L’islam et le nazisme sont-ils à mettre dans le même panier? Dominique Schwander
Le rêve d’unir tous les arabes et de prendre le contrôle de tout le Moyen-Orient et de l’Afrique du nord a été le thème central dans cette région aux XXème siècle et, par un fâcheux concours de circonstances, d’ingérences et d’opérations sous fausse bannière, le reste de nos jours. Le Kaiser allemand Guillaume II, Hitler, l’URSS, les USA, Jamal Abd an-Nasir, Saddam Hussein, Arafat, Mohammed Amin al-Husseini, Bin Laden, Kadhafi et autres leaders musulmans, européens et américains du nord s’y sont essayés, mais sans succès. Au contraire de Putin, quoiqu’on puisse penser de lui, un dirigeant qui s’est instruit par les malheurs d’autrui et l’échec de l’URSS en Afghanistan, tous ces hommes n’ont guère appris des leçons de l’histoire. Le Souverain devrait exiger que davantage d’élus aient obtenu une licence en histoire, plutôt que, par exemple, une licence en droit.
Comme l’on fort bien étudié en détail Barry Rubin et Wolfgang Schwanitz dans leur récent ouvrage « Nazis, Islamists, and the Making of the Modern Middle East », lors de la première guerre mondiale, les Allemands essayèrent de fomenter au Moyen-Orient un « jihad » germano-ottoman et le financèrent pour gagner le Moyen-Orient et l’Afrique du nord à leurs fins. Mais ce sont les nazis qui s’investirent et marquèrent le plus le Moyen-Orient. Souvent avec un succès durable comme l’illustre cette maxime syrienne pendant la deuxième guerre mondiale: « Plus de Monsieur, plus de Mistress, (soit plus de colonialisme français et anglais); Allah au ciel et Hitler sur terre ».
Les Anglais firent l’erreur de nommer, le 10 mai 1921, Mohammed Amin al-Husseini grand mufti de Jérusalem (1885-1974). Ce dernier s’est précipité au consulat allemand de Jérusalem pour féliciter Hitler dès son élection comme chancelier. Ce sont bien les Anglais qui le promurent au plus haut poste des guides et leaders musulmans, ce qui lui permit de devenir rapidement un grand leader politique. Le grand mufti fut l’allié non-gouvernemental le plus important, fidèle et admiratif des nazis. Pour lui, depuis toujours et pour les nazis depuis 1941, les juifs étaient les méchants de toute l’histoire de l’humanité et l’ennemi éternel qu’il faut exterminer. «L’apôtre d’Allah (la paix soit sur lui) a dit: aucun musulman ne mourra sans qu’Allah n’admette à sa place un juif ou un chrétien dans le feu de l’enfer». (Hadith Muslim, livre 037, numéro 6666). L’antisémitisme de l’islam est toujours absolu: n’importe quel juif est un ennemi à abattre.
Qui a été le banquier de ce al-Husseini? C’est le banquier nazi suisse François Genoud (1915-1996), qui connaissait ce grand mufti de Jérusalem depuis 1933 et qui lui rendit encore visite à Beyrouth en 1970. Ce banquier reçu beaucoup d’argent sur des comptes turcs pour aider à sauver des membres de l’élite de l’armée allemande. Il fut un des banquiers des frères musulmans dits aussi princes de l’islam. Il fut aussi le banquier de Khomeini lorsque ce dernier fut accueilli chaleureusement en France dans les années 70. Enfin il fonda à Lugano la banque Al Taqwa qui aida à financer al-Qaida et le Hamas. Cette banque fut fermée par les autorités helvétiques dès après les attentats du 11 septembre.
Dans son enseignement en Allemagne nazie, al-Husseini a, mieux que tout autre, décrit les similitudes entre les idéologies islamique et nazie; à le lire, l’islamidéologie et le nazisme c’est du pareil au même.
De même dans son livre de l’époque nazie publié en 1941, le professeur nazi Hans Lindemann considère l’islam et le nazisme comme des alliés naturels: les musulmans croient en un seul et unique leader ou « Führer », socialisme-national et islam partagent les mêmes valeurs telles que enthousiasme, discipline, ordre, passion pour l’unité, ont souffert les mêmes humiliations et défaites, sont unis dans la haine des juifs et désirent que leurs peuples deviennent les pouvoirs mondiaux. Lindemann ne voyait qu’une seule discordance: la polygamie; mais il était persuadé qu’elle allait disparaître grâce à la bonne influence germanique.
Les idéologies marxiste, nazie et musulmane ont toutes les trois des caractéristiques communes telles que: économie étatique, mobilisation des masses populaires, populisme, paternalisme, idéologie suprématiste, violente, intolérante, et totalitaire, monopole de l’état sur tous les aspects de la vie. A noter cependant que l’islam-idéologie ne permet pas que les musulmans se lient avec des marxistes athées.
Pour l’islam-idéologie, la famille est le groupe de base de la société, le père commande; cet empire paternel accoutume le peuple à la domination d’un seul « Führer »; la maternité est vénérée et considérée comme faisant partie du « djihad »; l’avortement est interdit. Avec le soutien de conservateurs et de catholiques, les nazis luttèrent également contre les groupes qui défendaient l’avortement, la décriminalisation de l’homosexualité, la liberté sexuelle et les méthodes contraceptives. Pour la doctrine nazie, aussi, le premier devoir de la femme était d’enfanter de futurs soldats. Tous comme les musulmanes, les femmes allemandes furent élevées au rang de mères de la nation. Hitler avait même créé l’association « Lebensborn », patronnée par l'État et gérée par la SS, dont le but était d'augmenter le taux de natalité aryenne en permettant aux filles-mères possédant de bonnes qualités raciales, d'accoucher anonymement et de remettre leur nouveau-né à la SS qui en assurait la charge, puis l'adoption.
Pour l’islam, la priorité est la communauté des croyants; le bien-être du groupe, sous la direction du « Führer », est plus important que le bien-être de l’individu. Le nazisme condamnait l’esprit matérialiste individualiste juif et déclarait sur sa monnaie frappée après 1934: « Le bien commun passe avant le bien individuel ».
L'interdiction du « riba » ou intérêt est une règle fondamentale de l’islam (banque islamique « halal »). La « charia » considère l'argent comme un simple moyen d'échange. Par conséquent, l’argent ne peut pas, à lui seul, faire l'objet d'un contrat ou être utilisé comme un moyen de réaliser un profit. Pour l’islam, un usurier c’est un être horrible comparé à quelqu’un « qui baise sa mère » ou « qui se masturbe 33 fois de suite ». Cette attitude violente et négative pour interdire l’usure est typique du style de langage et de prêche idéologique des guides musulmans, en particulier des « imans » dans les lieux où leurs disciples se prosternent. Les nazis s’opposaient également au prêt à intérêt, le critiquaient et le décrivaient dans leur propagande comme une « invention diabolique du grand capital ». A noter que le catholicisme a interdit l'intérêt et l'usure jusqu'en 1830 et n’a reconnu l'économie de marché qu'en 1991. En 1387, L'évêque de Genève, Adhémar Fabri, fut un précurseur; il autorisa les banquiers de la ville à prêter de l’argent, avec retenue et en échange d'un intérêt raisonnable. Quant au protestantisme, il a vu ses positions varier au cours du temps; à Genève, Jean Calvin (1509-1564) proposait des prêts sans intérêt aux pauvres et des prêts avec intérêts aux riches.
Les musulmans ignorent et les Nazis ignorèrent la vérité historique, émise déjà par Voltaire, qu’une monnaie papier, basée sur la seule confiance du gouvernement qui l’imprime, finit toujours par retourner à sa valeur intrinsèque, c’est-à-dire zéro. Cette ignorance conduisit l’Allemagne nazie à la ruine et le dollar (pétrodollars compris )fait de même. « Tout papier-monnaie est une orgie du despotisme en délire. » a affirmé Mirabeau dans une envolée bien digne de lui. Ignorant les classiques, l’état alchimiste USA a introduit dans l’économie mondiale l’illusion de la richesse plutôt que la vraie richesse; autrement dit les USA ont développé l’inflation en imprimant des trillions de USD et en stimulant la consommation sans augmenter, si ce n’est au moins proportionnellement leur productivité. D’où stagnation économique dans tout l’Occident.
L’islam-idéologie et le nazisme déifient leurs « Führer » et organisent la société avec une idéologie qui supprime la liberté et le débat dans la société.
Leur profession de foi publique caractérise le musulman et le nazi : pour les uns le salut hitlérien (« der deutsche Grüss ») soit « Heil Hitler » en joignant et claquant les talons et en levant la main droite, pour les autres la prière exhibitionniste en public, le derrière dans une posture obscène pour bien montrer qu’on est un fervent musulman, pas un musulman indifférent et/pas pratiquant. De plus tant des groupes d’arabes membres du « Hamas » que des groupes de Perses de l’Etat chiite d’Iran font le salut hitlérien.
Islam et nazisme se méfient des juifs, les haïssent et les combattent; leur objectif commun est d’exterminer les juifs. Tous deux utilisent les juifs comme des boucs émissaires, dont l’éradication leur apporterait paix, puissance et richesse.
L’islam et le nazisme sont racistes. Les individus juifs sont des poltrons intéressés que par l’argent. Les individus musulmans et les allemands eux sont courageux, généreux, estiment le travail et veulent éliminer le mal dans le monde.
La croyance en un seul dieu et l’empire paternel enseignent aux musulmans à n’obéir qu’à un seul dirigeant qui prend seul les décisions, que se soit un calife peu après la mort de Mahomet et actuellement entre autres en Iraq et en Syrie ou un « Führer » comme Hitler pour les nazis. Le calife est, au contraire du sultan dont le pouvoir n’est que temporel, le lieutenant de Allah soit le représentant direct de la volonté de Allah sur terre.
L’ordre, la discipline, l’obéissance, la détermination, l’esprit guerrier des SA, des SS et des guerriers de dieu (« moudjahid ») et le machisme sont des valeurs centrales des deux idéologies. « Befehl ist Befehl » ou un ordre c’est un ordre. « Meine Ehre heisst Treue » ou mon honneur se nomme fidélité. Pour l’islam et le nazisme, l’obéissance et la force du mental sont décisives pour la victoire.
Les frères musulmans proclament: « Notre constitution est le coran » et ces mêmes frères musulmans indignés veulent nous détruire. Les nazis eux disaient: « Notre constitution, c’est la volonté du Führer ». Et Goebbels, le chef de la propagande du Führer, adressa ces mots aux adversaires d’Hitler : « Vous nous traitez d’instruments de la destruction, mais nous autres, nous nous appelons les enfants de l’indignation. Nous voulons le bouleversement radical de toutes les valeurs. On nous craindra. »
Pour l’islam et le nazisme, le peuple est une communauté, (dénommée en arabe« umma" ou « omma »), qui vit dans un état fort et puissant.
Le « jihad » avec le sacrifice de sa vie est un des devoirs principaux de l’islamidéologie; dans le coran on retrouve 22 fois le mot « jihad » utilisé dans le sens général de guerre, que 3 fois dans un sens « spirituel » et 10 fois dans un sens strictement guerrier. De même, le nazisme avait comme valeurs la lutte, la guerre et le sacrifice de soi. La vulgate idéologique altruiste-sacrificielle du nazisme et son évangile du sacrifice réclamaient, également, le sacrifice de l'individu pour le bien commun. Dans les foyers des jeunes SA des célèbres «Sturmabteilungen» (sections d’assaut), on pouvait lire: « Nous sommes nés pour mourir pour l’Allemagne». Les jihadistes musulmans vont encore plus loin: ils désirent mourir au combat pour accéder au paradis.
Les musulmans réclament l’application universelle de la « charia ». Le nazisme, aussi, souhaitait que l'Etat s'introduise partout et que sa « religion » règle chaque détail des affaires humaines, de la naissance à l’enterrement.
Encore récemment en 2005, dans son livre « La maladie de l’islam », l’auteur d’origine tunisienne Abdelwahab Meddeb estime qu’islam et fascisme sont équivalents.
Et enfin, pendant la deuxième guerre mondiale, l’islam et le nazisme pensaient qu’une future victoire des alliés aurait été un triomphe pour les juifs et une catastrophe pour les musulmans.
Comme l’illustre ce qui suit, Adolph Hitler (1889-1945) était, lui aussi, en harmonie avec l’islam-idéologie. Hitler était, tout comme les guides musulmans du VII ème au XXI ème siècles et les califes, bien conscient qu’une religion, quelle qu’elle soit, représente l’un des facteurs d’intégration et de domination les plus anciens et les plus puissants pour instaurer et maintenir en place un gouvernement totalitaire. Confirmant les positions d’universitaires nazis, Hitler affirmait, à tort tout comme nos « useful idiots" européens, que islam et christianisme étaient des religions égales. Bien que Hitler était un séculariste qui se méfiait de la religion en politique, il valorisait la capacité de fanatisme « religieux » guerrier de l’islam. Hitler a même dit que, si les Allemands avaient été musulmans et pas entravés par le christianisme, ils auraient conquis le monde. Suivant l’exemple de Mahomet, les djihadistes de XXI ème siècle glorifient leurs actes terroristes; Hitler, lui, a dit: « La terreur est l’arme politique la plus puissante et je ne m’en priverai pas sous prétexte qu’elle choque quelques bourgeois imbéciles». Mais il a aussi affirmé, non sans raison: « Seule la terreur peut briser la terreur. »
D’autres hauts dignitaires nazis avaient la même opinion que leur «Führer». «Je fus impressionné par la parenté du socialisme-national avec l’islam et cette impression n’a fait que se préciser et s’affermir depuis.» (Hermann von Keyserling 1880-1946 dans son ouvrage «La révolution Mondiale et la responsabilité de l’Esprit » Librairie Stock, 1934). « Je n’ai rien contre l’Islam, parce que cette religion se charge elle-même d’instruire les hommes, en leur promettant le ciel s’ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c’est une religion très pratique et séduisante pour un soldat. » (Heinrich Himmler, Reichführer SS. 1900-1945).
Et en 1943, le grand Mufti de Jérusalem Mohammed Amin al-Husseini (1895-1974) répondait: « Les nazis sont les meilleurs amis de l’islam ». En résumé le totalitarisme islamique et l’islam-idéologie sont marqués à jamais du sceau infamant du nazisme
Alors que l’idéologie nazie s’effondra en 1945 et disparut de l’Europe, l’idéologie musulmane nationaliste, elle, fleurit au Moyen-Orient. Aucun pays musulman n’a expulsé ou condamné un nazi pour crimes de guerre ou ses vues fascistes. Au contraire ces pays ont protégé tous les criminels de guerre allemands qui se sont réfugiés chez eux; ainsi 6 à 7 mille membres du gouvernement nazi et de son armée se sont établis au Moyen-Orient, soit beaucoup plus que les 180 à 800 qui se sont réfugiés en Amérique latine, surtout en Argentine et au Chili. Les pays arabes, que l’on dit avoir recherché des criminels de guerre nazis, sont des gouvernements qui les ont recherchés pour leur offrir des postes de travail. Tous admiraient l’Allemagne nazie et voulaient leur expert allemand en fusées, en carburants, en armes en particulier chimiques et atomiques, en médecine militaire, en génie militaire, en organisations militaro-industrielles, en espionnage, en chiffrage et décryptage, en propagande, en subversion, en contrôle des minorités, etc. Contrairement aux dirigeants nazis et aux SS, les diplomates nazis ne furent, ni poursuivis, ni obligés de se cacher; nombreux poursuivirent leur carrière au Moyen-Orient. Après la guerre, en 1950, une nouvelle traduction en arabe du livre de Adolf Hitler « Mein Kampf » a été publiée en cinq parties dans la presse, dans une nouvelle version en arabe, puis, en 1963, sous forme de livre vendu à plus de un million d’exemplaires. « Mein Kampf » serait, dans les pays musulmans, le livre le plus lu, après le Coran. Ainsi l’islam est devenu un clone du Reich nazi. En 1999, l’ancien ministre de la défense de Syrie Mustafa Tlass a sorti la septième édition arabe de cet ouvrage alors interdit en Allemagne. Pas étonnant que le parti « ba’ath » syrien qui signifie renaissance en arabe et qui a pris le pouvoir en 1963 soit si fasciste. Le parti « ba’ath » a été fondé par les alawites et les chrétiens syriens. Les alawites proches des chiites représentent les 15 à 20 % de la population syrienne qui est à majorité sunnite.. L’objectif du parti « ba’ath » était d’établir un état syrien laïque dont le slogan était « la religion pour dieu et la patrie pour chacun ». La corruption puis les USA et l’UE ont en fait, lamentablement, tout autre chose.
Lorsque entreprises et religion ou idéologie contrôlent le gouvernement, c’est par définition du fascisme, ce que les Suisses, leur Conseil fédéral et leur Général Henri Guisan (1874-1960) ont fort bien su éviter pendant la deuxième guerre mondiale.
Nulle part dans le monde, les partisans du nazisme hitlérien n’ont pris tant de pouvoir et ont exercé une telle influence idéologique sur les institutions et dans le débat national, comme au Moyen-Orient et en Afrique du nord. Ainsi l’idéologie fasciste déguisée en religion a infiltré les états du Moyen-Orient et les a rendus prêts à accueillir un renouveau du radicalisme musulman. L’islam-idéologie ou islamo-fascisme est le rêve de tout dictateur alors que la « charia » est une loi illégale dans toute démocratie qui se respecte.
Régulièrement, les gouvernants de l’Occident ont justifié cette influence par des considérations politiques et intéressées, quand ils ne se sont pas laissés corrompre. Il faut lire l’imposant et excellent ouvrage de Bat Ye’or, laquelle habite en Suisse romande, « Eurabia: The Euro-Arab Axis », pour réaliser combien et comment, dès après la deuxième guerre mondiale, nombre d’élus européens se sont comportés comme des « dhimmis », des collabos admiratifs de l’islam-idéologie et des « useful idiots ». A lire ce livre, on s’aperçoit que dans presque chaque politicien français il y a un musulman qui se cache. Il faut aussi lire l’ouvrage que Eric Zemmour a publié chez Albin Michel en 2014 « Le suicide français. Les 40 années qui ont défait la France » pour se rendre compte combien, depuis mai 1968, les élus français ont révolutionné la France, fait qu’elle s’islamise et que la France se meurt.
Eurabia correspond à une politique programmée d’union euro-arabe pour décomposer l’Europe en détruisant les nationalismes des pays de toute l’Europe et de la Russie pour renforcer le pouvoir de l’UE. Dès le début des années septante, cette politique euro-islamique veut transformer l’Europe en un continent euroislamique plus puissant que les USA ou la Russie, etc, afin de leur prendre la première place dans la mondialisation. Cette politique implique une idéologie, une planification, des réseaux, des financements pas seulement de pays musulmans mais aussi européens, des objectifs et des responsabilités prises par des chefs d’état islamo-collabos qui veulent que l’islam et les pays musulmans, en particulier ceux du pourtour de la Méditerranée, fassent partie du continent européen au même titre que le christianisme. Ces élus sont possédés par la même folie de pouvoir et le même antichristianisme qu’Hitler et son allié le mufti de Jérusalem alHusseini; ils préfèrent l’islam au christianisme et au judaïsme. Ils ne veulent pas que détruire la légitimité d’Israël et de nos racines historiques et culturelles judéochrétiennes et nous islamiser, ils s’attaquent aux fondements de toute la chrétienté. Voilà pourquoi ils ont abandonné les chrétiens du Moyen-Orient et pourquoi l’UE et évidemment l’«Organisation of Islamic Cooperation" (OIC) approuvent l’immigration militante musulmane de masse vers l’Europe et islamisent notre histoire et notre géographie après avoir islamisé leur pensée.
En Europe, tous les nazis sont agglomérés au même titre dans la même idéologie, tous sont partie prenante et co-responsables de l’épouvantable génocide. Il ne nous vient pas l’idée de parler de nazis extrémistes/intégristes/radicaux dont les actes auraient donné une mauvaise opinion d’idées politiques au fond fort respectables, sociales, pacifiques et tolérantes des nazis. Il ne nous vient pas à l’esprit que les crimes nazis ne sont que rarement dus au nazisme puisqu’ils n’ont pas été aussitôt et chaque fois revendiqués dans les médias par les dirigeants nazis! Le cas des musulmans est l’exact inverse de celui des nazis. Les gouvernants français et allemands tentent constamment d’exonérer les musulmans et l’islamidéologie des crimes terroristes musulmans sous prétexte que l’acte terroriste n’aurait pas été revendiqué! Aucune indulgence pour les nazis, toutes les excuses pour les musulmans! Les fausses excuses doivent cesser; les responsabilités doivent être endossées. Bien que chaque musulman fasse partie, au même titre que le taliban et le tueur de DAESH, du même courant idéologique, caractérisé par le même coran, les mêmes « hadiths », le même exemple à suivre soit le messager Mahomet et la même loi « charia », les européens sont assignés à ne pas faire d’amalgames entre le nazi et le musulman et entre musulmans et islam-idéologie. Les musulmans d’aujourd’hui ne peuvent pas être comparés aux Allemands d’hier. Aujourd’hui, les musulmans ont libre accès aux crimes et barbaries de leur fervents condisciples. Ils ont libre accès au contenu de leur doctrine idéologique, aux ouvrages décrivant la charia, aux livres décrivant leur messager modèle, etc. En particulier tous ceux qui sont en Europe et en Russie ont la liberté, que n’avaient pas les Allemands prisonniers d’un état policier, de pouvoir rejeter sans risque l’adhésion à une idéologie barbare qui détruit la liberté et la dignité humaine. La solution finale nazie, elle, ne fut pleinement mise en œuvre qu’au cours de l’année 1942, sans aucune publicité et dans un état policier qui empêchait la libre circulation des informations. Il n’y avait pas Face de plouc pour publier des vidéos de SS remplissant les camps de la mort, pas d’internet pour diffuser des photos des bourreaux nazis en train d’exécuter leurs victimes. Il est donc parfaitement vraisemblable que la majorité des nazis n’étaient pas au courant de ce qui se passait d’horrible dans les camps de concentration. La nature politique, violente, totalitaire et discriminatoire de l’islam-idéologie est, elle, aujourd’hui un fait solidement établi et visible quotidiennement et partout en Occident. Ce n’est pas une « religion comme les autres» comme l’affirmait Hitler. Le « spirituel » infiltré dans l’islam-idéologie ne change rien à sa catégorisation; le nazisme et le communisme maoïste avaient également des mystiques spécifiques, des cérémonies « religieuses », des livres « sacrosaints », des chefs suprêmes, un projet de société pour le monde entier et une lutte acharnée pour leur propre conception de l’ordre mondial.
L’injonction au pas d’amalgame des « useful idiots » prétend même nous forcer à absoudre tout musulman non violent de toute co-responsabilité dans les violences de fervents musulmans. L’idéologie qu’elle soit nazie ou musulmane n’est pas l’homme, mais l’adhésion à celle-ci est un acte conscient qui engage la responsabilité individuelle tant du nazi, que du musulman et évidemment aussi de leurs défenseurs, de leurs complices et de leurs partisans. La préservation de la sécurité des citoyens de nos pays nous donne le droit de poser aux musulmans la question: de quel côté de la charia et du coran êtes-vous, pour ou contre? Et choisir c’est renoncer à l’islam-idéologie ou à vivre en Occident.
ll n’est pas besoin de ramener l’Allemagne à son passé nazi, elle l’a fait déjà toute seule et reste culpabilisée comme Multi Mutti Merkel. Tel n’est malheureusement pas le cas des pays musulmans.
Dominique Schwander, 6 août 2016
Commentaires
Enregistrer un commentaire