, et non d'entités extraterrestres. C'est bien nous-même, par notre double ténébreux non conscientisé, qui sommes pleinement responsable de ces traumas.
Le fait est qu’il y a une tradition dûment attestée, sorte de
jurisprudence de l'inconscient populaire à travers le globe qui s’étend
sur des milliers d’années, parlant d’êtres/entités enlevant
des humains et leurs progénitures à leur intégrité biologique, tout
particulièrement pendant leur sommeil. Ces êtres volent dans des globes
de lumière, peuvent paralyser leurs victimes, induire
une amnésie à propos des évènements, forcer leurs victimes à boire
d’étranges boissons, avoir des relations sexuelles avec eux et, dans
nombre de cas, les conduire finalement à la folie, à la
ruine du corps, ou même prendre le contrôle de leurs corps pour leur
propre usage. Cette possession peut être permanente ou semi-permanente.
Si d'aucuns voient cette possession comme une bénédiction - le savant occultiste allemand Cornélius Agrippa (1486/1535) décrit la copulation comme " pleine d’apports magiques " - beaucoup la considèrent comme faisant partie de la nature la plus basse de l’homme, celle de sa dégénérescence. En effet, liée strictement à la matière, cette énergie animale est considérée comme source de puissance et de longévité pour celui qui la reçoit par les courants sexuels de la libido. De cette manière, il est ainsi suggéré qu'une personne âgée, tout particulièrement masculine, peut drainer la force vitale de plus jeunes *. Ainsi le Roi David couchait régulièrement avec une jeune vierge lorsqu’il était âgé, la même technique remportant un certain succès en Grèce et en Rome antique. L’Empereur romain germanique Frédéric Barberousse tenait de jeunes garçons contre son ventre et parties génitales pour " savourer et absorber leur énergie ", le Pape Innocent VIII utilisant quant à lui de jeunes enfants en bonne santé qui devaient le caresser afin de lui transférer leurs énergies. Ce n'est ni plus ni moins que du vol énergétique, la prédation à l'initiative des uns vidant de leur substance sacrée celles et ceux la subissant.
* Des médecins du passé sont même allés jusqu’à formuler l’hypothèse que l’énergie vitale était fortement concentrée dans le sang de jeunes enfants, suggérant que le vampirisme devait être employé par ceux que l’âge affaiblissent.
Si d'aucuns voient cette possession comme une bénédiction - le savant occultiste allemand Cornélius Agrippa (1486/1535) décrit la copulation comme " pleine d’apports magiques " - beaucoup la considèrent comme faisant partie de la nature la plus basse de l’homme, celle de sa dégénérescence. En effet, liée strictement à la matière, cette énergie animale est considérée comme source de puissance et de longévité pour celui qui la reçoit par les courants sexuels de la libido. De cette manière, il est ainsi suggéré qu'une personne âgée, tout particulièrement masculine, peut drainer la force vitale de plus jeunes *. Ainsi le Roi David couchait régulièrement avec une jeune vierge lorsqu’il était âgé, la même technique remportant un certain succès en Grèce et en Rome antique. L’Empereur romain germanique Frédéric Barberousse tenait de jeunes garçons contre son ventre et parties génitales pour " savourer et absorber leur énergie ", le Pape Innocent VIII utilisant quant à lui de jeunes enfants en bonne santé qui devaient le caresser afin de lui transférer leurs énergies. Ce n'est ni plus ni moins que du vol énergétique, la prédation à l'initiative des uns vidant de leur substance sacrée celles et ceux la subissant.
* Des médecins du passé sont même allés jusqu’à formuler l’hypothèse que l’énergie vitale était fortement concentrée dans le sang de jeunes enfants, suggérant que le vampirisme devait être employé par ceux que l’âge affaiblissent.
L’intrusion extraterrestre par le biais de la sexualité a une
incidence sur nos émotions et nos sentiments, car elle entraîne une
baisse de l’activité cérébrale du lobe frontal qui favorise
l’inclination à des comportements compulsifs, répétitifs, impulsifs
et violents, ainsi qu’une instabilité émotionnelle… L’être humain est
d'autant plus facilement manipulable par des forces
extérieures lorsqu’il se trouve coupé de ses intuitions, basées sur
le cœur. Or, sans un réel examen intérieur de ce que nous sommes, une
visualisation objective de notre activité psychique, sans
une capacité de centrer son " êtreté " sur le cœur et non sur
l’égo-mental, les êtres humains ne sont rien d’autre que des
marionnettes contrôlées par d’autres, en l'occurrence par des forces
surnaturelles extraterrestres, et tout particulièrement à travers la
sexualité, source du désir physique pour atteindre l'extase.
Vampirisme sexuel
Les légendes de vampire se sont maintenues depuis le commencement de
l’histoire écrite, même s'il est nécessaire de faire le tri entre faits
et fiction. Le fait est que les rapports en provenance
d’Europe de l’Est établissent que quelque chose appelée vampirisme a
atteint des proportions quasiment épidémiques au XVIII° siècle. Si les
histoires sont souvent fantastiques et que de nombreux
détails doivent être attribués aux imaginations terrifiées des
paysans superstitieux, une grande partie de la documentation est
précise, les dépositions de témoins réputés attestant qu’il semble
impossible qu’il ne s'agisse que de superstition.
L’idée d’un cadavre sortant de son cercueil la nuit pour boire le sang des vivants semblant tout bonnement irrationnelle, la nature du vampirisme est ailleurs. Dans l'histoire des civilisations, bien avant l’histoire écrite, l’effusion rituelle de sang et pris en boisson a toujours été considérée comme l’élément vital du sacrifice, qui permettait d'augmenter le pouvoir et d'apaiser les dieux. Pour que la vie coule, on doit avoir du sang, l'hémoglobine générant les émotions *. Le vampirisme est à ce titre considéré comme contagieux. En effet, la personne vampirisée étant vidée de sa vitalité, elle est comme un vide psychique qui draine l’énergie des personnes rencontrées dans la vie quotidienne pour se reconstituer. Cette énergie recomposée est ensuite mise à disposition de la prochaine collecte de cette même entité vampirique, le prédateur extra-dimensionnel qui s'en repaît pour sa survie ...
* Cf. L'expérience émotionnelle.
L’idée d’un cadavre sortant de son cercueil la nuit pour boire le sang des vivants semblant tout bonnement irrationnelle, la nature du vampirisme est ailleurs. Dans l'histoire des civilisations, bien avant l’histoire écrite, l’effusion rituelle de sang et pris en boisson a toujours été considérée comme l’élément vital du sacrifice, qui permettait d'augmenter le pouvoir et d'apaiser les dieux. Pour que la vie coule, on doit avoir du sang, l'hémoglobine générant les émotions *. Le vampirisme est à ce titre considéré comme contagieux. En effet, la personne vampirisée étant vidée de sa vitalité, elle est comme un vide psychique qui draine l’énergie des personnes rencontrées dans la vie quotidienne pour se reconstituer. Cette énergie recomposée est ensuite mise à disposition de la prochaine collecte de cette même entité vampirique, le prédateur extra-dimensionnel qui s'en repaît pour sa survie ...
* Cf. L'expérience émotionnelle.
Ainsi le vampire cultuel, en grande partie créé par l'écrivain irlandais Bram Stoker (1847/1912 - photo) dans son livre Dracula
en 1897 *, porte des connotations sexuelles qui pourraient
être plus qu’un simple effet rédactionnel. Si en effet le mélange de
violence, séduction psychique, sexe et perte de la force vitale a rendu
le vampirisme très populaire, il y a eu de nombreux
individus qui ont été appelés ou se sont eux-mêmes appelés vampires,
aucun de ces pervers ne s’étant réellement levé d’entre les morts. Ils
n’étaient pas des vampires dans le sens surnaturel du
mot. Le lien entre le vampirisme surnaturel et le sexe est profond,
l’extraordinaire fascination que le vampirisme a sur le subconscient de
la plupart des gens étant un mélange d’excitation
sexuelle, de consentement à la possession avec la promesse
d’immortalité, d'un pouvoir sans limites et le mal palpitant. Le sexe et
le surnaturel constitue bien une association imbattable pour
maintenir l'être humain dans le filet de la prédation !
* Pour donner plus d'ampleur à un roman dont la trame conductrice est l'amour (entre le comte Dracula et son épouse Elizabeth), Bram Stoker a rajouté l'histoire de Vlad III Basarab (image 3), surnommé " l'Empaleur " qui serait né aux alentours de 1435 probablement à Târgoviște en Valachie (selon la légende moderne à Sighișoara en Transylvanie). Mort en décembre 1476 près de Bucarest, il fut prince de Valachie. Un de ses surnoms, Drăculea (signifiant " fils du dragon ") fut ainsi par l'écrivain pour nommer et épicer le personnage littéraire du comte vampire Dracula.
* Pour donner plus d'ampleur à un roman dont la trame conductrice est l'amour (entre le comte Dracula et son épouse Elizabeth), Bram Stoker a rajouté l'histoire de Vlad III Basarab (image 3), surnommé " l'Empaleur " qui serait né aux alentours de 1435 probablement à Târgoviște en Valachie (selon la légende moderne à Sighișoara en Transylvanie). Mort en décembre 1476 près de Bucarest, il fut prince de Valachie. Un de ses surnoms, Drăculea (signifiant " fils du dragon ") fut ainsi par l'écrivain pour nommer et épicer le personnage littéraire du comte vampire Dracula.
Du mythe à la réalité vampirique
Le professeur polonais émérite de
langues slaves à l’University of Virginia Jan Louis Perkowski (photo) a
publié dans les années 1970 dans différents livres * ses
travaux et recherches sur la réalité vampirique dans l’Europe de
l’Est. Il y révèle que les slaves de l’Elbe faisaient des sacrifices au
dieu à quatre tête Svantovit, les Lutices entre
l’Elbe et l’Oder sacrifiant quant à eux des humains au dieu Svarazic, ces dieux sanguinaires étant devenus Nesferitu/Nosferatu au cinéma. Par ses descriptions, ces créatures
prédatrices ressemblent au "succube" méditerranéen qui attaque de nuit et ravit l’énergie vitale des victimes.
Ce sont les chamans Dhampire qui parfois aident les populations à se débarrasser de ces entités, le mot dhampir étant associé au folklore des Roms ou des Balkans, région dont la culture populaire considère que les vampires mâles sont pourvus d’un grand désir pour les femmes, et qu’un vampire revient régulièrement pour avoir des relations sexuelles avec son épouse ou avec une autre femme. Dans le folklore bulgare, les vampires sont réputés être parfois surpris à déflorer des vierges, ou s’installer dans un village en cachant leur nature de vampire, afin de se marier et d’avoir des enfants. L’activité sexuelle du vampire semble être une particularité des vampires slaves du Sud, même si un fondement similaire se produit aussi dans les légendes biélorusses.
Certaines traditions précisent les caractéristiques par lesquels les enfants de vampire peuvent être reconnus. Dans les légendes serbes, ils ont une grande tête avec des cheveux sombres ou noirs en bataille et ne possèdent pas d’ombre. Dans le folklore bulgare, les indications caractéristiques des dhampires sont leur saleté, un nez camus, un corps mou, sans ongles, ni os (cette dernière particularité physique est également attribuée à un vampire lui-même) et une profonde marque sur le dos, comme une queue. En revanche, un nez prononcé est souvent un signe déterminant chez un dhampire comme le sont également les oreilles, les dents, les yeux plus grands que la normale.
Il existe des descriptions d’apparences plus "normales" des dhampires, qui ne les dépeignent pas tout à fait comme des êtres humains, mais tout de même d’aspects attrayants. Ils apparaissent souvent comme étant très pâles, grands et minces, avec une très solide et notable structure squelettique, ayant des yeux noirs. Ces caractéristiques sont généralement des traits communs avec les morts ou mourants. Certains écrits affirment qu’on les identifie également par leur maladresse, leurs membres courbés, ou par des traits tels que la fascination pour le macabre ou le mystique, ainsi que par la lutte contre les prouesses paranormales ou par la rapidité de réaction, peut-être découlant de pouvoirs paranormaux ou de forces mystiques, caractéristiques associées à leur père, vampire. Ils sont souvent décrits comme des êtres torturés, déchirés entre le monde des vampires et celui des humains. Solitaires, ils sont généralement exclus des deux mondes. Ils sont également souvent affligés de problèmes de santé, comme les troubles bi-polaires des dépressions majeures, la folie, le syndrome de chaleur, la photodermatose ou l’anémie. Durant leur adolescence, nombre de dhampires cherchent à se suicider, tendances qui peuvent continuer à l’âge adulte.
Les dhampires sont censés posséder de nombreuses caractéristiques qui manquent aux humains. Par exemple, la capacité de sentir les vampires, une force/vitesse/agilité surhumaine, et la résistance aux capacités vampiriques comme l’hypnotisme. Les dhampires ne sont pas allergiques à l’ail et n’ont aucune des faiblesses associées aux vampires, à l’exception, pour certains d’entre eux, d’un besoin de sang. Pour ces derniers, le fluide les rend alors encore plus puissants.
*1972 : "Vampires, Dwarves and Witches Among the Ontario Kashubs" ; 1976 : Vampires of the Slavs ; 1982 : "The Romanian Folkloric Vampire" & "Reprinted in The Vampire : A Casebook" ; 1989 : "The Darkling : A Treatise on Slavic Vampirism" ; 2006 : "Vampire Lore : From the Writings of Jan Louis Perkowski".
Comme physiologiquement le corps animal de l'humain en sa 3ème
densité de réalité est programmé pour répondre aux flux hormonaux qui
parcourent son organisme, il est l'outil de contrôle de
prédilection des prédateurs de 4ème densité par leur capacité à
déclencher diverses montées hormonales : testostérone pour le désir
sexuel, adrénaline et cortisol pour le stress et la peur,
endorphine pour le plaisir, mélatonine pour le sommeil, etc.

Rituel initiatique à la "magie sexuelle"
Le dévoiement par la sexualité de la
conscience humaine a de tous temps constitué la pratique privilégiée des
"élites" asservissantes, tout particulièrement de
nature hybride. Il s'agit de réveiller les basses fréquences en
encourageant l’animalité, l'éjaculation conduisant à la perte de
puissance pour l'homme, son sperme possédant des particules
encodées contenant une partie de sa force personnelle. La luxure est
synonyme de joie comme de souffrance, abolissant toute distinction
entre le bien et le mal. C'est pourquoi les "royaux" s'y
vautrent à l'insu de leurs proies, symbolisant de cette manière leur
pacte avec la force des ténèbres… *
La sexualité animale coupe les individus inconscients de leur "troisième œil" situé dans la glande pinéale *², afin de leur interdire d'accéder à la réalité de leur supraconscience, les confinant dans les fréquences de leurs trois premiers chakras, liés à la matière et l’émotion. Le piège sexuel est ainsi conçu pour "dominer et maîtriser la conscience d’une personne, afin de la soumettre totalement et de la rendre esclave d’une pensée empirique établie sur les basses fréquences".
Ce vampirisme sexuel trouve ses racines tout particulièrement sur les rives de la mer Caspienne, mer "morte" car fermée d’Asie occidentale principalement alimentée par la Volga, bordée au nord et à l’est par les steppes de l’Asie centrale, à l’ouest et au sud par des chaînes himalayo-alpines comme celle du Caucase. Les pays riverains sont le Turkménistan au sud-est, l’Iran au sud, l’Azerbaïdjan au sud-ouest, la Russie au nord-ouest et le Kazakhstan au nord-est, soit le royaume des Huns "sataniques" adorateurs de Ba'al, les barbares Khazars auteurs de viols et mangeurs d'enfants du temps de leur roi dégénéré Bulan *³. Nous en retrouvons nombre de descendants à la tête de nos pyramides contemporaines, tout particulièrement financières, et qui, dépourvus de toute connexion divine naturelle, imposent leur "dieu" des Enfers à toute l'humanité, ivre d'un sang autre que celui donné par Dame Nature pour survivre dans ses Ténèbres...
* Cf. Explication dans le chapitre "Dérive sanglante" de la publication Les psychopathes qui nous gouvernent.
*² Cf. Fonctionnement du corps biologique.
*³ Cf. Le Judaïsme décodé.
Cf. en complément les expériences connues sous le nom de "Babalon Working" de l'inventeur, ingénieur et chimiste américain John Whiteside "Jack" Parsons (1914/1952), l'un des pionniers de la propulsion spatiale (associé au California Institute of Technology - Caltech - et un des principaux fondateurs du Jet Propulsion Laboratory et de l'Aerojet Engineering Corporation). Il a publié le livre de Babalon, ou Liber 49, qu'il aurait écrit sous l'influence de l'entité Babalon au cours de ces expériences, notamment de magie sexuelle. Il clame être la suite du "Livre de la Loi" du sataniste Aleister Crowley. De janvier à mars 1947, il va conduire une série d'expériences visant à provoquer une incarnation charnelle de Babalon.
De la pédocriminalité
Église, cinéma, littérature et autres
domaines culturels, disciplines sportives, personnes "morales" diverses
(entreprises, organisations publiques, organisations
de la société "civile")... l'actualité ne cesse désormais de
charrier l'état des lieux boueux de ce fléau pourtant "vieux comme le
monde", qui établit la dégénérescence d'êtres dits humains
soumis aux forces prédatrices qui les dominent et qu'ils ignorent.
Les sciences médicales, psychologiques et sociologiques, livrent nombre
d'explications à cette pathologie mentale et/ou
génétique. Quant à l'entourage des auteurs concernés, il oscille
entre surprise et indignation, quelquefois voire souvent feintes,
tentative pathétique de dissocier "l’œuvre" ou le talent d'ordre
public du comportement individuel privé, jusqu'à tancer
pitoyablement l'ordre moral délétère régnant ou se réfugier
pathétiquement dans le "Qui n'a pas ses failles intimes ?"...
Accusateurs comme
défendeurs se relaient sur les plateaux médiatiques affamés de
sensationnalisme, leurs animateurs clownesques, dont nombre se parent du
sceau de l'expertise con-sacrée, dirigeant les débats
inévitablement chaotiques entre les "Pour" et les "Contre" tels des
charognes affamées de l'audience monétisée dont ils se repaissent.
Ignorant la "réalité" de ce bas monde faute d'avoir
réinterrogé tant les croyances et conditionnements reçus que leur
égo-personnalité survitaminé et infatué, ils n'ont pas conscience du
pourquoi de ces prédateurs distillés au sein de nos
pyramides de gouvernance *, et tout particulièrement à leur tête.
Ces individus, pour la plupart
intellectuellement brillants, et auxquels nous pourrions donner le "bon
Dieu sans confession", ne sont tout simplement pas des êtres
humains au sens premier du terme. Ils sont des "anthropoïdes", des
humains sans âme *² autrement nommés supports organiques, conçus et
programmés par nos maîtres généticiens du champ astral pour
assurer la partition involutive de la civilisation humaine - la
cinquième - dans son fonctionnement terrestre,
et dont
ils ont besoin tels des vampires dans leurs ténèbres, car privés de
la Lumière à même de leur permettre d'évoluer. Ne percevant pas
le monde comme les humains-âmes même si leur capacité de mimétisme le
laisse parfaitement penser, ils sont à l'intérieur tels des reptiles,
froids, dénués d'émotions, de
compassion et d'états-d'âme. Parmi eux, se trouvent de véritables
"tueurs", au propre comme au figuré, dont le sadisme est la marque de
fabrique première. Leur met de choix est
l'enfant, la jeunesse étant porteuse d'une pureté énergétique bien supérieure à celle de l'adulte pour leur survie
énergétique. Aussi la captation de l'énergie est leur priorité, que ce soit à travers l'énergie sexuelle issue de la force du bassin voire, lors de rituels criminels sanglants, de celle contenue dans le liquide physiologique qu'est le sang.
A chaque fois, cette énergie est décuplée par la peur ressentie par
leur victime, qui sous stress, assure une production hormonale
incomparable à même de satisfaire leurs
besoins vitaux.
* Cf. Le modèle pyramidal décodé.

Scoutisme sexuel
Comme nombre d'associations à
caractère cultuel rassurant les parents traditionalistes prescripteurs
d'activités dédiées au combiné physico-spirituel pour leurs
bonnes ouailles, les Boy Scouts of America (BSA), principal
mouvement scout des États-Unis, ont annoncé déposer le bilan en février
2020, plombés par des accusations d’abus sexuels qui
ont donné lieu à une série de procès. L’organisation, vieille de 110
ans et qui compte 2,2 millions d’adhérents âgés de 5 à 21 ans, a choisi
la procédure de sauvegarde auprès du tribunal fédéral des défaillances d’entreprises de l’État du Delaware,
pour pouvoir poursuivre son activité et créer un fonds
d’indemnisation des victimes d’abus sexuels sous forme de trust. Le
passif de l’organisation est estimé entre 100 et 500 millions de
dollars. A ce jour, plusieurs milliers de victimes ont été
recensées (environ 12 000) depuis que les révélations sur des abus
sexuels commis par des milliers d’encadrants bénévoles
"chefs scouts" (environ 8 000 entre 1946 et 2016) ont éclaté en 2012, l'enquête ayant démontré que l’organisation des scouts américains les avait couverts pendant des
décennies.
Poltergeist sexuel

Un autre phénomène psychique des plus courants est celui qui est nommé poltergeist, mot allemand dérivé de poltern " faire du bruit " et geist
"
esprit ". C'est un phénomène paranormal consistant en des bruits
divers, des déplacements, apparitions ou disparitions d'objets et autres
phénomènes a priori inexplicables. Un phénomène
qui lui est lié est celui de l’agresseur invisible. D’importantes
marques de griffures apparaissent sur le corps de certaines victimes de
poltergeist. Beaucoup de témoignages donnant lieu à
enquête de police comprennent des éléments de sexe, de stigmates de
poltergeist et d’un possible vampirisme, voire d’abduction OVNI
(relation subie avec une entité extraterrestre).
En étudiant de manière approfondie ce phénomène, certaines
rencontres avec des entités semblent être accidentelles quand d’autres
semblent être clairement dirigées vers une personne spécifique.
Pour autant nous pouvons nous demander si les rencontres apparemment
accidentelles le sont autant qu’elles le paraissent. La manifestation
ne surviendrait-elle pas en réponse à un besoin caché,
un état psychologique qui réclame via l'inconscient une intervention
extérieure d’une quelconque sorte ? À cet égard, l’ufologue français
Jean-François Boeded suggère dans son livre
Fantastiques rencontres au bout du monde (1982) que nous
devrions considérer les observations comme débutant bien avant
l’expérience réelle. Il se réfère à de nombreux cas pour lesquels
les témoins eurent des prémonitions quant à l'arrivée de quelque
chose d'inhabituel, ou que pour une quelconque raison ils sont retournés
chez eux par une route différente. D’une certaine
manière, il semblerait qu'ils étaient en train d’être préparés pour
l’expérience qu’ils allaient subir.
Ce phénomène poltergeist fait partie intégrante de l’abduction alien, des syndromes du vampirisme et de la possession. Quand les entités impliquées dans les possessions sont interrogées durant un exorcisme par des médiums ou chamanes spécifiquement entraînés sur la façon dont elles sélectionnent une cible de possession, elles répondent souvent que le sujet avait été choisi avant sa naissance, ceci validant la manipulation génétique de l'humain par les maîtres généticiens extra-dimensionnels. Dans la plupart des cas, la ligne de contact et l’attaque graduellement construite peuvent être retracées jusqu’à l’enfance. On peut dire qu’en général le processus de la possession a déjà commencé avant que la cible ou les personnes autour d’elle soient conscientes des signes. Dans la plupart des cas, il y a une sensation de la présence avant qu’une rencontre réelle ne survienne.
Ce phénomène poltergeist fait partie intégrante de l’abduction alien, des syndromes du vampirisme et de la possession. Quand les entités impliquées dans les possessions sont interrogées durant un exorcisme par des médiums ou chamanes spécifiquement entraînés sur la façon dont elles sélectionnent une cible de possession, elles répondent souvent que le sujet avait été choisi avant sa naissance, ceci validant la manipulation génétique de l'humain par les maîtres généticiens extra-dimensionnels. Dans la plupart des cas, la ligne de contact et l’attaque graduellement construite peuvent être retracées jusqu’à l’enfance. On peut dire qu’en général le processus de la possession a déjà commencé avant que la cible ou les personnes autour d’elle soient conscientes des signes. Dans la plupart des cas, il y a une sensation de la présence avant qu’une rencontre réelle ne survienne.
Fabrication d'alter
Le Trouble Dissociatif de l'Identité (TDI) est connu dans le cas de
traumas provoqués tout particulièrement au moment de l'enfance par des
sévices psychiques et physiques, souvent à caractère
sexuel. Pour survivre, l'individu relègue dans son inconscient le
traumatisme vécu par la constitution d'un mur amnésique, un " alter "
venant se substituer à sa place. Le trauma n'aura de cesse
de se manifester tant qu'il ne sera pas conscientisé.
Ces TDI font partie de programmes de contrôle mental à caractère sectaire ou institutionnel *. Ils peuvent découler également d'une influence d'entités inter-dimensionnelles, la prédation à caractère sexuel en constituant indéniablement un levier.
* Cf. Contrôle mental.
Ces TDI font partie de programmes de contrôle mental à caractère sectaire ou institutionnel *. Ils peuvent découler également d'une influence d'entités inter-dimensionnelles, la prédation à caractère sexuel en constituant indéniablement un levier.
* Cf. Contrôle mental.
Programmation de la psyché par le Trouble Dissociatif de l'identité (T.D.I.)
Le processus dissociatif étant la clé
de voûte pour la programmation de la psyché, tout est fait pour
provoquer ces états modifiés de conscience par une violente
ouverture psychique et spirituelle. L'enfant est incité à échapper à
la douleur ressentie en se dissociant, comme s'il traversait un miroir
lui permettant de s'échapper d'une situation
insupportable en accédant à d'autres dimensions d'être. La
dissociation face à un traumatisme extrême comme une menace de mort
évidente se manifeste paradoxalement par un calme soudain et
surprenant avec une absence de peur et de douleur, et ce quelle que
soit la gravité de la violence. C'est le résultat neurochimique du
processus dissociatif. Dans cet état, la victime devient
alors intensément concentrée, développant une hyper acuité
sensorielle, une rapidité mentale et une sorte d'expansion de la notion
du temps. Dans un tel état dissocié et hypnotique, l'enfant
devient alors hyper réceptif à l'apprentissage et à la
programmation.
Cette programmation peut bien sûr concerner des êtres adultes qui, inconscients de l'action de la prédation à leur encontre - directe comme indirecte à travers un tiers (conjoint par exemple) - voient une partie de leur personnalité dissociée, un nouvel alter venant alors à leur secours. C'est cet alter qui fait alors l'objet de la programmation. Quant au trauma refoulé dans l'inconscient, il nourrit par sa souffrance le système prédateur vorace.
Il en découle selon nombre d'études l'existence d'importantes variations psychophysiologiques entre les personnalités alter d'un patient ayant un T.D.I., celles-ci expliquant que celui-ci subi un véritable changement de personnalité agissant sur des fonctions biologiques qui ne sont normalement pas contrôlables. Par exemple, les effets de médications peuvent être totalement cloisonnés voire annihilés. Autrement dit, des personnalités alter semblent pouvoir bloquer ou au contraire majorer les effets des médications ...
Cf. Livre d'Alexandre Lebreton " Abus rituels et contrôle mental ".
Le " show biz " destructeur
Nombre de personnalités " people "
(acteurs, chanteurs, sportifs, modèles ...) mais aussi des politiciens
sont victimes, souvent pendant leur enfance, de traumas
visant à dissocier sous forme d'alter leur personnalité, afin d'être
manipulés dans leurs activités respectives, y compris sous forme
d'esclavage sexuel. Ceci explique leur comportement
erratique, comme Britney Spears et Ophélie Winter (photos 1 et 2),
ou parfois leur tentative de reprendre le dessus à l'image de Karen
Mulder (photo 3) *, toutes étant rapidement remises sous
contrôle. Parfois, le mécanisme de contrôle par la dissociation de
personnalité et la souffrance sous-jacente en résultant conduisent au
suicide, comme pour Marilyn Monroe, en l'occurrence un
sacrifice rituélique *² ...
* Son interview lors de l'émission " Tout
le monde en parle " de Thierry Ardisson du 3 novembre 2001 a été
censurée. Elle y évoquait la couverture de la prestigieuse agence de
top-modèles Élite, masquant l'exploitation sexuelle de jeunes
mannequins et l'utilisation de stupéfiants (Cf. video
ci-dessous).
*² Cf. Symbolisme et artifices de la Matrice.
Confidences ép(r)ouvantes
L'animateur Benjamin Castaldi recevait Karen Mulder dans l'émission C'est leur destin le 20 septembre 2002 sur M6. En voici quelques extraits.
Benjamin Castaldi : Si vous deviez, en quelques mots, résumer le destin de Karen Mulder, vous diriez quoi ?
Karen Mulder : D'un côté c'est un conte de fée, et d'un autre côté c'est un film d'horreur, un vrai cauchemar. Et quand tout est remonté, il y a des gens qui ont essayé de m'empêcher de parler. On m'a mis dans une clinique pour m'empêcher de parler. J'en suis sorti avec l'aide d'un avocat (...)
Moi j'ai essayé de parler, mais on n'a pas voulu me croire. Il y a eu une certaine partie qui était, en effet, de la paranoïa, parce que quand des choses sont énormes, après ça dégénère un petit peu. Il y a un petit peu de délire. Mais plus le temps avance, et plus je me rends compte qu'en fait, pas du tout. Ben, c'est à dire un petit peu.
B.C. : A votre avis, qu'est ce qui peut rendre paranoïaque un top model, et qu'est ce qui fait qu'au bout d'un moment on finit par se méfier de tous et tout le monde ?
K.M. : Là, vraiment, c'est des questions que je peux pas répondre. (...)Vous avez vu le film True Romance ? C'est un peu ça ma vie. Tout a été organisé. Tout était manipulé. J'étais quelqu'un qui ne voyait rien. En fait je crois que j'étais vraiment folle, mais aujourd'hui je ne le suis pas.
B.C. : Il y a des tas de filles qui rêvent de devenir mannequins. (...) Il y a peut-être des gens qui ne comprennent pas que l'on puisse se plaindre.
K.M. : Oui, c'est vrai que c'est des choses que, quand on est jeune, on pense que c'est ça le bonheur. Mais c'est pas le travail (qui est difficile : NDLR) C'est vrai que c'est un métier qui est dur. C'est vrai que c'est pas aussi facile qu'on puisse le penser. Mais la chose dont j'ai voulu avertir les jeunes filles c'est de faire très attention. Et même aux agences très renommées, avec des concours renommés, ça ne veut rien dire (...).

La romance infernale
True Romance (À Cœur perdu
au Québec) est un film américain réalisé par Tony Scott, sorti en 1993.
Le jour de son anniversaire, Clarence Worley rencontre
la splendide Alabama dans un cinéma miteux. Le coup de foudre est
immédiat. Après une nuit d'amour, Alabama avoue à Clarence qu'elle a été
en fait engagée par le patron de Clarence comme cadeau
d'anniversaire. De là va commencer une folle aventure...
La "gravité spirituelle" des traumas
Dans la mesure où le corps humain
détient une constellation de modules ou mécanismes de
mémoires-programmes (ces "petits-moi" seraient au nombre de 987 selon
l'historien russe Boris Mouravieff dans son ouvrage Gnôsis
tome 2) qui déterminent notre perception, notre forme physique et notre
personnalité, ceux-ci déterminent tout naturellement
notre "monde" et par-là même notre destinée. C'est pourquoi cette
dissociation psychologique que constitue un trauma, autrement dit une
disharmonie (blessure), est constitutive par la
répercussion psychique de l'onde de choc d'alter, soit la création
d'un vide dans la mémoire occupé par l'esprit du trauma, celui-ci
attirant les entités du corpus prédateur en raison du principe
de sympathie *, et qui peuvent ainsi résonner avec nos problèmes
sous forme de dépression ou d'angoisses. Renforçant notre monde
subjectif afin de se nourrir, elles amplifient notre propension
apparemment innée à nous illusionner nous-même, ces influences
mutuelles s'inscrivant ainsi dans un espace-temps se confondant alors
qu'il est différent (3-D pour les humains, 4-D pour les
entités involutives). De ce fait, les traumas figent une dimension
de temps dans le Temps du Rêve (le temps fractal du "kairos") qui n'est
pas linéaire *². Cette vulnérabilité aux esprits/entités
prédatrices et à leurs forces psychiques découle de
l'affaiblissement de la barrière éthérique protectrice, se traduisant
par l'altération des spirilles (filaments spiralés) qui, comme conduits
vibratoires, assurent au corps la qualité de l'énergie reçue du
champ éthérique. C'est ainsi qu'un être blessé ouvre une porte, comme
par exemple la culpabilité d'un animal tué voyant l'esprit de
ce dernier venir se loger en compensation de la perte de son corps
... A l'inverse, il ne peut y avoir d'intrusion si l'Unité originelle
n'est pas brisée.
Comme certaines fonctions sont liées à ces fragments dissociés, chaque fragment perdu voit la fonction effacée (capacité à faire confiance, à aimer, à s'amuser ...). Seule la réintégration de ces fragments fait réapparaître les capacités qui leur sont associées, tout en éliminant les symptômes pathologiques tel que le symptôme de stress post-traumatique. Nul ne s'étonnera alors que la répétition de traumas fragmente littéralement la personnalité et par-là même la réalité perçue, l'individu alternant entre différents mécanismes d'adaptation à la réalité. Elle est constitutive du trouble de personnalité multiple, tout commençant par une première scission de la volonté (la dissociation).
* Il est constitutif de ligands sur le plan anatomique, soit des molécules qui agissent de manière chimique sur les récepteurs cellulaires. Les traumas entraînent de ce fait des ligands semi-physiques de substitution venant combler une partie manquante de l'être, obscurcie en raison de la souffrance qui lui est associée.
*² Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?
Ainsi une personnalité alter d'enfant dissocié parvenu à l'âge
adulte constitue un fragment non seulement de la personnalité mais
également de l'âme - le Soi inférieur -, et qui reste bloqué dans
le passé, dans une dimension alternative, en gardant l'âge et la
mémoire qu'il avait au moment où il s'est séparé du corps physique lors
du traumatisme.
Ces fragments ou fractales d'âme ont une existence astrale autonome, constituant des entités conscientes d'elles-mêmes, engagées dans leur réalité d'espace-temps parallèle, soit d'autres lignes temporelles plus ou moins éloignées de notre présent actuel. Ces esprits autonomes et souverains ont la possibilité de pénétrer nos consciences individuelles, soit en étant prédatrices, soit bénéfiques ou alors inoffensives pour l'évolution de notre âme. Ils se manifestent par des formes-pensées, des concepts ou parfois même des images qui peuvent pénétrer le subconscient et surgir dans la conscience. Aussi longtemps qu'ils sont séparés de la conscience de la personne, ils ne peuvent progresser. La guérison n'arrive que lorsque la pièce manquante est restaurée par la remontée de la mémoire enfouie. Il va sans dire qu'elle contient des émotions et des sensations traumatiques (images, sons, douleurs physiques, odeurs...) particulièrement éprouvantes, nécessitant beaucoup d'attention et de compassion.
L'ignorance ou la connaissance de la réalité prédatrice inter-dimensionnelle vont être déterminantes quant au vécu de l'individu, soit en l'emprisonnant dans un cycle de souffrance infernal, soit en lui permettant d'apprendre à en tirer la force de propulsion qui peut libérer son âme.
Cf. Le cheminement de l’Âme.
Ces fragments ou fractales d'âme ont une existence astrale autonome, constituant des entités conscientes d'elles-mêmes, engagées dans leur réalité d'espace-temps parallèle, soit d'autres lignes temporelles plus ou moins éloignées de notre présent actuel. Ces esprits autonomes et souverains ont la possibilité de pénétrer nos consciences individuelles, soit en étant prédatrices, soit bénéfiques ou alors inoffensives pour l'évolution de notre âme. Ils se manifestent par des formes-pensées, des concepts ou parfois même des images qui peuvent pénétrer le subconscient et surgir dans la conscience. Aussi longtemps qu'ils sont séparés de la conscience de la personne, ils ne peuvent progresser. La guérison n'arrive que lorsque la pièce manquante est restaurée par la remontée de la mémoire enfouie. Il va sans dire qu'elle contient des émotions et des sensations traumatiques (images, sons, douleurs physiques, odeurs...) particulièrement éprouvantes, nécessitant beaucoup d'attention et de compassion.
L'ignorance ou la connaissance de la réalité prédatrice inter-dimensionnelle vont être déterminantes quant au vécu de l'individu, soit en l'emprisonnant dans un cycle de souffrance infernal, soit en lui permettant d'apprendre à en tirer la force de propulsion qui peut libérer son âme.
Cf. Le cheminement de l’Âme.
La fragmentation de personnalité à la sauce technologique
La Wii est une console de
jeux de salon du fabricant japonais Nintendo, sortie en 2006. Console
dite de la septième génération, tout comme la Xbox
360 et la PlayStation 3 avec lesquelles elle est en
rivalité, elle est la console de salon la plus vendue de sa génération.
Elle a comme particularité d'utiliser un accéléromètre
capable de détecter la position, l'orientation et les mouvements
dans l'espace de la manette.
Si la Wii a marqué un tournant dans l'histoire du jeu vidéo en ouvrant ce loisir à un public plus large, et ciblant l'ensemble de la société, c'est qu'elle permet à l'utilisateur de se démultiplier sous forme de Mii (homophone du mot anglais me, c'est-à-dire " moi "), soit des avatars virtuels. Les Mii permettent une personnalisation (choix des options de jeux par défaut, couleur préférée, etc.) pour construire un avatar virtuel en trois dimensions à l'aide de nombreux paramètres *.
Si dans les productions de Nintendo les Mii ont toujours le même aspect - personnages au style simpliste très arrondis - rien n'empêche cependant les développeurs d'utiliser les paramètres définissant un Mii pour en faire un avec un tout autre rendu : réaliste, cartoon, etc. Ils peuvent être utilisés pour communiquer avec d'autres utilisateurs de Wii reliés à Internet et peuvent se rassembler alors dans la " Parade Mii " grâce à la connexion Internet du WiiConnect24. Les Mii peuvent être stockés dans la Wiimote pour être utilisés sur une autre console Wii.
* La palette de création de Mii offre un large choix : forme, yeux, bouche, sourcils, nez, taches de rousseurs, rides et également la possibilité de lui choisir des lunettes ou lui ajouter une moustache ou une barbe. Le seul élément qui ne fait pas son apparition sont les oreilles.

La compréhension du mécanisme de guérison passe par l'épigénétique,
le lien établi par l'ADN entre les différents alter constitués tout au
long du voyage de l'âme dans l'expérimentation de la
3ème dimension de réalité *, se révélant le vecteur de connexion
d'une dimension à l'autre. Ceci entend que l'ADN provenant d'une autre
ligne temporelle est déplacé sur la nôtre et pourrait, par
les mémoires qui y sont engrammées puisque nous sommes dans un
éternel présent, influencer les événements de notre propre ligne
temporelle, les alter s'influençant les uns les autres par leur
connexion génétique. Il va de soi que cette influence est à double
sens, évolutif ou involutif, et repose sur le travail en conscience ou
non effectué quant à la libération de la prédation
psycho-émotionnelle qui se traduit dans notre quotidien à travers
ses manifestations, autrement dit nos turbulences psycho-émotionnelles.
Celles-ci sont bien liées à des alter non encore
réintégrés. C'est pourquoi lorsqu’une épreuve émotionnelle se
présente, elle indique une possibilité offerte de transformation des
programmes prédateurs à l'origine de nos alter. Il en découle
que notre prédateur est bien notre allié sur le chemin de notre
transformation si les décisions que nous prenons et les actes qui en
résultent dans notre vie quotidienne sont réalisés dans cet
état de conscience.
* Cf. Le cheminement de L’Âme.
* Cf. Le cheminement de L’Âme.
Impression génétique
Selon une étude de l’Université de Seattle et du Centre de recherche
sur le cancer Fred Hutchinson réalisée en 2004 *, les femmes pourraient
porter l’ADN masculin de tous ceux avec qui elles ont
eu des rapports intimes. A l'origine, cette étude essayait de
déterminer si les femmes enceintes d’un garçon pouvaient être plus
prédisposées à certaines maladies neurologiques qui surviennent
plus fréquemment chez les hommes. Elle a pris un tout autre tournant
lorsqu'elle a révélé que le cerveau féminin contient souvent le "
micro-chimérisme masculin ", c’est-à-dire la présence d’ADN
masculin originaire d’un autre individu et génétiquement distinct
des cellules qui composent le reste de la femme. Cette présence concerne
selon l'étude 63% des femmes testées, chez lesquelles le
micro-chimérisme masculin était présent dans de multiples régions du
cerveau.
La réponse paraissant à première vue évidente serait la grossesse d’un fœtus masculin, étant donné que chaque femme qui est déjà tombée enceinte porte encore dans son flux sanguin des cellules de son fœtus, celles-ci se retrouvant dans la circulation sanguine et d’autres organes de la mère jusqu’à la fin de ses jours, même s’il y a eu une interruption de grossesse ou une fausse couche. C'est pourquoi ce fait s’appelle le microchimérisme, nommé d’après la chimère (un organisme chimérique) qui, dans la mythologie grecque, est une créature cracheuse de feu monstrueuse venant de Lycie en Asie Mineure, composée des parties de trois animaux : un lion, un serpent et une chèvre.
* Male Microchimerism in the Human Female Brain https://doi.org/10.1371/journal.pone.0045592.
La réponse paraissant à première vue évidente serait la grossesse d’un fœtus masculin, étant donné que chaque femme qui est déjà tombée enceinte porte encore dans son flux sanguin des cellules de son fœtus, celles-ci se retrouvant dans la circulation sanguine et d’autres organes de la mère jusqu’à la fin de ses jours, même s’il y a eu une interruption de grossesse ou une fausse couche. C'est pourquoi ce fait s’appelle le microchimérisme, nommé d’après la chimère (un organisme chimérique) qui, dans la mythologie grecque, est une créature cracheuse de feu monstrueuse venant de Lycie en Asie Mineure, composée des parties de trois animaux : un lion, un serpent et une chèvre.
* Male Microchimerism in the Human Female Brain https://doi.org/10.1371/journal.pone.0045592.
Toutefois l'étude révèle que des femmes qui n’ont pas eu de fils, y
compris limité au fœtus, portent quand même des cellules reproductrices
mâles dans leur sang. Elles représentent 21 % de
l'échantillon étudié où les femmes avaient été réparties dans quatre
groupes en fonction des antécédents de la grossesse : le groupe A
comptait seulement des filles, le groupe B ne comprenait que
les femmes qui avaient eu une ou plusieurs fausses couches, le
groupe C comprenait les femmes qui avaient subi un avortement, et le
groupe D comprenait les femmes qui n’avaient jamais été
enceintes auparavant.
Une des conclusions de cette étude est que les sources possibles du micro-chimérisme masculin comprend les grossesses connues, les fausses couches, la disparition de jumeaux masculins, ou les rapports intimes. Cela signifie que par le seul biais des rapports intimes, il existe une grande possibilité pour les femmes de retenir de l’ADN et des gènes mâles au sein de leurs organes et de leur flux sanguin tout au long de leur vie. D'autant plus que les trois premières options s’appliquent à un très faible pourcentage de femmes.
La conséquence est que chaque partenaire sexuel masculin dont la femme absorbe les spermatozoïdes deviendrait une partie vivante d'elle pour la vie. Les femmes autopsiées dans cette étude étant âgées, certaines portaient l’ADN masculin vivant en elles depuis plus de 50 ans. Il devient une partie intégrante, et l'on ne peut s'en débarrasser. Nous commençons à comprendre tout le pouvoir et les conséquences des rapports intimes, pouvant ouvrir la porte à un canal de prédation autre que celui qui nous domine ...
Une des conclusions de cette étude est que les sources possibles du micro-chimérisme masculin comprend les grossesses connues, les fausses couches, la disparition de jumeaux masculins, ou les rapports intimes. Cela signifie que par le seul biais des rapports intimes, il existe une grande possibilité pour les femmes de retenir de l’ADN et des gènes mâles au sein de leurs organes et de leur flux sanguin tout au long de leur vie. D'autant plus que les trois premières options s’appliquent à un très faible pourcentage de femmes.
La conséquence est que chaque partenaire sexuel masculin dont la femme absorbe les spermatozoïdes deviendrait une partie vivante d'elle pour la vie. Les femmes autopsiées dans cette étude étant âgées, certaines portaient l’ADN masculin vivant en elles depuis plus de 50 ans. Il devient une partie intégrante, et l'on ne peut s'en débarrasser. Nous commençons à comprendre tout le pouvoir et les conséquences des rapports intimes, pouvant ouvrir la porte à un canal de prédation autre que celui qui nous domine ...
L'explication de la psychopathie ?
L'auteur états-unienne Laura
Knight-Jadczyk émet l'hypothèse que les caractéristiques de l'homme de
Neandertal sont très proches de la description de la
psychopathie, et que cela pourrait très bien être la racine de l’un
des problèmes pressants de la société. La psychopathie pourrait être en
effet une conséquence du croisement entre l’homme de
Cro-Magnon et l’homme de Neandertal. Les Néandertaliens étaient
lents d’esprit, non-créatifs, bestiaux (sexuellement dépravés et
cannibales), autant d'aspects qui mélangés à une souche génétique
d’intellect supérieur, de créativité, et de certaines pulsions
instinctives, pourraient avoir donné lieu à un mélange mortel. Lorsque
les femmes Cro-Magnon étaient violées par les Néandertaliens,
leur attention instinctive et naturelle pour leurs enfants les
aurait incitées à protéger les enfants métis fruits de ces accouplements
non désirés, d’où la propagation des gènes de la
psychopathie dans la population moderne. Elle souligne le fait
intéressant que l’ADN Neandertal est censé exister avec environ le même
pourcentage dans la population européenne moderne que les
psychopathes génétiques.
Cf. En complément Les psychopathes qui nous gouvernent.
Changement de paradigme
La réalité d'une présence extraterrestre, ou plutôt
trans-dimensionnelle, commence petit à petit à s'imposer aux êtres
humains longtemps tenus dans l'ignorance par le système institutionnel
*.
C'est ainsi que nombre de témoins privilégiés, militaires et scientifiques, demandent la levée progressive du secret, bénéficiant de la crédibilité de leur statut. Ils s'ajoutent aux messages plus spirituels reçus sur le mode télépathique de type " channeling " et publiés par de nombreux auteurs du New Age. Tous revendiquent une posture de non-ingérence de ces forces surnaturelles, dont la manifestation traduirait une forme de vie évoluée et réellement empathique, pleine de compassion et non centrée sur l’égo.
Aussi est-il difficile de ne pas y voir une manipulation du système, les témoins étant soit issus du cartel militaro-industriel et de l’industrie spatiale, soit du courant " amour et lumière " s'attachant à nier par ignorance ou par manipulation délibérée la face sombre de la réalité prédatrice établie. Il s'agit ni plus ni moins de préparer le grand public à une révélation présentée comme "merveilleuse ", source de vénération religieuse, alors qu'elle n'est que la consécration de la chape de plomb posée sur la conscience humaine en cette fin de cycle civilisationnel *².
* Cf. Vérité civilisationnelle.
*² Cf. Prophétie du changement.
C'est ainsi que nombre de témoins privilégiés, militaires et scientifiques, demandent la levée progressive du secret, bénéficiant de la crédibilité de leur statut. Ils s'ajoutent aux messages plus spirituels reçus sur le mode télépathique de type " channeling " et publiés par de nombreux auteurs du New Age. Tous revendiquent une posture de non-ingérence de ces forces surnaturelles, dont la manifestation traduirait une forme de vie évoluée et réellement empathique, pleine de compassion et non centrée sur l’égo.
Aussi est-il difficile de ne pas y voir une manipulation du système, les témoins étant soit issus du cartel militaro-industriel et de l’industrie spatiale, soit du courant " amour et lumière " s'attachant à nier par ignorance ou par manipulation délibérée la face sombre de la réalité prédatrice établie. Il s'agit ni plus ni moins de préparer le grand public à une révélation présentée comme "merveilleuse ", source de vénération religieuse, alors qu'elle n'est que la consécration de la chape de plomb posée sur la conscience humaine en cette fin de cycle civilisationnel *².
* Cf. Vérité civilisationnelle.
*² Cf. Prophétie du changement.
Une autre catégorie d'individus est composée par des victimes
d’enlèvements extraterrestres et par des chercheurs qui, après avoir
étudié ce phénomène, considèrent quant à eux les auteurs de ces
abductions comme une menace prédatrice, furtive et manipulatrice.
Dans la majorité des cas, ces victimes sont porteuses de stigmates
psychologiques (comportements absurdes, angoisses,
autodestruction) et parfois physiques qui les mènent vers des
thérapies, et tout particulièrement des séances de régression
hypnotiques leur permettant l’accès à leur douloureuse expérience
passée *.
La plupart des rapports et témoignages d’enlèvements décrivent des entités de type " gris ", " reptilien ", mais aussi " humain " vêtus d’uniformes militaires ou de blouses de laboratoire. Chose troublante, ces témoins avaient l’impression que leurs abuseurs s’intéressaient plus à leurs émotions et à leur intensité qu’à l’acte sexuel proprement dit, accréditant le besoin constant de ces forces prédatrices de se nourrir du dévoiement psycho-émotionnel des humains qu'elles contrôlent. Sans oublier les manipulations d’ovaires, de prélèvement de sperme, d’implantation et de retrait d’embryons à divers degrés de développement, ainsi que d’hybridation humano-extraterrestre *².
Bien entendu les gardiens de l'orthodoxie établie y verront la manifestation de délires psychotiques, d'affabulations, de faux souvenirs constituant un terrain d’expression des pulsions et des fantasmes sexuels réprimés. Mais d’autres psychologues et psychiatres, comme le Dr John Mack (1924/2004 - photo 2), professeur et docteur en psychiatrie de l’université d’Harvard, ont constaté que ces victimes n’étaient ni délirantes ni psychotiques et manifestaient tous les attributs d’expériences réellement vécues. D’autres chercheurs enfin, comme le Dr Roger K. Leir (1934/2014 - photo 3), chirurgien américain spécialiste en podiatrie (l' équivalent en France de la podologie), ont pu vérifier la réalité des stigmates et des implants
extraterrestres.
Aussi convient-t-il de ne pas attendre d’extraterrestres " sauveurs ", mais plutôt de se préparer à leur résister par la force de notre psychisme, par notre renoncement à l’égo et notre pouvoir de compassion que l’on peut éprouver pour les souffrances d’autrui, à l’inverse de la division et de la séparation.
* Voir à cet effet (avec tout le recul, le discernement et l'esprit critique nécessaires) les travaux d'hypnose régressive de Rachel Fortun (photo 1), celle-ci postant de nombreuses vidéos à cet effet sur le réseau You-Tube. Il convient en effet de ne pas oublier que selon les travaux du philosophe Rudolph Steiner (1861/1925) , les suggestions déclenchent un transfert au niveau de l’éthérique, porteur de la mémoire et des souvenirs, par lequel, les instincts, les présupposés et les pensées les plus intimes de l’hypnotiseur se reflètent dans la psyché du patient et ce sans même qu’il ait eut à suggérer quoi que ce soi.
*² Cf. Vérité civilisationnelle.
La plupart des rapports et témoignages d’enlèvements décrivent des entités de type " gris ", " reptilien ", mais aussi " humain " vêtus d’uniformes militaires ou de blouses de laboratoire. Chose troublante, ces témoins avaient l’impression que leurs abuseurs s’intéressaient plus à leurs émotions et à leur intensité qu’à l’acte sexuel proprement dit, accréditant le besoin constant de ces forces prédatrices de se nourrir du dévoiement psycho-émotionnel des humains qu'elles contrôlent. Sans oublier les manipulations d’ovaires, de prélèvement de sperme, d’implantation et de retrait d’embryons à divers degrés de développement, ainsi que d’hybridation humano-extraterrestre *².
Bien entendu les gardiens de l'orthodoxie établie y verront la manifestation de délires psychotiques, d'affabulations, de faux souvenirs constituant un terrain d’expression des pulsions et des fantasmes sexuels réprimés. Mais d’autres psychologues et psychiatres, comme le Dr John Mack (1924/2004 - photo 2), professeur et docteur en psychiatrie de l’université d’Harvard, ont constaté que ces victimes n’étaient ni délirantes ni psychotiques et manifestaient tous les attributs d’expériences réellement vécues. D’autres chercheurs enfin, comme le Dr Roger K. Leir (1934/2014 - photo 3), chirurgien américain spécialiste en podiatrie (l'
Aussi convient-t-il de ne pas attendre d’extraterrestres " sauveurs ", mais plutôt de se préparer à leur résister par la force de notre psychisme, par notre renoncement à l’égo et notre pouvoir de compassion que l’on peut éprouver pour les souffrances d’autrui, à l’inverse de la division et de la séparation.
* Voir à cet effet (avec tout le recul, le discernement et l'esprit critique nécessaires) les travaux d'hypnose régressive de Rachel Fortun (photo 1), celle-ci postant de nombreuses vidéos à cet effet sur le réseau You-Tube. Il convient en effet de ne pas oublier que selon les travaux du philosophe Rudolph Steiner (1861/1925) , les suggestions déclenchent un transfert au niveau de l’éthérique, porteur de la mémoire et des souvenirs, par lequel, les instincts, les présupposés et les pensées les plus intimes de l’hypnotiseur se reflètent dans la psyché du patient et ce sans même qu’il ait eut à suggérer quoi que ce soi.
*² Cf. Vérité civilisationnelle.
Libération sexuelle
L'indispensable changement de conscience en matière d'amour et de
sexualité consiste à comprendre que l'essence de la Lumière, soit la
Connaissance *, est l'Amour. Ce principe a été corrompu
lorsque est déclaré par les relais terrestres du système prédateur -
religieux, enseignants et gurus spirituels - que l'amour mène à
l'illumination. C'est tout l'inverse. L'Amour est Lumière, qui
est Connaissance. Pour aimer, il faut connaître. Et connaître, c'est
posséder la lumière. Par là-même, posséder la lumière, avoir la
connaissance, c'est aimer ! Voici pourquoi la Connaissance est
cachée, tout étant fait pour que l'être humain la recherche à
l'extérieur alors qu'elle est enfouie au plus profond de ses mémoires.
Sans les faire remonter au conscient, libérées du venin
archontique par leur transmutation alchimique, point de salut
existentiel !
* Cf. Qu'est-ce que la Connaissance ?
* Cf. Qu'est-ce que la Connaissance ?
Un rééquilibrage des polarités
Il y a indéniablement une corrélation entre le statut de la femme et
le caractère pacifique d’une société. Depuis la prise de pouvoir du
"patrisme" *, l'affirmation de la domination masculine et
la répression de la femme ont constitué le signe avant-coureur de
conflits et de guerres prochaines. "L’androcratie" a en effet besoin de
réprimer la femme pour maintenir son pouvoir.
Aujourd’hui, avec les nouveaux médias qui permettent de faire
circuler l'information, cette domination patriste basée sur des dogmes
religieux ou scientifiques matérialistes apparaît ébranlée,
les scandales sexuels qui ne cessent d'émerger l'attestant. Aussi
beaucoup imaginent que ce rééquilibrage des polarités peut ouvrir une
nouvelle fenêtre à la manière d’un "point de bifurcation"
entre le règne de la terreur dans une société technologiquement
avancée et hyper-contrôlée et le fait de retrouver le sens du partage
des sociétés préhistoriques.
Là se trouve le grand leurre des maîtres artificiers babyloniens. Comment imaginer qu'après avoir vécu cinq mille ans dans une société dominatrice par le feu électrique masculin du système prédateur involutif gouvernant les affaires terrestres à partir d'un plan de réalité supérieur, un autre monde puisse se mettre en place ? Le problème n’est pas l’homme en tant que genre sexuel, mais les hommes et les femmes tels que socialisés, plus exactement formatés dans un système dominateur asservissant basé sur la dualité. S'ils ont clairement le potentiel biologique pour différentes sortes de comportements, la puissance de la prégnance mentale constitutive d'une carapace extérieure les enferme chacun et chacune dans des rôles rigides et hiérarchiques qui freinent leur développement. Seule une nouvelle science incluant la spiritualité, faisant le lien entre la raison et l’intuition, permettrait de s'en affranchir, en représentant la conscience de notre unité et des liens qui nous relient et qui relient tous les êtres dans l’univers. De même, dans un monde où les femmes et les hommes vivraient dans un plein partenariat, les structures sociales (familles, écoles, gouvernements, institutions sociales...) se fonderaient sur le lien plutôt que sur le rang *². Au lieu de forcer les individus à entrer dans des hiérarchies pyramidales, ces institutions seraient "hétérarchiques", permettant à la fois la diversité et la flexibilité dans les prises de décision et l’action. Il en découlerait que les rôles des femmes comme des hommes seront bien moins rigides, permettant à toute l’humanité une flexibilité de développement maximale.
* Cf. Évolution de civilisation (3) & Le Judaïsme décodé.
*² Cf. Le lien, expression de la conscience collective.
Là se trouve le grand leurre des maîtres artificiers babyloniens. Comment imaginer qu'après avoir vécu cinq mille ans dans une société dominatrice par le feu électrique masculin du système prédateur involutif gouvernant les affaires terrestres à partir d'un plan de réalité supérieur, un autre monde puisse se mettre en place ? Le problème n’est pas l’homme en tant que genre sexuel, mais les hommes et les femmes tels que socialisés, plus exactement formatés dans un système dominateur asservissant basé sur la dualité. S'ils ont clairement le potentiel biologique pour différentes sortes de comportements, la puissance de la prégnance mentale constitutive d'une carapace extérieure les enferme chacun et chacune dans des rôles rigides et hiérarchiques qui freinent leur développement. Seule une nouvelle science incluant la spiritualité, faisant le lien entre la raison et l’intuition, permettrait de s'en affranchir, en représentant la conscience de notre unité et des liens qui nous relient et qui relient tous les êtres dans l’univers. De même, dans un monde où les femmes et les hommes vivraient dans un plein partenariat, les structures sociales (familles, écoles, gouvernements, institutions sociales...) se fonderaient sur le lien plutôt que sur le rang *². Au lieu de forcer les individus à entrer dans des hiérarchies pyramidales, ces institutions seraient "hétérarchiques", permettant à la fois la diversité et la flexibilité dans les prises de décision et l’action. Il en découlerait que les rôles des femmes comme des hommes seront bien moins rigides, permettant à toute l’humanité une flexibilité de développement maximale.
* Cf. Évolution de civilisation (3) & Le Judaïsme décodé.
*² Cf. Le lien, expression de la conscience collective.
"Tous Les Mêmes"
A sa manière, le chanteur belge Stromae (Paul Van Haver) illustre les affres de la domination patriste
attentatoires à la réalisation harmonieuse du vécu civilisationnel.
Vous les hommes êtes tous les mêmes Macho mais cheap
Bande de mauviettes infidèles Si prévisibles, non je ne suis pas certaine, que tu mérites
Z'avez d'la chance qu'on vous aime Dis-moi "Merci"
(Refrain)
Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous au prochain règlement
Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous sûrement aux prochaines règles
Cette fois c'était la dernière Tu peux croire que c'est qu'une crise
Matte une dernière fois mon derrière, Il est à côté de mes valises
Tu diras au revoir à ta mère, Elle qui t'idéalise
Tu n'vois même pas tout c'que tu perds Avec une autre ce serait pire
Quoi toi aussi tu veux finir maintenant ? C’est l'monde à l'envers !
Moi je l'disais pour t'faire réagir seulement ... Toi t'y pensais
(Refrain)
Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous au prochain règlement
Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous sûrement aux prochaines règles
Facile à dire, je suis gnan-gnan et que j'aime trop les bla-bla-bla
Mais non non non, c'est important Ce que t'appelles les ragnagnas
Tu sais la vie c'est des enfants Mais comme toujours c'est pas l'bon moment
Ah oui pour les faire, là, tu es présent, Mais pour les élever y'aura des absents
Lorsque je n'serai plus belle, Ou du moins au naturel,
Arrête je sais que tu mens, Il n'y a que Kate Moss qui est éternelle
Moche ou bête, c'est jamais bon ! Bête ou belle, c'est jamais bon !
Belle ou moi, c'est jamais bon ! Moi ou elle, c'est jamais bon!
(Refrain)
Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous au prochain règlement
Rendez-vous, rendez-vous, rendez-vous sûrement aux prochaines règles
tous les mêmes, tous les mêmes, tous les mêmes et Y'en a marre,
tous les mêmes, tous les mêmes, tous les mêmes et y'en a marre
tous les mêmes, tous les mêmes, tous les mêmes et Y'en a marre,
tous les mêmes, tous les mêmes, tous les mêmes
Album : √ (racine carrée).

Rien en l'état ne laisse cependant en présager la mise en œuvre, le
système prédateur ayant mille et un tours dans son sac de
prestidigitateur pour en éviter le scénario. Il préfère sacrifier en
apparence quelques bourreaux sur l'autel, établir d'énièmes chartes
éthiques de bonne conduite, et renforcer la parité d'apparence quant aux
postes clés distribués. Le véritable pouvoir n'étant
pas celui affiché, c'est un jeu à sommes nulles destiné à
illusionner les abeilles de la ruche, qui plus est avec l'émergence en
cours d'une nouvelle religion universelle lié au transhumanisme,
telle que contenue dans le projet Blue Beam ("Rayon Bleu") *.
Seul un travail intérieur de réunification de ses polarités masculine et féminine et de désengagement du jeu de la dualité de la Matrice est réellement salvateur. La réalisation de nos potentiels évolutifs supérieurs passe par la liberté fondamentale qu’octroient la sagesse et la connaissance. Par la conscience de Qui Nous Sommes vraiment, par notre reliance à notre Soi supérieur, l’Esprit divin une fois l'Âme réunifiée, nous pouvons entreprendre notre chemin d'ascension libératoire.
* Cf. La nouvelle religion universelle, Prophétie du changement & Contrôle mental.
Seul un travail intérieur de réunification de ses polarités masculine et féminine et de désengagement du jeu de la dualité de la Matrice est réellement salvateur. La réalisation de nos potentiels évolutifs supérieurs passe par la liberté fondamentale qu’octroient la sagesse et la connaissance. Par la conscience de Qui Nous Sommes vraiment, par notre reliance à notre Soi supérieur, l’Esprit divin une fois l'Âme réunifiée, nous pouvons entreprendre notre chemin d'ascension libératoire.
* Cf. La nouvelle religion universelle, Prophétie du changement & Contrôle mental.
La Médecine de la Méduse
Si dans sa polarité négative la
Méduse * exprime le symbole de la castration - ce qui pétrifie - où le
féminin lunaire (planète Neptune négative) use du pouvoir de
la sexualité pour piéger le masculin électrique (planète Pluton
négatif), autrement dit le Moi non réalisé se consumant dans une quête
de jouissance sous l'emprise de la prédation archontique,
cette "mante religieuse" ou "sorcière noire" permet dans sa polarité
positive la libération du Masculin Sacré par le Féminin Sacré. Cette
libération appelle la dissolution des deux archétypes que
sont la marque intellectuelle et la marque de l'émotivité, afin de
permettre un équilibre entre les tendances motrices, sensitives et
intellectuelles.
Et une fois le Féminin sacré libéré à son tour par son pendant Masculin (Cf. les histoires de princes qui libèrent leur princesse), la flamme sacrée - la venue de l'Esprit (le Soi supra-mental) - par l'humilité de la rédemption annihile la monstruosité prédatrice, soit l'instinct bestial et dominant. La suprématie du Masculin sur la Féminin se dissout, conduisant tous les jeux de pouvoirs "domination-soumission" à se dissoudre. Le mur de pierre érigé par le "mal" étant effondré, il en résulte la fusion de la dualité dans l'Unité des polarités yin et yang. C’est alors l’équilibre, l’Être Sacré dans le Cœur.
En d'autres termes, les tentacules de la Méduse, telles des serpents qui avaient pétrifié l’être humain illusionné, lui envoient des décharges électriques capables de "réveiller un mort", exorcisant la peur du Féminin en soi et libérant toutes ses connexions au monde visible et invisible, ses ressentis et perceptions extrasensorielles (libération des traumas violents ancrés dans la psyché depuis la nuit des temps). Par la renaissance de ses alter inconscients jusqu'alors pétrifiés, de façon adaptée et proportionnelle à son état d’esprit, Son Être Sacré se dote de magies psychiques extrêmement puissantes, capables de libérer l’Être emprisonné. De l’Homme mort il devient l’Homme vivant ; de l’Homme esclave il devient l’Homme Libre ; de l'Homme enfermé dans la noirceur de la Caverne (la Matrice astrale), il devient l'Homme lumineux, être esprit multi-dimensionnel (la Matrice cosmique). C'est pourquoi la Méduse est une guérisseuse des profondeurs de notre psyché. Elle est le "troisième Œil" qui éveille et réveille le Sacré en nous, ouvrant la porte à l’Être Réalisé.
* Animal venu des fonds marins, la méduse est constituée de 95% d’eau, étant en ce sens "mémoire des mémoires". Fille de la Lune et des Océans, elle est le symbole du Féminin Sacré (le charme, la beauté, la douceur, la sensualité, la vie et l’amour), unissant à la fois Vénus, Neptune et Lune.
Ses tentacules urticantes et paralysantes servent à piéger ses proies dans ce qu’il y a de plus vil : la haine, la vengeance, la destruction, la folie, la fureur, la castration. C'est la raison pour laquelle la méduse défend le Féminin Sacré, notre partie hyper-sensible, en faisant mourir le Masculin électrique désacralisé. Telle une Déesse des Océans, elle est la gardienne de l'hyper-sensibilité Féminine de l'être humain.
Cf. Le chemin alchimique.
Une nouvelle conscience
Ce qui est nécessaire de comprendre pour notre changement de
conscience préalable à son ascension dans une nouvelle dimension de
réalité en mode " Service d'Autrui ", c'est que la sexualité n'est
ni bien, ni mal. Elle est simplement animale, tout à fait appropriée
à notre 3ème dimension de réalité qui voit la satisfaction des pulsions
du corps initiées en relation avec le champ
électro-magnétique terrestre de " basse " fréquence. A ce stade,
l'humain par sa biologie constitutive s'apparente bien plus à un animal
qu'à un être doté de conscience de Ce Qui Est, de
sensibilité comme de discernement justes car parfaitement
équilibrés.
Lorsque, par l'éveil de notre conscience, soit l'accès à la 4ème dimension * où elle se situe dans son état limité au moi personnalité (pour nous observer nous passons nécessairement à l'étage supérieur), nous parvenons à entrevoir, comprendre et accepter l'entité prédatrice qui pense à travers nous et exprime sa réalité à travers notre conscience humaine, nous pouvons tout à fait comprendre que les besoins que nous projetons et manifestons sont ceux de notre prédateur, le mode " Service de Soi ", certainement pas les nôtres, ceux de notre Âme appelée par le Soi supérieur à sa réunification pour le libérer et permettre le retour au bercail. Le sexe, la fonction sexuelle, intéresse la duplication de l'âme en 1ère, 2ème et 3ème dimensions de densité, alors que l'échange de l'énergie d'amour, la force universelle, concerne la 5ème et surtout la 6ème densité, soit le mode "Service d'Autrui". Aussi, pour faire perdre au système de contrôle prédateur de son emprise, nous avons non à lutter et à résister, ce qui serait vain, mais à coopérer, en considérant l'entité prédatrice qui passe à travers notre métabolisme non comme une ennemie mais comme une enseignante. En comprenant que "faire l'amour" avec quelqu'un – même avec soi par l'auto-sexualité –, consiste en un troc d'énergie entre deux entités non seulement humaines, mais trans-dimensionnelles, et que ceci préfigure une interactivité informative, un échange d'instructions et de connaissances entre différentes densités incarnées par l'âme, tout peut changer. Nous permettons au flux hormonal jusqu'alors déséquilibré (montée de libido et de testostérones, fantasmes) de revenir progressivement à un état neutre.
* La 4ème densité est la dimension pivot entre les mondes physiques et les mondes éthériques. Elle est de ce fait à la fois physique et esprit.
Lorsque, par l'éveil de notre conscience, soit l'accès à la 4ème dimension * où elle se situe dans son état limité au moi personnalité (pour nous observer nous passons nécessairement à l'étage supérieur), nous parvenons à entrevoir, comprendre et accepter l'entité prédatrice qui pense à travers nous et exprime sa réalité à travers notre conscience humaine, nous pouvons tout à fait comprendre que les besoins que nous projetons et manifestons sont ceux de notre prédateur, le mode " Service de Soi ", certainement pas les nôtres, ceux de notre Âme appelée par le Soi supérieur à sa réunification pour le libérer et permettre le retour au bercail. Le sexe, la fonction sexuelle, intéresse la duplication de l'âme en 1ère, 2ème et 3ème dimensions de densité, alors que l'échange de l'énergie d'amour, la force universelle, concerne la 5ème et surtout la 6ème densité, soit le mode "Service d'Autrui". Aussi, pour faire perdre au système de contrôle prédateur de son emprise, nous avons non à lutter et à résister, ce qui serait vain, mais à coopérer, en considérant l'entité prédatrice qui passe à travers notre métabolisme non comme une ennemie mais comme une enseignante. En comprenant que "faire l'amour" avec quelqu'un – même avec soi par l'auto-sexualité –, consiste en un troc d'énergie entre deux entités non seulement humaines, mais trans-dimensionnelles, et que ceci préfigure une interactivité informative, un échange d'instructions et de connaissances entre différentes densités incarnées par l'âme, tout peut changer. Nous permettons au flux hormonal jusqu'alors déséquilibré (montée de libido et de testostérones, fantasmes) de revenir progressivement à un état neutre.
* La 4ème densité est la dimension pivot entre les mondes physiques et les mondes éthériques. Elle est de ce fait à la fois physique et esprit.

Le sexe, source d'inspiration des grands initiés
Nombre de grands artistes initiés
utilisent la sexualité comme source majeure d'inspiration, offrant à
leur prédateur de 4ème dimension leur extase orgasmique en
échange de l'information créative. Ainsi le poète, dramaturge,
intellectuel et homme politique français Victor Hugo (1802/1885), homme à
la sexualité débridée. Si ses romans sont dans l'ensemble
plutôt chastes (ses pièces de théâtre et ses poèmes le sont moins),
il aura expérimenté à peu près toutes les formes d'amour, souvent
simultanément. Femme légitime, maitresses officielles
(Juliette, Léonie, Blanche,
Albertine, Judith et tant d'autres), flirts platoniques, prostituées
avérées, femmes de chambre... et ceci jusqu'à la fin de ses
jours. Après une première période puritaine qui le voit épouser en
1819 son amour d'enfance, Adèle Fouchet, il tombe amoureux fou de
l'actrice Juliette Drouet, qui restera sa maîtresse pendant 50
ans (Cf. photo), avant que de disputer à son propre fils, Charles
Hugo, les faveurs d'une autre actrice, Alice Ozy. Il dessinait aussi,
ses dessins de femmes nues n'ayant rien à envier du point
de vue de l'audace en tout cas à ceux des peintres Théodore
Chassériau (1819/1956) et Jean-Auguste-Dominique Ingres (1780/1867).
Tout comme ses carnets de notes de son exil à Guernesey, crypté en
latin, espagnol et esperanto, sont truffés de codes fripons.
Le rôle libératoire des mémoires
Les mémoires de traumatismes comme le
viol ou la culpabilité, enfouies dans la psyché, constituent une aide
efficace dans sa libération de la prédation sexuelle,
l'individu qui en est porteur ayant tendance à se réfugier dans les
extrêmes :
- soit en se conformant complètement
au moule sexuel perverti dont son prédateur se nourrit par son état de
victime, en abandonnant son corps aux exigences
extérieures ;
- soit en se coupant délibérément ou
inconsciemment de tous ses sens, conduisant à n'éprouver que très
rarement du désir. Là encore le prédateur se nourrit de la
frustration et de la fuite d'une sexualité épanouie, de manière plus
détournée…
C'est en traversant ce mode
boulimique ou anorexique en toute conscience de la prédation qui s'en
nourrit que peut se rééquilibrer, par la libération
psycho-émotionnelle *, inévitablement douloureuse, le lien à la
sexualité. L'individu, en regardant le schéma de la prédation établi
dans une autre dimension, se libère de la culpabilité
victimaire comme de l'accusation envers son ou ses bourreau(x)
également prédaté(s). En acceptant l'initiation du prédateur, il apprend
désormais à la contenir en s'attachant, par la conscience,
à être responsable à part entière de son intégrité physique comme
psychique. Il rompt toute attache qui l'entretient dans la relation
mortifère bourreau-victime, rétablissant par là-même le canal
d'accès à son Soi supérieur à même de le conduire sur le chemin de
l'évolution. L'aliment énergétique
" sexuel " peut alors passer de sa nature mécanique
excitative, encouragée ou réprimée, à une nature extatique, alors
partagée d'un commun accord entre l'individu et son prédateur pour que
ce dernier puisse jouer le rôle de l'enseignant en toute
clarté.
* Cf. Libération émotionnelle.
Aussi, l'animal sauvage en lui en passe d'être accepté et
apprivoisé, il a de moins en moins de raison de montrer sa face " sombre
et prédatrice "… De ce fait, l'humain prêt à basculer dans un
cheminement de conscience supérieure n'est plus conditionné à "faire
l'amour ", à s'accoupler et copuler. Il peut établir un réel échange
énergétique à un autre niveau, celui de ses centres
supérieurs.


Typologie de l'amour en 3° densité
6. L'Amour Énergie
5. L'Amour Caresse
4. L'Amour Sentiment
3. L'Amour Émotion
2. L'Amour Maternel
1. L'Amour Physique
L'énergie sexuelle au service de son évolution de conscience
Apprivoisé dans sa raison d'être
profonde, l'échange énergétique sexuel n'est plus destiné
prioritairement à sa manifestation extérieure dans l'accouplement avec
autrui, limité au chakra sexuel et primaire (centre énergétique 2
sur l'image ci-dessus), soit les pulsions sexuelles animales, en lien
avec le centre du désir émotionnel (centre énergétique
3).
Il peut s'établir par la fusion de ses polarités masculine et féminine au niveau des centres énergétiques - ou chakras - supérieurs, soit la relation au Soi supérieur (centre 7), une fois le centre frontal (6), celui des pulsions " énergétiques " de pensées, sentiments et perceptions spirituelles, maîtrisé. Par cette androgynie originelle retrouvée, celle dite de l'Ange *, il engendre alors un échange de ressentis et d'informations, la véritable Connaissance, qui surpasse de loin le domaine limité à la sexualité charnelle. Et si, qui plus est, le couple fonctionne à l'unisson, les " noces chymiques " sont alors extatiques pour le cœur battant (centre 4) ...
* C'est l'explication de l'éternelle interrogation de l'être humain quant au sexe des anges...
Le dialogue sacré

L'acte sexuel est dans son essence profonde un dialogue religieux
entre le masculin sacré et le féminin sacré en vue de la réalisation de
l'unité, la femme étant une prêtresse dans laquelle est
incarnée la Déesse-Mère. En effet, le secret le plus important est
dissimulé dans la mitochondrie du chromosome féminin, en l'occurrence le
génome Christique-Sémite de la compassion * qui, entre
autres, permet de changer de dimension de réalité. C'est la raison
pour laquelle de nombreuses superstitions ont toujours plané autour du
pouvoir magique du sang des menstrues. Et pour cause,
puisqu'elles contiennent les cellules souches qui ont un certain
pouvoir de régénération ...
Il constitue ainsi la véritable voie d'accès vers l'absolu. Plus
l'acte est long, plus la sexualité est intégrée dans un cadre spirituel
qui est proche de la relaxation et du yoga contribuant à
assimiler de façon alchimique les principes masculins et féminins
dans le corps humain. Cette relation sexuelle est tout le contraire d'un
acte sexuel " usuel " où l'homme cherche à atteindre sa
jouissance personnelle et son orgasme égoïste, imposant une relation
bien souvent expéditive et inassouvie pour la femme que nous savons
pourtant multi-orgasmique. Elle permet à l'homme de se
mettre au niveau vibratoire de la femme, et de pouvoir la faire
vibrer en faisant travailler les sept centres énergétiques (chakras)
principaux, créant de cette manière une impulsion que sa
partenaire lui renverra.
Parce que le féminin détient le rythme et la fréquence divine, celle
de la sagesse, il incombe à l'homme de pouvoir se caler sur lui afin de
" sacrifier ses pulsions primaires " en vue de se
synchroniser sur la " Déesse ". Ceci leur permet d'échapper à la
condition humaine, de s'évader de la bestialité qui nous anime. Cet acte
sacré a pour seul but de nous rapprocher du divin.
"Si tu souhaites discerner la réalité de ce mystère, alors tu
devras percevoir la notation merveilleuse des rapports qui ont lieu
entre le mâle et la femelle. […] le mystère des rapports est
exécuté dans le plus grand secret, de façon que les deux sexes ne
puissent être déshonorés devant ceux qui n'éprouvent pas cette réalité.
Pour eux, les sexes contribuent uniquement à procréer. Si
l'acte se produisait en présence de ceux qui ne comprennent pas
cette réalité, ceci paraîtrait totalement risible et incroyable…".
Manuscrit de Nag-Hammadi, "le Codice Asclepius" (21-29), 6,8
* Cf. Le féminin séquestré.
Les bienfaits de ces gestes millénaires que les anciens
connaissaient parfaitement sont nombreux, expliquant comme d'habitude
qu'ils furent finalement réservés à quelques rares initiés. La
sexualité sacrée était en effet exercée dans les anciens temps par
les prêtresses dans les temples sacrés, constituant une façon de recréer
l'unité perdue, celle de l'androgynie qui relève de
chacun de nous une fois l'incarnation dans l'expérimentation de la
densité terrestre achevée. Libérée de la servitude de la procréation,
cette idylle scelle l’union indissoluble entre deux êtres
strictement polaires, union qui assurera leur intégration dans le
sein de l’Absolu.
La vision d’une telle idylle a hanté les esprits les plus élevés
pendant des milliers d’années. Nous la trouvons dans l’amour platonique,
base de l’idylle singulière dans les mythes de
l’androgyne (Orphée et Eurydice, Pygmalion et Galatée…). C'est
pourquoi la plupart d'entre nous sommes à la recherche de notre double,
en quelque sorte de notre âme-sœur, pour accomplir
consciemment ou inconsciemment l'acte extatique, et revenir en
quelque sorte " chez soi "… C’est à cela qu’aspire le cœur humain qui
verse des pleurs en secret sur sa grande solitude. Cette forme
de relation amoureuse est le but essentiel du travail ésotérique,
permettant d'unir l’homme à un être qui est unique pour lui, la
"Sœur-Épouse", autrement dit la gloire de l’homme, comme lui est
la gloire de Dieu. La bonne nouvelle est que l'expérience est en
chacun de nous et propre à chacun.
"Lorsque Eve était en Adam, la mort n'existait pas. Quand elle se fut séparée de lui, la mort survint. Si à nouveau elle rentre en lui et s'il la prend en lui-même, la mort n'existera plus ".
Manuscrit de Nag-Hammadi, "l’Évangile selon Saint Philippe", NH2, 3 68
Le rééquilibrage du féminin opprimé
La poétesse et musicienne grecque Sappho, qui a vécu aux VII° et VI° siècles av. J.-C. à
Mytilène sur l'île de Lesbos, est l'archétype du lesbianisme,
connue pour avoir exprimé dans son œuvre poétique son attirance pour
les jeunes filles (d’où le terme saphisme pour désigner
l’homosexualité féminine, le terme lesbienne étant dérivé de Lesbos
*). Son enseignement se voulait être pour les filles une véritable
initiation à la liberté, remettant en question un régime
basé sur le patriarcat et la toute-puissance masculine dans le cadre
du mariage, l'anneau d'asservissement à la matrice.
Contrairement aux groupes masculins où la pédérastie est un élément de la fonction initiatique du groupe destiné à préparer les adolescents à la vie adulte, et de ce fait à leur rôle de citoyen, les relations amoureuses entre femmes (autrement nommées thiases) sont autonomes, sans rapport avec la sexualité considérée à l'époque comme " normale ", c'est-à-dire hétérosexuelle. C'est la raison pour laquelle les relations amoureuses pouvaient avoir lieu entre jeunes filles du même âge.
* L'usage du terme " lesbienne " dans le sens de " homosexuelle " n'est attesté qu'à partir du IX° ou X° siècle ap. J.-C., le terme utilisé dans l'Antiquité étant tribas.
Ode à Aphrodite *
" Toi dont le trône est
d'arc-en-ciel, immortelle Aphrodita, fille de Zeus, tisseuse de ruses,
je te supplie de ne point dompter mon âme, ô Vénérable, par les
angoisses et les détresses. Mais viens, si jamais, et plus d'une
fois, entendant ma voix, tu l'as écoutée, et, quittant la maison de ton
père, tu es venue, ayant attelé ton char d'or. Et c'était
de beaux passereaux rapides qui te conduisaient. Autour de la terre
sombre ils battaient des ailes, descendus du ciel à travers l'éther. Ils
arrivèrent aussitôt, et toi, ô Bienheureuse, ayant
souri de ton visage immortel, tu me demandas ce qui m'était advenu,
et quelle faveur j'implorais, et ce que je désirais le plus dans mon âme
insensée. Quelle Persuasion veux-tu donc attirer vers
ton amour ? Qui te traite injustement, Psappha ? Car celle qui te
fuit promptement te poursuivra, celle qui refuse tes présents t'en
offrira, celle qui ne t'aime pas t'aimera promptement et même
malgré elle. Viens vers moi encore maintenant, et délivre-moi des
cruels soucis, et tout ce que mon cœur veut accomplir, accomplis-le, et
sois Toi-Même mon alliée. "
* L'Ode à Aphrodite, ou Ode I, est l'unique texte de Sappho datant du VIe siècle av. J.-C. dans son intégralité, conservé dans le traité sur " la composition stylistique " du rhéteur et historien grec Denys d'Halicarnasse (54 av. J.-C./- 8 ap. J.-C.).
Les clés symboliques cachées de l'androgynie
Remarque préalable d'importance
Comme tout est faussé dans la Matrice
des illusions terrestres, il convient d'avoir à l'esprit que
l'enseignement du médecin psychiatre suisse Carl Gustav Jung
(1875/1961), fondateur de la psychologie analytique et penseur influent,
s'il présente d'incontestables vérités, est également porteur
d'influences négatives induites par son prédateur involutif de 4ème
dimension de densité (qu'il ignorait). C'est ainsi qu'il a constitué par certaines
de ses
idées sur l’anima et l’animus, et la nature hermaphrodite de l’âme,
les fondements et germes du paradigme philosophique et psychologique
libéral actuel du mouvement postmoderne libéral américain *, notamment sur la fluidité du genre. L’"unification des
masses" sous l’égide du postmodernisme porte toujours ses propres semences de destruction de la société...
* La "gauche" moderne que représente ce mouvement a une forte tendance fasciste de par sa nature psychopathe schizoïde, telles l’action anti-tabac et anti-spécisme, l'imposition violente du végétarisme et de la diversité culturelle, etc. La "droite" a tout autant des tendances similaires !
Les grands mythes universels comme nombre d’œuvres artistiques dispensent de manière occulte à l'être humain la clé de sa libération de la Matrice asservissante, par la fusion en lui de ses polarités masculine (symbolisme du divin Père soleil) et féminine (symbolisme de la déesse Mère lune) *. Elle découle notamment de l'enseignement de l'enseignement de saint
Paul, qui disait à propos des Apôtres qu'après la Pentecôte, la venue en eux de l'Esprit divin, que dans le Seigneur la femme n'est point sans l'homme, ni l'homme sans la femme. Nous retrouvons ici l'idée exprimée par Platon dans le mythe de l'Androgyne. La Rédemption n'est pas l’œuvre de l'homme seul ou de la femme seule, mais des deux ensemble, chaque couple d'êtres polaires constituant une des variantes infinies du premier couple. En voici quatre exemples, quatre légendes...
* Cf. La dualité décodée.
Horus
Le premier grand mythe
civilisationnel de l'Occident est celui d'Isis et d'Osiris. Parmi
diverses significations (fertilité, cycle annuel des saisons), il évoque
surtout le cheminement de l'être humain vers la conscience, afin de
donner par le choix de la voie du milieu naissance à Horus (image 1), le
Christ solaire, la " lumière originelle " ou parole
perdue *. Il informe de notre finitude, celle du corps de chair
(démembrement d'Osiris par son double ténébreux, son frère Seth), pour
mieux renaître dans un état de conscience supérieur - la
supraconscience, celle de son âme - à notre évolution vers la vie
éternelle. Il nécessite pour ce faire de réaliser l'union de tout ce qui
nous divise, les polarités électriques (masculin,
positif, " bien "...) et les polarités magnétiques (féminin,
négatif, "mal"). Horus le Christ consacre le cycle alchimique *² de la
vie intérieure, de la mort de l'égo-mental et de la renaissance
(la résurrection) de Qui Nous Sommes vraiment. Les épreuves
rencontrées (confrontation avec Seth, soit Lucifer + et Satan -), sont
pour le bien de notre évolution, pouvant être transcendées par
les dons et talents qui nous ont été octroyés. Les forces de la
sexualité, de la mort et de la pensée y sont étroitement entremêlées,
les deux premières nourrissant la troisième. Celle-ci peut
alors les "manipuler " pour atteindre des états de conscience
supérieurs. En comprenant que Horus comprend la double polarité (la
fausse lumière de Lucifer et la Lumière christique) et en
s'attachant à transmuter la première par l'éclat de la seconde,
l'être humain réalise son ascension de conscience, et par là-même sa
libération de la Matrice involutive.
* C'est ce que symbolise le membre viril d'Osiris englouti dans les flots après que son frère Seth ait démembré son corps et dispersé les morceaux. Retrouver ce membre par notre féminin sacré (Isis), c'est faire se rejoindre le commencement et la fin et réaliser l'unité éternelle.
*² Cf. Le chemin alchimique.
Contrairement à l'enseignement dévoyé
de nombre de sociétés occultes comme la Franc-maçonnerie*, la voie
d'accès à Horus (la conscience Christique) n'est pas
l'ouverture du centre énergétique ou chakra du 3ème œil, dit Œil
d'Horus (image 2), mais celle du cœur, le centre énergétique du milieu
*².
* Cf. La nouvelle religion universelle.
*² Cf. Fonctionnement du corps biologique.
* Cf. La nouvelle religion universelle.
*² Cf. Fonctionnement du corps biologique.
A noter au fond de la salle les
portes figurant la sortie de l'espace-temps limité de la matrice propre à
la 3ème dimension de réalité. En réalisant l'ascension de
conscience par la fusion des polarités opposées, l'être humain peut
s'extraire de la matrice et accéder à une dimension de réalité
supérieure.
Cf. Le chemin de l'Ascension.
Cf. Le chemin de l'Ascension.
La Cène
La Cène (en italien L'Ultima Cena,
soit "le Dernier Souper") de Léonard de Vinci est une peinture murale
réalisée de 1495 à 1498 pour le réfectoire du
couvent dominicain de Santa Maria delle Grazie à Milan. Elle
représente le cycle annuel du Soleil de façon astrologique, soit ses
cycles solaires *, De Vinci identifiant Jésus comme le symbole
solaire de l’ère du Poisson. Une autre clé symbolique d'enseignement
se tient entre Jésus et Jean l'évangéliste à sa droite (penché sur son
voisin), en l'occurrence un écart figurant un V. Il
signifie le féminin sacré, soit le saint Graal (la matrice utérine).
Le personnage de Jean, à l'allure très féminine, est en fait Marie
Madeleine (Maria Magdalena). Le secret caché de ce
tableau est la célébration du mariage de Jésus le Christ, soit les
"noces chymiques", celles de l'union des polarités masculine et féminine
qui donne la figure du Y (Yann signifie Jean en langue
celte) androgyne la représentant.
* Cf. L’Église romaine décodée.

Jeanne d'Arc
Elle est l'héroïne de l'histoire de France (vers 1412/1431), chef de guerre et sainte de l'Église catholique romaine *, surnommée depuis le XVIe siècle "la Pucelle d'Orléans"
et, depuis le XIX° siècle " mère de la nation française".
Nous retrouvons dans son prénom Jeanne le lien du féminin sacré avec la
conscience Christique qui l'habite, tout comme son nom -
d'Arc - évoque l'arc de lune de la déesse Mère initiale (Isis).
Elle/Il est le personnage emblématique androgyne par excellence, qui
meurt brûlé(e) sur le bûcher (l'athanor alchimique) pour
ascensionner elle/il aussi dans l'histoire...
* La bible cite deux fois le nom de Jeanne ; l'une est à la naissance, l'autre est au départ du christianisme.
Jean Valjean
L'un des principaux personnages du roman Les Misérables
de Victor Hugo, grand initié, est Jean Valjean (image 1). Il est le
personnage central qui lie
différentes histoires du cycle des Misérables. Son profil
psychologique évolue au fil du temps des rencontres qu'il fait,
constituant la preuve de la bonté universelle et de la capacité à
s'améliorer que possède chaque être humain. Pour échapper à son
passé, il se fait appeler le "Père Madeleine".
Nous retrouvons à nouveau dans cette œuvre littéraire les clés codées de la transformation alchimique. En l'occurrence les deux Jean (l'évangéliste et le baptiste) ne forment qu'un - Jean Valjean -, avec le V * du féminin sacré comme première lettre du patronyme. Par la fusion des masculin et féminin sacrés, il devient l'être androgyne nommé Madeleine (Maria-Magdalena), qui célèbre le magnétisme de la déesse Lune (Isis) lui ayant permis cette ascension de conscience.
* La vulve de la matrice utérine symbolisée par le Vesica piscis (image 2).
Le rôle de la femme, sur la courbe de Rédemption - le changement de
conscience -, doit être comparable à celui qu'elle avait joué pour
engager le couple humain sur la courbe de la Chute. Ce rôle
fut celui d'inspiratrice. Ayant conçu dans son imagination fertile
et artistique la notion de l'Illusion - la pomme tendue par Lucifer, le
serpent -, la femme, après avoir goûté ses fruits, les a
offert à son époux et, tous deux, tombés ici-bas dans la matière
terrestre, se sont alors engagés sur un long chemin d'études, fruits de
l'Arbre de la connaissance du Bien et du Mal.
C'est pourquoi notre évolution vers une nouvelle dimension de réalité correspond au cheminement de l’Âme dans son retour à l'UN, à la Source *. Retrouvant ses fractales - notre Moi fragmenté en alter -, elle n'aura plus de raison de se dupliquer, de se fractaliser, de se diviser, de se recopier, de générer des extensions, des duplicatas d'âmes... Le nouvel humain n'aura ainsi plus besoin de se reproduire, d'engendrer des enfants, parce qu'il aura retrouvé ses autres manifestations disséminées à travers les densités. L'esprit humain aura retrouvé la mémoire consciente de son existence multidimensionnelle, omnipotente et éternelle, les "relations sexuelles" étant alors remplacées par des besoins d'échanger de l'énergie/information et d'alimenter les centres supérieurs de créativité en vue de construire un nouveau futur. Autrement dit, une co-création et non plus une procréation, pour réaliser une ligne temporelle sur laquelle l'âme est émancipée du cycle de l'illusion de la réincarnation.
C'est la raison pour laquelle les gardiens du seuil, nos "prédateurs personnels", s'emploient à effacer la mémoire de l'âme de Qui Elle Est vraiment, aussi longtemps que nous n'arrivons pas à aligner notre corps-âme-esprit, à même de permettre le changement à changer de densité*².
* Cf. Le cheminement de l’Âme.
*² Cf. Le chemin de l'Ascension.
C'est pourquoi notre évolution vers une nouvelle dimension de réalité correspond au cheminement de l’Âme dans son retour à l'UN, à la Source *. Retrouvant ses fractales - notre Moi fragmenté en alter -, elle n'aura plus de raison de se dupliquer, de se fractaliser, de se diviser, de se recopier, de générer des extensions, des duplicatas d'âmes... Le nouvel humain n'aura ainsi plus besoin de se reproduire, d'engendrer des enfants, parce qu'il aura retrouvé ses autres manifestations disséminées à travers les densités. L'esprit humain aura retrouvé la mémoire consciente de son existence multidimensionnelle, omnipotente et éternelle, les "relations sexuelles" étant alors remplacées par des besoins d'échanger de l'énergie/information et d'alimenter les centres supérieurs de créativité en vue de construire un nouveau futur. Autrement dit, une co-création et non plus une procréation, pour réaliser une ligne temporelle sur laquelle l'âme est émancipée du cycle de l'illusion de la réincarnation.
C'est la raison pour laquelle les gardiens du seuil, nos "prédateurs personnels", s'emploient à effacer la mémoire de l'âme de Qui Elle Est vraiment, aussi longtemps que nous n'arrivons pas à aligner notre corps-âme-esprit, à même de permettre le changement à changer de densité*².
* Cf. Le cheminement de l’Âme.
*² Cf. Le chemin de l'Ascension.
De la leçon éternelle
Dans l'activité humaine sur le plan
moral, l'évolution de conscience repose sur la cyclicité du Temps *.
C'est ainsi que tout mouvement suit une direction
déterminée, comme abandonné à lui-même, avant que de s'engager dans
une direction diamétralement opposée. Combien de sang n'a-t-il pas été versé au nom du
Fils de Dieu qui a prêché l'Amour ? Combien de cruautés, de violences et de contraintes n'ont-elles pas été exercées par des révolutions faites au nom de la liberté et de la fraternité ? On pourrait multiplier sans fin ces exemples.Sur le moment, ces déviations nous échappent presque toujours. Nous continuons à imaginer que nous suivons la même direction, alors qu'insensiblement nous avons été conduits, sans nous en rendre compte, à prendre la direction inverse. A ce moment, notre action engagée sur
le plan moral reçoit automatiquement une impulsion nouvelle provenant de la réaction du milieu à l'impulsion primitive. Plus celle-ci a été vigoureuse, "avant-gardiste" ou "révolutionnaire", plus la réaction suivant le principe d'Équilibre est forte. De sorte que le mouvement en sens inverse, celui qu'en langage commun on appelle réaction, prend une ampleur inattendue et fait parfois revenir les promoteurs de l'action initiale bien en arrière de leur point de départ. Cela est presque toujours le cas pour les doctrines politiques.
C'est la raison pour laquelle une deuxième impulsion doit, en consolidant le premier succès, en permettre l'exploitation. L'histoire donne maints exemples de la nécessité de cette deuxième impulsion : lorsque celle-ci a manqué après des batailles gagnées, la guerre a bien souvent été perdue. Aussi est-il indispensable de prévoir deux impulsions complémentaires consécutives pour maintenir la direction primitive du mouvement et assurer ainsi le succès de l'entreprise.
C'est à cette compréhension des Lois naturelles divines que l'être humain est désormais appelé afin de franchir les barrières de l'Espace-Temps le maintenant prisonnier de la Matrice astrale viciée, et, par la fusion réussie de ses polarités masculine et féminine complémentaires, rejoindre sa nouvelle Terre d'expression, la "5-D", comme être souverain à même par la maîtrise de la science atomique sublimer la matière et cesser de la pervertir ! Autrement dit, initier le nouveau cycle en cours d'émergence de la sixième race humaine *²...
* Cf. Fin de cycle (1) Fin du temps ou fin des temps ?
*² Cf. Où en sommes-nous ?

Seul un long cheminement, processus d'expérimentation et d'évolution
au travers duquel notre conscience apprend à s'accroitre, en permet
l'atteinte. Et s'il y a beaucoup d'appelés, peu
parviennent à s'extirper des tentations suggérées par le prédateur,
la quête de jouissance des sens physiques prenant quasi-irrémédiablement
le pas sur la force de la transmutation énergétique
intérieure. Sans contacter sa propre force intérieure afin de
chercher l'information par soi-même tout en discernant les pièges des
réponses thérapeutiques "miracles" extérieures - outils,
méthodes et notoriété -, l'individu ne peut guérir, n'atteignant pas
le niveau le plus élevé qui est de savoir qu'est-ce qui le contrôle
réellement. N'est pas Ulysse ou Hercule qui veut dans la
rencontre avec les pulsions enivrantes du prédateur qui réside en
lui...
"Ceux qui sont revêtus de la lumière parfaite, les forces étrangères ne les voient pas et ne peuvent s’en emparer."
Évangile de Philippe (Bibliothèque de Nag Hammadi),
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