gouvernement secret 2
aliénigènes s'entendirent avec le gouvernement américain pour rédiger un
traité dont les détails seraient discutés lors d'une rencontre
ultérieure. L'événement historique fut soigneusement planifié et,
Eisenhower s'arrangea pour être en vacances au même moment à Palm
Springs. Au jour convenu, le président prétexta une visite chez le
dentiste pour esquiver les journalistes et se rendre en catimini à un
rendez-vous plus insolite. Les témoins de l’événement avaient pu voir
trois O.V.N.I. voler au-dessus de la base et atterrir. Les batteries
antiaériennes suivaient un exercice d’entraînement et le personnel
stupéfié a tiré sur les astronefs qui passaient au-dessus d’eux. Bien
heureusement, les tirs ont manqué leurs cibles et personne n’a été
blessé.
Le président Eisenhower a donc rencontré les aliénigènes le
20 février 1954, et un traité formel entre la nation extranéenne et les
U.S.A. a été signé. Le premier ambassadeur aliénigène à avoir jamais été
reçu par notre Etat fut présenté comme étant «Son Altesse
toute-puissante Krlll» (prononcer Krill). Un titre aussi pompeux ne
pouvait que provoquer les sarcasmes des Américains qui, fidèles à leur
tradition anti-royaliste, eurent tôt fait de lui substituer secrètement
un sobriquet, commençant par les mêmes lettres en anglais et signifiant
«le tout- premier otage Krlll», car il était l’otage qui avait été
laissé lors du premier atterrissage dans le désert. Peu après cette
rencontre, le président Eisenhower eu une crise cardiaque.
Quatre
autres personnes étaient également présentes lors de cette rencontre :
Franklin Allen des journaux Hearst, Edwin Nourse de l’institut
Brookings, Gerald Light, du célèbre institut de recherche métaphysique,
et l’évêque catholique MacIntyre de Los Angeles. Leur réaction a été
estimée comme un microcosme représentatif de la réaction que le public
pourrait avoir. En se basant sur leur réaction, il a été décidé que le
public ne devrait pas être mis au courant. Plus tard, des études ont
confirmé cette décision.
Une lettre chargée d’émotion et écrite par
Gerald Light reflète bien sa réaction en ces détails froids : « Mon cher
ami : je reviens tout juste de Muroc. Le rapport est vrai -
terriblement vrai ! J’ai fait le voyage en compagnie de Franklin Allen
du journal Hearst, d’Edwin Nourse de l’institut Brookings (ancien
conseiller financier de Truman) et de l’évêque MacIntyre de Los Angeles
(noms d’emprunt pour la présente, veuillez m’en excuser). Quand nous
avons été autorisé à entrer dans la section à accès restreint (après
environ six heures pendant lesquelles nous avons été vérifiés sous
toutes les coutures possibles à propos de tous les événements, incidents
et aspects de nos vies privées et publiques), j’ai eu le sentiment
précis que le monde touchait à sa fin, avec un fantastique réalisme ;
parce que je n’avais jamais vu autant d’êtres humains dans un état de
confusion et d’effondrement aussi total parce qu’ils se rendaient compte
que leur conception du monde avait vraiment pris fin avec une telle
irrévocabilité qu’elle en était indescriptible. L’existence de formes
aériennes « autre-avions » est maintenant et pour toujours révoquée du
domaine de la spéculation et fait douloureusement partie de la
conscience de chaque responsable scientifique et de chaque groupe
politique. Durant mes deux jours là-bas, j’ai vu cinq types distincts
d’astronefs en train d’être étudiée et manipulée par nos officiels de
l’armée de l’air - avec l’assistance et la permission des « Ethériens » !
Je
n’ai pas de mots pour exprimer mes réactions. C’est finalement arrivé.
C’est maintenant une question d’histoire. Le président Eisenhower, comme
vous pouvez déjà le savoir, est arrivé en catimini à Muroc une nuit,
Page 11
pendant
sa visite à Palm Springs récemment. Et c’est ma conviction qu’il
passera outre le terrible conflit entre les différentes « autorités »
et qu’il ira directement vers le peuple grâce à la radio et à la
télévision - si l’impasse continue plus longtemps. D’après ce que j’ai
pu comprendre, une déclaration officielle au pays est en cours de
préparation pour être délivrée vers la mi-mai ».
Nous savons qu’une
telle déclaration n’a jamais été faite. Le groupe du contrôle du silence
a gagné la partie. Nous savons aussi que deux vaisseaux de plus, pour
lesquels nous n’avons aucun témoin, ont soit atterri peu après les 3
autres, soit étaient déjà en possession de la base avant l’atterrissage
des 3 autres. Gerald Light a mis le mot « Ethériens » entre guillemets
pour attirer l’attention sur le fait que ces êtres pourraient avoir été
perçus comme des dieux par lui.
Il est bon de préciser que l'emblème
de ces aliénigènes est connu sous le nom d'insigne trilatéral. C'est
celui qu'ils affichent sur leurs vaisseaux et leurs uniformes. A noter
aussi que ces atterrissages et la seconde rencontre ont été filmés et
que ces films existent toujours.
Le président Eisenhower rencontra
donc personnellement les aliénigènes et un pacte officiel fut signé par
les deux chefs d'Etat au nom de leurs nations respectives. L'entente
stipulait qu'aucune des deux parties ne devait s'immiscer dans les
affaires de l'autre. En échange de notre engagement à préserver le
secret de leur présence, ils étaient prêts à nous fournir de la
technologie de pointe et à aider à l'avancement de notre science. Ils ne
signeraient de traités avec aucune autre nation terrestre. Sur une base
périodique et limitée, ils pourraient enlever des êtres humains pour
des raisons de recherche médicale et d'étude de notre développement, à
la condition expresse que ces sujets ne souffrent d'aucun préjudice et
soient ramenés à leur point d'enlèvement sans garder le moindre souvenir
de ces incidents. De plus, selon un calendrier fixe, les responsables
extranéens devraient fournir à Majesty douze une liste de toutes les
personnes contactées ou kidnappées.
Il fut convenu que chacune des
deux races désignerait un ambassadeur pour résider à demeure dans
l'autre nation aussi longtemps que le traité serait en vigueur. En
outre, on se mit d'accord pour procéder à des échanges culturels par le
biais de stages d'études. Ainsi, pendant que seize «stagiaires
étrangers» feraient leur apprentissage sur la Terre, seize des nôtres
seraient en visite sur leur planète avant d'être relayés par un nouveau
groupe au bout d'un certain temps. Une reconstitution de cet événement a
été adapté dans le film rencontre du 3ème type, un « tuyau » qui
s’explique par le fait que le professeur J. Allen Hynek était le
conseiller technique du film. J’ai remarqué que le rapport Top Secret
contenant la version officielle de la vérité à propos de la question
extranéenne, intitulé projet Grudge, que j’ai lu pendant que j’étais à
la Marine, avait pour coauteurs le Lieutenant Colonel Friend et le
professeur J. Allen Hynek, qui était cité comme étant un homme de la CIA
attaché au projet Grudge - le professeur Hynek, celui qui a ridiculisé
plusieurs incidents O.V.N.I. légitimes quand il travaillait comme membre
scientifique du très public projet Blue Book. Le professeur Hynek est
l’homme responsable de l’abominable phrase : «C’était seulement du gaz
des marais ».
On accepta aussi de construire, à l'usage des
aliénigènes, des bases souterraines dont deux serviraient à des
recherches conjointes et à des échanges de technologie. Ces bases
extranéennes seraient construites sur des réserves indiennes aux quatre
coins de l'Utah, du Colorado, du Nouveau-Mexique et de l'Arizona, et une
autre serait construite dans un lieu appelé Dreamland. Dreamland a été
construite dans le désert Mojave près ou dans un endroit appelé Yucca.
Je ne me souviens plus si c’était Yucca Valley, Yucca Flat, ou Yucca
Proving Ground, mais Yucca Valley est ce que j’ai toujours semblé
vouloir dire. Plus d’observations d’O.V.N.I. et d’incidents ont lieu
dans le désert Mojave de la Californie que dans n’importe quel autre
lieu dans le monde ; tellement en fait, que personne ne s’est dérangé
pour en faire des rapports. Quiconque s’aventure dans le désert pour
parler aux résidents sera abasourdi par la fréquence de l’activité et
par le degré d’acceptation démontré par ceux qui ont fini par considérer
les O.V.N.I. comme un phénomène normal.
Toutes ces zones sont
entièrement contrôlées par le Département naval, selon les documents que
j’ai lu. C'est en effet la Marine qui émet la solde de chaque membre du
personnel assigné à ces installations à travers un sous-traitant. Les
chèques ne font jamais référence au gouvernement ou à la Marine. Les
chantiers ont immédiatement démarré mais n'ont progressé qu'au ralenti
jusqu'à ce que d'importants subsides, en 1957, viennent relancer les
activités conformément au projet YELLOW BOCK.
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Le projet
REDLIGHT [ NDT : Feu Rouge ]fut mis sur pied en vue d'entreprendre au
plus tôt les premiers vols expérimentaux à bord d'astronefs. Des
installations ultra-secrètes furent construites au lac Groom, dans le
Névada, à l'intérieur du rayon d'action des tirs d'essai, dans une zone
qui porte pour nom de code zone 51. Nul n'est autorisé à y pénétrer, pas
même le personnel, sans un sauf-conduit «Q» de la Marine et un
laissez-passer approuvé par l’administration (présidentielle, appelée
Majestic), ce qui ne manque pas d'ironie si l'on songe que même le
président des Etats-Unis n'est pas autorisé à visiter le site. Quant aux
échanges technologiques, ils se déroulaient à la base extranéenne ayant
pour nom de code Dreamland, sous terre, dans une portion souterraine
dont le nom de code était «The Dark Side of the Moon» [ NDT : La face
obscure de la Lune ]. Selon la documentation que j’ai lue, au moins 600
êtres aliénigènes résident finalement à plein temps dans ce lieu avec un
nombre inconnu de scientifiques et de personnel de la CIA . En raison
de la peur des implants, seulement certaines personnes étaient
autorisées à avoir des relations avec les aliénigènes, et ce personnel
était et continue à être surveillé et contrôlé continuellement.
L'armée
fut chargée de former une organisation ultra-secrète qui assurerait la
pleine sécurité de tous les projets liés à la technologie extranéenne.
Cette section spéciale fut baptisée l'Organisation de reconnaissance
nationale. Etablies à Fort Carson au Colorado, les équipes spécialement
entraînées à sécuriser le projet furent appelées Delta. Le lieutenant
Colonel James « Bo » Gritz était un commandant de la force Delta.
De
façon à étouffer les soupçons que les habitants de la région
risqueraient d'avoir en apercevant des ovnis Redlight, on créa un projet
parallèle, celui des avions à réaction SNOWBIRD, fabriqués selon des
procédés conventionnels et exhibés à maintes reprises aux journalistes.
Le projet Snowbird avait également l'avantage de discréditer, aux yeux
de la population, les témoins d'authentiques appareils extranéens
(O.V.N.I. pour le public, V.A.I. pour ceux qui sont dans le secret [NDT:
Vaisseau Aliénigène Identifié]). À cet égard, il s'avéra une véritable
réussite puisque les témoignages de la part du public se sont faits
plutôt rares jusqu'à ces toutes dernières années.
Un fond secret de
plusieurs millions de dollars fut constitué et gardé par le Cabinet
militaire de la Maison blanche. Ce capital servit à la construction de
75 installations profondément enfouies sous terre. Aux présidents qui
demandèrent à quel usage étaient destinées ces mises de fonds, on
répondit qu'elles serviraient à leur creuser de profonds abris
souterrains en cas de guerre nucléaire. En fait, une très petite
quantité était conçue à leur intention. Par contre, des millions de
dollars étaient écoulés vers Majesty douze qui les redistribuait à des
entrepreneurs pour l'excavation de bases ultra-secrètes, tant
extranéennes que militaires, et les installations de la «Solution 2» à
travers la nation. Le président Johnson se servit à même ce fond pour
faire ériger une salle de cinéma et paver la route de son ranch, sans
avoir la moindre idée de l'objectif réel de ce trésor.
C'est le
président Eisenhower qui obtint du Congrès, en 1957, la création de ce
fond secret en alléguant qu'il fallait «aménager et entretenir des abris
secrets dans lesquels le président pourrait s'enfuir en cas d'attaque
armée». Ces «refuges présidentiels sécuritaires» consistent en de
véritables cavernes creusées à une profondeur suffisante pour résister à
une déflagration nucléaire et sont équipées des appareils de
communications les plus avancés. Mais la majeure partie de ce fond a
plutôt servi au creusage des 75 installations qui sont aujourd'hui
disséminées sous le territoire américain. D'autre part, la Commission de
l'énergie atomique a ordonné la construction d'au moins 22 autres
abris.
Leur emplacement et toute question connexe sont traités sous
le sceau du secret le plus absolu. Le Cabinet militaire de la Maison
blanche administre à lui seul la totalité des fonds impartis à ce
programme et en distribue les parts suivant un réseau si complexe que
même l'espion le plus habile ou le comptable le plus compétent ne
sauraient jamais reconstituer leur parcours pour en retracer la
provenance ou en découvrir la destination. En 1980, seuls les quelques
individus placés au départ ou à l'arrivée de ce labyrinthe savaient à
quel usage étaient consacrées ces sommes. A la position de départ, il y
avait le représentant du Texas George Mahon, président du Comité de
crédit budgétaire et du sous-comité de la Défense à la Chambre, ainsi
que le représentant de la Floride Robert Sikes, président du sous-comité
au Crédit de la construction militaire à la Chambre. De nos jours, des
rumeurs laissent entendre que Jim Wright, speaker de la Chambre,
contrôlerait le budget du Congrès et qu'on se préparerait à le limoger
par un coup de force. En bout de ligne, on retrouvait le président,
Majesty douze, le chef du Cabinet militaire et un commandant au chantier
naval de la Marine à Washington.
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Les fonds étaient
libérés par le Comité de crédit qui les allouait au ministère de la
Défense à titre de poste ultra-secret concernant la subvention du
programme de construction militaire. L’armée ne pouvait cependant pas
dépenser cet argent puisque, en définitive, elle ne savait même pas à
quoi il servait. C'est à la Marine, en fait, que revenait l'autorisation
de le gérer. Elle commençait par le remettre à ses ingénieurs maritimes
de la division de Chesapeake, qui n'en connaissaient pas davantage le
but, ni eux ni même le commandant en chef, qui arborait pourtant le
grade d'amiral. Un seul homme connaissait la raison d'être, le montant
réel et la destination finale de ce fond ultra-secret. C'était un
commandant de la Marine assigné à la division de Chesapeake mais qui, en
réalité, était aux ordres du Cabinet militaire de la Maison blanche. En
vertu du secret absolu qui entourait ce capital, un très petit nombre
d'individus en avait le contrôle. Il leur était donc d'autant plus
facile de faire disparaître jusqu'à la moindre trace de son passage. Ce
fond ultra-secret n'a été soumis à aucune vérification comptable et ne
le sera sans doute jamais.
De fortes sommes furent transférées de ce
fond à un autre à Palm Beach en Floride, dans une localité appartenant à
la Garde côtière et appelée Peanut Island. Or, cette «île aux
Cacahuètes» est précisément adjacente à un domaine qui appartenait à
Joseph Kennedy. Lors d'un documentaire présenté à la télévision il y a
déjà quelque temps sur l'assassinat de Kennedy, il avait été justement
question d'un certain officier de la Garde côtière qui aurait remis une
mallette remplie d'argent, de la main à la main à la lisière des deux
propriétés, à un employé des Kennedy. S'agirait-il d'une indemnité
versée aux parents pour la perte de leur fils? Toujours est-il que ces
versements ont continué sans interruption jusqu'à ce qu'ils cessent en
1967. Ils auraient prétendument servi à des travaux d'embellissement et
d'aménagement paysager, mais le véritable usage de cet argent demeure
encore inconnu, tout comme, d'ailleurs, le montant des fonds transférés.
Entre-temps,
Nelson Rockefeller fut encore muté. Il prit alors la place de C.D.
Jackson qui avait occupé la fonction d'Adjoint spécial pour la stratégie
psychologique. Sous Rockefeller, ce titre fut changé en celui d'Adjoint
spécial pour la stratégie de la guerre froide. Ce poste évolua avec les
années pour finalement comporter les attributions qui étaient celles
d'Henry Kissinger sous la présidence de Nixon. Le rôle officiel de
Rockefeller consistait à «fournir conseil et aide en vue de favoriser
une meilleure compréhension et une plus grande coopération entre tous
les peuples». Cette description de tâche n'était toutefois qu'un écran
de fumée pour dissimuler ses activités secrètes en tant que
coordonnateur présidentiel des services de renseignements. Il en faisait
rapport directement au président, et uniquement à lui. Il assistait aux
réunions du Cabinet, prenait part au Conseil sur la politique
économique étrangère et siégeait au Conseil de sécurité nationale, la
plus haute instance gouvernementale en matière d'élaboration des
politiques.
En vertu du décret NSC 5412/1 du mois de mars 1955,
Nelson Rockefeller se vit en outre attribuer un autre poste clé, celui
de chef du Groupe planificateur de la coordination. Cette unité secrète
se prévalait des services de personnes désignées selon les différents
besoins à l'ordre du jour. Hormis Rockefeller, ce comité ad hoc comptait
à l'origine un représentant du ministère de la Défense, un autre du
Département d'Etat et le directeur de la Centrale de renseignements.
Cette unité fut bientôt appelée le «Comité 5412» ou le «Groupe spécial».
Le décret NSC 5412/1 établit une nouvelle règle concernant les
opérations clandestines. Jusque-là, le directeur de la Centrale de
renseignements avait pleine autorité sur leur exécution. Dorénavant, ces
opérations seraient soumises à l'approbation d'un comité exécutif.
Déjà
en 1954, par son décret-loi secret NSC 5410, Eisenhower avait précédé
le décret NSC 5412/1 en constituant un comité permanent - et non ad hoc -
qui allait être connu sous le nom de Majesty douze - MJ-12 - et dont le
rôle consisterait à superviser et à diriger les activités secrètes
ayant rapport à la question extranéenne. Le NSC 5412/1 ne fut promulgué,
en définitive, que pour détourner la curiosité du Congrès et de la
presse.
Majesty douze était composé par Nelson Rockefeller, Allen
Welsh Dulles, directeur de la Centrale de renseignements, John Foster
Dulles, secrétaire d'Etat, Charles E. Wilson, secrétaire à la Défense,
l'amiral Arthur W. Radford, président du Comité interarmes des chefs
d'état-major, J. Edgar Hoover, directeur du FBI [ NDT : Bureau fédéral
d'investigation], six membres clés du comité exécutif du Conseil des
relations étrangères, surnommés «les Mages»., six hommes du comité
exécutif du groupe JASON, et le professeur Edward Teller [NDT: « Père »
de la bombe H et directeur du laboratoire de Livermore, aux USA
(spécialisé dans l’étude des radiations)].
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Le groupe JASON
est un groupe scientifique secret créé au moment du projet Manhattan et
administré par la Miltre Corporation. Le cœur du Conseil de relations
étrangères recrute ses membres parmi les anciens de Harvard et de Yale
qui étaient sensés avoir passé l’initiation des « Skull and Bones » et «
Scroll and Key » du temps où ils fréquentaient ces universités. Les «
mages » sont des membres clés du Conseil des relations étrangères et
sont aussi membres d’un « Ordre secret de la Quête » connu sous le nom
de société JASON.
Majesty douze est composé de 19 membres. La
première règle de Majesty douze était qu’aucun ordre ne pouvait être
donné et qu’aucune décision ne pouvait être prise sans un vote
majoritaire de ses douze plus hauts personnages, donc Majorité douze.
Les ordres édictés par Majesty douze sont devenus connus en tant que
directives de Majorité douze.
Le groupe se composa donc, au fil des
années, d’officiers haut gradés, de directeurs et hauts fonctionnaires
du Conseil des relations étrangères et s'accrut plus tard de membres de
la commission trilatérale. Parmi eux se trouvaient George Dean, George
Bush et Zbigniew Brzezinski. Au nombre des «Mages» les plus important et
les plus influents, on comptait John McCloy, Robert Lovett, Averell
Harriman, Charles Bohlen, George Kennan et Dean Acheson, dont les
politiques allaient se poursuivre jusque vers la fin des années 70. Il
est intéressant de noter que le président Eisenhower de même que les six
premiers membres de Majesty douze issus du gouvernement, étaient aussi
membres du Conseil des relations étrangères. Ceci a donné le contrôle de
l’un des groupes les plus secrets et les plus puissants dans le
gouvernement à un club d’intérêt spécial qui était lui-même contrôle par
les Illuminati.
Des recherches approfondies permettront bientôt de
découvrir que tous les « mages » n’étaient pas à Harvard ou à Yale, et
que tous n’étaient pas choisis pour avoir été membre du Skull and Bones
ou du Scroll and key durant leurs années à l’université. Vous pourrez
effacer rapidement ce mystère en obtenant le livre intitulé The Wise Men
écrit par Isaac et Evan Thomas, chez Simon et Schuster, New York. Sous
l’illustration #9 au centre du livre, vous trouverez la légende :
«Lovett, avec l’unité de Yale, en haut à droite, et sur la plage : son
initiation au Skull and Bones s’est faite sur une base aérienne près de
Dunkerke ». J’ai découvert que les membres étaient choisis sur une base
actuelle par invitation basée sur le mérite postuniversitaire et
n’étaient pas exclusivement des membres de Harvard ou de Yale. A cause
de cela, une liste complète des membres du Skull and Bones ne pourra
jamais être obtenue des catalogues d’adresse du quartier universitaire
de Russel Trust, aussi connu sous le nom de Confrérie de la mort, ou du
Skull and Bones. Maintenant vous savez pourquoi il a été impossible de
répertorier les membres, que ce soit par nombre ou par nom. Je crois que
la réponse gît, cachée dans les fichiers du Conseil des relations
étrangères, si ces fichiers existent.
Quelques personnes choisies
furent plus tard initiées dans la branche secrète de l’Ordre de la
Quête, connue comme Société JASON. Ces personnes sont membres du Conseil
des relations étrangères et à l’époque étaient connues sous le nom
d’Establishment de la côte Est. Ceci devrait vous donner une bonne idée
de la sérieuse influence que peuvent avoir les associations
universitaires occultes. La Société Jason se porte encore très bien de
nos jours, mais elle compte aujourd'hui des membres de la Commission
trilatérale. Cette commission existait bien avant d'être rendue publique
en 1973. Le nom de cette commission vient de l’insigne extranéen connu
comme étant l’insigne trilatéral. Majesty douze a aussi survécu jusqu'à
aujourd'hui. Sous Eisenhower et Kennedy, cette section fut appelée à
tort le Comité 5412 ou, plus exactement, le Groupe spécial. Sous
l'administration Johnson, elle devint le Comité 303 pour échapper aux
allusions compromettantes dont la dénomination 5412 avait été la cible
dans un livre intitulé Le Gouvernement secret. L'auteur de ce livre
avait effectivement été mis au courant du décret NSC 5412/1, mais cette
fuite n'était qu'une habile manoeuvre de diversion pour encore mieux
dissimuler l'existence du décret 5410. Sous les gouvernements Nixon,
Ford et Carter, le comité porta le numéro 40 et, sous celui de Reagan,
le numéro PI-40. Durant toutes ces années, seule l'appellation de cette
section a changé.
Dès 1955, il devint évident que les aliénigènes
avaient abusé de la confiance d'Eisenhower et ne respectaient pas leur
traité. On fit la macabre découverte, à travers tout le territoire
américain, de cadavres mutilés non seulement d'animaux mais aussi
d'êtres humains. On se mit alors à fomenter de sérieux doutes sur
l'intégralité des listes que les aliénigènes s'étaient engagés à
soumettre à Majesty douze, et on suspecta le fait que tous les kidnappés
n’étaient pas libérés. L’U.R.S.S. fut soupçonnée d’avoir engagé des
relations avec les aliénigènes, et cela s’est révélé être vrai. Les
aliénigènes ont déclaré qu’ils auraient exercé et qu’ils continuaient à
exercer un contrôle sur les masses par le biais de sociétés secrètes
ainsi que par le truchement de la
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sorcellerie, de la
magie, de l'occultisme et de la religion. Vous devez comprendre que ces
déclarations pourraient aussi être une manipulation. En guise de
représailles, l'aviation militaire s'engagea dans de nombreux combats
aériens, mais elle dut baisser pavillon devant la supériorité des
extranéennes.
En novembre 1955, le décret NSC 5412/2 établit un
comité d'étude ayant pour tâche d'«explorer tous les facteurs pouvant
contribuer à l'élaboration et à la réalisation des politiques étrangères
à l'ère nucléaire». C’était seulement un nuage de fumée destiné à
couvrir le réel sujet d’étude, la question extranéenne. Par un autre
décret-loi secret - le NSC 5511 il - promulgué en 1954, le président
Eisenhower avait ordonné à ce groupe d'«examiner tous les faits, les
évidences, les mensonges et les tromperies relativement aux aliénigènes
afin d'en dégager la vérité». Le NSC 5412/2 n'était qu'une façade
devenue nécessaire pour dévier l'attention des journalistes qui
commençaient à s'enquérir du but de ces réunions où se regroupaient tant
de personnalités politiques aussi importantes. Les premières rencontres
eurent lieu en 1954 et furent appelées les rencontres Quantico car
elles furent tenues à la base navale de Quantico, en Virginie. Le groupe
d'étude réunissait 35 membres du Conseil des relations étrangères, tous
du groupe d’étude secret. Le professeur Edward Teller fut invité à y
participer. Durant les dix huit premiers mois, le professeur Zbigniew
Brzezinski tint le rôle de président d'étude et fut remplacé par le
professeur Henry Kissinger, pendant une égale durée à partir de novembre
1955. Nelson Rockefeller y fit de fréquentes visites pendant les
sessions d'étude.
Les membres du groupe d’étude
Gordon Dean,
Président Professeur Henry Kissinger, Directeur d’étude Professeur
Zbigniew Brzezinski, Directeur d’étude Professeur Edward Teller Frank
Altschul Maj. Gen. Richard C. Lindsay Hamilton Fish Armstrong Hanson W.
Baldwin Maj. Gen. James McCormack, Jr. Lloyd V. Berkner Robert R. Bowie
Frank C. Nash McGeorge Bundy Paul H. Nitze William A. M. Burden Charles
P. Noyes John C. Campbell Frank Pace, Jr. Thomas K. Finletter James A.
Perkins George S. Franklin, Jr. Don K. Price I.I. Rabi David Rockefeller
Roswell L. Gilpatric Oscar M. Ruebhausen N.E. Halaby Lt. Gen. James M.
Gavin Gen. Walter Bedell Smith Caryl P. Haskins Henry DeWolf Smyth James
T. Hill, Jr. Shields Warren Joseph E. Johnson Carroll L. Wilson Mervin
J. Kelly Arnold Wolfers
Les rencontres de la seconde phase eurent
aussi lieu à la base navale de Quantico, en Virginie, et le groupe
d’étude devint connu sous le nom de Quantico II. Nelson Rockefeller
s'était fait bâtir une retraite, quelque part dans le Maryland, dans un
endroit accessible uniquement par avion, de sorte que Majesty douze et
le comité d’étude n'y soit pas importuné par les regards inquisiteurs de
la presse et du public. Ce pavillon de campagne, de son nom de code
«Country Club», en plus d'offrir le gîte et le couvert, était doté d'une
bibliothèque, de salles de réunion et d'installations récréatives
(l’institut Aspen n’est pas le « Country Club »).
Le groupe d'étude
fut «publiquement» dissous vers la fin de 1956 et Henry Kissinger
publia, l'année suivante, un compte rendu «officiel» des sessions sous
le titre «Armes nucléaires et Politiques étrangères», édité par Harper à
New-York pour le compte du Conseil des relations étrangères, en 1957.
En vérité, Kissinger en avait déjà rédigé 80% à l'époque où il étudiait à
Harvard. Ainsi le comité d'étude pouvait poursuivre ses réunions en
secret. Les commentaires de l'épouse et des amis de Kissinger sont
révélateurs du caractère sérieux qu'il attachait à ces rencontres.
Ceux-ci relatent qu'il quittait la maison très tôt le matin et n'y
revenait qu'à la nuit
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tombée. Devenu anormalement
taciturne, il ne répondait plus à personne, comme s'il vivait dans un
monde à part dont les autres étaient inconditionnellement exclus.
Les
révélations faites au cours des sessions d'étude sur la présence des
aliénigènes et leurs agissements avaient dû l'ébranler sérieusement pour
qu'il manifestât subitement un tel revirement d'attitude, autrement
inexplicable puisqu'il ne sera jamais plus affecté de cette manière
durant le reste de sa carrière, et ce peu importe la gravité des
événements auxquels il sera confronté. Il lui arrivait souvent, en
outre, malgré une journée de travail déjà bien remplie, de prolonger ses
activités très tard dans la nuit. Inévitablement, ce mode de vie le
conduisit au divorce.
Un des résultats majeurs des travaux du comité
fut de conclure à l'absolue nécessité de ne pas mettre la population au
courant de la présence extranéenne, car le groupe estima qu'il en
résulterait à coup sûr un effondrement de l'économie autant que des
structures religieuses, ainsi qu'un déferlement de panique tel que la
nation risquerait de tomber dans l'anarchie. Aussi fallait-il absolument
en préserver le secret, et ce non seulement à l'égard du public en
général mais aussi face au Congrès. On allait donc devoir trouver des
fonds ailleurs que dans le gouvernement pour subventionner les projets
de recherche. Or, on avait déjà obtenu la garantie qu'ils seraient
assurés, d'une part, par le biais des crédits de l’armée et, d'autre
part, au moyen de fonds confidentiels de la CIA non affectés à son
budget.
La décision du groupe d'étude d'occulter le problème avait
été motivée par la découverte effarante que les aliénigènes utilisaient
des êtres humains et des animaux pour en extraire les sécrétions
glandulaires et hormonales, les enzymes et le sang et qu’il les
utilisaient probablement pour des expériences génétiques. Les
aliénigènes expliquaient que ces actions étaient nécessaires pour leur
survie. Ils disaient que leur structure génétique s’était détériorée et
qu’ils n’avaient plus la faculté de se reproduire. Ils disaient que
s’ils s’avéraient incapables d’améliorer leur structure génétique, leur
race cesserait bientôt littéralement d’exister. Leurs explications ont
été écoutées avec une suspicion extrême, mais, comme nos armes s'étaient
montrées inutiles contre les aliénigènes, Majesty douze jugea néanmoins
préférable de continuer à entretenir des relations diplomatiques
amicales avec ces imposteurs, du moins jusqu'au temps où nous serions
technologiquement de taille à leur imposer le respect. En outre, il
vaudrait mieux, pour la survie de l'humanité, joindre nos forces à
celles d'aunes nations, à commencer par l'URSS. Par ailleurs, on avait
déjà entrepris un double programme d'armement, à la fois conventionnel
et nucléaire, dans l'espoir de pouvoir un jour traiter sur un pied
d'égalité avec les aliénigènes.
Ces recherches constituèrent les
projets JOSHUA et EXCALIBUR. Le premier concernait une arme capturée
chez les Allemands et capable, à cette époque, de faire éclater un
blindage de 20 cm d'épaisseur à une distance de 3 km. Ce dispositif
émettait des pulsations sonores à très basse fréquence et on présuma
qu'il pourrait se montrer efficace contre les astronefs extranéens et
leurs armes à faisceaux. Excalibur, de son côté, consistait en une ogive
de une mégatonne transportée par un missile téléguidé pouvant s'élever à
près de 10 000 m d'altitude relative, atteindre une cible définie sans
dévier de plus de 50 m et s'enfoncer à 1000 m dans un sol tassé et dur
comme le tuf calcaire que l'on retrouve au Nouveau Mexique, là où sont
enfouies les bases extranéennes. Joshua fut développé avec succès mais, à
ma connaissance, jamais utilisé. Excalibur, pour sa part, a été négligé
jusqu'à tout récemment, alors que des efforts sans précédent lui sont
maintenant consacrés. On dirait au public qu’Excalibur serait nécessaire
pour prendre les postes de commandements souterrains d’U.R.S.S. . Nous
savons que cela n’est pas vrai car une règle de guerre est qu’on
n’essaie jamais de détruire les dirigeants. Ils sont utiles, soit pour
une reddition inconditionnelle, soit pour négocier les traités. Ils sont
aussi nécessaires pour assurer une transition pacifique du pouvoir et
l’acquiescement de la population aux termes des traités négociés ou
édictés. A partir des doutes qu'avaient suscités les activités illicites
des aliénigènes, et redoutant une manipulation de leur part, une
minutieuse investigation fut ordonnée à l'égard du secret qui entourait
les événements survenus au début du siècle à Fatima. Les Etats-Unis ont
utilisé leurs espions au Vatican et obtinrent assez vite toute l’étude
du Vatican qui incluait la prophétie. Cette prophétie affirmait que, si
l'humanité ne se détournait pas du péché pour se placer sous l'égide du
Christ, elle finirait par se détruire après avoir provoqué les
événements apocalyptiques décrits par Jean dans son Livre des
Révélations. La prophétie demandait à ce que la Russie soit consacrée au
Sacré Cœur. La prophétie annonçait aussi la naissance d'un enfant qui
rallierait tous les peuples à l'idée d'une paix mondiale mais jetterait
les fondements d'une fausse religion. La plupart des gens discerneraient
toutefois le mal dans les intentions de cet homme et reconnaîtraient
bientôt dans sa personne l'identité de l'Antéchrist. La Troisième Guerre
mondiale éclaterait au Moyen-Orient
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avec l'invasion de
l'Etat d'Israël par une nation des Etats arabes unis. Celle ci
utiliserait d'abord des armes conventionnelles mais déclencherait
finalement un holocauste nucléaire. Toute vie sur terre serait condamnée
à d'horribles souffrances qui ne sauraient se terminer que dans la
mort. La prophétie s'achève néanmoins sur une note optimiste en
annonçant le retour du Christ.
Lorsqu'on eut soumis ces prédictions
aux aliénigènes, ceux-ci en confirmèrent la véracité. Les aliénigènes
prétendirent, en outre, avoir créé l'espèce humaine par croisements
génétiques et l'avoir manipulée par le biais de la religion, du
satanisme, de la sorcellerie, de la magie et du spiritisme. Ils
expliquèrent plus tard qu’ils étaient capables de voyager dans le temps,
et que ces événements auraient vraiment lieu si les conditions [NDT: de
la prophétie] n’étaient pas remplies. Plus tard, en utilisant la
technologie extranéenne, les U.S.A. et l’U.R.S.S. ont pratiqué le voyage
dans le temps, dans un projet appelé RAINBOW, ce qui leur a permis de
voir la prophétie se confirmer. Les aliénigènes montrèrent un hologramme
censé représenter la véritable scène de la crucifixion de Jésus. Le
gouvernement a filmé l’hologramme. Nous ne savions pas si nous pouvions
les croire. Cherchaient-ils simplement à nous manipuler à travers nos
religions, alors même que notre foi était authentique, ou bien
avaient-ils vraiment inventé nos religions comme moyen de nous manipuler
depuis toujours par le biais de nos croyances? D'autre part,
En 1957
fut tenu un symposium réunissant les plus grands esprits scientifiques
du moment. Ceux-ci arrivèrent à la conclusion que, vers l'an 2000, en
raison de l'accroissement de la population et à cause de l'exploitation
de l'environnement, notre planète ne pourrait éviter la destruction sans
une intervention divine ou extranéenne.
Le président Eisenhower émit
un décret-loi secret ordonnant à la Société Jason d'étudier ce scénario
et de lui soumettre ses recommandations. Ses recherches ne purent que
confirmer la conclusion des hommes de sciences. En guise de
recommandations, la Commission Jason présenta trois solutions
alternatives appelées solutions 1,2, et 3.
Solution 1: Percer la
stratosphère en y pratiquant, au moyen d'explosions nucléaires,
d'immenses brèches à travers lesquelles la chaleur et la pollution
pourraient s'échapper dans l'espace. Il faudrait éduquer les mentalités à
moins exploiter l'environnement et à davantage le protéger. Des trois
solutions, c'était la moins susceptible de réussir, d'une part, en
raison des tendances inhérentes de la nature humaine et, d'autre part, à
cause des dommages supplémentaires que des explosions nucléaires
ajouteraient à l'environnement. L’existence d’un trou dans la couche
d’ozone pourrait indiquer le fait que la solution 1 pourrait avoir été
essayée. Ceci n’est en tout cas qu’une conjecture.
Solution 2:
Construire un vaste réseau souterrain de villes et de corridors dans
lequel une élite de toutes les cultures et de toutes les sphères
d'activités serait appelée à survivre pour perpétuer l'espèce humaine.
Quant au reste de l'humanité, elle serait laissée à elle-même à la
surface du globe. Nous savons que ces installations ont été construites
et sont prêtes et en attente des quelques personnes à choisir.
Solution
3: Exploiter la technologie planétaire et extranéenne afin qu'un petit
nombre d'élus puissent quitter la Terre et aller fonder des colonies
ailleurs dans le cosmos. Je ne saurais confirmer ou infirmer la
possibilité que des contingents d'esclaves [ NDT : appelés marchandise]
aient déjà été expédiés, dans le cadre de ce projet, en qualité de
main-d'oeuvre. La destination première est la Lune - de son nom de code
Adam - et la seconde est Mars - de son nom de code Eve. J’ai maintenant
en ma possession des photographies officielles de la NASA de l’une des
bases lunaires. Je pense que la colonie sur Mars est aussi une réalité.
Dans
le but d'en retarder l'exécution, les trois solutions furent accrues
d'un programme de contrôle des naissances - incluant la stérilisation -
et de propagation de microbes mortels en vue de ralentir l'accroissement
de la population. Le SIDA ne représente qu'un des résultats de ce plan.
Il a été décidé par l’élite que puisque la population devait être
réduite et contrôlée, il serait du plus grand intérêt de la race humaine
de se débarrasser des éléments indésirables de la société. Les cibles
spécifiques de population étaient les noirs, les hispaniques et les
homosexuels. Les gouvernements américain et soviétique ont rejeté la
première solution mais ont conjointement ordonné d'entreprendre la
réalisation des solutions 2 et 3 à peu près en même temps.
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En
1959, la société commerciale Rand organisa un symposium sur les
«constructions souterraines à grande profondeur». Le prospectus
contenait des photographies et des descriptions de machines pouvant
creuser des tunnels de 8 m de diamètre à raison de 1,5 m par heure. Ces
immenses corridors conduisaient à de gigantesques voûtes souterraines
qui semblaient abriter des installations domestiques et
vraisemblablement des villes. De toute évidence, l'industrie de la
construction souterraine avait accompli des progrès significatifs depuis
ses débuts cinq ans auparavant.
Les dirigeants comprirent qu'un des
meilleurs moyens de financer les projets clandestins reliés aux
aliénigènes consistait à accaparer le marché noir des stupéfiants. Les
anglais et les français avaient établis un précédent historique
lorsqu’ils avaient exploité le marché de l’opium en Extrême Orient et
qu’ils l’avaient utilisé pour remplir leurs coffres et gagner un solide
pied-à-terre en Chine et au Vietnam respectivement.
A cet effet, on
approcha un jeune et ambitieux membre du Conseil des relations
étrangères nommé George Bush, qui était alors président-directeur
général de la société pétrolière texane Zapata, laquelle procédait à des
expérimentations techniques en haute mer. Or, les plates-formes de
forage pourraient très bien servir, estimèrent-ils avec raison, à opérer
le trafic de la drogue. Il suffisait, en effet, de charger la
contrebande à bord de chalutiers qui la transporteraient depuis
l'Amérique du Sud jusqu'aux plates-formes de forage. De là, il ne
restait plus qu'à l'acheminer vers le continent en empruntant la navette
de ravitaillement du personnel régulier dont la cargaison n'est pas
soumise à l'inspection des douanes ni à la surveillance de la garde
côtière.
George Bush accepta de collaborer à l'opération avec la CIA.
Ce stratagème dépassa si bien les prévisions qu'il est ensuite devenu
pratique courante dans le monde entier, quoiqu'il existe maintenant
beaucoup d'autres méthodes pour introduire des drogues illégales dans un
pays. Il faudra donc toujours se souvenir de George Bush comme ayant
fait partie des promoteurs de la vente de stupéfiants à nos enfants. De
nos jours, la CIA contrôle mondialement le marché noir de la drogue.
C'est
le président Kennedy qui a lancé le programme spatial «officiel» quand,
dans son discours inaugural, il a confié aux Etats-Unis le mandat
d'envoyer un homme sur la Lune avant la fin de la décennie. Malgré
l'honnêteté de ses intentions, ce mandat permit néanmoins aux
responsables de couler des sommes gigantesques vers les projets
clandestins tout en détournant le peuple américain du véritable
programme spatial. L'Union soviétique élabora un plan similaire qui
visait le même objectif, car, en réalité, au moment même où Kennedy
s'adressait à la nation, les deux superpuissances, de concert avec les
aliénigènes, avaient déjà installé une base conjointe sur la Lune.
Le
22 mai 1962, une sonde spatiale atterrit sur Mars et confirma que
l'environnement y était propice à la vie. Il n'en fallait pas davantage
pour qu'on s'y rendît aussitôt fonder une colonie. Je pense qu’il s'y
trouve aujourd'hui des villes peuplées d'individus spécialement
sélectionnés pour leurs compétences particulières et provenant de toutes
les cultures de la Terre. Si l'Union soviétique et les Etats-Unis ont,
durant toutes ces années, affiché publiquement des politiques soi-disant
antagonistes, c'était simplement pour avoir le loisir de financer des
projets de ce genre au nom de la Défense nationale, puisque, au fond, ce
sont les plus grands alliés du monde.
Dans une certaine mesure, le
président Kennedy découvrit des bribes de vérité au sujet des drogues et
des aliénigènes. C'est pourquoi, en 1963, il posa un ultimatum à
Majesty douze, leur enjoignant de faire place nette, sans quoi il se
chargerait lui-même de faire le ménage dans le marché des stupéfiants.
De plus, il informa Majesty douze de son intention de révéler
l'existence des aliénigènes à toute la nation l'année suivante. Il leur
ordonna donc de préparer un plan de divulgation conformément à cette
décision. Or, Kennedy ne faisait pas partie du Conseil des relations
étrangères. Aussi ne savait-il rien des solutions 2 et 3 ( bien que
quelques personnes aient clamé que JFK était un membre du Conseil des
relations étrangères, je n’ai pu trouver aucune liste légitime où son
nom est cité). Au niveau international, les opérations secrètes étaient
gérées par un comité de l’élite Bilderberg connu sous le nom de «Comité
des politiques». Aux Etats-Unis, ce comité était supervisé par le comité
exécutif du Conseil des relations étrangères et en U.R.S.S., par une
organisation homologue.
La décision du président Kennedy fit l'effet
d'une pierre jetée dans un nid de frelons. Son assassinat fut aussitôt
décrété par le Comité des politiques, puis l'ordre en fut transmis aux
agents postés à Dallas. Le président John F. Kennedy a été assassiné par
l’agent des services secrets qui conduisait sa voiture dans le cortège
et l’acte est pleinement visible dans le film Zapruder. Regardez le
conducteur et non pas Kennedy quand
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vous voyez le film. Tous les témoins oculaires qui se trouvaient aient à proximité de la voiture présidentiell
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