Une
enquête approfondie et courageuse sur les méthodes scandaleuses et
occultes qu'utilisent les organismes de pouvoirs tels que CIA, FBI, NSA,
services secrets militaires et gouvernementaux, mais aussi la NASA et
les sociétés dites secrètes (Illuminati, etc.)
Selon ce rapport
extrêmement troublant, des survivants du Programme Monarch du contrôle
de l'esprit, affirment avoir été utilisés comme esclaves top-techniques
par certains services secrets et politiciens de haut-niveaux.
L'esclavage
de haute technologie existe et se porte bien sur la planète Terre.
Après que le projet gouvernemental Paperclip ait réalisé, à la fin de la
Seconde Guerre Mondiale, le recyclage d'environ 2000 nazis de haut
niveau aux États-Unis, la technologie du contrôle programmé de l'esprit a
rapidement progressé.
"Les Allemands, sous le régime hitlérien,
avaient commencé à faire de sérieuses recherches scientifiques dans le
domaine du contrôle du cerveau basé sur les traumatismes", écrivent
Fritz Springmeier et Cisco Wheeler dans leur livre The Illuminati
Formula used to create an Undetectable Total Mind Controlled Slave, [La
formule des Illuminati (1) utilisée pour réaliser un esclave à l'esprit
totalement contrôlé et indétectable]. "Sous les auspices de l'Institut
médical Kaise Wilhem à Berlin, Joseph Mengele conduisit les recherches
du contrôle de la pensée sur des milliers de jumeaux et de malheureuses
victimes". [Note : (1) Illuminati, personnes ayant, selon elles-mêmes,
des connaissances surhumaines]
Mengele, connu sous le pseudonyme de
"l'Ange de la mort", fut l'un des 900 militaires scientifiques et
chercheurs en médecine secrètement infiltrés aux États-Unis. Là il
continua ses recherches et forma d'autres opérateurs à l'art obscur du
contrôle de l'esprit. Ce travail sur la manipulation du comportement fut
plus tard intégré aux projets de la C.I.A. Bluebird [L'oiseau bleu] et
Artichoke [Artichaut] qui devinrent, en 1953, le fameux MKULTRA. La
C.I.A. affirma que ces programmes avaient été stoppés, mais il n'y
aucune preuve que the search for the
Manchurian candidate [la quête du candidat mandchou] (titre du livre de John Marks) ait vraiment cessé.
En
fait, John McCarthy, capitaine dans les Forces spéciales de l'armée
américaine qui avait conduit les équipes de la C.I.A. à Saïgon pendant
la guerre du Viêt-nam, a déclaré à son ami délateur LAPD Mike Ruppert
que MKULTRA était un acronyme de la C.I.A. signifiant Manufacturing
Killers Utilizing Lethal Tradecraft Requiring Assassinations,
[Production de tueurs utilisant un conditionnement à l'assassinat].
Ainsi, l'obsession officielle de la C.I.A. de produire des meurtriers
programmés à travers le projet MKULTRA permit de développer 149
sous-programmes dans les domaines allant de la biologie et la
pharmacologie ou la psychologie à la physique du laser et l'ESP.
Plus
récemment de nouveaux recoupements rendirent évidente l'utilisation,
dans ce même but, de ces techniques de programmation basées sur les
traumas. Celles-ci incluent l'induction délibérée de désordres multiples
de la personnalité (D.M.P.) chez des sujets involontaires, cobayes
humains par essence.
Les D.M.P. ont été redéfinis par l'Association
américaine de psychiatrie comme désordres dissociatifs de l'identité.
La bible des psychiatres américains, le "Manuel de diagnostic et de
statistique" (DSM-IV), les caractérise ainsi (page 487) :
L'existence
de deux états de personnalité distincts, ou plus ; Au moins deux de
ces identités, ou états de la personnalité, prennent épisodiquement
contrôle du comportement de la personne ; L'incapacité de se souvenir
d'importantes informations personnelles est trop importante pour être
expliquée par une perte de mémoire courante ; La perturbation n'est pas
due à des causes physiologiques directes de quelque substance, ni à la
condition médicale générale du sujet.
Peu importe la façon dont on
nomme le problème, créer intentionnellement et consciemment cette
condition constitue une atrocité si dépravée que la programmation du
contrôle de l'esprit par traumatisme demeure, de facto, l'holocauste
secret du vingtième siècle. Connu sous le titre de Monarch Program, son
existence a, été corroborée par de nombreux rescapés comme Cathy
O'Brien, auteur de Trance Formation of America [Transe-formation de
l'Amérique], Brice Taylor, auteur de Starshine, et de K. Sullivan,
auteur de MK. Mais on n'a retrouvé aucune trace écrite permettant
d'établir une relation entre le projet MKULTRA de la C.I.A. et le
Monarch Program, nom générique désignant ces opérations de contrôle de
l'esprit qui impliquent l'armée américaine, la C.I.A., la NASA, et
d'autres agences du gouvernement américain.
Le livre du procureur
John W. DeCamp, The Franklin Cover-up, [l'étouffement de l'affaire
Franklin] qui traite de la pédophilie dans les hauts milieux, donne
également des détails sordides sur le Monarch Program ; "La drogue ne
représente pas le plus bas niveau des malveillances cautionnées par le
gouvernement, écrit-il. Je pense que l'échelon le plus bas est atteint
par ceux qui ont réussi à imaginer et à mettre à exécution le projet
Monarch. Le terme "Monarch" fait référence aux jeunes Américains
victimes d'expériences de contrôle de l'esprit conduites par des agences
de renseignement du gouvernement telle que la C.I.A. et des agences de
renseignement militaires."
Le témoignage de Paul Bonacci, rescapé
du Monarch et interlocuteur de DeCamp, est similaire aux calvaires
endurés par O'Brien, Taylor et Sullivan. Cela constitue une sérieuse
vérification croisée de l'identité des exécutants et de leurs méthodes
de "production d'une horde d'enfants à l'âme détruite, prêts à
espionner, se prostituer, tuer, ou se suicider" – selon les termes de
Anton Chaitkin, reporter d'investigation cité dans le livre de DeCamp.
Les
victimes de Monarch en voie de guérison parlent d'un traumatisme
permanent également appelés "abus rituel satanique" à cause de
l'iconographie les accompagnant et à la structure des croyances
associées au satanisme et au luciférisme. Par des drogues, l'hypnose, la
torture et les électrochocs, les acteurs du Monarch ont produit
plusieurs générations de victimes.
Ce n'est pas de la
science-fiction mais des faits scientifiquement établis. Les désordres
multiples de la personnalité impliquent la création de personnalités
autres, personnalités alternatives ou fragments de personnalité qui
peuvent être utilisés à des tâches spécifiques, généralement des
activités illégales comme des livraisons de drogues ou autres nécessités
pour le marché clandestin (mules), transmissions de messages
(coursiers), meurtres (assassins). Ces alters (ou fragments de l'âme),
sont séparés et compartimenté dans l'esprit de la victime par l'usage
répété d'armes paralysantes, de drogues et de l'hypnose, ce qui isole
les mémoires des différentes expériences.
Un alter peut être
stimulé par quiconque connaissant les "codes" ou les "déclencheurs". Ces
derniers, qui provoquent un état modifié ou de transe, peuvent être
constitués par n'importe quoi y compris des tonalités téléphoniques, des
comptines, des dialogues de films ou des signaux de la main.
Selon
Springmeier et Wheeler, dont le livre de 468 pages fait référence en la
matière : "La base de la réussite de la programmation contrôlée de
l'esprit de Monarch réside dans le fait que les différentes
personnalités, ou parties de la personnalité, appelées alters, peuvent
être crées sans se connaître les unes les autres et prendre le contrôle
du corps à des moments différents. Les murs d'amnésie qui sont
construits par les traumas forment un écran assurant le secret sur
l'identité des abuseurs et empêche la personne consciente d'avoir
connaissance du système d'alters utilisé chez elle."
La
programmation du contrôle de l'esprit n'a pas fonctionné selon ce qui
avait été planifié. En fait les exécutants, dans leur arrogance et leur
orgueil démesuré, n'ont jamais pensé que leur méthode pouvait faillir.
La redécouverte par les survivants de souvenirs précis de type
"photographique" d'abus de fait, dont des images, des sons et des
odeurs, constitue une mise en lumière majeure de ces atteintes aux
Droits de l'homme. Ces victimes portent le témoignage des atrocités
secrètement perpétrées par le soi-disant "Nouvel Ordre Mondial".
En savoir plus sur le contrôle de la pensée par les Illuminati
Selon
John Colemen, auteur de Conspirator'Hierarchy : The Committee of 300,
[La Hiérarchie des conspirateurs : le comité des 300] : "Le mouvement
des Iluminati est très actif et se porte très
bien en Amérique.
Comme ce mouvement est lié au satanisme, on peut en déduire que la
C.I.A. était contrôlée par un sataniste du temps ou Dulles en avait la
charge. C'est également vrai pour Georges Bush (membre de l'ordre Skull
and Bones) ["crâne et os"].
"Étant donné l'atrocité des expériences
de contrôle de l'esprit constamment menées par la C.I.A. et ses
relations passées avec d'abominables monstres tels que les docteurs
Campbell et Sydney Gottlieb, il n'est pas difficile d'établir que la
C.I.A. suit un chemin satanique," conclut Coleman dans sa monographie
Illuminati in America.
En ce qui concerne les "capacités de lavage
de cerveau de l'Institut de Tavistock ou les projets du ministère
américain de la Défense tels que le Advanced Research Project Agency,
[agence de recherche avancée], écrit Coleman, le premier objectif est
bien le contrôle de la pensée, comme le prédisait le livre de Zbigniew
Brzezinski The Technotronic Era, [L'ère technotronique]. Sous le nom de
Monarch Program, ce vaste projet implique non seulement la C.I.A., mais
aussi l'armée, l'armée de l'Air et la Marine avec les compétences et les
vastes ressources qui sont les leurs."
Les voyages de Sullivan
Les
abus sataniques rituels, les horribles tortures et les abus sexuels sur
enfants sont une composante clé de la production d'esclaves à l'esprit
contrôlé.
K. Sullivan, survivante du contrôle de l'esprit, à écrit
un stupéfiant, MK, récit romancé de savie qui décrit le monde des
personnalités multiples. A son crédit, Sullivan a été capable de
reconstruire à partir de ses souvenirs la méthodologie et les mécanismes
qui conduisent d'un état de la personnalité à un autre. Programmée
meurtrière et esclave sexuelle, Sullivan dit qu'elle fut abusée et
violée par Robert Maxwell, Henry Kissinger, Georges Bush et Billy
Graham, entre autres. Un de ses contrôleurs était l'agent James Jesus
Angleton, aujourd'hui décédé, communément considéré comme un agent du
K.G.B. et du Mossad.
Dans une interview récente, Sullivan a parlé
de son milieu d'origine comme d'une soumission à l'élite de génération
en génération, et de son beau-père, maintenant décédé, qui fut
initialement son premier programmeur. L'image qu'il donnait était celle
d'un homme allant à l'église, citoyen d'un niveau de vie élevé,
ingénieur mécanicien, programmeur professionnel très curieusement
intéressé par la robotique.
"Plusieurs personnes entraînèrent,
conditionnèrent puis brisèrent ma volonté et ma psyché, et me
programmèrent à différents états altérés, raconte-t-elle. Mon père fut
celui qui m'en fit subir le plus. Il le fit par la terreur. Il le fit
par la torture. C'était un homme très brillant, et il semblait aimer
nous faire cela, à moi ainsi qu'à d'autres enfants."
Confirmant que
son père avait lui-même été "horriblement abusé étant enfant", Sullivan
ajouta : "J'en suis certaine. Son père était un druide gallois qui
avait été vendu enfant à un capitaine qui l'amena aux États-Unis. C'est
du moins la mentalité de ma famille, l'esclavage des enfants est admis.
J'ai entendu cela des membres les plus vieux de la famille. Ils ne l'ont
jamais nié. Mais mon grand-père était également un druide clandestin.
Je suis sûre qu'il avait amené cette religion avec lui du Pays de
Galles. Une des choses qu'il faisait était d'aller dans le cimetière
voisin déterrer des cadavres, les ramener dans la cave, et s'amuser
avec. Il faisait aussi parfois des rituels de nuit dans la forêt durant
lesquels il sacrifiait des bébés. Voilà ce à quoi j'étais exposée, et je
suis sûre que mon père le fut aussi, ce qui ne lui laissa pas d'autre
alternative que de devenir comme son propre père."
Et comment ce
comportement est-il relié au satanisme, ou s'agit-il seulement d'abus
sur les enfants transmis de génération en génération?
"Je pense que
c'est les deux, répondit-elle lentement, et cela revient à dire que ces
gens ont des activités illégales. Les criminels rencontrent les
criminels. Ils ont tendance à se chercher et c'est étonnant de voir
comment ils peuvent se trouver. Mon grand-père a fait des contacts avec
la mafia dans notre coin et c'est clair qu'il s'agissait de la famille
Colombo. Je ne sais pas ce qu'il a fait exactement mais j'ai le souvenir
de l'avoir accompagné dans un camion de ciment et avec d'autres
chauffeurs de ces camions ils utilisaient le ciment pour enterrer
plusieurs corps. Je suppose qu'ils faisaient juste ce qui devait être
fait. Cela se passait à New York et en Pennsylvanie. Mon père était un
assassin, entre autres choses, et ces gens aimaient vraiment tuer. Il
tuait plus pour gagner des faveurs que pour l'argent. Il a eu autant
d'enfants qu'il voulait en élever."
Son père avait aussi des
connexions avec la C.I.A. et la N.A.S.A. "Son travail avec la C.I.A.
semblait plutôt secret. Il a travaillé pour Western Electric et plus
tard pour AT&T, dit-elle. J'ai découvert depuis que la Western
Electric avait des liens forts avec la C.I.A. J'ai pu accéder à certains
de ses papiers depuis son décès et j'ai trouvé trace dans son agenda de
plusieurs contacts avec la N.A.S.A. Depuis, je me suis souvenue qu'il
m'avait emmenée dans plusieurs installations qui étaient des
installations de la N.A.S.A. Les connexions de la N.A.S.A. semblent être
directement liées à la connexion Paperclip. Après la guerre, les nazis
ont été amenés dans le pays et intégrés à la structure de la N.A.S.A.
"Mon
père, à cause de ses origines celtiques, avait une très faible estime
de lui-même, continua Sullivan. Etre mis au contact de criminels de
guerre nazis a représenté beaucoup pour lui, car sa mère était
allemande. Entre ses origines celtiques d'une part et sa mère allemande
d'autre part, ces hommes lui ont construit une estime de lui-même à la
dimension de l'idéologie aryenne. Il s'identifia énormément à eux et,
d'après ce que je comprends, une grande partie de sa formation lui fut
donnée par un homme que j'ai connu sous le nom de "docteur Schwartz". Il
avait des cheveux bruns légèrement ondulés et des yeux noirs. Il était
mince. Je ne pourrais pas dire sa taille car j'étais enfant. Il avait un
accent allemand prononcé. Les gens l'appelaient Herr Doctor ou docteur
Schwartz, l'un ou l'autre. Parfois on l'appelait docteur Black. Il était
pédophile, c'est certain, et c'était un homme très froid. Il aimait
faire croire aux enfants qu'ils se sentiraient en sécurité avec lui.
Mais il faisait quelque chose qui les bouleversait, et après quoi les
enfants étaient effrayés."
Une programmation pluraliste
Sullivan
expliqua qu'elle était au service sexuel d'hommes et de femmes dans le
mode bêta, et pour les assassinats, la garde du corps et les intrusions
dans les situations de prises d'otages, dans le mode delta. Mais qu'est
la programmation en mode alpha, bêta, delta et thêta?
"Alpha était
la base de tous les autres programmes, continue-t-elle. C'est
apparemment là que toute une série d'informations ont été stockées dans
ma mémoire, dans mon esprit, à utiliser par les programmeurs pour
développer les autres programmes. C'est aussi là que mes alters les plus
utilisés étaient stockés. Le mode bêta concernait la partie de moi-même
consacrée au service sexuel. Ils appelaient parfois aussi cet état
"Barbie". Ce nom était supposé être inspiré de Klaus Barbie." (Comme les
poupées Barbie?)
Les rescapées Cathy O'Brien et Brice Taylor
furent également soumises au conditionnement en mode bêta, celui de la
programmation d'esclaves sexuels. Elles étaient dénommées, tout comme
l'actrice Marilyn Monroe, "mannequins présidentiels" -– esclaves
sexuelles à l'usage d'hommes politiques de haut rang.
D'après le
livre de Springmeier : "En 1981 le Nouvel Ordre Mondial a réalisé des
films pour former leurs programmeurs novices. Cathy O'Brien, esclave de
Monarch fut utilisée pour tourner les films "Comment diviser une
personnalité" et "Comment créer une esclave sexuelle". Deux photographes
pornographes de Huntsville furent employés pour aider la N.A.S.A. à
leur réalisation."
Sullivan se rappelle : "J'ai été utilisée en
enfant et en adulte dans ces états altérés de la personnalité, et il y
en a plus d'un. Dans ces états je ne résistais pas. Je n'avais pas de
colère. J'étais une esclave sexuelle totale et je faisais tout ce que
l'on me demandait, quoique ce fût."
Le mode delta est le mode
utilisé pour la programmation militaire de tueurs, que des films comme
Nikita, son remake américain Point of No Return, et The Long Kiss
Goodnight ont inséré dans la conscience populaire.
A propos de la
programmation delta, Sullivan dit : "C'est quand j'étais utilisée pour
faire des coups, des meurtres, et aussi la garde du corps et des
libérations d'otages. J'avais un grand nombre de diverses personnalité
avec entraînement spécialisé et qui fonctionnaient selon divers modes
pour effectuer différentes tâches."
Pourquoi les conditionnements pour des personnalités différentes étaient-ils exécutés séparément?
"En
partie pour que je ne puisse pas me souvenir de trop de choses en même
temps si jamais je commençais à me souvenir, déclare-t-elle, et aussi
parce qu'ils devaient pouvoir exploiter une seule personnalité pour un
certain type de situation. Si vous souhaitiez manifester une partie très
loyale à autrui pour une fonction de garde du corps, vous ne vouliez
pas qu'elle s'efface et que sorte une autre partie spécialement
programmée pour tuer – vous vous sentiriez désolé pour la cible. Ainsi
vous devez garder séparés les émotions aussi bien que les motifs. Voilà
pourquoi ils devaient opérer les programmations séparément."
La
description de la programmation thêta faite par Sullivan semble
correspondre au développement et à l'utilisation de ce qu'on appelle
plus communément "pouvoirs extrasensoriels" ou "capacités
extra-physiques".
"Le mode thêta, c'était lorsqu'ils utilisaient –
je n'aime pas le terme de "psychique" car il a été trop souvent mal
employé – l'énergie de la pensée, dit-elle. Je la connaissais seulement
comme une énergie individuelle de type magnétique pouvant faire
différentes choses qu'ils expérimentaient, y compris la connexion à
longue distance avec l'esprit d'autres personnes, même dans des pays
étrangers. Je suppose qu'on pourrait appeler ça "vision à distance"
lorsqu'il s'agissait de voir ce qu'une personne faisait dans un autre
État, dans une pièce ou quelque chose comme cela.
C'était à la fois
de la programmation et de l'expérimentation. Car ils gardaient ces
opérations "encapsulées" en différentes parties de mon être, différents
états. Cela constitua beaucoup d'entraînements, beaucoup
d'expérimentations.
La programmation thêta impliquait également l'énergie de la pensée pour tuer quelqu'un à distance.
"A
plusieurs reprises j'ai rencontré par hasard d'autres victimes de la
programmation thêta, raconta Sullivan lors d'une interview à la radio
CKLN. Un des thèmes de livre et de film qu'ils utilisaient intensivement
était Dune, de Frank Herbert. Ce n'est pas très difficile de comprendre
pourquoi, car ils nous ont appris que nous pouvions provoquer des
événements chez d'autres personnes. Il s'agissait de faire monter la
rage en dedans de nous, et elle ressortait sous forme d'énergie pure qui
les frappait. Ils avaient parlé de gens dont les organes digestifs
implosaient. Je n'en sais rien je ne peux voir l'intérieur du corps des
cibles, mais je sais que cela marchait."
Le mélange calculé de
choses bienveillantes ou malfaisantes semble bien être la signature de
la méthodologie des Illuminati. C'est comme s'ils reconnaissaient, à un
niveau spirituel, que le karma d'horreur qu'il créaient devait être
contrebalancé par de généreux gestes philanthropiques comme, par
exemple, donner un milliard de dollars aux Nations Unies ou d'autres
gestes d'une grande compassion.
Ils ont aussi essayé de m'employer
pour soigner par imposition des mains, car ma grand-mère était une
guérisseuse suédoise. Ainsi ils essayaient de nous employer, moi et
d'autres rescapé que j'ai rencontrés depuis, également dans ce mode.
Soigner par les mains revenait à focaliser l'énergie dans le corps de la
personne concernée.
Le calvaire de Brice Taylor
Un autre
livre, celui de Brice Taylor : Starshine : One Woman's Valiant Escape
from Mind Control, [Starshine : comment une femme a courageusement
échappé au contrôle de l'esprit], corrobore les témoignages de Cathy
O'Brien et K.Sullivan. Même s'il est lui aussi une version romancée, ce
livre montre clairement que les plus grands crimes ont été et sont
toujours perpétrés par les principaux acteurs des élites du pouvoir
mondial.
Brice Taylor était aussi un "mannequin présidentiel", et
dans une interview récente elle a donné des détails intimes de ses
nombreuses expériences avec les hommes politiques soutenant le Nouvel
Ordre mondial.
"Ce qui signifie que votre programmation consiste à
avoir des relations sexuelles avec les présidents ; et j'ai entendu par
hasard que divers hommes politiques étaient encouragés à utiliser leur
escorte de la C.I.A. pour leur besoins sexuels, de telle sorte qu'ils ne
se retrouvent pas dans une position vulnérable en dévoilant quelque
secret de la Sûreté nationale à quiconque de l'extérieur et être victime
d'un chantage."
Comment caractériserait-elle ce qu'on appelle habituellement le Nouvel Ordre mondial?
"C'est la tentative de mettre en place un gouvernement mondial
permettant aux familles de l'élite d'obtenir ce qu'elles veulent. Leur
croyance était que la planète était surpeuplée et que quelque chose
devait être fait : une guerre psychologique et biologique. Ils
considéraient le contrôle de l'esprit comme un outil, leur atout maître,
une chose vraiment différente qui pourrait agir comme une arme
invisible."
Aventures avec Henry K. et le "Conseil"
Dans sa
convalescence, Brice Taylor s'est également souvenue avoir été utilisée
par Henry Kissinger comme messagère dont l'esprit était sous contrôle.
"Si
vous programmez quelqu'un pour qu'il ait une mémoire photographique
parfaite et une totale capacité à se remémorer, vous devenez capable de
gérer simultanément de nombreuses tâches et attributions différentes
expliqua-t-elle. H. Kissinger a créé un fichier dans ma tête. J'étais
envoyée à tous ces leaders pour recevoir leurs données traitant de leurs
projets ou de ce qui constituait leur activité, et les classer.
Lorsqu'ils avaient rencontré des gens , Kissinger ou Nelson Rockefeller
me programmaient. C'est au milieu des années soixante." Mais qui
animait le spectacle?
"Je pense que c'était cet autre établissement
que j'appelle "le Conseil" dans mon livre, expliqua Taylor. Je sais que
c'est un groupe d'hommes qui se tient au-dessus de Kissinger et des
Rockefeller. Ils ont été configurés génétiquement de façon à (elle
hésita, cherchant les mots justes) posséder différentes capacités à
diriger. C'est eux en fait, qui prennent les décisions."
Se réfèrent-ils eux-mêmes en tant que "le Conseil" ?
"Oui.
Quand j'en parlai à d'autres membres du service de renseignements
impliqués avec eux, ils me dirent qu'ils se dénommaient eux-mêmes "le
Conseil". La C.I.A. inclut tous les opérateurs du contrôle de la pensée
qui travaillent pour le gouvernement. Et puis il y a le Conseil qui
s'intéresse également au projet du contrôle de l'esprit. Mais le Conseil
n'est pas contrôlé par la C.I.A. Ils pouvaient prendre quelqu'un comme
moi et étaient capables de me déprogrammer pour connaître ma
programmation."
Beaucoup de mauvais souvenirs
Et comment Brice
Taylor se rendit-elle compte qu'elle souffrait de désordres multiples de
la personnalité et qu'elle avait été programmée de multiples façon?
"Cela
commença en 1985, raconte-t-elle. J'ai eu un très grave accident de
voiture, et ma tête est passée à travers le pare-brise. J'ai commencé à
avoir des flashes de souvenirs, comme une brèche ouverte entre un état
de personnalité et un autre. Je pense que ce qui s'est passé est que je
commençais à avoir accès aux deux hémisphères de mon cerveau.
Auparavant, avec toute cette programmation sophistiquée, j'étais coupée
de la moitié de mon cerveau. Maintenant le passage neuronal s'est ouvert
à cause de l'accident. Je connais d'autres femmes qui ont vu leurs
souvenirs réapparaître."
Ainsi, un choc au cerveau avait brisé la programmation?
"Exactement.
Ils ont programmé en moi une mémoire photographique parfaite. Quand ces
souvenirs sont revenus, comme celui avec Kissinger, non seulement je
pouvais entendre ses paroles et sa voix mais je pouvais sentir son
cigare, et même ses pets. Je veux dire que je pouvais voir et entendre
exactement comme je l'avais enregistré dans mon esprit."
La connexion avec les meurtres rituels sataniques
La
disparition d'enfants, les abus sexuels d'enfants et la pédophilie dans
le monde mettent tous en évidence l'existence d'un réseau organisé de
criminels de haut niveau qui contrôlent clandestinement le système
judiciaire. Ted Gunderson, détective privé et ancien membre du F.B.I.,
est bien d'accord. Il affirme que "il y a de considérables recoupements
entre les divers groupes et organisations, mais l'une des forces
conductrices d'aujourd'hui est le mouvement du culte satanique."
Dans sa vidéocassette Satanism & the C.I.A.'s International
Trafficking in Children [Satanisme et trafic international d'enfants par
la C.I.A.], Gunderson se réfère au magicien noir Aleister Crowley. "Les
satanistes ont utilisé ses écrits comme un guide" dit-il en faisant
allusion au livre de Crowley, Magick in Theory and Practise, [Théorie et
pratique de la magie].
Dans le chapitre XII intitulé Of the Bloody
Sacrifice, [Du sacrifice sanglant] (p. 94), Crowley écrit : "Il serait
peu sage de condamner comme irrationnelle la pratique des sauvages qui
arrachent le coeur et le foie d'un adversaire, les dévorant encore
chauds. En tout cas, selon la théorie des anciens magiciens, tout être
vivant est une réserve d'énergie, qui varie en quantité selon la taille
et la santé du sujet, et en qualité selon son caractère moral et mental.
A sa mort, l'énergie est soudainement libérée".
"Pour les plus
hauts travaux spirituels on doit, en accord avec ces principes, choisir
une victime ayant la plus grande et la plus pure énergie. Un enfant mâle
d'une parfaite innocence et d'une haute intelligence est la victime
adéquate la plus satisfaisante."
"Nous parlons là de sacrifices humains" précise Gunderson.
Plus
récemment, la tradition des sacrifices humains fut promue par Anton
LaVey, fondateur de l'Eglise de Satan, qui écrivit dans la Satanic
Bible, [La Bible satanique] (p. 88) que "le seul moment où un sataniste
devrait procéder à un sacrifice humain est s'il poursuit un objectif
double, cela étant pour permettre au magicien d'exprimer son courroux en
jetant un mauvais sort et, plus important, de se débarrasser d'une
personne totalement odieuse et méritoire."
Remarquez la référence
fortuite au meurtre d'une personne pour la seule raison que cette
personne déplaît au sataniste/magicien noir. Le glas a sonné, LaVey est
mort mais ses crimes continuent. Plusieurs de ses victimes/esclaves
l'ont dénommé coupable de contrôle de l'esprit. Ce dernier écrit
lui-même dans Satanic Bible (p. 90) que "le sacrifice idéal pourrait
être émotionnellement peu sûr mais peut cependant, par les processus de
cette insécurité, détériorer sérieusement votre tranquillité et votre
réputation
Les satanistes, après tout, suivent l'injonction de
Crowley : "Faites selon vos souhaits. C'est la loi". Autrement dit, les
satanistes, tels les dieux eux-mêmes, décident ce qu'ils veulent faire,
outrepassant aussi bien les lois de Dieu que celle des hommes. Cela
rappelle le modus operandi des Illuminati.
Gunderson fait ce
commentaire plus loin dans sa vidéocassette : "Selon mes estimations, il
y a aujourd'hui en Amérique plus de trois millions de pratiquants du
satanisme. Comment en suis-je arrivé à une telle conclusion? J'ai des
informateurs. Par exemple, dans la région de South Bay (à Los Angeles)
qui compte 200 000 habitants, un informateur m'a affirmé qu'il y a 3000
satanistes pratiquants. C'est là qu'eut lieu le fameux cas McMartin en
garderie d'enfants. J'ai un informateur à Lincoln, au Nebraska. A Iowa
City, ville de 150 000 habitants, on compte 1500 satanistes. J'en déduis
une moyenne de 1,5 pour 100 de la population".
Gunderson soutient
que "...50 000 à 60 000 individus sont sacrifiés chaque année." La
mauvaise blague dans tout cela? C'est que le F.B.I. tient à jour le
compte des voitures volées ou disparues mais n'est pas en mesure de
faire de même pour les enfants.
Un cryptosataniste dans le F.B.I.
Vous
ne devriez pas être surpris d'apprendre que Kenneth V. Lanning,
superviseur et agent spécial du F.B.I., de la section de la science du
comportement du centre national d'analyse de la violence criminelle, nie
l'existence d'abus rituels sataniques dans son Investigator's Guide to
Allegations of Ritual Child Abuse [Guide d'investigation sur les
allégations d'abus rituels d'enfants]. Les postulats intellectuels et le
raisonnement spécieux de Lanning devraient être étudiés comme exemples
types de logique tortueuse. Sa démonstration sémantique est brillante
lorsqu'il affirme que les mots "satanique", "occulte" et "rituel" sont
souvent employés de façon interchangeable et qu'il est difficile de
définir le satanisme avec précision". Puis il centre la discussion sur
la relativité de la terminologie, disant qu' "il est important de
réaliser que, pour certaines personnes, tout système de croyances
religieuse autre que le leur est satanique".
Tout comme Pilate
demanda "Qu'est-ce que la vérité?", Lanning demande "Qu'est-ce que le
satanisme?" Il écrit que "lors de conférences visant à renforcer la loi,
il est question de sorcellerie, de Père Noël, de paganisme,
d'occultisme, souvent pris pour différentes formes du satanisme". Il
pourrait s'agir là d'un effort d'établissement d'une définition, mais
ces mouvements ne sont pas nécessairement similaires au satanisme
traditionnel. Il s'emmêle presque les pieds lui-même en affirmant
l'impossibilité de connaître une définition. Enfin, il dédaigne les abus
rituels sataniques, les réduisant à un simple problème psychologique :
le désordre compulsif obsessionnel.
Bien sûr, s'il avait pris la
peine d'interroger de réels pratiquants il aurait su qu'il s'agit d'un
système concret de croyances basé sur la pratique rituelle de la torture
et du meurtre faisant obédience à Satan, en tant qu'échange dans
l'expectative de récompenses futures auprès des forces obscures.
Le
déni de Lanning, ignorant l'évidence de l'existence du contrôle de
l'esprit et des abus rituels, est vraiment étonnant. Serait-il un
cryptosataniste? Il l'a nié publiquement mais la question n'a pas dû le
gêner, sa liberté de confession étant protégée par la constitution
américaine.
Nouveau regard sur une justice fatale
Le détective
privé Ted L. Gunderson fut traîné, se débattant et hurlant, dans l'enfer
du satanisme, des kidnappings d'enfants, du trafic de drogue et autres
malversations.
Avant de prendre sa retraite en 1979, Gunderson
était agent spécial du F.B.I. en poste à Los Angeles. Il dirigeait le
bureau du F.B.I., avait 800 personnes sous ses ordres et un budget
annuel de 24 millions de dollars. Depuis, son activité de détective
privé et de consultant en sécurité l'a amené à mettre en lumière le
trafic de drogue, le kidnapping et le trafic d'enfants, le contrôle de
la pensée et les contrats de meurtres dans des groupes satanistes reliés
à la C.I.A. Il a aussi enquêté sur des cas de haut intérêt comme ceux
du docteur Jeffrey McDonald, de la garderie McMartin, ou l'étouffement
du cas Franklin au Nebraska, l'affaire de l'attentat à la bombe
d'Oklahoma City, l'affaire Inslaw/Octopus, et beaucoup d'autres
conspirations criminelles réelles.
"Peu après mon départ à la
retraite, on me demanda d'enquêter sur l'affaire Jeffrey McDonald en
tant que détective privé, dit Gunderson lors d'une récente interview. Un
docteur était condamné pour le meurtre de sa femme et ses deux enfants à
Fort Bragg, Caroline du Nord, le 17 février 1970. J'ai passé environ
2000 heures sur ce cas. Il avait été condamné à trois sentences de
prison à vie. A ma grande surprise, la lecture des preuves et
l'instruction que j'ai développée m'ont amené à établir, au-delà de tout
doute, que cet homme est absolument innocent."
Jerry Allen Potter,
auteur de Fatale Justice [Justice fatale], puissante réfutation point
par point du livre de Joe McGinnis Fatal Vision [Vision fatale],
approuve. Son livre qualifie de pure fiction le best-seller de McGinnis.
Gunderson poursuit : "J'ai obtenu une confession signée d'Helena
Stokely, la fille sortie du chapeau de magicien, pour ceux qui
connaissent l'affaire. Elle dit que le docteur McDonald n'a pas commis
ces meurtres. Ils furent commis "par mon groupe de culte satanique". Il
s'agissait de mon initiation au culte, cette nuit-là dit-elle."
Après
un certain temps Gunderson réalisa que le cas McDonald était un cas
classique de camouflage d'un crime commis par le gouvernement américain.
"Elle m'a donné des informations détaillées sur les mouvements
dans la maison. Elle me dit qu'elle avait essayé un cheval à bascule
dans la chambre d'enfants cette nuit-là mais que le ressort était cassé.
La seule façon pour elle de savoir tout cela était d'avoir été présente
cette nuit-là."
"J'ai fourni, en mars 1981, un rapport de plus de
1100 pages au juge William Webster, alors à la tête du F.B.I., avec une
lettre personnelle envoyée également au ministère américain de la
Justice. A ma grande surprise, mes 19 témoins, y compris Helena Stokely,
m'appelèrent au téléphone : "Hé, Ted, ils essaient de me pousser à me
rétracter". Je me suis dit que ça ne pouvait pas être le fait du F.B.I.,
leur boulot étant de collecter l'information, pas de la détruire.
C'était là le premier indice que nous avions de sérieux problèmes avec
cette affaire et les autres cas dont je m'occupais. Je remarquais que
pour chacun d'entre eux les preuves étaient détruites, perdues ou volées
; qu'il y avait de fortes présomptions de corruption.
"Je me suis
alors demandé ce qui se passait. Au cours des années j'ai rassemblé des
données. Jusqu'à il y a environ deux ans, j'ai continué à dire qu'il y
avait un réseau clandestin à l'oeuvre dans ce pays, impliquant la
drogue, la pédophilie, la prostitution, la corruption, etc... Depuis
l'approfondissement de mes recherches, je suis convaincu que c'est
beaucoup plus sérieux. Plus qu'un réseau clandestin de relations, il
s'agit d'une réelle conspiration – et vous savez bien comment les médias
vous traitent lorsque vous utilisez ce terme. Mais je vais vous le
prouver. Dans les faits, cette conspiration concerne la pornographie, la
drogue, le pédophilie et le kidnapping organisé d'enfants.
"Mon
essai sur les enfants disparus démontre que les Finders [découvreurs],
une organisation de Washington, est une couverture de la C.I.A., déclare
Gunderson. C'est une opération de façade impliquée dans le trafic
international d'enfants."
Il fait référence à un rapport du service
des douanes américaines qui établit que les Finders doit être fermé
parce qu'étant un sujet interne à la C.I.A.
Gunderson ajoute : "Ces
gens composant le mouvement sataniste dans le monde, ont mis en place
des crèches dans le but de mettre la main sur nos enfants. Les parents
les y déposent à 9 h le matin et les récupèrent le soir."
Tiré par
les cheveux ?Repensez-y. Dans The Law Is For All [La loi est pour tous],
Aleister Crowley écrit : "De plus, la bête 666 (il se désigne ainsi)
conseille que tous les enfants soient, dès le plus bas âge, accoutumés à
assister à tous types d'actes sexuels, ainsi d'ailleurs qu'au processus
de la naissance, de peur que le brouillard du mensonge et du mystère
n'impressionne leur esprit, ni ne contrarie et ne fausse leur système
subconscient de symbolisme."
Guerre spirituelle et impérialisme satanique
Les
abus sexuels d'enfants et l'horrible technologie du contrôle de
l'esprit peuvent être le dogme de foi des pratiquants du satanisme aussi
bien que celui des programmeurs. Ils peuvent aussi être symptomatiques
d'un combat plus vaste à l'échelle cosmique. En fait, il se pourrait
que cette guerre spirituelle, et la destruction des valeurs absolues,
soient la vrai raison de la mise en lumière des abus rituels et du
contrôle de la pensée. Pendant ce temps- là, l'impérialisme satanique
continue sa route, invaincu, et la bataille pour la planète Terre passe à
l'étape suivante.
Références – CKLN Mind Control series
website, http ://www.morethanconquerors.simplenet.com/MCF/ckln-hm.htm –
John Coleman : "Illuminati in America", World in Review (2533 N. Carson
St, Carson City, NV 89706), USA, monograph, 1992. – Alex Constantine :
Virtual Government : C.I.A. Mind Control Operations in America, Feral
House (2532 Lincoln Blvd #359, Venice, CA 90291), USA, 1997 ($ U.S. :
14,95). – John DeCamp : The Franklin cover-up : Child Abuse, Satanism
and Murder in Nebraska, AWT, Inc. (PO Box 85461, Lincoln, NE 68501),
USA, 1996, 2 éd. ($ U.S. : 13,00). – Ted Gunderson : "McMartin
Scientific Report", 1993 ; Corruption : The Satanic Drug Cult Network
and Missing Children, vol. 1-4 ; "Satanism & the C.I.A.
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The Search for the Manchurian Candidate : The C.I.A. and Mind Control,
McGraw-Hill, USA, 1980. – Mind Control Foundation website, http
://www.morethanconquerors.simplenet.com/MCF – Cathy O'Brien (with Mark
Phillips), Trance Formation of America, The True Life Story of a C.I.A.
Slave, Reality marketing (PO Box 27740, Las Vegas, NV 89126) USA, 1995
($ U.S. : 20,00). – Jerry Allen Potter and Fred Bost, Fatal Justice :
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1997. – Fritz Springmeier, Bloodlines of the Illuminati, Ambassador
House (PO Box 1153, Westminster, CO 80030), USA, 1999, 2 éd. ($ U.S. :
20,00). – Fritz Springmeier and Cisco Wheeler, Illuminati Formula used
to create an Undetectable Total Mind Controlled Slave, Fritz and Cisco
(916 Linn Ave, Oregon City, OR 97045), USA, 1996 ($ U.S. : 59,00). –
Lauren Stratford, Satan's Underground, Pelican Publishing, PO Box 3110,
Gretna, LA 70054), USA, 1998, ($ U.S. : 10,95). – K. Sullivan, MK, K.
Sullivan (PO Box 1328, Soddy Daisy, TN 37384), USA, 1998 ($ U.S. :
18,00). – Website : http ://parc-vramc.tierranet.com/index.html – Brice
Taylor, Starshine : One Woman's Valiant Escape from Mind Control, 1995
($ U.S. : 20,00) ; Revivification : A Gentle Alternative Memory
Retrieval Process for Trauma Victims 1998, ($ U.S. : 7,50), Brice Taylor
Trust, PO Box 655, Landrum, SC 29356, USA.
bonne chance a toute et a tousse !
Noam Chomsky est certainement l’un des intellectuels les plus respectés de la planète.
Il
a été considéré comme le plus important intellectuel de notre époque
par le New York Times. L’une de ses principales contributions est
d’avoir proposé et analysé les stratégies de manipulation de masse qui
existent aujourd’hui dans le monde.
Noam Chomsky est connu en tant
que linguiste, mais aussi comme philosophe et politologue. Il est devenu
l’un des principaux activistes des causes libertaires. Ses écrits ont
circulé partout et ne cessent de surprendre les gens.
« Comment se fait-il que nous disposions d’autant d’informations, mais nous sachions si peu ? »
-Noam Chomsky-
Il a écrit un article dans lequel il rassemble des stratégies de manipulation de masse.
Ses
pensées sur ce sujet sont puissantes, profondes et complexes.
Toutefois, pour simplifier, il en a fait un résumé dans des principes
simples et accessibles à tous.
1. La distraction, l’une des stratégies de manipulation de masse
Selon
lui, la plus récurrente des stratégies de manipulation de masse est la
distraction. Il s’agit principalement de diriger l’attention des gens
vers des sujets non pertinents ou banals. De cette façon, ils gardent
l’esprit des personnes occupé.
Ils submergent le peuple
d’informations afin de les distraire. Il est par exemple donné une haute
importance aux événements sportifs. Il en va de même pour les
spectacles, les curiosités, etc. Cela à pour conséquence que les
personnes perdent de vue leurs problèmes .
2. Problème – Réaction – Solution
Le
pouvoir cesse parfois délibérément de traiter ou traite de manière
déficiente certaines réalités. Ils présentent les choses aux citoyens
comme un problème exigeant une solution externe. Ils proposent eux-mêmes
la solution.
Il s’agit de l’une des stratégies de manipulation de
masse destinée à prendre des décisions impopulaires. Par exemple,
lorsqu’ils veulent privatiser une entreprise publique et diminuer
intentionnellement ses services. En fin de compte, cela permet de
justifier la vente.
3. La gradualité
Il
s’agit d’une autre de ces stratégies de manipulation de masse destinées à
introduire des mesures que les personnes n’accepteraient généralement
pas. Elle consiste à les appliquer peu à peu, de manière à les rendre
pratiquement imperceptibles .
C’est ce qui s’est passé, par exemple,
avec la réduction des droits du travail. Des mesures ou des formes de
travail ont été mises en oeuvre dans différentes sociétés, lesquelles
ont fini par présenter comme normal le fait qu’un employé ne bénéficie
d’aucune garantie de sécurité sociale.
4. Différer
Cette
stratégie consiste à faire croire aux citoyens qu’une mesure est
temporairement préjudiciable, mais qu’à l’avenir elle peut apporter de
grands bénéfices à l’ensemble de la société et, bien évidemment, aux
individus.
L’objectif est que les personnes s’habituent à la mesure
et ne la rejettent pas, en pensant au supposé progrès qu’elle apportera
demain. Lorsque se présente le moment de faire passer la mesure, l’effet
de la « normalisation » a déjà fonctionné et les personnes ne
protestent pas alors même que les avantages promis n’arrivent pas.
5. Infantiliser le peuple
Beaucoup
de messages télévisés, en particulier publicités, tendent à parler au
public comme s’ils s’agissait d’enfants. Ils utilisent des gestes, des
mots et des attitudes qui sont conciliants et imprégnés d’une certaine
naïveté.
L’objectif est de surmonter les résistances des individus.
Il s’agit de l’une des stratégies de manipulation de masse qui cherche à
neutraliser le sens critique de la population. Les politiciens
emploient également ces tactiques, se montrant parfois comme des figures
paternelles.
6. Recourir aux émotions
Les
messages qui sont conçus à partir du pouvoir n’ont pas pour objectif
l’esprit critique des individus. Ce qu’ils cherchent principalement est
de générer des émotions et atteindre l’inconscient des individus. Par
conséquent, beaucoup de ces messages sont remplis d’émotivité.
Le but
de ceci est de créer une sorte de « court-circuit » avec la part la
plus rationnelle de l’individu. Le contenu global du message est capturé
grâce aux émotions, non ses éléments spécifiques. La capacité critique
s’en trouve dès lors neutralisée.
7. Créer des citoyens ignorants
Garder
les gens dans l’ignorance est l’un des objectifs de certains pouvoir.
L’ignorance signifie ne pas donner aux citoyens les outils nécessaires
pour qu’ils puissent analyser la réalité par eux-mêmes. Leur présenter
des informations anecdotiques, mais ne pas les laisser connaître les
structures internes des faits.
Maintenir dans l’ignorance permet
aussi de ne pas mettre l’accent sur l’éducation. Favoriser un large
fossé entre la qualité de l’éducation privée et l’éducation publique.
Endormir la curiosité pour le savoir et accorder peu de valeur aux
produits de l’intelligence.
8. Promouvoir des publics complaisants
La
plupart des modes et des tendances ne sont pas créées spontanément.
Elles sont presque toujours induites et promues à partir d’un centre de
pouvoir qui exerce son influence pour créer des vagues massives de
goûts, d’intérêts ou d’opinions.
Les médias promeuvent généralement
certaines modes et tendances, la plupart d’entre elles tournant autour
de modes de vie ridicules, superflus ou même stupides. Ils persuadent
les personnes que se comporter de telle manière est « ce qui est à la
mode ».
9. Renforcement de l’auto-culpabilité
Une
autre stratégie consiste à faire croire aux gens qu’ils sont seuls
responsables de leurs problèmes. Toute chose négative qui leur arrive ne
dépend que d’eux-mêmes. Ils sont dès lors amenés à croire que
l’environnement est parfait et que si une défaillance se produit, elle
est de la responsabilité de l’individu.
Par conséquent, les personnes
finissent par essayer de s’intégrer dans leur environnement et par se
sentir coupables de ne pas y parvenir complètement. Elles déplacent
l’indignation que le système pourrait leur causer vers une
culpabilisation permanente d’elles-mêmes .
10. Une connaissance approfondie de l’être humain
Au
cours des dernières décennies, la science a réussi à collecter une
quantité impressionnante de connaissances sur la biologie et la
psychologie des êtres humains. Cependant, tout ce patrimoine n’est pas
accessible à plupart des personnes.
Seul un minimum d’informations
est disponible pour le public. Pendant ce temps, les élites disposent de
toutes ces connaissances et les utilisent à leur convenance. Une fois
de plus, il devient clair que l’ignorance facilite l’action du pouvoir
sur la société.
Toutes ces stratégies de manipulation viseraient à
maintenir le monde comme il convient aux plus puissants. Bloquer la
capacité critique et l’autonomie de la plupart des gens. Toutefois, il
dépend aussi de nous de nous laisser manipuler passivement, ou d’offrir
une résistance autant que faire se peut.
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