Jim Keith, Mass Control,
" Contrôle électronique de l'esprit ",
Copyright 1999, 2003
Traduction T.G. 2010
Publié avec l'aimable autorisation de l'éditeur.
Agrandir cette image Cliquez ici pour la voir à sa taille originale.
Les
techniques de contrôle de l'esprit ont grandement progressé lorsque
l'on a découvert que l'énergie électromagnétique pouvait être utilisée
pour influencer, inhiber, ou tuer un homme à distance. Le célèbre
scientifique Nicolas Tesla fut un des premiers à approfondir l'étude des
effets de l'électromagnétisme sur l'organisme humain, suivi de E. L.
Chafee et R.U. Light, qui publièrent en 1934 « Une Méthode pour le
Contrôle à Distance de la Stimulation Electrique du Système Nerveux ».
La
même année, le scientifique soviétique Leonid L. Vasiliev écrivit
Evaluation Critique de la Méthode Hypogénique à propos des découvertes
du Docteur I.F. Tomashevsky qui concernaient la possibilité d'influencer
le fonctionnement du cerveau par ondes radio. Vasiliev écrivit:
«
Dans une autre série d'expériences, afin de pouvoir contrôler le sujet
lorsqu'il se situait en dehors du laboratoire, un système radio fut
utilisé... peu d'expériences de cette sorte furent menées, mais les
résultats montraient que l'utilisation de signaux radio augmentait
sensiblement les expériences possibles».
Dans ce même rapport
Vasiliev écrivit: « Tomashevsky (I.F. Tomashevsky, physiologiste Russe
reconnu) mena la première expérience sur ce sujet à une distance de une à
deux pièces et dans des conditions ne permettant pas au sujet de
suspecter qu'il servirait à une expérience. Dans d'autres cas,
l'émetteur n'était pas dans la même maison et une autre personne
observait les réactions du sujet. Par la suite des expériences furent
menées avec succès à des distances considérables... une expérience de ce
type fut menée ... la suggestion mentale, poussant le sujet à
s'endormir, réussit en moins d'une minute. » 1
Le Professeur E.
Cazzamalli est un autre chercheur qui étudia les possibilités
d'utilisation de l'électromagnétisme, dans les années 1930. Cazzamalli
bombardait les sujets avec des ondes VHF et il « soutint le propos
stupéfiant que les sujets hallucinaient lorsqu'ils étaient sous
l'influence de son oscillatori telegrafica »2
Andrija Puharich,
de l'Université du Nord Ouest, fut aussi, dans les années 1940, un des
premiers chercheurs sur les effets de l'électromagnétisme qui
approfondit l'étude des effets des ondes radio sur les animaux. Puharich
créa en 1948 un laboratoire nommé « La Fondation de la Table Ronde
d'Electrobiologie », à proximité de Camden dans le Maine, qu'il
surnommait modestement « une grange dans la forêt ». Ce bâtiment à un
étage, d'environ 30 mètres par 15 était à peine une étable. Pendant la
Seconde Guerre Mondiale, il avait été utilisé par la Marine,
officiellement comme entrepôt.
Warren S. McCulloch était un des
associés de Puharich à la Table Ronde. Il fut un des fondateurs de la
théorie cybernétique et travailla à l'hôpital Bellevue de New York.
McCulloch fut un des premiers promoteurs des implants électroniques dans
le cerveau, et présida des conférences sponsorisées par Josiah Macy, de
la fondation Jr., une officine de la CIA dédiée au contrôle de
l'esprit. John Hays Hammond, dont on a dit qu'il fut le seul élève de
Nicolas Tesla, était un autre associé de Puharich. Il était lui-aussi
intéressé par l'utilisation de l'électromagnétisme pour influencer
l'esprit humain.
Après la dissolution de la Table Ronde de
Puharich il passa du temps à étudier les effets de l'électronique sur
l'organisme humain avec le sociologue Aldous Huxley à Tecate au Mexique.
En 1954 Puharich fut employé par la C.I.A. au Centre Militaire de la
Guerre Chimique et Biologique de Fort Detrick au Maryland, à des
recherches sur les effets du L.S.D. Il étudia les effets des drogues
digitoïdes à la Fondation de la Recherche Permanente grâce à des fonds
de Sandoz Chemical Works.3
Une des réalisation de Puharich est la
conception d'un composant radio à implanter dans la dent, dont les
spécifications techniques furent vendues à la C.I.A. En 1987, lors d'une
conférence sur l'électromagnétisme, Puharich décrivit son invention:
Agrandir cette image Cliquez ici pour la voir à sa taille originale.
«
Nous étions capables de développer un système d'écoute qui tient dans
la couronne d'une dent et nous pouvions entendre clairement grâce à un
petit relais émetteur/transmetteur et malheureusement ce fut rapidement
classé par une agence de notre gouvernement. Mais nous avions trouvé la
solution technique. »
L'implant dentaire est peut être encore
utilisé. D'après Chemical and Engineering News du 5 février 1996, dans
un article intitulé « Un professeur de Hong Kong attaque les USA pour
contrôle de l'esprit »:4
« Le South China Morning Post a rapporté
le 25 janvier qu'un Professeur Assistant à l'Université des Sciences et
Technologies de Hong Kong, a formulé une demande d'indemnisation de
cent millions de dollars au gouvernement américain pour l'implantation
d'un dispositif de contrôle de l'esprit dans sa dent. Huang Si-Ming a
confié à la reporter du Morning Post, Patricia Young, que cet équipement
a été implanté lors d'une opération du canal dentaire en 1991, alors
qu'il étudiait à l'Université de l'Iowa. Un autre étudiant de
l'Université de l'Iowa, lui aussi né en Chine, avait été pris d'une
crise de folie meurtrière et, d'après Huang, les fédéraux lui ont mis
cet implant dentaire afin de savoir s'il était impliqué.
Le
Professeur de Hong Kong dit qu'il a souffert d'une maladie de la
mémoire, similaire à la maladie d'Alzheimer, qui rendait son travail
difficile. D'après lui, cela prit fin uniquement lorsqu'il rechercha une
aide légale pour intenter un procès. En plus des USA, l'Université des
Sciences et Technologies est poursuivie, considérant qu'elle est
impliquée pour avoir continué le travail de contrôle de l'esprit. Un
million de dollars sont aussi demandés pour « non respect des conditions
d'éthique ».
Huang dit que l'un des composants dans sa dent peut
lire ses pensées et parler à son esprit lorsqu'il est endormi. Il croit
qu'un deuxième équipement transmet les images de ce qu'il voit à un
récepteur, pour enregistrement. Le contrôleur de l'esprit, dit-il, peut
l'amener à de mauvais comportements. Il donne deux exemples, dont un ne
peut pas être mentionné dans un magasine familial. »
Huang n'est pas le seul à se plaindre d'avoir un implant de contrôle dans ses dents. David B. raconte:
«
Les rayons X montrèrent un objet en métal dans la partie gauche de mon
corps, sous la mâchoire, dans les tissus mous de mon cou. En mai 1996,
je le fit enlever et demandais à plusieurs médecins s'il avait pu
s'incruster là lors d'une extraction, ils répondirent 'possible, mais
disant '.
La plupart considérèrent qu'il avait transpercé mon cou
depuis l'extérieur. Je transmis les radiographies au Docteur Sims et il
organisa l'opération. Bizarrement, ceci fut l'occasion de découvrir un
petit objet dans mon épaule. Le Docteur Leer m'appela après avoir reçu
les radiographies et me demanda si j'avais fracturé mon épaule ou si
j'avais été victime d'une explosion. Je lui dis que non. Il me dit que
la raison de son appel était que les radios montraient nettement une vis
dans mon épaule gauche. Il dit que cela ressemblait à l'opération d'une
épaule fracturée. Je n'avais jamais fracturé mon épaule et demandait à
ma mère pour confirmer. Elle me dit que je n'avais pas eu d'opération
lors de mon enfance. Ceci est un mystère complet.
Pendant les six
premiers mois de torture (extrême à cette période), je me rendis chez
un dentiste pour lui faire part de ma douleur localisée sous ma nouvelle
prothèse dentaire, qui avait été installée quelques mois avant
l'attaque. Il l'enleva mais j'étais encore en contact. Je décidais de ne
plus m'occuper de la dent et me concentra sur ma gorge, par erreur. Sur
les radiographies et le scanner une des dents est très brillante et sur
une des images du scanner des rayons blancs en émanent. Les personnes
que j'ai interrogé m'ont dit qu'il s'agissait probablement
d'interférences dûes au métal. »5
En Union Soviétique, lors d'une
réunion tenue le 22 mai 1963 au bureau du Professeur Zinoniev, situé au
Ministère de l'Education Supérieure et Secondaire Spécialisée, une
revue des recherches menées par les Soviétiques concernant
l'électromagnétisme fut présentée. Lors de cette réunion de 16
scientifiques, le Professeur Artemov mentionna une « machine de travail
de l'esprit ». Artemov dit que dans le futur proche un émetteur d'ondes
électromagnétiques de la taille d'un poste à transistor serait utilisé
pour stimuler la créativité et l'énergie mentale. Artemov dit que les
premiers modèles de cette machine avaient la taille d'un bureau, mais
que maintenant des équipements portables étaient utilisés.6
Les
soviétiques travaillaient aussi à des applications moins bénignes de
l'électromagnétisme. Aux alentours des années 1960, comme le rappelle le
spécialiste des micro-ondes Milton Zaret, il fut approché par la
C.I.A. Zaret avait travaillé sur un projet de l'Air Force pour évaluer
le danger potentiel de lésion des yeux pour les techniciens radars et
micro-ondes, mais la C.I.A. était intéressée par des sujets plus
mystérieux. Ils s'intéressaient aux effets des micro-ondes sur le
comportement humain et la possibilité de les utiliser pour le lavage de
cerveau.
Plus tard, en 1965, ils révélèrent à Zaret la raison de
leur intérêt: l'Ambassade des Etats-Unis à Moscou était bombardée de
micro-ondes par les Soviétiques, avec un rayonnement qu'il surnommaient
le « Signal de Moscou ».Zaret fut instruit du projet Pandora, mené par
le gouvernement dans le but de trouver pourquoi les Soviétiques
bombardaient l'ambassade et peut-être de pouvoir utiliser ces recherches
dans son propre intérêt. Une des expériences de Pandora consistait à
irradier des singes avec des impulsions de micro-ondes. Le chef du
programme détermina que « la possibilité d'exercer un certain niveau de
contrôle sur le comportement humain en utilisant des micro-ondes de
faible intensité semble exister et nécessite d'étudier sans tarder
l'utilisation possible de micro-ondes en tant qu'arme. »
Zaret
mena ses propres tests et conclut que « Quelques-soient les raisons des
Russes, ils croyaient qu'ils modifieraient le comportement du personnel.
»7
Les recommandations de Zaret furent simples. Le gouvernement
américain devait demander aux soviétiques d'arrêter d'irradier ses
employés. Le personnel de l'ambassade devait être instruit de ce qui se
passait, ce qui n'avait pas été fait, et on devait leur proposer la
possibilité d'être transféré vers d'autres régions du monde. On assura
Zaret que ces recommandations seraient suivies mais la seule mesure qui
fut prise fut que le Président Lyndon B. Johnson demanda aux soviétiques
d'arrêter l'irradiation. Ils l'ignorèrent.
Les employés de
l'ambassade ne surent jamais qu'ils étaient soumis à des radiations
électromagnétiques, ni que les tests montraient que nombre d'entre-eux
avaient de graves problèmes médicaux. L'ambassadeur Walter J. Stoessel
avait des saignements des yeux et on diagnostiqua une maladie du sang
similaire à une leucémie. Les deux ambassadeurs précédents étaient morts
de cancer. Des tests menés par le Département d'Etat trouvèrent un
compte « légèrement élevé » de globules blancs dans le sang d'un tiers
des employés, mais en réalité cette augmentation atteignait 40% de plus
que la normale. Plusieurs enfants des employés de l'ambassade
présentaient des troubles du sang.
Ils n'eurent connaissance de
l'origine de leurs maladies qu'en 1972, lorsque le journaliste Jack
Anderson alarma le public en publiant un article sur le « Signal de
Moscou ».
Agrandir cette image Cliquez ici pour la voir à sa taille originale.
Ils
est possible que le projet Pandora soit à l'origine des propos du
Docteur Alan Frey qui rapporta en 1961 que les micro-ondes sont parfois
audibles par les humains, bien que sa découverte fut rejetée par
plusieurs scientifiques qui considéraient qu'ils s'agissait de bruits
extérieurs à l'expérience. L'expérience de Frey fut décrite en détail
par James C. Lin, dans Effets Auditifs des Micro-ondes et leurs
applications:8
« Frey détermina que les sujets exposés à des
ondes de fréquence 1310 Mhz et 2982 Mhz, à des intensités moyennes de
0,4 à 2 mW/cm2, percevaient des sensations auditives décrites comme des
bourdonnements ou des claquements... Les puissances pic étaient de
l'ordre de 200 à 300 mW/cm2 et la fréquence de répétition des impulsions
variait de 200 à 400 hz... Frey appelait ce phénomène acoustique 'son
radio-fréquence (RF)'. La sensation apparaissait instantanément à des
densités de puissance bien inférieures à celles causant des dégradations
biologiques et semblait être localisée à l'intérieur ou à proximité de
l'arrière de la tête. »10
La découverte de Frey connut
d'importantes déclinaisons. Dans son article « Réponse du Système
Auditif Humain aux Energies Electromagnétiques Modulées », il explique: «
comment des voix peuvent être émises directement dans la tête d'un
individu ». D'autres domaines d'étude concernaient l'induction de crise
cardiaque par un rayonnement électromagnétique.11
Parmi les
chercheurs impliqués dans Pandora, se trouve le Docteur Nazi Deitrich
Beischer, qui fut récupéré lors de l'opération Paperclip et qui irradia,
avec des niveaux d'énergie dangereux, 7000 marins au Laboratoire Naval
de Recherches Aérospatiales de Pensacola en Floride. Beischer disparut
en 1977 et son histoire professionnelle et toute trace de son existence
furent expurgées.
Le chercheur espagnol Jose Delgado était
lui-aussi impliqué dans Pandora.9 En 1972, le Département aux Armées
publia un rapport titré «Comportement Offensif Contrôlé – U.R.S.S. »
présentant 500 études russes sur l'usage d'« Oscillations
Electromagnétiques Super-haute Fréquences ». Ce rapport montrait que «
les très hautes fréquences peuvent être utilisées pour modifier le
comportement humain. »
«Des effets létaux et non létaux ont été
démontrés. Lors de certaines expositions non-létales, des modifications
précises du comportement ont été observées .»12
La même année le
Centre de Recherches sur les Equipements Mobiles de l'Armée U.S. publia
une étude titrée « Analyse des Micro-ondes en tant que Barrière de
Défense ». Le rapport présentait l'utilisation d'un équipement
transportable sur un camion afin de diffuser des ondes capables
d'immobiliser les personnes et affirmait que dans l'état de l'art il
n'existait pas d'équipement de protection contre ce dispositif.13
A
la même époque, l'ingénieur en électronique Tom Jaski conduisait des
expériences mettant en oeuvre un oscillateur de faible puissance
émettant dans la bande de fréquence 300-600 Mhz pour irradier les
personnes. Lors d'essais répétés, les sujets étaient capables de
ressentir le déplacement du rayonnement et « à des fréquences précises,
les mêmes sujets dirent avoir perçu des sensations de pulsations dans le
cerveau, de sonnerie dans les oreilles et une envie furieuse de mordre
les expérimentateurs. »14
Alors que les recherches sur le
contrôle de l'esprit progressaient, le potentiel des micro-ondes pour
influencer de manière directe et précise le comportement humain devint
évident. Des technologies permettant de projeter directement dans la
tête de sujet « en aveugle » des émotions et des commandes subliminales
furent développées par les gouvernements américain et soviétique. Parmi
de nombreux autres projets, le Département de la Défense proposa en 1974
l'utilisation d'émissions radio permettant un contrôle par l'hypnose:
Schapitz
écrivit « Dans cette enquête... il sera montré que les mots prononcés
par un hypnotiseur peuvent être transportés par énergie
électromagnétique directement dans la partie subconsciente du cerveau
humain – i.e. sans employer aucun équipement pour la réception et la
démodulation du signal et sans que la personne soumise à cette influence
n'ait une chance de contrôler volontairement l'information insérée.

La
seconde expérience devait être la suggestion mentale d'actes simples,
comme le fait de quitter le laboratoire pour aller acheter un article
particulier, qui devaient être déclenchés par une heure donnée, des mots
ou des signes. Les sujets devaient être interviewés par la suite.
Il était envisagé que les sujets arrivent à contrôler leur comportement et puissent exercer leur liberté de conscience. »
Les résultats des expériences de Schapitz ne furent jamais rendus publics.15
En
1978, le Docteur Andrew Michrowski écrivit que: « potentiellement
pratiquement n'importe quoi pourrait être inséré dans le cerveau visé et
de telles insertions seraient traitées par le système biologique comme
des donnés/effets générés en interne. Des mots, des phrases, des
images, des sensations et émotions pourraient être insérés et ressentis
par la cible biologique comme des états, codes, émotions, idées et
pensées internes. » 16
Le 20 avril 1976, un brevet fut déposé
concernant un « Appareil et Méthode pour Capter et Altérer à Distance
les Ondes Cérébrales ». Son inventeur était Robert G. Malech, de New
York. D'après le résumé du brevet c'est « un appareil et la méthode pour
détecter les ondes cérébrales à partir d'une position distante du sujet
de telle manière que des signaux électromagnétiques de plusieurs
fréquences sont transmises simultanément au cerveau du sujet. » Bien
qu'utilisant un jargon technique le « Résumé de l'Invention » comporte
des informations intéressantes pour le chercheur:

«
Cette invention concerne l'appareil et la méthode pour détecter les
ondes cérébrales alors que tous les composants de l'appareil sont situés
à distance du sujet. Plus spécifiquement les émetteurs hautes
fréquences sont utilisés pour rayonner des énergies électromagnétiques
de plusieurs fréquences grâce à des antennes qui peuvent balayer la
totalité du cerveau du sujet ou une région précise. Les différents
signaux pénètrent le crâne de l'individu et affectent son cerveau ou ils
se mélangent avec les ondes induites par l'activité électrique normale
du cerveau, générant une onde d'interférence. Cette onde d'interférence
est détectée par une antenne située dans une station à distance où elle
est démodulée et analysée pour déterminer l'état des ondes cérébrales du
sujet. En plus de détecter passivement les ondes cérébrales du sujet,
l'état neurologique du sujet peut être affecté en transmettant à son
cerveau un signal de compensation. Ce signal peut être issu du
retraitement des ondes cérébrales précédemment reçues. » 17
Dans
les années 1980 à 1983, le Corps des Marines à financé des recherches
d'armes électromagnétiques dirigées par le spécialiste en ingénierie
biomédicale Eldon Byrd. La part du lion de ces recherches furent
conduites par l'Institut de Recherche en Radiobiologie des Forces Armées
à Bethesda, Maryland. Des recherches furent réalisées sur de petits
animaux et Byrd lui-même. Son intérêt se portait sur la possibilité
d'influencer ou d'asservir l'activité cérébrale d'organismes vivants
grâce à des ondes électromagnétiques.
Utilisant des
émissions électromagnétiques, Byrd rapporte « Nous pouvions plonger un
animal dans la stupeur en les frappant de ces fréquences. Nous avions
des cerveaux d'oiseau in vitro afin d'y déverser 80% des opioïdes
naturellement présents. Les effets étaient non-létaux et réversibles.
Vous pourriez inactiver une personne temporairement. » Il suggère que «
cela aurait été comme un pistolet hypodermique ». Le programme de
recherche de Byrd devait durer 4 ans mais il fut fermé au bout de 2.
Byrd révèle que ce n'était pas l'échec des recherches qui en était la
raison: « Le travail était vraiment de qualité. Nous aurions pu
développer une arme en moins d'un an. »
Byrd suppose que ce
travail ne fut pas arrêté mais qu'il fut simplement changé en un
programme clandestin. Cette affirmation n'est pas excentrique sachant
que plusieurs autres chercheurs dans le domaine de l'électromagnétisme
rapportent les mêmes faits: leurs travaux leurs ont été retirés au
moment précis ou ils commençaient à obtenir des résultats concluants.
Une
revue aussi conservatrice que la Revue Internationale de la Croix Rouge
a reconnu l'existence, en 1990, d'armes à rayonnement dans le domaine
militaire. Les auteurs de l'article titré «Le Développement de Nouvelles
Armes Antipersonnelles » affirment:
« Les effets induits dans
les êtres humains par les ondes électromagnétiques ont été connus, bien
qu'imparfaitement, depuis longtemps et ont donné lieu à des recherches
continues. En fonction de la fréquence utilisée, du mode d'émission, de
l'énergie émise et de la forme et de la durée de l'impulsion, les
radiations électromagnétiques dirigées sur le corps humain peuvent
produire un échauffement et causer de graves brûlures ou même changer la
structure moléculaire des tissus touchés.
Les recherches dans ce
domaine ont été menées dans pratiquement tous les pays développés ,
spécialement dans les 'grandes puissances' dans le but d'utiliser ces
phénomènes pour un usage anti-matériel ou anti-personnel. Des tests ont
montré que des impulsions micro-ondes puissantes pourraient être
utilisées en tant qu'arme dans le but de mettre l'adversaire hors de
combat (en français dans le texte) ou même de le tuer. Il est possible
aujourd'hui de générer des impulsions très puissantes (entre 150 et
3000 Mhz), avec un niveau d'énergie de plusieurs centaines de mégawatts.
En utilisant des antennes spécialement adaptées, ces générateurs
peuvent en théorie transmettre à plusieurs centaines de mètres assez
d'énergie pour cuire un repas. Néanmoins, il est important de mentionner
que des effets incapacitants peuvent être obtenus par ce type
d'équipement en utilisant des niveaux d'énergie bien plus faibles. En
utilisant le principe de la focalisation des ondes, qui permet de
contrôler la géométrie de la cible, grâce à des systèmes d'antenne
spécialement étudiés, l'énergie émise peut être concentrée sur de
petites surfaces du corps humain, par exemple la base du cerveau, où une
relativement faible énergie peut produire la mort. »
En 1991,
l'agence de presse ITV rapporta le premier cas connu d'utilisation d'une
arme subliminale sur le champ de bataille et « la véritable raison de
l'attaque, semble-t-il illogique, et apparemment suicidaire, des troupes
Irakiennes contre la ville désertée de Al-Khafji … 12 kilomètres au sud
de la frontière koweïtienne... » D'après ITV les irakiens réussirent
leur attaque destinée à détruire une station radio FM qui avait été
installée à Al-Khafji par le service des opérations PSI du Département
de la Défense des U.S.A. Bien que la station semblait ouvertement
diffuser de la propagande de type « Tokyo Rose », des déserteurs
irakiens ont soutenu que la véritable mission de cette station était de
diffuser « le nouveau type de messages subliminaux de haute technologie,
dénommé 'son silencieux' ou 'subliminaux silencieux' de ultra haute
fréquence. »
D'après ITV, « Bien que totalement silencieux pour
l'oreille humaine, les messages négatifs ajoutés sur les bandes
au-dessus du programme audible par les spécialistes des opérations PSI
étaient clairement perçus par le subconscient des soldats irakiens et
ces messages silencieux les démoralisaient complètement en instillant un
sentiment permanent de peur dans leur esprit. » 18
En 1993 une «
Méthode pour Induire des Etats Mentaux, Emotionnels et Physiques
Inconscients, Incluant des Activités Mentales Spécifiques, dans l'Etre
Humain » fut déposée par son inventeur, Robert A. Monroe. Feu Monroe
était un pionnier de ce qui est dénommé « vision à distance », ou voyage
hors du corps, et il fonda l'Institut Monroe à Charlottesville,
Virginie. On considère qu'il avait des relations étroites avec la CIA.19
Le
résumé de l'invention de Monroe précise que des états de conscience
spécifiques peuvent être induits « par la génération de signaux audio
stéréophoniques ayant des formes d'ondes spécifiques » et que « selon
l'invention, les ondes cérébrales humaines, du type EEG, sont
superposées sur des signaux audio stéréo spécifiques, connus en tant que
fréquences porteuses et qui sont audibles pour l'oreille humaine. »
Monroe
fit évoluer son invention et déposa le brevet intitulé « Fonctionnement
d'un Appareil pour Induire des Etats de Conscience Donnés »,
apparemment un type nouveau et amélioré de sa proposition initiale.20
En 1982, la Revue de Biotechnologie de l'US Air Force prévenait que
«
Les champs de radiations radiofréquences (RFR) pourraient constituer
une grave et révolutionnaire menace pour le personnel militaire … les
expériences portant sur les RFR et la compréhension croissante du
fonctionnement du cerveau comme étant un organe électrique suggèrent
avec une forte probabilité que des champs électromagnétiques puissants
peuvent interrompre le comportement normal et pourraient être capable de
connaître et diriger les comportements. De plus, le passage d'environ
100 milliampères à travers le myocarde peut mener à un arrêt cardiaque
et la mort, ceci mettant encore en avant la fulgurance de ce type
d'arme. Un système RFR permettant de balayer à grande vitesse le terrain
pourrait étourdir ou tuer les troupes sur une grande étendue. »
Il
y a peu de doutes qu'il existe des systèmes de contrôle des foules
utilisant les radiofréquences. Le développement de ce type d'équipement
viendrait en complément des armes acoustiques et à infra-rouge, qui sont
bien connues et étaient publiées dans le Catalogue de la Défense
Britannique jusqu'en 1983. Ceci incluait le « Valkyrie », un équipement à
infra-rouge provoquant une héméralopie et le « Haut Parleur » (dans le
texte « Squawk Box ») ou « Son Terrifiant » (dans le texte «Sound
Curdler »), développé par les USA lors de la guerre du Vietnam. La "Haut
Parleur" était étudié pour induire une sensation de vertige et la
nausée. Cette arme est directionnelle, ce qui permet d'atteindre les
individus de manière invisible et de répandre la détresse et la
confusion dans la foule... En 1984 le Ministère de la Défense ordonna
que toutes publicités et toutes références aux « armes à fréquences »
soient supprimées du Catalogue de la Défense ».21
Dès 1993,
l'Institut National de la Justice (NIJ), un service du Département de la
Justice, recommandait dans son « Initiative du NIJ à propos des Armes
Moins Que Létales », que les services de police fédérales et locales
d'Amérique utilisent des armes psychotroniques électromagnétiques et
autres types d'armes de contrôle de l'esprit contre les citoyens
américains qui seraient impliqués dans des troubles à l'ordre public– un
terme très large incluant même les querelles familiales. Le rapport
mentionnait « Des recherches seront complétées à court terme pour
adapter des technologies militaires au maintien de l'ordre public …
incluant les lasers, les micro-ondes et l'électromagnétisme ». Le
Washington Post rapporte que « le Pentagone et le Département de la
Justice se sont accordés pour partager leurs connaissances
technologiques avec les agences civiles de maintien de l'ordre, y
compris en ce qui concerne les « exotiques » armes non-létales. »
Cette
nouvelle approche de maintien de l'ordre fut mise en scène lors d'une
conférence secrète de trois jours sur les armes non létales au
Laboratoire de Physique Appliquée de l'Université Johns Hopkins dans le
Maryland. Le Président de la conférence était le Colonel John B.
Alexander, Directeur de Projet de la défense non-létale (psychotronique)
au Laboratoire National de Los Alamos. Le Procureur Général Janet Reno,
des spécialistes de l'armement militaire et des représentants de la
police fédérale et locale étaient conviés. Une grande variété de sujets
furent couverts lors de cette conférence, y compris « les armes
radio-fréquence, les technologies à micro-ondes de puissance, la
synthèse vocale et les applications des champs électromagnétiques de
fréquences extrêmes comme armes non-létales. »
L'US Air Force a
installé des générateurs de puissance de micro-ondes sur des missiles de
croisière aériens. L'objectif officiel du générateur de rayonnement est
d'être un élément de la guerre électronique permettant de griller les
circuits informatiques, mais ces générateurs pourraient aussi en théorie
griller les fragiles composants du cerveau humain.22
Est-ce que
l'armement électromagnétique a déjà dépassé le stade expérimental pour
être utilisé sur des humains? Est-ce qu'il a déjà été utilisé sur une
population innocente comme les drogues et d'autres formes de
manipulation du comportement utilisées lors du programme MKULTRA? Des
milliers de personnes partout dans le monde le croient. Ils soutiennent
que des armes d'assaut électronique ont été utilisées contre eux, soit
pour faire des expériences, soit pour harcèlement. Le nombre
incontestable de ces récits, la concordance avec ce qui a été confirmé
concernant les expériences du gouvernement, et la crédibilité des
personnes soutenant fermement ces témoignages amènent à croire à
l'utilisation occulte de ces armes sur des civils.
Martin C. Mark
est un de ceux qui affirme avoir été irradié par un rayonnement
électronique. Dans une lettre ouverte M. Mack décrivit son expérience:
«
Je suis un ancien chauffeur routier, maintenant en retraite. Mes
problèmes ont commencé à l'automne 1987 quand j'ai loué une chambre à
Seattle, Washington. Le locataire … qui était mon voisin avait des
visiteurs qui essayaient de n'être pas vu de moi. J'entendais des
commentaires sur mes actes, venant me semblait-il de sa chambre. D'une
manière ou d'une autre ils étaient capables de me faire entendre et
aussi de capter mon audition – entendre ce que j'entendais. Aussi
étrange que cela paraisse, ma tête paraissait être une sorte d'antenne
et je captais des choses, non pas de manière subliminale mais audible.
Ils
connaissaient mes allées et venues et faisaient des commentaires.
Lorsque j'étais à l'hôtel, j'entendais des paroles concernant ce que je
faisais. Ils pouvaient rapporter la plupart de ce que je faisais dans
cet immeuble. J'ai supposé qu'ils devaient avoir un moyen quelconque de
me voir.
J'entendais des propositions de se débarrasser de moi en
rapport à ce qu'ils étaient en train de faire, tel que 'le stinger va
atteindre 35 pieds' et 'il y a un miroir sans tain dans le hall ',
'faisons lui tester!'.
Ceci a eu lieu avant que je sorte, et
après: 'il a un microphone dans la gorge'. Bien-sûr, je n'en ai pas. Il
était entendu qu'ils pouvaient capter ce que j'exprimais.Tout ceci me
semblait irréel. Etant donné tout ce qui a filtré au cours de ces années
je sais que ces faits sont réels, quelque soit ce que d'autres
personnes peuvent en penser.
Une nuit ma colonne vertébrale
devint très chaude. Cette région est sensible à la chaleur et c'est une
partie du système nerveux. La chaine de réflexe qui passe dans la
colonne fut excitée et mon corps fit un sursaut.
Ils pouvaient
chauffer jusqu'à la douleur l'arrière de mes omoplates. L'os qui les
couvre est sensible à la douleur. Ils décidèrent de me faire quitter cet
endroit et y réussirent avant la fin du mois.
Il y a un moyen de
rendre une personne spécifiquement sensible à certaines fréquences
radio porteuses modulées et cela fut réalisé sur moi lorsque j'étais
là-bas. Avant de partir, je demandais combien de temps étaient restés
les deux précédents locataires de cette chambre. 'Un mois ou deux', dit
le manager. Je n'étais pas blessé trop gravement après qu'ils m'aient
forcé à déménager.
A propos du contrôle du de l'esprit et du
comportement: Il n'y a pas vraiment d'intérêt à stimuler une personne si
vous n'avez pas une réponse audible ou visible du sujet. Ce qui est sûr
c'est qu'ils m'ont entendu.
Voici comment je pense que cela est
réalisé: une fréquence porteuse non modulée est émise depuis un endroit,
de préférence de fréquence basse. Elle passe dans la colonne et la
tête du sujet. L'onde porteuse est modulée par l'activité
électromagnétique résultant de l'audition (le discours et le discours
interne de la victime). Le produit du mélange des ondes est récupéré. Je
suppose que les champs parasites sont filtrés par le récepteur. Si ce
qui est reçu par les assaillants leur déplait un stimulus douloureux est
incorporé à la porteuse pour infliger une peine au sujet afin de forcer
le contrôle du comportement et de la pensée.
Il y a encore bien
plus que cela. Toutes sortes de réponses peuvent être portées dans le
corps et la tête par la modulation d'une fréquence porteuse par diverses
fréquence audibles et énergies: des voix et des douleurs crâniennes,
des douleurs aux oreilles et autres localisation et même des douleurs
cardiaques, induisant une forme de torture et la mort. Un très fort
claquement peut être infligé à l'avant de la tête. Le son peut être
modulé avec des pics et causer des chocs douloureux. Des douleurs et
des piqûres aux yeux ont été causées. La torture par une un échauffement
aigu est supposément due à une mise en vibration des molécules situées
dans l'extrémité des récepteurs nerveux de la chaleur. Pendant qu'ils
sont en train de penser à ce qu'ils font ou sont en train de lire,
certaines personnes utilisent le discours intérieur ou l'expression
silencieuse. La trachée a un fonctionnement piézoélectrique et agit
comme un capteur.
Le discours intérieur a été enregistré
directement à partir de la gorge par des chercheurs. Il existe depuis
longtemps des éléments montrant qu'ils sont capables d'intercepter le
champ électromagnétique lié au discours interne. Ils ont commenté ce que
je me disais intérieurement à de nombreuses reprises. Les muscles des
épaules peuvent être rendus tendus et douloureux, ceux du cou aussi. Le
muscle cardiaque peut être rendu douloureux. Je suis surveillé 24 heures
sur 24. Mon sommeil est réduit chaque nuit. Les assaillant avaient
besoin d'un cobaye pour tester leur équipement sur le terrain et ils ont
largement pratiqué sur moi.. »23
Regina Cullen, une résidente du
Royaume Unis, rapporte elle aussi avoir été victime d'attaques
électroniques. Elle pense qu'elle a été visée à cause d'une plainte
portée contre la police locale en 1984. Après avoir subi divers type de
harcèlement, comme avoir les pneus de son vélo crevés, sa voiture
fracturée et avoir été molestée deux fois, elle rapporte que « une
nouvelle forme de harcèlement apparue: ma maison était inhabitable à
cause 'd'attaques de fréquences'. Je sais maintenant que ce sont des
micro-ondes et/ou des infrasons qui transformaient ma chambre en un
lieux de torture. »
Cullen rapporte qu'elle était harcelée par un
«bourdonnement irrégulier » dont elle ne pouvait pas dire d'où il
provenait, apparemment plus intense lorsqu'elle était étendue... Cela se
répercutait principalement dans la zone juste à l'arrière des oreilles,
vers l'os mastoïde qui est plein de poches d'air et cela me causait des
douleurs aux yeux ainsi qu'une sensation de confusion au niveau du
front et comme si on agissait dessus. »
Elle fut forcée de
déménager plusieurs fois dans les années qui ont suivi. Elle dit que «
parfois j'étais contrainte et forcée de quitter ma maison, où je
revenais au milieu de la nuit alors que tout était calme et dix ou vingt
minutes plus tard les attaques de fréquences recommençaient. »
A propos d'un de ses résidences elle dit:
«
Je pense que la source d'émission était au dessus, à moins qu'un
système miniaturisé ait été utilisé dans mon propre appartement, car
cela ce passait au 11ème étage. Il n'y avait pas de maison aussi haute
dans les environ et l'appartement au-dessus était habité par le gérant
de l'immeuble. Le jour où cela est arrivé il y avait un homme semblant
dormir dans une voiture rouge parquée à moitié sur le trottoir devant
l'entrée principale de l'immeuble. J'ai tout de suite eu peur de lui,
mais me retint d'être paranoïaque. Deux semaines plus tard alors que je
poursuivais un bus et que le regardais par dessus mon épaule, je l'ai vu
se cacher derrière une camionnette pour que je ne le vois pas. »
Cullen
rapporte aussi que « Précédemment, alors que j'étais retournée dans le
coin nuit de mon studio, j'eu l'intuition de regarder par le judas de la
porte alors que, dans le couloir, un homme en imperméable, genre
détective, qui prenait garde de ne pas se faire entendre, donnait au
malfaiteur une boite étrange, avec des demi-sphères en plastique orange
de chaque côté. Peu après je l'ai nettement vu transporter une sorte de
petite suspension en forme d'arbre de noël et il semblait irrité que je
l'ai vu. »
Une fois, alors que Cullen était dans son jardin, «
Quelque-chose qui m'a frappé dans la tête avec un drôle de son comme
'fzzzzzzssst' semblait venir de l'autre côté de la clôture. J'étais
terrifiée et ne pouvais plus dormir. Plus ou moins une année après,
alors que je me trouvais devant la fenêtre à l'avant de ma maison, avec
les rideaux ouverts, le même phénomène eu lieu et ma télé afficha
immédiatement de la « neige ». Cette fois le rayonnement provenait de
l'autre côté du jardin et en hauteur, précisément de l'endroit ou en
1986 était apparu pendant un court instant une pinceau de lumière
blanche visant la fenêtre de ma salle de bain. »
Cullen décrit deux types d'attaques électroniques:
«
Les symptômes de type 1 incluent une sensation étrange que les deux
hémisphères de mon cerveau se séparent, créant un espace entre les deux,
comme si des parties de mon cerveau étaient réorganisées dans l'espace,
comme dans les peintures cubistes. Il y a une légère impression de
boursouflure du visage, un écrasement du nez et de perte des contours. »
Les
symptômes de type 2 incluent la sensation que « je ne pouvais
pratiquement pas respirer et avais l'impression d'être dans un four.
Chaque respiration était comme respirer l'air brûlant du désert,
accompagné des habituels mots de tête et d'une grande lassitude, les
yeux douloureux et fatigués, de la fatigue, une peau chaude brûlante, de
douleurs cicatricielles et un sentiment accablant d'oppression, de
mal et d'inutilité. »24
D'autre cas significatifs d'attaques
électroniques ont été rapportés par des victimes supposées de
harcèlement de l'esprit qui ont vu des équipements suspects dans
l'environnement de leur habitation. Plusieurs de ces récits ont été
recensés par l'Association des Anciens de la Sécurité Nationale dans le
cadre de leur Projet de Surveillance Electronique, dans le but de
documenter et faire connaître les cas d'abus de contrôle de l'esprit aux
USA.
Une des femmes étudiées par le Projet de Surveillance
Électronique rapporte qu'elle avait discuté avec son voisin, qui
prétendait être un officier de renseignement militaire employé dans une
entreprise de technologie spatiale, et être actuellement chargé d'un
travail d'une année dans leur immeuble. Il fut par la suite trouvé que
cette personne n'était pas un personnel militaire. Lorsque ce prétendu
officier de renseignement militaire déménagea, sa voisine se rendit dans
l'appartement et y trouva un équipement de la taille d'un four à
micro-ondes et constata que le mur donnant sur son appartement avait été
« creusé ».

Une
autre supposée victime de harcèlement par contrôle de l'esprit regarda
par le fenêtre de l'appartement de son voisin pour y voir une boîte
grise de 30 cm par 1mètre 50. Une lentille noire pointait dans la
direction de son appartement. D'après le témoin, le boite était
manipulée par un homme en costume trois pièces qui sembla saisit
lorsqu'il constata qu'il était observé.
Inscription à : Articles (Atom)
Commentaires
Enregistrer un commentaire